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Reçu aujourd’hui — 16 décembre 2025Actualités numériques

Les jouets boostés à l’IA peuvent interagir de manière inappropriée avec les enfants

16 décembre 2025 à 14:10
Joyeux NoAIl !
Les jouets boostés à l’IA peuvent interagir de manière inappropriée avec les enfants

Les jouets intégrant de l’IA générative arrivent sous les sapins. Une association américaine a testé plusieurs modèles, disponibles aux USA et en Europe. Certains robots peuvent donner des informations risquées et d’autres peuvent parler de sexe comme on ne le ferait pas à un enfant. Leur parole peut aussi pousser à une relation trop addictive et toxique au jouet.

En ces temps de fêtes et de cadeaux qui vont arriver aux pieds des sapins, la peluche qui « répond aux questions encyclopédiques » des enfants, leur « pose des questions sur des sujets scolaires », les « réconforte » et leur tient « simplement compagnie », peut être attrayante. On peut en trouver à foison sur le marché du jouet.

Mattel a annoncé en juin dernier un partenariat avec OpenAI pour de l’IA dans les jouets pour enfants. La MIT Technology Review affirmait que la marque de jouets prévoyait « d’intégrer l’IA conversationnelle à des marques telles que Barbie et Hot Wheels ». « Les premiers produits devraient être annoncés dans le courant de l’année », ajoutait le média. Rappelons que Mattel est aussi derrière la marque de jouets Fisher-Price depuis 1993.

Nous n’avons pas trouvé d’annonce dans ce sens, même si une « piste de course intelligent AI » est listée sur Amazon, mais « actuellement indisponible » :

Mais ça n’empêche pas d’autres fabricants d’incorporer de l’IA générative dans leurs jouets au risque de quelques surprises. L’association de protection des consommateurs étatsunienne PIRG vient de publier un rapport [PDF] après avoir acheté et testé plusieurs jouets, dont certains sont aussi disponibles à la livraison en France.

Pas nouveau, mais des changements majeurs avec l’IA générative

Dans ce document, les chercheurs de l’association rappellent que « les jouets intelligents conversationnels ne sont pas une nouveauté » et donnent l’exemple d’une Barbie lancée en 2015 par Mattel.


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Mozilla's New CEO Bets Firefox's Future on AI

Par :msmash
16 décembre 2025 à 14:40
Mozilla has named Anthony Enzor-DeMeo as its new chief executive, promoting the executive who has spent the past year leading the Firefox browser team and who now plans to make AI central to the company's future. Enzor-DeMeo announced on Tuesday that an "AI Mode" is coming to Firefox next year. The feature will let users choose from multiple AI models rather than being locked into a single provider. Some options will be open-source models, others will be private "Mozilla-hosted cloud options," and the company also plans to integrate models from major AI companies. Mozilla itself will not train its own large language model. "We're not incentivized to push one model or the other," Enzor-DeMeo told The Verge. Firefox currently has about 200 million monthly users, a fraction of Chrome's roughly 4 billion, though Enzor-DeMeo insists mobile usage is growing at a decent clip. He takes over from interim CEO Laura Chambers, who led the company through a major antitrust case and what Mozilla describes as "double-digit mobile growth" in Firefox. Chambers is returning to the Mozilla board of directors. The new CEO has outlined three priorities: ensuring all products give users control over AI features including the ability to turn them off, building a business model around transparent monetization, and expanding Firefox into a broader ecosystem of trusted software. Mozilla VPN integration is planned for the browser next year.

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Test Endorfy Solum Voice S : Mignon, simple, efficace.

16 décembre 2025 à 14:45
Un test de microphone cette fois-ci avec le Solum Voice S de chez Endorfy ! Un microphone USB à condensateur cardioïde très compact qui se veut aussi abordable que très simple d’utilisation. En effet, Endorfy propose ici un produit au tarif très accessible : 49€ et un usage assumé entièrement plug-and play, c’est-à-dire sans aucun pilote nécessaire pour le faire fonctionner, mais également sans logiciel qui aurait pu permettre d’accéder à des options et paramétrages supplémentaires pour personnaliser le rendu. Bref, il s’agit ici de proposer un produit simple, peu encombrant et, on l’espère et on va voir cela à travers ce test, efficace. C’est parti !

Tomb Raider Anniversary vs Tomb Raider Legacy of Atlantis : ça claque !

La semaine dernière, Crystal Dynamics a levé le voile sur ses encours Tomb Raider. Ce n'était pas un mais deux jeux qui sont prévus sur la licence phare. Vous pouvez retrouvez notre bilan sur ce billet, mais dans le lot, il y a Legacy of Atlantis qui est un reboot du premier épisode originel, mais u...

Google's Real Estate Listings 'Experiment' Sends Zillow Shares Down More Than 8%

Par :msmash
16 décembre 2025 à 14:00
Google's data partner HouseCanary has begun displaying home listings directly in search results in select markets, sending Zillow's shares tumbling more than 8% yesterday as investors weighed whether the search giant might eventually cut into the portal business that Zillow dominates. The experiment places property details, prices, images and a "Request a tour" button at the top of mobile search results. HouseCanary, a full-service brokerage licensed in all 50 states and Washington D.C., said it contacted every MLS in the test regions before launching. Analysts are largely downplaying immediate concerns. Goldman Sachs noted that most of Zillow's traffic comes directly through its apps and websites rather than Google searches, though the firm views the development as a long-term risk. Piper Sandler called the fears "overblown," and Wells Fargo suggested portals like Zillow would likely end up bidding for ad units on Google rather than losing traffic outright.

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FEVM FA-EX1 : un autre MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395

16 décembre 2025 à 13:21

Le FEVM FA-EX1 n’est pas un MiniPC FEVM. Dans le sens où cette marque ne fabrique rien mais ne fait que proposer des designs génériques sur lesquels elle accroche son logo. On l’a bien vu avec le FEVM FA-EX9, déjà sous processeur AMD Strix Halo, avec une carte mère qui a été reprise par de nombreux constructeurs, de Colorful à Corsair en passant par AOKZOE ou PELADN.

FEVM FA-EX1

FEVM FA-EX1

Au mieux, le FEVM FA-EX1 aura donc un boitier unique et original avec une carte mère générique. Au pire, ce sera juste un logo sérigraphié sur une coque disponible chez d’autres marques. Dans tous les cas, l’objet sera probablement trop mal garanti pour être réellement intéressant pour nous. Annoncé en Chine pour 10 999 Yuans HT en version 64 Go de LPDDR5x-8533 soudée à la carte mère, sans stockage ni système, il devrait donc couter 1325€ HT et 1590€ avec juste 20% de TVA. Une version 128 Go sera également proposée mais on ne sait ni quand ni à quel tarif.

FEVM FA-EX1

Pour ce prix, le FEVM FA-EX1 propose surtout un châssis extrêmement compact. Un volume d’environ 1 litre avec 22 cm de large, 13.3 cm de profondeur et 3.5 cm d’épaisseur. Entièrement construit en aluminium, le boitier est largement aéré sur le dessus et embarque un système de double ventilation pour encaisser les watts dégagés par la puce AMD. Le processeur Ryzen AI Max+ 395 avec ses 16 cœurs et son circuit Radeon 8060S 40 cœurs pouvant dégager un TDP de 120 watts à lui seul par défaut. FEVM indique que son MiniPC pourrait ainsi encaisser un total de 160 watts en prenant en compte la totalité des composants : mémoire et SSD compris.

A l’intérieur du boîtier, on retrouvera pas moins de trois ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 dont un sera occupé par une extension prenant en charge la sortie OCuLink de la machine. Extension qu’on pourra retirer pour la remplacer par un stockage, au besoin. Un quatrième port M.2 2230 embarquera un module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.3.

On ne découvre absolument aucun connecteur en façade, ce qui est souvent le signe d’un design de carte mère industrielle copié pour un usage détourné. On retrouve sur le côté gauche un port USB4, un jack audio combo 3.5 mm et la sortie OCuLink, à droite un lecteur de cartes SDXC et le bouton de démarrage illuminé par une LED.

À l’arrière, le reste de la connectique s’étale tout en largeur sous une grande ouïe de ventilation pour repousser l’air chaud. On note une entrée d’alimentation au format Jack, un second USB4, des ports vidéo HDMI 2.1 et DisplayPort 2.0, deux USB 3.2 Type-A et deux ports Ethernet Gigabit. Le premier en 10 Gb et le second en 2.5 Gb. Le boîtier cache également quelques petites surprises. Invisibles sur les images, le constructeur indique qu’une paire d’enceintes stéréo et deux microphones sont intégrés dans le châssis. Sous l’engin, on aperçoit quatre trous qui laissent entendre la possibilité d’accrocher la minimachine en mode VESA.

FEVM FA-EX1

Le FEVM FA-EX1 uniquement en import ?

Le précédent modèle de la marque ne s’est pas exporté et, avec trois mois de garantie locale seulement, le FEVM FA-EX1 ne risque pas de séduire grand monde en Europe. Il faudra néanmoins surveiller l’existence de ce boitier et probablement d’autres minimachines avec une carte mère identique dans les mois qui viennent. Pour ma part, je trouve l’engin assez étrange avec un mélange des genres très peu attirant.

L’intérêt de ce genre d’engin est dans la présence d’un circuit graphique intégré au processeur suffisant pour jouer et travailler correctement. Pourquoi forcer un OCuLink dédié à l’usage de solution graphique externe ? La connectique est faible pour un usage de PC généraliste. Pourquoi ne pas proposer un boitier plus épais qui autorisera des ventilateurs plus costauds et moins bruyants ainsi que plus de ports ? Cela ressemble vraiment plus à une opportunité saisie par FEVM autour d’une carte mère pensée au départ pour une intégration industrielle qu’autre chose.

Source : Notebookcheck

FEVM FA-EX1 : un autre MiniPC sous Ryzen AI Max+ 395 © MiniMachines.net. 2025

SoundCloud Confirms Breach After Member Data Stolen, VPN Access Disrupted

Par :BeauHD
16 décembre 2025 à 13:00
An anonymous reader quotes a report from BleepingComputer: Audio streaming platform SoundCloud has confirmed that outages and VPN connection issues over the past few days were caused by a security breach in which threat actors stole a database containing user information. The disclosure follows widespread reports over the past four days from users who were unable to access SoundCloud when connecting via VPN, with attempts resulting in the site displaying 403 "forbidden" errors. In a statement shared with BleepingComputer, SoundCloud said it recently detected unauthorized activity involving an ancillary service dashboard and activated its incident response procedures. SoundCloud acknowledged that a threat actor accessed some of its data but said the exposure was limited in scope. [...] BleepingComputer has learned that the breach affects 20% of SoundCloud's users, which, based on publicly reported user figures, could impact roughly 28 million accounts. The company said it is confident that all unauthorized access to SoundCloud systems has been blocked and that there is no ongoing risk to the platform. "We understand that a purported threat actor group accessed certain limited data that we hold," SoundCloud told BleepingComputer. "We have completed an investigation into the data that was impacted, and no sensitive data (such as financial or password data) has been accessed. The data involved consisted only of email addresses and information already visible on public SoundCloud profiles."

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Thunderobot Mix G2 : le mini-PC façon ROG NUC 2025 en RTX 5090

16 décembre 2025 à 11:17

Thunderobot confirme le lancement international de son monstre de mini-PC gaming Mix G2, un modèle déjà dévoilé le mois dernier en Chine et qui se pose clairement comme un rival direct de l'ASUS ROG NUC 2025. Particularité majeure de cette machine compacte : elle peut embarquer une NVIDIA GeForce RTX 5090 M, là où la solution d'ASUS se limite pour l'instant à une RTX 5080. Présenté initialement à la mi-novembre, le Thunderobot Mix G2 repose sur les derniers processeurs Intel Arrow Lake HX associés aux GPU portables GeForce RTX 50. Dans cette configuration, le Mix G2 joue dans la cour des mini-PC ultra haut de gamme, tout en conservant un format compact comparable à celui du ROG NUC nouvelle génération avec des dimensions de 212 x 45 x 332 mm. […]

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Samsung laisserait tomber le marché des SSD SATA ? La firme dément

Il y a trois jours, le 13 décembre 2025, Tom de la chaine Moore's Law is Dead mettait en ligne une vidéo de 18 minutes dans laquelle il révélait avoir une source extrêmement fiable qui lui indiquait que Samsung prévoirait de quitter le marché des SSD SATA. Un planning serait même prévu : une annonce...

Beelink ME Pro : un MiniPC NAS modulaire et multi processeurs

16 décembre 2025 à 11:50

Le Beelink ME Pro débarque après le joli succès du Beelink ME Mini lancé en début d’année. Il reprend la même idée de construire un MiniPC NAS mais la développe avec d’autres atouts. On retrouve, en particulier, une véritable volonté d’évolution mais également un pas de côté en terme de stockage.

Source : NASCompares

Le Beelink ME Pro prend ainsi la suite d’un très bon Beelink ME Mini. Un MiniPC un peu particulier qui proposait d’embarquer pas moins de six SSD au format M.2 2280. Problème pour Beelink, en cette fin 2025 et pour l’année qui vient au moins, il faudra sacrifier son PEL pour remplir un MiniPC avec autant de stockage de ce type neuf. Changement de vision donc, la marque va s’orienter vers une autre voie. Et c’est là que le Beelink ME Pro se démarque.

Au lieu de s’orienter vers des SSD M.2 comme au temps de notre jeunesse insouciante de février 2025, lorsque les Gigaoctets coulaient à flots. Quand le TeraOctet ne coutait qu’une soixantaine d’euros. Le constructeur va proposer un NAS qui embarquera deux ou quatre baies au format 3.5″. Le bon vieux gros format de disque mécanique qui est censé être moins sensible à la hausse.

Beelink ME Pro

Beelink ME Pro

Cette évolution seule ne serait pas vraiment remarquable face au marché actuel. Des marques comme Aoostar proposent ce type de solution depuis un moment. Pour se détacher du reste de l’offre, le Beelink ME Pro va proposer un boitier permettant de remplacer sa carte mère. À la base de l’engin, un tiroir offre la possibilité d’extraire la totalité du dispositif. Le propriétaire peut alors le faire évoluer en rajoutant un SSD par exemple.

Beelink ME Pro

Mais il pourra également remplacer la totalité de sa carte mère par un autre modèle. On imagine que Beelink veut créer une lignée de cartes propriétaires qui assurerait à ses clients d’évoluer dans la durée. La marque promet même différentes plateformes. Des cartes mères AMD, ARM et Intel étant annoncées spécifiquement pour ce NAS. Pour le moment, peu d’informations sur la commercialisation de telles cartes. On imagine cependant assez facilement l’idée de pouvoir faire évoluer son engin dans la durée suivant ses besoins.

Le tout est intégré dans des boitiers de tailles modestes, 16.6 cm de haut et de profondeur pour 14.6 cm de large pour le modèle quatre baies. Et 16.6 cm de profondeur, 12.1 cm de hauteur et 11.2 cm de large pour la version 2 baies. 

Sur certains passages la mémoire vive est soudée sur le Beelink ME Pro

Sur certains passages la mémoire vive est soudée sur le Beelink ME Pro

Un Beelink ME Pro ou des Beelink ME Pro ?

Ces solutions n’ont pas été détaillées et on ignore la capacité de la mémoire vive LPDDR5 soudée sur les cartes. On ignore également quel type de mémoire. Beelink est un acteur qui a signé depuis des années un contrat avec Crucial. Le fabricant lui fournit la totalité de ses puces mémoire et de ses stockages. Mais avec le retrait de la marque du grand public, il est difficile de savoir si ce contrat va durer ou non. Micron n’a pas mis fin à Crucial, le constructeur arrête seulement de distribuer en direct ces produits. Reste à savoir si les contrats avec un acteur de la taille de ce constructeur de MiniPC résisteront.

La partie SSD semble assez complète avec pas moins de trois ports M.2 2280 NVME PCIe disponibles sous la carte mère. Et deux au dessus, à côté du processeur.  Si on additionne les options de la version la plus complète du Beelink ME Pro, on arrive donc à pas moins de 5 SSD M.2 NVMe et 4 baies 3.5″. Attention cependant, Beelink prévient que suivant les cartes mères, la mémoire vive et le stockage M.2 ne seront forcément pas identiques. 

Sur d’autres passages de la vidéo, on peut voir en effet que la partie inférieure embarque deux emplacements M.2 2280 NVMe seulement associés à une paire de barrettes de mémoire vive DDR5 au format SODIMM très classiques. 

Le détail de la connectique est mieux connu. On retrouvera à bord un double port Ethernet avec un 5 Gigabit piloté par un circuit RTL8126 et un 2.5 Gigabit sous Intel i226-V. Pour le reste, la connectique est classique pour un NAS de ce type avec un USB 3.2 Gen 2 Type-A et un autre en format Type-C, deux USB 2.0 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm et une sortie vidéo HDMI.

Beelink ME Pro Intel  
Modèle Beelink ME Pro NAS
Format NAS de bureau compact
2 baies SATA 3,5/2,5 pouces
3 emplacements M.2 NVMe
Processeur Intel N95 / Intel N150
Mémoire 12 Go LPDDR5 (N95) ou 16 Go LPDDR5 (N150)
Stockage système SSD 512 Go (N95) ou SSD 1 To (N150)
Dimensions 165,905 × 121 × 115,95 mm
Ethernet 1× 5 GbE (Realtek RTL8126)
1× 2,5 GbE (Intel i226-V)
USB 1× USB 3.2 (10 Gbit/s)
2× USB 2.0
1× USB Type-C (10 Gbit/s, données/vidéo)
Sortie vidéo 1× HDMI, jusqu’à 4K à 60 Hz
Configuration M.2 1× PCIe 3.0 x2
2× PCIe 3.0 x1
Wi-Fi Wi-Fi6 et Bluetooth 5.4
MediaTek MT7920 format M.2 2230
Système d’exploitation Aucun
Disponibilité Prévue pour décembre 2025

Pas d’info réelle de prix ni de disponibilité pour le moment. Pas plus de détails sur l’équipement de toutes les cartes mères non plus. NASCompares indique que des versions Intel N95 avec 12 Go de mémoire vive et des modèles N150 avec 16 Go de RAM seront proposés. Dans les deux cas de la mémoire LPDDR5 soudée à la carte mère. Des SSD en 512 Go et 1 To. Des rumeurs parlent de puces Intel Alder Lake-N et Twin Lake mais il est difficile de savoir quelles puces seraient embarquées avec les solutions AMD et Qualcomm. Pour AMD, la solution retenue par Aoostar avec le WTR Pro et son Ryzen 7 5825U pourrait être une solution. Chez Qualcomm, on imagine assez mal un haut de gamme type Snapdragon X2 pour des histoires de coûts et cela reste donc assez flou pour le moment. Pas d’idée de prix ni de date de disponibilité à cette heure.

Dans tous les cas, il est tout de même super intéressant de voir la marque Beelink se développer sur le temps long. On a pu assister à son éclosion au fil des années. Elle a su évoluer au fur et à mesure que l’engouement pour les MiniPC évoluait. D’un fabricant assez classique qui fonctionnait surtout en OEM c’est devenu une marque réellement identifiée avec un vrai savoir-faire, un suivi logiciel, un design travaillé et de bons réflexes techniques. Une vraie signature sur ce marché particulier.

Comment est fabriqué le Beelink Me Mini en vidéo

Beelink ME Pro : un MiniPC NAS modulaire et multi processeurs © MiniMachines.net. 2025

☕️ Free lance son Option eSIM Watch et connecte les montres Apple en 4G sans surcoût

16 décembre 2025 à 10:49

Free Mobile a finalement lancé mardi son option dédiée à l’Apple Watch. Baptisée « Option eSIM Watch », elle est offerte sans surcoût aux souscripteurs d’un forfait Free 5G ou Série Free, et permet donc de disposer d’une connexion via le réseau mobile de l’opérateur sur sa montre connectée, même sans smartphone pour servir d’intermédiaire. L’accès à Internet est cependant cantonné à la 4G.

« Laissez votre smartphone à la maison et voyagez léger : votre montre fonctionne en toute autonomie », vante l’opérateur. L’activation est présentée comme quasi automatique : elle se fait depuis le smartphone de l’utilisateur, au moyen de l’application dédiée à la montre, avec les identifiants du compte Free Mobile pour déclencher le jumelage. « Vous êtes joignable sur votre montre au même numéro que votre ligne mobile », promet Free.

Les avantages de l’option eSIM Watch selon Free

Sans surprise, l’option exige une Apple Watch compatible eSIM (Series 6 ou plus récentes, dotée de la connexion cellulaire), sous watchOS 26.2 minimum. Elle ne peut être activée que sur une seule montre à la fois.

Rappelons que l’offre eSIM pour Apple Watch est disponible de longue date chez certains opérateurs concurrents. Orange l’a par exemple inaugurée en 2017 avec la sortie de la Watch Series 3, première génération chez Apple à embarquer la connexion cellulaire. Chez SFR, l’offre est arrivée en 2019. Jusqu’ici seuls Bouygues Telecom et Free faisaient de la résistance en France.

En changeant son fusil d’épaule, Free égratigne ses concurrents, puisque l’option eSIM est proposée gratuitement sur son réseau, alors qu’elle est facturée 5 euros par mois chez Orange et SFR.

PeerTube v8 permet le travail en équipe, la v2 mobile peut publier des vidéos

16 décembre 2025 à 10:15
Streaming en approche !
PeerTube v8 permet le travail en équipe, la v2 mobile peut publier des vidéos

L’outil PeerTube, qui permet de publier et diffuser des vidéos via une fédération de serveurs, revient en version 8. En plus d’une rénovation visuelle pour le lecteur, elle apporte de nouveaux outils, notamment pour le travail en équipe. L’application mobile s’apprête à revenir en v2, avec enfin la possibilité de publier des vidéos depuis son téléphone.

Le projet PeerTube, principalement soutenu par Framasoft, a largement évolué en quelques années. Nous en sommes déjà à la version 8 et son développeur principal, Chocobozzz (embauché à temps complet par Framasoft il y a quelques années) continue de lui apporter des améliorations, en fonction notamment des retours de la communauté.

Nouveau thème et gestion en équipe

La nouveauté la plus mise en avant pour cette v8 concerne le thème du lecteur vidéo. Comme le précise l’association, c’est la première fois qu’il évolue depuis la première version. Le nouveau lecteur se veut plus épuré, plus lisible et plus discret, pour s’effacer face au contenu. Par exemple, les icônes pleines laissent place à des contours fins et le bouton volume n’affiche sa barre (verticale) qu’au survol de la souris. Les informations techniques ont été rassemblées dans le menu « Statistiques pour les nerds », accessible via un clic droit sur le lecteur. L’ancien thème reste disponible dans les options.

PeerTube v8 apporte également la gestion collaborative des chaines. Selon l’association, il s’agit d’une des fonctions les plus réclamées. On peut donc affecter désormais le rôle d’éditeur à d’autres personnes, qui seront donc alors en mesure de publier, mettre à jour ou supprimer des vidéos, listes de lecture et commentaires, ajouter ou supprimer une synchronisation, modifier les informations de la chaine, etc. Ces éditeurs « secondaires » ne pourront en revanche pas ajouter eux-mêmes d’autres éditeurs, ni supprimer la chaine. Ces droits restent l’apanage de la personne propriétaire.

On note plusieurs autres améliorations, comme la possibilité de créer des storyboards via un encodeur distant plutôt que sur le serveur, pour éviter par exemple la consommation associée de ressources. L’import est amélioré sur plusieurs points : on peut relancer manuellement un import après un échec, la synchronisation d’une chaine se relancera d’elle-même (par défaut une fois par heure, temps modifiable dans les paramètres), et les informations sur l’état de l’import sont affichées dans la page de gestion de la vidéo.

L’application mobile fait peau neuve

Si le logiciel principal en est déjà à sa huitième version, l’application mobile se contentait surtout d’être un lecteur amélioré. Avec la v2 désormais en ligne, PeerTube change de braquet, avec l’arrivée du téléversement des vidéos directement depuis l’application.

Comme nous l’explique Gaëtan, l’un des communicants de Framasoft (et impliqué dans le projet PeerTube), il s’agissait de la plus grosse demande sur l’application mobile. On peut donc désormais choisir une vidéo depuis son téléphone, prévisualiser le résultat, ajouter des informations et la publier. Elle est alors mise en cache dans l’application, le temps qu’elle soit envoyée au serveur. Attention d’ailleurs lors de cette étape, car si vous n’êtes pas sur un réseau Wi-Fi, l’envoi peut consommer une partie non négligeable de votre forfait 4G/5G, selon la durée et la qualité de la vidéo.

Au lieu de sélectionner une vidéo, on peut également filmer depuis l’application et enregistrer. Dans les deux cas, il suffit ensuite de choisir la chaine dans laquelle on veut la publier pour que le téléversement commence. L’application n’a pas besoin de rester au premier plan pour que le processus continue, on peut utiliser autre chose en attendant, voire éteindre le téléphone. On peut revenir dans PeerTube pour voir l’état du processus, un pourcentage indiquant l’avancée.

Streaming et outils d’édition en 2026

Si la publication depuis l’application mobile constituait une étape majeure, plusieurs autres vont arriver dans le courant 2026. Gaëtan nous indique ainsi que la priorité suivante est le mode streaming, pour diffuser en direct depuis son téléphone. Un mode studio est également prévu, avec à la clé des outils d’édition pour ne plus avoir besoin d’une autre application. La gestion du réseau sera aussi améliorée, notamment en cas de perte de la connexion. On peut en effet redémarrer le téléversement d’où il s’est arrêté, mais l’opération est manuelle. Comme nous l’indique Gaëtan, la fonction serait par exemple pratique quand on voyage en train.

Quoi qu’il en soit, cette version 2 de l’application mobile est disponible sur Android et iOS. Elle sera aussi publiée sur F-Droid, mais l’opération prend plus de temps, à cause d’exigences sur la reproductibilité des builds.

Pour les personnes intéressées, le développeur principal de l’application (Wicklow) avait publié deux billets de blog (partie 1 et partie 2) sur Framasoft pour raconter la construction du projet et les choix technologiques qui avaient été faits.

☕️ Free lance son Option eSIM Watch et connecte les montres Apple en 4G sans surcoût

16 décembre 2025 à 10:49

Free Mobile a finalement lancé mardi son option dédiée à l’Apple Watch. Baptisée « Option eSIM Watch », elle est offerte sans surcoût aux souscripteurs d’un forfait Free 5G ou Série Free, et permet donc de disposer d’une connexion via le réseau mobile de l’opérateur sur sa montre connectée, même sans smartphone pour servir d’intermédiaire. L’accès à Internet est cependant cantonné à la 4G.

« Laissez votre smartphone à la maison et voyagez léger : votre montre fonctionne en toute autonomie », vante l’opérateur. L’activation est présentée comme quasi automatique : elle se fait depuis le smartphone de l’utilisateur, au moyen de l’application dédiée à la montre, avec les identifiants du compte Free Mobile pour déclencher le jumelage. « Vous êtes joignable sur votre montre au même numéro que votre ligne mobile », promet Free.

Les avantages de l’option eSIM Watch selon Free

Sans surprise, l’option exige une Apple Watch compatible eSIM (Series 6 ou plus récentes, dotée de la connexion cellulaire), sous watchOS 26.2 minimum. Elle ne peut être activée que sur une seule montre à la fois.

Rappelons que l’offre eSIM pour Apple Watch est disponible de longue date chez certains opérateurs concurrents. Orange l’a par exemple inaugurée en 2017 avec la sortie de la Watch Series 3, première génération chez Apple à embarquer la connexion cellulaire. Chez SFR, l’offre est arrivée en 2019. Jusqu’ici seuls Bouygues Telecom et Free faisaient de la résistance en France.

En changeant son fusil d’épaule, Free égratigne ses concurrents, puisque l’option eSIM est proposée gratuitement sur son réseau, alors qu’elle est facturée 5 euros par mois chez Orange et SFR.

PeerTube v8 permet le travail en équipe, la v2 mobile peut publier des vidéos

16 décembre 2025 à 10:15
Streaming en approche !
PeerTube v8 permet le travail en équipe, la v2 mobile peut publier des vidéos

L’outil PeerTube, qui permet de publier et diffuser des vidéos via une fédération de serveurs, revient en version 8. En plus d’une rénovation visuelle pour le lecteur, elle apporte de nouveaux outils, notamment pour le travail en équipe. L’application mobile s’apprête à revenir en v2, avec enfin la possibilité de publier des vidéos depuis son téléphone.

Le projet PeerTube, principalement soutenu par Framasoft, a largement évolué en quelques années. Nous en sommes déjà à la version 8 et son développeur principal, Chocobozzz (embauché à temps complet par Framasoft il y a quelques années) continue de lui apporter des améliorations, en fonction notamment des retours de la communauté.

Nouveau thème et gestion en équipe

La nouveauté la plus mise en avant pour cette v8 concerne le thème du lecteur vidéo. Comme le précise l’association, c’est la première fois qu’il évolue depuis la première version. Le nouveau lecteur se veut plus épuré, plus lisible et plus discret, pour s’effacer face au contenu. Par exemple, les icônes pleines laissent place à des contours fins et le bouton volume n’affiche sa barre (verticale) qu’au survol de la souris. Les informations techniques ont été rassemblées dans le menu « Statistiques pour les nerds », accessible via un clic droit sur le lecteur. L’ancien thème reste disponible dans les options.

PeerTube v8 apporte également la gestion collaborative des chaines. Selon l’association, il s’agit d’une des fonctions les plus réclamées. On peut donc affecter désormais le rôle d’éditeur à d’autres personnes, qui seront donc alors en mesure de publier, mettre à jour ou supprimer des vidéos, listes de lecture et commentaires, ajouter ou supprimer une synchronisation, modifier les informations de la chaine, etc. Ces éditeurs « secondaires » ne pourront en revanche pas ajouter eux-mêmes d’autres éditeurs, ni supprimer la chaine. Ces droits restent l’apanage de la personne propriétaire.

On note plusieurs autres améliorations, comme la possibilité de créer des storyboards via un encodeur distant plutôt que sur le serveur, pour éviter par exemple la consommation associée de ressources. L’import est amélioré sur plusieurs points : on peut relancer manuellement un import après un échec, la synchronisation d’une chaine se relancera d’elle-même (par défaut une fois par heure, temps modifiable dans les paramètres), et les informations sur l’état de l’import sont affichées dans la page de gestion de la vidéo.

L’application mobile fait peau neuve

Si le logiciel principal en est déjà à sa huitième version, l’application mobile se contentait surtout d’être un lecteur amélioré. Avec la v2 désormais en ligne, PeerTube change de braquet, avec l’arrivée du téléversement des vidéos directement depuis l’application.

Comme nous l’explique Gaëtan, l’un des communicants de Framasoft (et impliqué dans le projet PeerTube), il s’agissait de la plus grosse demande sur l’application mobile. On peut donc désormais choisir une vidéo depuis son téléphone, prévisualiser le résultat, ajouter des informations et la publier. Elle est alors mise en cache dans l’application, le temps qu’elle soit envoyée au serveur. Attention d’ailleurs lors de cette étape, car si vous n’êtes pas sur un réseau Wi-Fi, l’envoi peut consommer une partie non négligeable de votre forfait 4G/5G, selon la durée et la qualité de la vidéo.

Au lieu de sélectionner une vidéo, on peut également filmer depuis l’application et enregistrer. Dans les deux cas, il suffit ensuite de choisir la chaine dans laquelle on veut la publier pour que le téléversement commence. L’application n’a pas besoin de rester au premier plan pour que le processus continue, on peut utiliser autre chose en attendant, voire éteindre le téléphone. On peut revenir dans PeerTube pour voir l’état du processus, un pourcentage indiquant l’avancée.

Streaming et outils d’édition en 2026

Si la publication depuis l’application mobile constituait une étape majeure, plusieurs autres vont arriver dans le courant 2026. Gaëtan nous indique ainsi que la priorité suivante est le mode streaming, pour diffuser en direct depuis son téléphone. Un mode studio est également prévu, avec à la clé des outils d’édition pour ne plus avoir besoin d’une autre application. La gestion du réseau sera aussi améliorée, notamment en cas de perte de la connexion. On peut en effet redémarrer le téléversement d’où il s’est arrêté, mais l’opération est manuelle. Comme nous l’indique Gaëtan, la fonction serait par exemple pratique quand on voyage en train.

Quoi qu’il en soit, cette version 2 de l’application mobile est disponible sur Android et iOS. Elle sera aussi publiée sur F-Droid, mais l’opération prend plus de temps, à cause d’exigences sur la reproductibilité des builds.

Pour les personnes intéressées, le développeur principal de l’application (Wicklow) avait publié deux billets de blog (partie 1 et partie 2) sur Framasoft pour raconter la construction du projet et les choix technologiques qui avaient été faits.

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