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On ne s’y attendait pas forcément, mais la Commission européenne vient d’ajouter iPadOS à sa liste de contrôleurs d’accès chez Apple. Le système pour tablettes rejoint ainsi iOS, Safari et bien sûr l’App Store, au cœur de toutes les attentions.

Au moment de ces nominations début septembre, la Commission avait jugé qu’iPadOS ne correspondait pas aux critères. Cependant, elle se demandait si le système ne constituait pas une « passerelle importante » entre les utilisateurs professionnels et finaux (grand public).

À la suite d’une enquête, la Commission dit avoir constaté trois éléments :

• Le nombre d’utilisateurs professionnels a « dépassé de 11 fois le seuil quantitatif », tandis que celui des utilisateurs grand public était proche du seuil, les ventes dans un futur proche devant lui faire franchir le cap
• Apple utilise son « vaste écosystème » pour bloquer les utilisateurs finaux et les dissuader de passer à d’autres plateformes
• Les utilisateurs professionnels sont « attachés à iPadOS en raison de sa base d’utilisateurs importante et commercialement attrayante »

La Commission en conclut que le système est bien une « passerelle importante » et qu’Apple « jouit d’une position bien établie et durable ».

La société a maintenant six mois pour se conformer à la décision. Il va donc falloir qu’iPadOS intègre à son tour les changements apparus dans iOS 17.4 et qui seront probablement complétés par d’autres dans iOS 18, qui sera présenté le 10 juin.

On ne s’y attendait pas forcément, mais la Commission européenne vient d’ajouter iPadOS à sa liste de contrôleurs d’accès chez Apple. Le système pour tablettes rejoint ainsi iOS, Safari et bien sûr l’App Store, au cœur de toutes les attentions.

Au moment de ces nominations début septembre, la Commission avait jugé qu’iPadOS ne correspondait pas aux critères. Cependant, elle se demandait si le système ne constituait pas une « passerelle importante » entre les utilisateurs professionnels et finaux (grand public).

À la suite d’une enquête, la Commission dit avoir constaté trois éléments :

• Le nombre d’utilisateurs professionnels a « dépassé de 11 fois le seuil quantitatif », tandis que celui des utilisateurs grand public était proche du seuil, les ventes dans un futur proche devant lui faire franchir le cap
• Apple utilise son « vaste écosystème » pour bloquer les utilisateurs finaux et les dissuader de passer à d’autres plateformes
• Les utilisateurs professionnels sont « attachés à iPadOS en raison de sa base d’utilisateurs importante et commercialement attrayante »

La Commission en conclut que le système est bien une « passerelle importante » et qu’Apple « jouit d’une position bien établie et durable ».

La société a maintenant six mois pour se conformer à la décision. Il va donc falloir qu’iPadOS intègre à son tour les changements apparus dans iOS 17.4 et qui seront probablement complétés par d’autres dans iOS 18, qui sera présenté le 10 juin.

Des cartes graphiques GeForce RTX 4070 légèrement différentes font leur apparition sur le marché, rassurez-vous les cartes conservent les mêmes spécifications techniques, mais ce que l'on trouve sous le système de refroidissement est légèrement différent ! Alors que les premières GeForce RTX 4070 étaient basées sur un GPU AD104, il est possible actuellement que certaines récentes GeForce RTX 4070 soient basées sur un AD103, préalablement réservés aux RTX 4070 Ti SUPER, RTX 4080, RTX 4080 SUPER et RTX 4090 (en ne citant que les cartes desktop gaming). […]

Avec le SKY TWO, MONTECH dispose d'un joli boitier de type aquarium avec une vue complète sur les composants, et ce à un tarif plutôt bien placé d'environ 105.90 U+20AC. Néanmoins, le boitier ne semble pas parfait aux yeux de certains utilisateurs, qui ont fait quelques retours à la marque pour avoir des nouveautés. Et c'est là qu'entre en jeu le SKY TWO GX, un modèle qui partage un châssis similaire et... C'est à peu près tout ! En effet, le SKY TWO GX fait l'impasse sur le verre trempé en façade et opte pour du mesh avec trois ventilateurs AX140 installés par défaut. Un premier changement important, mais ce n'est pas tout et MONTECH annonce 10 mm de plus en hauteur pour permettre l'installation d'un radiateur de 66 mm dans le haut, tandis que l'espace pour la gestion des câbles derrière la carte mère gagne 5 mm. Des détails, mais qui font finalement la différence lors de l'installation. […]

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Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

La AYANEO Pocket S est mignonne, très mignonne. Les rendus 3D proposés par la marque n’engagent évidemment à rien et les risques pris par un financement participatif sur Indiegogo ne doivent pas être gommés, mais elle est vraiment jolie.

La console Android 13 a de beaux atouts comme la présence d’une puce Qualcomm Snapdragon G3x Gen2 annoncée il y a juste un an, pas moins de 16 Go de mémoire et 1 To de stockage dans sa version la plus complète. Mais cela reste une console Android et le jour où la AYANEO Pocket S ne sera plus mise à jour par la marque, elle se transformera peu à peu en un objet à risque.

Son SoC est annoncé comme extrêmement performant avec 8 cœurs cadencés à 3.36 GHz et un circuit graphique Adreno à 1 GHz. C’est une puce gourmande, pensée pour fonctionner avec un TDP de 15 watts du moment que la dissipation suit ce rythme. Elle apporte également à la console son module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.3. La batterie 6000 mAh embarquée ne détaille pas d’autonomie.

Pour encaisser cette puce, la AYANEO Pocket S emploie un système de dissipation digne d’un portable avec une « Vapor Chamber » qui dirige la chaleur vers des ailettes et un ventilateur qui la repousse vers l’extérieur. L’équivalent des solutions concurrentes sous puces AMD ou Intel. Le châssis est réalisé en métal et on retrouve la panoplie d’accessoires de jeux propres aux système : gâchettes, joysticks, boutons, pcrois directionnelle. Les petits LEDs RGB sont de rigueur ainsi qu’un gyroscope sur 6 axes.

Prévue pour la mi mai, donc sans aucun besoin réel d’un financement participatif pour entrer en production, la console propose un écran de 6″ en deux versions. Le premier en 1920 x 1080 pixels et le second en 2560 x 1440 pixels. La mémoire vive débute à 12 Go de LPDDR5x-8533 et pourra grimper à 16 Go Le stockage quand à lui démarre à 128 Go  avec une solution UFS 3.1 maius pourra atteindre 512 Go ou 1 To en UFS 4.0 plus rapide.

La connectique est limitée à un unique port USB 3.2 Gen 2 Type-C sans même un port jack audio. Un lecteur de cartes MicroSDXC sera tout de même présent pour étendre la capacité de stockage. L’alimentation et la sortie vidéo se feront donc en DisplayPort et en Power Delivery via l’USB Type-C uniquement… Ce qui forcera le recours à un dock ou un Hub USB. L’ensemble pse 350 grammes et mesure 21.4 cm de large pour 8.5 cm de haut et 1.4 cm d’épaisseur.

Le détail des tarifs et de disponibilités est visible sur Indiegogo.

AYANEO Pocket S : une console Android 13 sous Snapdragon © MiniMachines.net. 2024.

C'est une information qui ne changera à peu près rien à rien, mais qui est toujours intéressante pour les plus curieux en matière de hardware, ceux qui aiment savoir tout ce qui se passe en coulisse même quand cela n'a pas directement d'impact au quotidien. Nous la devons à nos confrères de TechPowe...

Plus de 100 des meilleurs journalistes technologiques du monde ont examiné toutes les options matérielles disponibles sur le marché et ont voté pour leurs produits préférés. Le lundi 3 mai 2024, les 10e European Hardware Awards seront présentés au monde entier au Computex et la liste définitive des meilleurs produits hardware de l'année sera révélée. Aucune enquête éditoriale ne se rapproche de celle menée par l'EHA pour déterminer le meilleur des meilleurs produits technologiques de l'année. Les EHA Awards 2024, qui en sont à leur dixième édition, promettent d'être un événement unique à l'aube du plus grand salon informatique au monde.   […]

On commence notre semaine de tests avec un clavier Custom, donc un clavier pour ceux qui savent. Et ce clavier, c'est le Galaxy80 Epomaker X Feker qui est donc le fruit d'une collaboration entre deux marques. Au programme, un clavier mécanique TKL sans fil qui donne dans le violet. À découvrir ici même : Test clavier Galaxy80 Epomaker X Feker ou alors en cliquant sur la source. […]

While the all-in-one CPU cooler industry is dominated, at least in mindshare, by flagship coolers from the industry’s biggest brands, the market segment overall has grown over the years to cover a much larger gamut of users. From flagship coolers to sub-$100 specials, effective AIO coolers have become available and affordable for most mid-range and higher builds. Thanks in part to some intensive competition in this space, we’ve seen several vendors bring down even 360mm coolers to the sub-$100 market in an effort to get in an edge over their competitors, and a sale in the process.

Looking at an opportunity to grow their own customer base, even the normally premium-focused AlphaCool has opted to get into this action with their Core Ocean lineup of coolers. And today, we're taking a closer look at the Core Ocean T38 360mm, AlphaCool's latest entry-level AIO cooler.

At a high level, the Core Ocean T38 has been designed to balance performance with manufacturing costs, allowing the company to put together an effective cooler that can still be priced low enough to reach budget-conscious consumers. Sticking with an aluminum radiator and keeping the frills such as RGB lighting to a minimum, the T38 is primarily aimed at system builders who require straightforward, effective cooling solutions – and without the complexity of AlphaCool's renowned open-loop custom liquid cooling kits. As we'll see, nothing comes for free, but AlphaCool has been able to put together a rather effective CPU cooler for $100 that's hard to ignore.

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Nouveau venu dans la famille grandissante des assistants dopés aux grands modèles de langage avec Infra Copilot, une extension de GitHub Copilot. Comme son nom l’indique, elle est spécialisée dans la rédaction de code pour les systèmes d’infrastructure.

« Infra Copilot exploite la puissance de l’apprentissage automatique pour interpréter l’intention derrière les invites et générer rapidement un code d’infrastructure précis. Il comprend le contexte des tâches d’infrastructure, ce qui permet aux professionnels d’exprimer leurs besoins en langage naturel et de recevoir des suggestions de code correspondantes », explique Microsoft dans son annonce.

Dans les grandes lignes, les promesses sont les mêmes qu’habituellement : rationaliser le développement pour mieux se concentrer sur des activités de plus haut niveau, création de pans de code « normalisés » pour assurer la cohérence du projet, réduction globale du temps nécessaire au développement, voire outil pédagogique.

L’outil est automatiquement disponible pour les développeurs ayant la dernière version de Visual Studio Code et un abonnement GitHub Copilot. À noter, pour ce dernier, l’arrivée d’une licence Enterprise permettant l’utilisation des dépôts et de la base de connaissance internes. Le tarif grimpe à 39 dollars par mois et par utilisateur.