Amazon's Ring Partners With Flock, a Network of AI Cameras Used By Police
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En ce 17 octobre 2025, la marque de REDMAGIC lance officiellement ses tout nouveaux smartphones haut de gamme destinés aux joueurs (mais pas que) : les REDMAGIC 11 Pro et REDMAGIC 11 Pro+. Ils embarquent le fleuron de Qualcomm, le Snapdragon 8 Elite Gen 5, mais si nous vous parlons spécifiquement de...
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Alors qu'il était réclamé depuis très très longtemps par les joueurs, que Codemasters ne semble pas plus ému que ça pour faire un Dirt Rally 3, et que Richard Burns Rally encaisse le poids des ans comme il peut, Kunos Simulazioni, Supernova Games Studios et leur éditeur 505 Games balancent un pavé d...
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Le 4 octobre, le site a signé ses treize ans d’existence. Treize ans de travail quotidien, souvent six jours sur sept, sur des plages horaires assez ahurissantes. Pendant treize années, le site n’a pas ramassé un seul cookie, n’a pas vendu une seule donnée, n’utilise pas d’IA, n’a pas affiché une seule publicité ni glissé le moindre billet sponsorisé. L’ensemble de ses contenus est lisible depuis la plateforme de son choix (web, RSS, email) totalement gratuitement. Aujourd’hui, il a besoin de votre soutien.
Si je fais le bilan, vous êtes moins de 80 personnes à apporter activement un soutien au site. Certains le soutiennent fortement, d’autres le font depuis ses débuts avec une régularité incroyable. Et je les en remercie. Mais la grande, très grande majorité des lecteurs, n’avez pas jugé utile ou nécessaire de participer à son financement. Alors je sais, je sais. Tout le monde vous demande des sous. Toute la presse indépendante, tous les services en ligne, tout le monde. Et je comprends bien le problème. 1€ par ci, 2€ par là. À la fin du mois, cela représente une petite ou une grosse somme, et c’est embêtant ces sous qui filent. Et puis tout le monde n’a pas forcément les moyens de s’offrir ce luxe.
Je n’ai donc toujours pas envie de coller un Paywall devant le site. J’aime qu’il soit lu, qu’il rende service et j’aime cette culture du partage. La preuve, de mon côté, je paye moi pour que vous puissiez vous, le lire de manière indépendante et sans frais au travers d’emails ou de flux RSS. Je n’ai toujours pas envie de mettre de la pub sur le site, je hais la pub autant que vous. Même si aux dernières nouvelles, je pourrais doubler mon chiffre d’affaires en faisant comme tout le monde. En collant des bandeaux de pub partout. Je ne veux pas faire de billets sponsorisés non plus car je ne crois pas du tout dans ce système. Même si on me propose des sommes assez ahurissantes parfois.
Me voilà confronté à un problème. J’ai envie de me remettre à la vidéo. Je ne peux pas financièrement. J’ai envie de refaire des tests de MiniPC et d’autres trucs. Je ne peux pas financièrement. Faute de temps. Quand je prends le temps de vous faire des billets complexes comme pour présenter Panther Lake ou une série comme le succès des Mini-PC. Je sais que je m’engage dans un tunnel de recherche, d’illustration et d’écriture qui va me prendre des jours en étant totalement à perte financièrement. Je le fais parce que j’en ai l’opportunité à cause d’autres choses qui m’empêchent de travailler de manière classique. Des transports, des rendez-vous ou autres. Passer 10 à 12 heures sur un sujet qui ne contient aucune pub et n’a aucun moyen de s’auto-financer, c’est également la définition d’un blog. C’est une liberté folle pour moi. Mais la situation est telle que je ne peux pas me permettre de tester un MiniPC ou faire tout ce que j’aimerais faire. Et ça m’ennuie.
Alors, il y a le sponsoring, qui fonctionne, mais malgré le prix demandé, cela n’attire pas grand monde. Le site attire bien les profils de lecteurs recherchés par plein de marques, mais comme je me refuse de tracker les lecteurs avec des outils statistiques, cela ne colle pas à leurs besoins. A chaque fois que des marques se rapprochent du site pour afficher leur logo, il leur faut des chiffres que je n’ai pas. À la rigueur, je pourrais tricher, en inventer des faux, faire des refresh de malade sur des pages cachées ou tout autre stratagème du genre. Coller des nouvelles sur des sujets « qui marchent » avec les mots clés « qui vont bien » pour faire la cour aux algorithmes et gonfler artificiellement des nombres… Le pire c’est que les marques préfèreraient un gros chiffre bidon que pas de chiffre du tout. À ce jour, aucune marque française, hormis Top Achat, n’a accepté de financer un sponsoring du site en espèces sonnantes et trébuchantes. Mes trois sponsors sont asiatiques. Et ce sont eux qui financent le très gros des frais de gestion du site. L’affiliation existe également et heureusement que vous êtes nombreux à passer par les liens du site et les bons plans pour aider son financement.
Mais le fait qu’en treize ans de service, moins de 120 personnes1 aient eu envie d’apporter un soutien financier à la vie du site. Alors que tout le monde se rend bien compte qu’ici, il n’y a pas de dérives publicitaires, me rend un peu maussade. Principalement parce que je me retrouve coincé encore et encore à devoir mener d’autres activités pour arriver à payer mes factures. Récemment, on m’a proposé une « pige » pour un autre média. Et je me suis rendu compte que finalement cela me plaisait de pouvoir tester un truc un peu exotique. Et en plus que je gagnais mieux ma vie à faire ça. Faire des piges pour d’autres médias, des magazines ou des entreprises. Parce que j’ai un bon background, un beau carnet d’adresse et qu’à force de, je sais disséquer une fiche technique d’à peu près n’importe quoi rapidement. Et quand on se rend compte de ça. Qu’on serait plus prospère à faire ce genre de job tout en n’ayant plus à gérer les spams, les soucis techniques et autres problématiques liées à la gestion d’un site. On a le droit d’être maussade.
Un petit don mensuel pour soutenir le blog ?
En bas de chaque billet, il y a un appel pour apporter son soutien à la vie du site. Ce n’est pas compliqué, il suffit d’une carte bleue et de quelques clics. Vous pouvez verser le montant de votre choix. C’est facile et sans engagement.
Vous pouvez participer avec votre CB ou avec Paypal
Si vous ne voulez pas vous lancer dans un financement type Patreon ou Tipeee, c’est une solution simple accessible à tous. Chaque semaine, je reçois des mails de gens que je dépanne et souvent, on me remercie en me disant « Si tu passes par ici, je te paye un café« . J’adore l’idée, vraiment, mais j’aimerais parfois pouvoir me payer mon café tout seul comme un grand chez moi. J’ai même fini par faire une page de don spécifique et une boutique Amazon pour du café exclusivement. Mais si vous avez les moyens de sortir 2€ pour un café, n’hésitez pas à le faire, et pourquoi pas mensuellement. Au bout de treize ans…
En échange, promis, je vous refais les tests et les vidéos que j’ai envie de faire à nouveau.
En supplément au programme : un soutien pour minimachines ? © MiniMachines.net. 2025
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En plus de pousser au doomscrolling, Sora est massivement utilisée pour créer des deepfakes. De Robin Williams à Martin Luther King en passant par Whitney Houston, l’application a permis à des utilisateurs de créer des vidéos détournant l’image de personnalités historiques, notamment à des fins sexistes et racistes.
C’est dans un message sur le réseau social X qu’OpenAI a annoncé ce matin qu’elle avait « suspendu la génération d’images représentant le Dr King [Martin Luther King] afin de renforcer les mesures de protection des personnages historiques ». L’entreprise affirme le faire après avoir « abordé la question de la représentation de l’image du Dr Martin Luther King Jr. dans les générations Sora » avec les descendants de la figure noire du mouvement des droits civiques.
Sora 2, l’application de doomscrolling de vidéos générées par IA d’OpenAI est sortie récemment aux États-Unis mais pas encore en Europe.
Bernice King avait publié sur Instagram la semaine dernière un post demandant aux gens d’arrêter de lui envoyer des vidéos générées par IA utilisant l’image de son père. Elle y fait référence à la même demande faite par Zelda Williams, la fille de Robin Williams. Celle-ci implorait : « Arrêtez de croire que je veux voir ça ou que je vais comprendre, ce n’est pas le cas et ça ne changera pas ». Et elle ajoutait : « Si vous essayez juste de me troller, j’ai vu bien pire, je vais restreindre l’accès et passer à autre chose. Mais s’il vous plaît, si vous avez un minimum de décence, arrêtez de lui faire ça, à lui, à moi, à tout le monde même, point final. C’est stupide, c’est une perte de temps et d’énergie, et croyez-moi, ce n’est PAS ce qu’il voudrait ».
Mais le Washington Post raconte que le problème n’est pas seulement le fait que des personnes connues soient visibles dans des vidéos générées par IA photoréalistes, mais aussi que l’outil est utilisé contre ces personnes de façon dégradante, sexiste, ou raciste. Ainsi, une vidéo montrait par exemple Whitney Houston ivre, comme si elle était filmée par une caméra corporelle de police. Une autre montrait Martin Luther King faisant des cris de singe pendant son célèbre discours « I have a dream ».
D’autres vidéos montrent des deepfakes de Malcolm X, une autre figure noire du mouvement des droits civiques aux États-Unis, faisant des blagues salaces, se battant avec Martin Luther King ou déféquant sur lui-même. « Il est profondément irrespectueux et blessant de voir l’image de mon père utilisée de manière aussi cavalière et insensible alors qu’il a consacré sa vie à la vérité », déplore sa fille, Ilyasah Shabazz, auprès du Washington Post, qui rappelle qu’elle a assisté à l’assassinat de son père en 1965 alors qu’elle n’avait que deux ans. Et elle pose la question : pourquoi les développeurs n’agissent pas « avec la même moralité, la même conscience et le même soin […] qu’ils le souhaiteraient pour leur propre famille ».
Comme nous l’expliquions fin septembre, l’application dispose d’une fonctionnalité censée limiter les deepfakes. Une personne qui a vérifié son identité peut utiliser son image dans des vidéos et d’autres peuvent faire le faire à condition qu’elle donne son consentement. La journaliste Taylor Lorenz a déjà témoigné qu’une personne qui la harcèle avait créé des deepfakes d’elle, mais qu’elle avait pu les faire supprimer en utilisant ce système. Par contre, au lancement de l’application, OpenAI a décidé de ne pas mettre en place de restriction sur les « personnages historiques ».
Ne réagissant qu’après les divers témoignages de descendants célèbres et en ne citant que le cas de Martin Luther King, OpenAI affirme dans son tweet de ce matin : « Bien qu’il existe un intérêt certain pour la liberté d’expression dans la représentation de personnages historiques, OpenAI estime que les personnalités publiques et leurs familles devraient avoir le contrôle final sur l’utilisation de leur image. Les représentants autorisés ou les ayants droit peuvent demander que leur image ne soit pas utilisée dans les caméos [nom utilisé par OpenAI pour sa fonctionnalité de deepfake] de Sora ». En bref, l’entreprise choisit de proposer une option d’opt-out pour les représentants des personnalités historiques qui ne voudraient pas que leur image soit utilisée dans Sora.
Pour éviter que les vidéos générées par IA soient repartagées en dehors de son réseau pour désinformer, OpenAI a mis en place un watermark qui se déplace au cours de la lecture. Mais, comme l’a remarqué 404 Media, de nombreux systèmes de suppression de ces filigranes ont rapidement pullulé sur le web, rendant rapidement cette protection contre la désinformation peu efficace.
Tout ça a permis d’avoir un certain succès. Mais, comme le souligne notre consœur Katie Notopoulos de Business Insider, la plupart des utilisateurs semblent être des garçons adolescents, contre « très, très peu de femmes ». « De manière générale, si une plateforme sociale est un endroit effrayant pour les femmes… mon ami, tu as un problème », commente-t-elle.
Pendant ce temps-là, comme nous l’évoquions aussi, Meta a sorti Vibes, un équivalent de Sora mais sans cette possibilité de deepfake. Celui-ci semble avoir beaucoup moins de succès. Pour notre confrère de Wired, Reece Rogers, ses premières expériences sur l’application de Meta étaient « ennuyeuses et sans intérêt ». Pour lui, le flux de Sora, « avec sa prolifération de deepfakes souriants, était beaucoup plus électrique… et inquiétant ».
On n’en a en tout cas pas fini avec les vidéos générées par IA plus photoréalistes les unes que les autres, puisque Google vient d’annoncer ce jeudi 15 octobre la sortie de Veo 3.1. L’entreprise promet aux utilisateurs plus de contrôle dans son outil d’édition de vidéos générées par IA Flow : « Nous sommes toujours à l’écoute de vos commentaires, et nous avons compris que vous souhaitez avoir davantage de contrôle artistique dans Flow, avec une prise en charge audio améliorée dans toutes les fonctionnalités », affirme l’entreprise. Elle promet, entre autres, une génération de vidéos plus rapidement proche des demandes des utilisateurs et une « qualité audiovisuelle améliorée lors de la conversion d’images en vidéos ».
En plus de pousser au doomscrolling, Sora est massivement utilisée pour créer des deepfakes. De Robin Williams à Martin Luther King en passant par Whitney Houston, l’application a permis à des utilisateurs de créer des vidéos détournant l’image de personnalités historiques, notamment à des fins sexistes et racistes.
C’est dans un message sur le réseau social X qu’OpenAI a annoncé ce matin qu’elle avait « suspendu la génération d’images représentant le Dr King [Martin Luther King] afin de renforcer les mesures de protection des personnages historiques ». L’entreprise affirme le faire après avoir « abordé la question de la représentation de l’image du Dr Martin Luther King Jr. dans les générations Sora » avec les descendants de la figure noire du mouvement des droits civiques.
Sora 2, l’application de doomscrolling de vidéos générées par IA d’OpenAI est sortie récemment aux États-Unis mais pas encore en Europe.
Bernice King avait publié sur Instagram la semaine dernière un post demandant aux gens d’arrêter de lui envoyer des vidéos générées par IA utilisant l’image de son père. Elle y fait référence à la même demande faite par Zelda Williams, la fille de Robin Williams. Celle-ci implorait : « Arrêtez de croire que je veux voir ça ou que je vais comprendre, ce n’est pas le cas et ça ne changera pas ». Et elle ajoutait : « Si vous essayez juste de me troller, j’ai vu bien pire, je vais restreindre l’accès et passer à autre chose. Mais s’il vous plaît, si vous avez un minimum de décence, arrêtez de lui faire ça, à lui, à moi, à tout le monde même, point final. C’est stupide, c’est une perte de temps et d’énergie, et croyez-moi, ce n’est PAS ce qu’il voudrait ».
Mais le Washington Post raconte que le problème n’est pas seulement le fait que des personnes connues soient visibles dans des vidéos générées par IA photoréalistes, mais aussi que l’outil est utilisé contre ces personnes de façon dégradante, sexiste, ou raciste. Ainsi, une vidéo montrait par exemple Whitney Houston ivre, comme si elle était filmée par une caméra corporelle de police. Une autre montrait Martin Luther King faisant des cris de singe pendant son célèbre discours « I have a dream ».
D’autres vidéos montrent des deepfakes de Malcolm X, une autre figure noire du mouvement des droits civiques aux États-Unis, faisant des blagues salaces, se battant avec Martin Luther King ou déféquant sur lui-même. « Il est profondément irrespectueux et blessant de voir l’image de mon père utilisée de manière aussi cavalière et insensible alors qu’il a consacré sa vie à la vérité », déplore sa fille, Ilyasah Shabazz, auprès du Washington Post, qui rappelle qu’elle a assisté à l’assassinat de son père en 1965 alors qu’elle n’avait que deux ans. Et elle pose la question : pourquoi les développeurs n’agissent pas « avec la même moralité, la même conscience et le même soin […] qu’ils le souhaiteraient pour leur propre famille ».
Comme nous l’expliquions fin septembre, l’application dispose d’une fonctionnalité censée limiter les deepfakes. Une personne qui a vérifié son identité peut utiliser son image dans des vidéos et d’autres peuvent faire le faire à condition qu’elle donne son consentement. La journaliste Taylor Lorenz a déjà témoigné qu’une personne qui la harcèle avait créé des deepfakes d’elle, mais qu’elle avait pu les faire supprimer en utilisant ce système. Par contre, au lancement de l’application, OpenAI a décidé de ne pas mettre en place de restriction sur les « personnages historiques ».
Ne réagissant qu’après les divers témoignages de descendants célèbres et en ne citant que le cas de Martin Luther King, OpenAI affirme dans son tweet de ce matin : « Bien qu’il existe un intérêt certain pour la liberté d’expression dans la représentation de personnages historiques, OpenAI estime que les personnalités publiques et leurs familles devraient avoir le contrôle final sur l’utilisation de leur image. Les représentants autorisés ou les ayants droit peuvent demander que leur image ne soit pas utilisée dans les caméos [nom utilisé par OpenAI pour sa fonctionnalité de deepfake] de Sora ». En bref, l’entreprise choisit de proposer une option d’opt-out pour les représentants des personnalités historiques qui ne voudraient pas que leur image soit utilisée dans Sora.
Pour éviter que les vidéos générées par IA soient repartagées en dehors de son réseau pour désinformer, OpenAI a mis en place un watermark qui se déplace au cours de la lecture. Mais, comme l’a remarqué 404 Media, de nombreux systèmes de suppression de ces filigranes ont rapidement pullulé sur le web, rendant rapidement cette protection contre la désinformation peu efficace.
Tout ça a permis d’avoir un certain succès. Mais, comme le souligne notre consœur Katie Notopoulos de Business Insider, la plupart des utilisateurs semblent être des garçons adolescents, contre « très, très peu de femmes ». « De manière générale, si une plateforme sociale est un endroit effrayant pour les femmes… mon ami, tu as un problème », commente-t-elle.
Pendant ce temps-là, comme nous l’évoquions aussi, Meta a sorti Vibes, un équivalent de Sora mais sans cette possibilité de deepfake. Celui-ci semble avoir beaucoup moins de succès. Pour notre confrère de Wired, Reece Rogers, ses premières expériences sur l’application de Meta étaient « ennuyeuses et sans intérêt ». Pour lui, le flux de Sora, « avec sa prolifération de deepfakes souriants, était beaucoup plus électrique… et inquiétant ».
On n’en a en tout cas pas fini avec les vidéos générées par IA plus photoréalistes les unes que les autres, puisque Google vient d’annoncer ce jeudi 15 octobre la sortie de Veo 3.1. L’entreprise promet aux utilisateurs plus de contrôle dans son outil d’édition de vidéos générées par IA Flow : « Nous sommes toujours à l’écoute de vos commentaires, et nous avons compris que vous souhaitez avoir davantage de contrôle artistique dans Flow, avec une prise en charge audio améliorée dans toutes les fonctionnalités », affirme l’entreprise. Elle promet, entre autres, une génération de vidéos plus rapidement proche des demandes des utilisateurs et une « qualité audiovisuelle améliorée lors de la conversion d’images en vidéos ».