African Elephants Address One Another With Individually Specific Name-Like Calls
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Un an tout juste après sa création, la start-up française Mistral AI vient de lever 600 millions d’euros dans un tour de financement qui porte sa valorisation à 6 milliards d’euros.
Comme dans les tours précédents, les noms états-uniens – les fonds Lightspeed et Andreessen Horowitz, les entreprises Salesforces, Nvidia et IBM – côtoient les français – BNP Paribas, Bpifrance – et le coréen Samsung.
C’est le plus gros tour de financement à destination d’une entreprise d’intelligence artificielle générative en dehors de la Silicon Valley, indique le Financial Times.
Une opération qui suit de deux semaines la levée de 6 milliards de dollars pour xAI, le projet porté par Elon Musk.
Mistral déclare compter 60 salariés, dont 45 en France, 10 aux États-Unis et 5 au Royaume-Uni. Les trois quarts travaillent à de la recherche et développement.
Le cofondateur Arthur Mensch déclare que Mistral a utilisé « un peu plus de 1 000 » GPU pour entraîner ses systèmes d’IA, et dépensé « quelques dizaines de millions » d’euros pour construire ses modèles.
L’entreprise à la framboise a annoncé sur son blog son entrée officielle à la bourse de Londres en tant que « Raspberry Pi Holdings plc ».
Pour l’entreprise, « c’est un moment décisif pour Raspberry Pi et le début d’une nouvelle phase de notre évolution : l’accès au marché public nous permettra de construire plus de produits que vous aimez, plus rapidement ».
TechCrunch se demande « qui aurait cru que Raspberry Pi, le fabricant d’ordinateurs monocartes bon marché, deviendrait une société cotée en bourse ? ».
Et pourtant, avec une valeur de 2,8 livres sterling à l’ouverture de la bourse ce matin, le titre de Raspberry Pi a rapidement augmenté d’un tiers, faisant passer la valeur de l’entreprise au-dessus des 542 millions de livres (soit 643 millions d’euros) en milieu de journée.
Si on connait les Raspberry Pi comme les nano-ordinateurs qu’on peut bricoler chez soi facilement, l’entreprise rappelle que cette part représente 28 % des ventes en 2023 alors que celle côté « industriel et embarqué » est de 72 %.
Un an tout juste après sa création, la start-up française Mistral AI vient de lever 600 millions d’euros dans un tour de financement qui porte sa valorisation à 6 milliards d’euros.
Comme dans les tours précédents, les noms états-uniens – les fonds Lightspeed et Andreessen Horowitz, les entreprises Salesforces, Nvidia et IBM – côtoient les français – BNP Paribas, Bpifrance – et le coréen Samsung.
C’est le plus gros tour de financement à destination d’une entreprise d’intelligence artificielle générative en dehors de la Silicon Valley, indique le Financial Times.
Une opération qui suit de deux semaines la levée de 6 milliards de dollars pour xAI, le projet porté par Elon Musk.
Mistral déclare compter 60 salariés, dont 45 en France, 10 aux États-Unis et 5 au Royaume-Uni. Les trois quarts travaillent à de la recherche et développement.
Le cofondateur Arthur Mensch déclare que Mistral a utilisé « un peu plus de 1 000 » GPU pour entraîner ses systèmes d’IA, et dépensé « quelques dizaines de millions » d’euros pour construire ses modèles.
Le jeu Atomic Heart nous avait joué une bien mauvaise blague à sa sortie, petit flashback, le studio Mundfish avait longuement teasé autour de la technologie Ray Tracing dans son jeu, toutefois, on apprit ensuite que cette technologie ne serait pas présente dés la sortie, qu'elle serait intégrée plus tard, une légère frustration s'était alors installée dans le cur des joueurs, mais nous étions loin d'imaginer qu'il allait falloir attendre plus d'une année pour que cela soit effectif... Un nouveau aptch apporte le support de cette technologie, nous sommes en juin 2024 et le jeu est disponible depuis le mois de février 2023, dernier petit détail, la technologie est intégrée en version Bêta ! […]
Lire la suiteNous terminons l'ARC « claviers » du Computex 2024 en regroupant dans une seule news l'ensemble des claviers qu'on a eu l'occasion de pianoter et qui nous ont plu et dont on a pas encore parlé. Si on vous les présente c'est vraiment qu'on a eu un bon feeling avec ceux-là. Notamment sur la lubrification des switchs qui devient un point essentiel et sur lequel nous allons devenir de plus en plus exigeant dans nos tests, et ce, même pour les claviers milieu de gamme. Prenez note, y a peut-être votre futur clavier dans la liste. […]
Lire la suiteAlthough consumer SSDs based on Phison's PS5026-E26 controller have been on the market for almost a year and a half now, the class-leading drives still carry a distinct price premium, and to some degree that's because it's still one of the only options for a PCIe 5.0 SSD. But it looks like the situation is going to change in the coming quarters, as SSDs based on Phison's PS5031-E31T controller are incoming, with at least one Phison customer demoing an E31T drive on the Computex show floor.
Phison's PS5031-E31T controller uses two Arm Cortex-R5 cores accelerated by the Andes N25 CoXProcessor, just like its bigger brother Phison PS5026-E26. But this is where their major hardware similarities seem to end. The new E31T controller is a DRAM-less controller with four NAND channels (16 CE targets) that is produced on one of TSMC's 7nm processes, whereas the E26 is an eight-channel controller made on TSMC's 12nm production node.
Besides cutting down on memory channels and the use of DRAM to drive down costs, the E31T also picks up a couple of new tricks by virtue of being nearly two years newer. In particular, the E31T sports Phison's 7th Generation LDPC error correction technology, as opposed to the E25's 5th-gen LDPC
Phison NVMe SSD Controller Comparison | |||||||||
E31T | E27T | E21T | E26 | E18 | |||||
Market Segment | Mainstream Consumer | High-End Consumer | |||||||
Manufacturing Process |
7nm | 12nm | 12nm | 12nm | 12nm | ||||
CPU Cores | 2x Cortex R5 | 1x Cortex R5 | 1x Cortex R5 | 2x Cortex R5 | 3x Cortex R5 | ||||
Error Correction | 7th Gen LDPC | 5th Gen LDPC | 4th Gen LDPC | 5th Gen LDPC | 4th Gen LDPC | ||||
DRAM | No | No | No | DDR4, LPDDR4 | DDR4 | ||||
Host Interface | PCIe 5.0 x4 | PCIe 4.0 x4 | PCIe 4.0 x4 | PCIe 5.0 x4 | PCIe 4.0 x4 | ||||
NVMe Version | NVMe 2.0 | NVMe 2.0 | NVMe 1.4 | NVMe 2.0 | NVMe 1.4 | ||||
NAND Channels, Interface Speed | 4 ch, 3600 MT/s |
4 ch, 3600 MT/s |
4 ch, 1600 MT/s |
8 ch, 2400 MT/s |
8 ch, 1600 MT/s |
||||
Max Capacity | 8 TB | 8 TB | 4 TB | 8 TB | 8 TB | ||||
Sequential Read | 10.8 GB/s | 7.4 GB/s | 5.0 GB/s | 14 GB/s | 7.4 GB/s | ||||
Sequential Write | 10.8 GB/s | 6.7 GB/s | 4.5 GB/s | 11.8 GB/s | 7.0 GB/s | ||||
4KB Random Read IOPS | 1500k | 1200k | 780k | 1500k | 1000k | ||||
4KB Random Write IOPS | 1500k | 1200k | 800k | 2000k | 1000k |
Phison itself calls its E31T platform 'the first mainstream 10 GB/s platform,' which pretty much gives a performance indicator for some of the upcoming inexpensive PCIe Gen5 SSDs. As for random performance, we are talking about 1.5M IOPS per second, which is in line with performance offered by some of enterprise-grade PCIe Gen4 SSDs.
Meanwhile, a Silicon Power ad at Computex indicates that that the company at least hopes to get to 12 GB/sec with its "US85" drive. Which at 4 NAND channels would require pairing up the controller with cutting-edge 3200 MT/sec NAND. It's a bit of an odd pairing given the mainstream, cost-conscious status of the E31T controller, but then the savings on the controller supporting DRAM can be invested back into the NAND on the drive itself. And more importantly, with 12 GB/sec reads and writes, Silicon Power's US85 SSD will be able to compete against earlier E26-based drives that are still being sold on the market, which brings this product to a whole new level. Though Silicon Power will have to be able to procure enough fast 3D NAND to meet demand.
Both Phison and Silicon Power expect E31T to start shipping in Q4, so by the start of next year, mainstream SSDs should be receiving a nice speed boost.
L’entreprise à la framboise a annoncé sur son blog son entrée officielle à la bourse de Londres en tant que « Raspberry Pi Holdings plc ».
Pour l’entreprise, « c’est un moment décisif pour Raspberry Pi et le début d’une nouvelle phase de notre évolution : l’accès au marché public nous permettra de construire plus de produits que vous aimez, plus rapidement ».
TechCrunch se demande « qui aurait cru que Raspberry Pi, le fabricant d’ordinateurs monocartes bon marché, deviendrait une société cotée en bourse ? ».
Et pourtant, avec une valeur de 2,8 livres sterling à l’ouverture de la bourse ce matin, le titre de Raspberry Pi a rapidement augmenté d’un tiers, faisant passer la valeur de l’entreprise au-dessus des 542 millions de livres (soit 643 millions d’euros) en milieu de journée.
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Apple a fini par présenter ses fonctions alimentées par l’IA. La société rattrape la concurrence sur les capacités, avec une intégration poussée. Cependant, la disponibilité est limitée et lointaine, surtout hors Etats-Unis. Certains aspects du fonctionnement restent flous.
Apple Intelligence : c’est désormais le nom officiel pour toutes les fonctions liées à l’IA chez Apple. La firme se permet d’ailleurs de jouer sur les mots, l’appellation pouvant être abrégée « AI ».
La présentation a consisté en un vaste listing de capacités, pour la plupart toutes déjà vues chez un concurrent ou un autre. La vision d’Apple dans le domaine passe par une intégration forte dans ses plateformes, un Siri nettement plus intelligent et – forcément – une protection de la vie privée mise au premier plan. Tout du moins pour les personnes qui y auront droit. Comme on le verra, la disponibilité sera très limitée dans un premier temps.
Si Apple n’a pour l’instant rien de vraiment nouveau à proposer, elle affiche une ligne de départ cohérente. Mais les détails manquent, notamment ce qui est calculé localement et sur le cloud. L’ensemble a du potentiel, mais il lui manque l’essentiel : la disponibilité et des informations concrètes.
Si la présentation des nouveautés des plateformes (sur lesquelles nous reviendrons plus tard) a avancé à marche forcée, Apple a pris un peu plus son temps pour ses fonctions IA.
On trouve déjà tout ce qui touche au rédactionnel. Rewrite peut ainsi reformuler en fonction du contexte (ou au choix). La fonction sera disponible partout et proposera plusieurs variations d’un texte, selon l’objectif recherché. Proofread vérifiera de manière plus poussée de la grammaire et la structure syntaxique. Les suggestions seront expliquées.
Summarize sera chargée, comme son nom l’indique, de résumer les informations. La fonction sera intégrée à toutes les applications Apple, mais pourra être appelée depuis un clic droit sur une sélection de texte. Selon le contexte et les instructions de l’utilisateur, elle génèrera un condensé des informations considérées comme les plus importantes, une liste de points-clés ou encore un tableau.
La génération d’images a fait, elle aussi, l’objet d’une présentation approfondie. On la trouve dans une application dédiée, Image Playground, mais la fonction peut aussi être appelée depuis les applications Apple. La capacité sera offerte aux applications tierces via une API.
La génération peut se faire dans trois styles – Animation, Illustration et Sketch – selon des requêtes bien sûr réalisées en langage naturel. Image Playground propose une « myriade de concepts provenant de catégories telles que thèmes, costumes, accessoires et lieux ». Les créations peuvent ensuite être affinées. Selon le contexte, l’utilisateur se verra offrir des suggestions d’illustrations. Dans Notes, les ébauches réalisées au stylet pourront également être retravaillées via Image Playground.
La génération d’images s’étend aussi aux émojis, une fonction nommée Genmoji. On pourra créer ces émojis personnalisés depuis soi-même ou un contact et en demander des variations. Ils seront envoyés en tant qu’émojis dans des messages ou sous forme d’autocollants. Pas un mot en revanche sur la compatibilité avec d’autres appareils.
On le sait, malgré son âge la plateforme AMD AM4 n'est toujours pas en fin de vie et reste, même pour un nouvel achat, un choix à considérer surtout lorsqu'on a un budget assez réduit. Ce n'est pas l'offre du jour qui va contredire cette donne ! La GIGABYTE B550M AORUS ELITE est une carte mère au fo...
Being a major JEDEC memory standard, GDDR7 is slated to be produced by all three of the Big Three memory manufacturers. But it seems that not all three vendors will be kicking off mass production at the same time.
SK hynix was at this year's Computex trade show, showing off their full lineup of memory technologies – including, of course, GDDR7. SK hynix is the last of the major memory vendor's we've seen promoting their memory, and fittingly, they seem to be the last in terms of their mass production schedule. According to company representatives at the show, the firm will not kick off mass production of their GDDR7 chips until the first quarter of 2025.
Comparatively, the company's cross-town rival, Samsung, is already sampling memory with the goal of getting it out the door in 2024. And Micron has been rather gung ho about not only starting mass production this year, but starting it early enough that at least some of their customers will be able to ship finished products this year. So if these schedules hold, then SK hynix would seem to be a quarter or so out from the other major memory vendors.
That said, it bears mentioning that with industry-standard memory technologies, mass production at one vendor does not indicate that another is late; it is just indicating that someone was first to validate with a partner and that partner plans to ship its product in 2024. And while mass production remains another 7+ months out, SK hynix does have sample chips for its partners to test right now, and the chips have been demonstrated at Computex.
As far as SK hynix's floor booth at Computex 2024 is concerned, the company had GDDR7 chips on display along with a table essentially summarizing the company's roadmap. For now, SK hynix is planning on both 16Gbit and 24Gbit chips, with data transfer rates of up to 40 GT/s. Though when SK hynix intends to launch their higher-end configurations remains to be seen. Both of the company's rivals are starting out with 16Gbit chips running at 32 GT/sec, so being the first to get a faster/larger chip out would be a feather in SK hynix's cap.
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AMD a le 3D-VCache, Intel Foveros, voilà que notre cher ami Thermaltake s’est senti dépourvu avec les empilements 3D ! Problème : quand on fait dans le refroidissement et du boitier, il est bien plus difficile de monter sur l’axe Z puisque les objets vendus sont, en fait, déjà tridimensionnels. Si l...