Microsoft a officiellement mis fin au support de Windows 10. Il est donc plus que temps de passer � Windows 11.
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[…]
Le Typeframe PX-88 rappellera sans doute aux plus anciens des ordinateurs de la moitié des années 80. Son inspiration principale est une minimachine Espon, le PX-4. Un engin très condensé dans un clavier avec un tout petit écran et une assez généreuse connectique pour l’époque. Pour avoir rencontré un ingénieur ayant travaillé avec ce type d’engin dans les années 80, il m’a confié combien celui-ci avait pu lui faciliter la vie.
Le Espon PX-4, écran rabattu.
Le Typeframe PX-88 écran rabattu
Le Typeframe PX-88 reprend donc une partie de cette esthétique particulière avec évidemment des postes remis au goût du jour. Alors que la machine d’Epson est aujourd’hui mise à l’amende par une calculatrice de Lycéen, le CyberDeck est piloté par un Raspberry Pi 4 qui lui offre plus de possibilités.
Mais au delà de sa matière grise, ce qui fait tout l’attrait de cette minimachine, c’est son esthétique. Son petit écran tout en longueur est tactile, profite d’une dalle IPS et se déploie en 1280 x 400 pixels sur 7.9 pouces. Son clavier est de type mécanique avec une taille correspondant à 65% de celle d’un clavier standard. L’auteur a exploité un circuit imprimé commercial MK Point65 monté avec des mécanismes Cherry MX. Une batterie interne de 10 000 mAh en 3.7 v alimente le tout.
L’ensemble de la documentation pour fabriquer son propre Typeframe PX-88 est disponible. L’auteur, un certain Jeff Merrick, propose un site complet et extrêmement bien documenté, pour aider les internautes à construire leur propre minimachine ou s’en inspirer. Au vu de l’esapce libre, il semble possible d’en faire un PC classique avec des cartes mères de MiniPC type Intel N100/N150 qui dont de tailles réduites.
Le Typeframe PX-88 a son petit bouton « Panic »
Tout y passe : les détails techniques pour installer la carte et déporter le bouton de démarrage sur le boitier. L’ajout des LEDs témoins sur le dispositif pour savoir quand le PI 4 est en marche. La manière d’ajouter la batterie et évidemment les fichiers pour réaliser l’impression. Celle-ci est d’ailleurs assez exceptionnelle pour cette réalisation. La finition est superbe et on pourrait croire l’engin sorti d’un moule qui aurait injecté de l’ABS. Le listing des composants est également proposé ainsi que la partie logicielle qui est assez spéciale même si rien ne vous empêche de choisir une autre.
Le Typeframe PX-88 a en effet été pensé comme un autre clavier à destination des écrivains facilement distraits par diverses sollicitations. Le système d’exploitation proposé est donc construit pour une interface sobre et coupée de tous réseaux sociaux. Elle sera à même de gérer un traitement de texte dans les nuages comme Google Docs mais sans vous avertir de la décrépitude de vos contemporains.
Que vous soyez séduit par le design de cette minimachine ou simplement curieux, le parcours du site de Jeff est un vrai plaisir. Tout est documenté, bien rangé, photographié et classé. C’est une mine d’or si vous avez envie d’intégrer un circuit de ce type dans un boitier custom. Qu’il s’agisse d’un Rasberry Pi ou d’autre chose, il y a énormément de choses à y apprendre. Si vous avez un projet avec un Pi, les parties logicielles et gestion de l’électronique sont parmi les plus condensées et les mieux documentées que j’ai pu voir depuis un moment. Le tout sur un site sans pub, sans superflu ni autre volonté que le partage. Je tire mon chapeau à l’auteur.
Google a finalement dégainé sa nouvelle famille de LLM, dont le représentant star est Gemini 3 Pro. L’entreprise ne manque pas d’arguments pour propulser son modèle sous les projecteurs. Présenté comme un anti-ChatGPT, Gemini 3 Pro est déjà disponible (presque) partout.
La guerre entre les LLM repart de plus belle avec la nouvelle incarnation de Gemini chez Google. Cette troisième mouture, comme on peut s’y attendre, prend la tête dans tous les benchmarks, avec parfois des marges significatives, en particulier face à GPT-5.1.
Google présente ainsi Gemini 3 Pro comme « une nouvelle étape pour l’intelligence artificielle » et « un autre grand pas vers l’AGI », avec des résultats plus visuels, plus directs et beaucoup moins flatteurs. « Ses réponses sont intelligentes, concises et directes, troquant clichés et flatteries contre une véritable intuition — vous disant ce que vous avez besoin d’entendre, pas seulement ce que vous voulez entendre », déclare Google dans son billet d’annonce.
Google prend la tête du peloton
Gemini 3 Pro affiche des performances d’autant plus intéressantes qu’il se retrouve premier sur nombre de tests face à GPT-5.1 et Claude Sonnet 4.5, et bien sûr face à Gemini 2.5 Pro, largement dépassé par son petit frère.
Google met particulièrement en avant certains résultats car l’écart avec les autres est majeur. Sur Humanity’s Last Exam, qui teste le « raisonnement académique », Gemini 3 Pro affiche un score de 37,5 % sans outils, et de 45,8 % avec la recherche ou l’exécution de code. Des scores très supérieurs à ceux de GPT-5.1 (26,5 %) et surtout de Claude Sonnet 4.5 (13,7 %). Sur ARC-AGI-2, Gemini 3 Pro grimpe à 31,1 %, loin devant GPT-5.1 (17,6 %) et Claude Sonnet 4.5 (13,6 %). Le nouveau LLM affiche également un score de 1 501 points sur LMArena.
La tarification de Gemini 3 Pro est dans la moyenne, avec 2 dollars par million de jetons en entrée et 12 dollars par million de jetons en sortie, mais uniquement pour les requêtes ne dépassant pas 200 000 jetons via l’API Gemini dans Google AI Studio et Vertex AI. Pour les contextes dépassant 200 000 tokens, la tarification passe à 4 dollars en entrée et 18 dollars en sortie par million de jetons.
Google marque également sa différence avec une disponibilité immédiate. Tous les produits intégrant Gemini sont passés hier soir de la version 2.5 Pro à la 3 Pro. Seule exception, les résumés IA dans les résultats de recherche, qui ne seront générés que pour les requêtes « les plus complexes ». Pour le reste, que ce soit dans l’application ou ailleurs, c’est bien le dernier LLM qui est présent, en deux versions.
Deux variantes et des capacités réservées aux comptes payants
Comme chez presque tous les concurrents, Gemini 3 Pro est en effet proposé en version « Rapide » et « Raisonnement ». On s’en doute, le premier donne des résultats plus vite, tandis que le second prend davantage le temps de la « réflexion », augmentant la précision au détriment de la rapidité. Dans le tableau des performances donné par Google, c’est le modèle Thinking qui affiche bien sûr les meilleurs résultats, puisque le modèle contrôle ses réponses au fur et à mesure, dans une démarche devenue typique de raisonnement.
Le modèle Thinking dispose en outre d’une fonction dite de « raisonnement auto-correctif » : il planifie, critique et corrige ses propres réponses avant de les afficher. Selon Google, cette méthode réduit considérablement les hallucinations sur les tâches complexes comme les mathématiques, le code et la logique. L’entreprise vante également sa « multimodalité native fusionnée », ses modèles traitant le texte, l’audio et la vidéo de la même manière, ce qui garantit selon Google une très faible latence dans les conversations vocales notamment.
Crédits : Google
Les deux versions du modèle sont disponibles partout, y compris pour les comptes gratuits. La différence se jouera – comme toujours – sur le nombre de requêtes, le compte gratuit étant rapidement épuisé en Raisonnement, tandis que les formules payantes ont des paliers plus élevés.
En mode raisonnement, les abonnés payants disposent aussi de plusieurs nouveaux modes expérimentaux d’affichage des résultats. Par exemple, le Visual Layout affiche les résultats sous forme de magazine incluant de nombreuses images, que l’on peut faire défiler. Autre possibilité, la Dynamic View, qui utilise les capacités du modèle en développement pour créer des interfaces personnalisées, par exemple une application web pour explorer la vie et l’œuvre d’un(e) artiste.
Google ajoute que Gemini 3 Pro est le premier représentant de la nouvelle famille. Des versions plus réduites arriveront après, mais l’entreprise ne donne aucun calendrier. Ajoutons que Gemini 3 Pro, comme la version 2.5 avant lui, est disponible sous forme de préversion. Là encore, pas d’information sur l’arrivée de la version finale. Dans le cas de Gemini 2.5, il s’était écoulé plusieurs mois.
Google veut frapper fort chez les développeurs
Si Gemini 3 Pro se présente avant tout comme un ChatGPT, notamment avec un ton présenté comme très neutre, Google veut clairement faire tomber Claude de son trône de LLM star chez les développeurs.
Sundar Pichai a ainsi indiqué que le nouveau modèle représentait une nouvelle étape majeure dans le développement agentique. Et pour marquer le coup, la firme lance Antigravity, sa propre solution de développement assisté par IA (vibe coding). Le nouvel outil rassemble sous un même toit une fenêtre de type chatbot, une interface en ligne de commande (bash) et une zone navigateur qui affiche les opérations en cours et l’impact des modifications.
Comme d’autres solutions de type Warp ou Cursor 2.0, Antigravity est clairement un IDE (Integrated Development Environment, que Microsoft s’est amusé récemment à renommer Intelligent Development Environment pour son Visual Studio 2026). Google le présente comme un « centre de contrôle » permettant de surveiller les agents en train de travailler. Toutes les activités sont retransmises aux développeurs par des « Artefacts », des sous-tâches servant à renseigner sur ce qui est fait et devant faciliter la vérification.
Antigravity fonctionne par défaut avec Gemini 3 Pro, mais Google veut rendre son produit « agnostique ». Il prend ainsi en charge Claude Sonnet 4.5 et les agents GPT-OSS. L’entreprise affirme cependant que Gemini 3 Pro est aujourd’hui le meilleur modèle disponible pour le vibe coding.
Le nouveau IDE est disponible pour Windows, macOS et Linux.
Orange prépare un Livebox Store afin de proposer à ses clients des API maison, mais aussi pour permettre à des partenaires d’en publier. Une démonstration avec EDF R&D est présentée pour suivre en direct sa consommation électrique.
Pendant trois jours, Orange organise ses OpenTech 2025, l’occasion pour les équipes du fournisseur d’accès à Internet de présenter ses nouveautés. Nous étions cette année encore sur place. Une des démonstrations tournait sur Prpl OS : un Store d’API pour la Livebox.
Prpl OS se fait encore et toujours attendre
Prpl est un système d’exploitation pour les box Internet développé par une fondation regroupant des opérateurs du monde entier. On y retrouve notamment Orange, Verizon, AT&T, Vodafone ainsi que d’autres entreprises comme Qualcomm et AWS. Cela fait plus d’un an qu’Orange parle de Prpl, avec déjà des démonstrations lors du salon de l’année dernière.
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Google a finalement dégainé sa nouvelle famille de LLM, dont le représentant star est Gemini 3 Pro. L’entreprise ne manque pas d’arguments pour propulser son modèle sous les projecteurs. Présenté comme un anti-ChatGPT, Gemini 3 Pro est déjà disponible (presque) partout.
La guerre entre les LLM repart de plus belle avec la nouvelle incarnation de Gemini chez Google. Cette troisième mouture, comme on peut s’y attendre, prend la tête dans tous les benchmarks, avec parfois des marges significatives, en particulier face à GPT-5.1.
Google présente ainsi Gemini 3 Pro comme « une nouvelle étape pour l’intelligence artificielle » et « un autre grand pas vers l’AGI », avec des résultats plus visuels, plus directs et beaucoup moins flatteurs. « Ses réponses sont intelligentes, concises et directes, troquant clichés et flatteries contre une véritable intuition — vous disant ce que vous avez besoin d’entendre, pas seulement ce que vous voulez entendre », déclare Google dans son billet d’annonce.
Google prend la tête du peloton
Gemini 3 Pro affiche des performances d’autant plus intéressantes qu’il se retrouve premier sur nombre de tests face à GPT-5.1 et Claude Sonnet 4.5, et bien sûr face à Gemini 2.5 Pro, largement dépassé par son petit frère.
Google met particulièrement en avant certains résultats car l’écart avec les autres est majeur. Sur Humanity’s Last Exam, qui teste le « raisonnement académique », Gemini 3 Pro affiche un score de 37,5 % sans outils, et de 45,8 % avec la recherche ou l’exécution de code. Des scores très supérieurs à ceux de GPT-5.1 (26,5 %) et surtout de Claude Sonnet 4.5 (13,7 %). Sur ARC-AGI-2, Gemini 3 Pro grimpe à 31,1 %, loin devant GPT-5.1 (17,6 %) et Claude Sonnet 4.5 (13,6 %). Le nouveau LLM affiche également un score de 1 501 points sur LMArena.
La tarification de Gemini 3 Pro est dans la moyenne, avec 2 dollars par million de jetons en entrée et 12 dollars par million de jetons en sortie, mais uniquement pour les requêtes ne dépassant pas 200 000 jetons via l’API Gemini dans Google AI Studio et Vertex AI. Pour les contextes dépassant 200 000 tokens, la tarification passe à 4 dollars en entrée et 18 dollars en sortie par million de jetons.
Google marque également sa différence avec une disponibilité immédiate. Tous les produits intégrant Gemini sont passés hier soir de la version 2.5 Pro à la 3 Pro. Seule exception, les résumés IA dans les résultats de recherche, qui ne seront générés que pour les requêtes « les plus complexes ». Pour le reste, que ce soit dans l’application ou ailleurs, c’est bien le dernier LLM qui est présent, en deux versions.
Deux variantes et des capacités réservées aux comptes payants
Comme chez presque tous les concurrents, Gemini 3 Pro est en effet proposé en version « Rapide » et « Raisonnement ». On s’en doute, le premier donne des résultats plus vite, tandis que le second prend davantage le temps de la « réflexion », augmentant la précision au détriment de la rapidité. Dans le tableau des performances donné par Google, c’est le modèle Thinking qui affiche bien sûr les meilleurs résultats, puisque le modèle contrôle ses réponses au fur et à mesure, dans une démarche devenue typique de raisonnement.
Le modèle Thinking dispose en outre d’une fonction dite de « raisonnement auto-correctif » : il planifie, critique et corrige ses propres réponses avant de les afficher. Selon Google, cette méthode réduit considérablement les hallucinations sur les tâches complexes comme les mathématiques, le code et la logique. L’entreprise vante également sa « multimodalité native fusionnée », ses modèles traitant le texte, l’audio et la vidéo de la même manière, ce qui garantit selon Google une très faible latence dans les conversations vocales notamment.
Crédits : Google
Les deux versions du modèle sont disponibles partout, y compris pour les comptes gratuits. La différence se jouera – comme toujours – sur le nombre de requêtes, le compte gratuit étant rapidement épuisé en Raisonnement, tandis que les formules payantes ont des paliers plus élevés.
En mode raisonnement, les abonnés payants disposent aussi de plusieurs nouveaux modes expérimentaux d’affichage des résultats. Par exemple, le Visual Layout affiche les résultats sous forme de magazine incluant de nombreuses images, que l’on peut faire défiler. Autre possibilité, la Dynamic View, qui utilise les capacités du modèle en développement pour créer des interfaces personnalisées, par exemple une application web pour explorer la vie et l’œuvre d’un(e) artiste.
Google ajoute que Gemini 3 Pro est le premier représentant de la nouvelle famille. Des versions plus réduites arriveront après, mais l’entreprise ne donne aucun calendrier. Ajoutons que Gemini 3 Pro, comme la version 2.5 avant lui, est disponible sous forme de préversion. Là encore, pas d’information sur l’arrivée de la version finale. Dans le cas de Gemini 2.5, il s’était écoulé plusieurs mois.
Google veut frapper fort chez les développeurs
Si Gemini 3 Pro se présente avant tout comme un ChatGPT, notamment avec un ton présenté comme très neutre, Google veut clairement faire tomber Claude de son trône de LLM star chez les développeurs.
Sundar Pichai a ainsi indiqué que le nouveau modèle représentait une nouvelle étape majeure dans le développement agentique. Et pour marquer le coup, la firme lance Antigravity, sa propre solution de développement assisté par IA (vibe coding). Le nouvel outil rassemble sous un même toit une fenêtre de type chatbot, une interface en ligne de commande (bash) et une zone navigateur qui affiche les opérations en cours et l’impact des modifications.
Comme d’autres solutions de type Warp ou Cursor 2.0, Antigravity est clairement un IDE (Integrated Development Environment, que Microsoft s’est amusé récemment à renommer Intelligent Development Environment pour son Visual Studio 2026). Google le présente comme un « centre de contrôle » permettant de surveiller les agents en train de travailler. Toutes les activités sont retransmises aux développeurs par des « Artefacts », des sous-tâches servant à renseigner sur ce qui est fait et devant faciliter la vérification.
Antigravity fonctionne par défaut avec Gemini 3 Pro, mais Google veut rendre son produit « agnostique ». Il prend ainsi en charge Claude Sonnet 4.5 et les agents GPT-OSS. L’entreprise affirme cependant que Gemini 3 Pro est aujourd’hui le meilleur modèle disponible pour le vibe coding.
Le nouveau IDE est disponible pour Windows, macOS et Linux.
Le "taupe" marron de Noctua divise autant qu'il rassemble. Les antis y voient la couleur d'une déjection canine et les difficultés d'harmoniser leur setup, les pros y voient une certaine classe et un côté unique. Depuis quelques années, Noctua sort souvent ses meilleurs ventirads en version Chromax,...
Alors que certaines marques jouent la carte du haut de gamme avec des tarifs toujours plus �lev�s, d'autres essaient de se d�marquer avec des solutions de refroidissement abordables. Et c'est le cas de MONTECH qui a officialis� sa nouvelle gamme NX600, qui comprend quatre ventirads � dual tower avec un positionnement agressif puisque les tarifs vont de 29.90 USD � 34.90 USD seulement.
Et pourtant, on retrouve six caloducs de 6 mm avec une finition nickel�e, mais aussi les derniers ventilateurs E28 qui mesurent 28 mm d'�paisseur. La concurrence a-t-elle du souci � se faire ? SI la marque ne donne pas vraiment de chiffres sur les performances, le tarif et le look, avec ou sans RGB, sont d�j� l� !
[…]
Nous vous proposons ce jour, en partenariat avec Razer, de retrouver une s�lection de produits de la marque afin de vous faire plaisir avec quelques r�f�rences bien choisies.
C'est � d�couvrir ici m�me : Razer : Offrez ou �quipez-vous d'une souris pro gaming � No�l ! ou sur la source. […]
Bethesda nous annonce la disponibilit� d'une mise � jour 3 pour son jeu DOOM: The Dark Ages, de tr�s nombreuses modifications et corrections sont au programme, cette page les d�taille toutes, nous allons nous attarder sur les corrections de bugs, mais notons qu'il sera d�sormais possible de changer d'armes et de boucliers durant une partie.La Mise � jouret#8239;3 pour DOOM: The Dark Ages int�gre la Morgueet#8239;2.0, offrant de nouveaux pr�r�glages de confrontation, des options de personnalisation pouss�es, de nouvelles pistes pour le jukebox ainsi que la possibilit� de partager chaque manche de vos confrontations personnalis�es gr�ce au partage de code.
Cette mise � jour comprend �galement des am�liorations de la qualit� de vie pour la campagne, comme le syst�me de Mort imminente pouvant d�sormais �tre s�lectionn� en difficult� Normale ou Difficile depuis l'onglet Difficult�, ainsi que des am�liorations demand�es par les joueurs, dont la possibilit� d'assigner des touches � votre arme de corps � corps et votre rune de bouclier active. […]
Nouveau boitier en approche chez Thermaltake, qui a d�cid� de faire plaisir aux amateurs de flux d'air avec un S380 qui fait le plein de mesh et autres a�rations.
Au format moyen tour ATX, ce nouveau venu mesure 536 x 238 x 485 mm et affiche un design relativement sobre relev� juste comme il faut par quatre ventilateurs de 120 mm. Et c'est ici que Thermaltake joue la carte de la diff�rence avec un 120 mm � l'arri�re et un triple 120 mm � cadre unique dans le bas. Les emplacements en fa�ade sont laiss�s disponibles, ce qui permet de placer facilement un AIO en 360 mm, sauf si on pr�f�re opter pour une installation dans le haut.
Quoiqu'il en soit, les ventilateurs install�s par d�faut int�grent la nouvelle gamme SF avec un �clairage au niveau des pales ainsi que sur le tour du cadre. Leur vitesse de rotation varie de 500 rpm � 1800 rpm, et le mod�le SF360 du bas a le droit � des pales invers�es pour un look impeccable.
[…]
Le petit clavier est assez classe, en cuir synthétique, avec trois pliures et proposant à la fois des touches, un pavé tactile et un repose poignets. Enzo s’en sert en intérieur pour piloter un MiniPC planqué sous son téléviseur. Rien de forcément novateur mais un objet qui rejoint ses télécommandes une fois replié sur lui-même.
Le clavier Omoton propose des LEDs sur son repose poignet pour indiquer vers quel appareil il est connecté.
Bluetooth, le clavier Omoton sait piloter jusqu’à trois appareils distincts. Il peut se connecter à un smartphone, une tablette, un PC classique ou une carte de développement. Sa batterie interne lui offre plusieurs dizaines d’heures d’utilisation entre deux recharges rapides en USB Type-C. Deux à trois heures de connection à un câble et le revoilà regonflé à bloc.
Omoton
Le gros point fort de ce type de clavier, comme celui du classique Logitech K400 Plus, c’est la proposition d’un pavé tactile pour toutes les tâches nécessaires à un système d’exploitation de PC classique. Ici, il est juste plus compact, peut se ranger facilement et profite à la fois d’un pavé tactile multipoints et de touches multimédia pour piloter son système.
Envie de gagner un vrai temps d’avance sur vos adversaires dans tous vos FPS préférés ? Ou plus globalement, de profiter d’un meilleur confort dans toutes vos activités ? Depuis plus de 25 ans, Razer est l’un des spécialistes des souris hautes performances : à coup sûr, vous trouverez le modèle idéal pour vous rééquiper ou faire plaisir sous le sapin. On vous guide à travers les meilleurs modèles, à prix modique !
La temp�te annonc�e sur les march�s de la m�moire commence s�rieusement � secouer toute l'industrie PC. Selon plusieurs m�dias cor�ens et ta�wanais, dont le Korea Economic Daily et le Commercial Times, les prix de la DRAM, de la NAND et m�me de la NOR Flash poursuivent leur envol�e, au point de pousser les fabricants � revoir leurs plans produits pour 2025.
Nous en parlions d�j� r�cemment sur Cowcotland dans notre suivi des prix m�moire : la flamb�e semble d�sormais incontr�lable.
[…]
Keychron continue discr�tement d'�tendre sa gamme de souris gaming ultra-l�g�res et revient aujourd'hui avec une nouvelle r�f�rence : la M2 Mini 8K. Comme son nom l'indique, il s'agit d'une version plus compacte de la M2 8K, pens�e pour les joueurs ayant de petites mains ou simplement � la recherche d'un mod�le plus abordable, mais toujours dot� d'un hardware de premier choix.
Pour un tarif de 59,99 $ sur la boutique officielle de la marque, la M2 Mini 8K apporte deux �volutions majeures par rapport � la M2 Mini d�j� existante :
- le passage d'un taux de polling de 1 kHz � 8 kHz
- l'int�gration du nouveau capteur PixArt PAW 3950, au lieu du PAW 3395, pour r�duire encore la latence et am�liorer la pr�cision du tracking.
[…]
Grosse surprise du c�t� d'AMD, le futur FSR Redstone, d�voil� lors du Computex 2025, ne sera pas uniquement limit� aux cartes graphiques Radeon. Selon une interview de Chris Hall, Senior Director Software Development chez AMD, la technologie de rendu neuronal pourra �galement fonctionner sur les GPU NVIDIA GeForce et Intel Arc ! […]
Vous le savez, nous le savons, Il existe donc bien une version de la RX 9060, sans XT, et cela, de fa�on tr�s officiel. Cette carte propose 28 CU (32 pour la RX 9060 XT), avec 8 Go de m�moire GDDR6 18 Gbps (20 Gbps pour la RX 9060 XT), sur une interface m�moire 128 bits et 32 Mo de cache Infinity.
AMD avance un TGP de 132 Watts et pr�conise une alimentation de 450 W, les mod�les devraient se contenter d'un unique connecteur 8-pin. Par contre, cette RX 9060 est destin�e � l'OEM, il est donc presque impossible de l'acheter en stand alone. […]
Plus de 70 chercheurs et chercheuses européens ont signé une lettre ouverte adressée à la présidente de la Commission européenne pour lui demander de revenir sur ses propos prédisant que l’IA serait capable d’égaler le raisonnement humain l’an prochain. Ils lui reprochent de ne s’appuyer que sur des déclarations de marketing prononcées par des CEO d’entreprises d’IA.
« Nous, experts en intelligence artificielle et ses conséquences sociales, sommes profondément préoccupés par votre déclaration non scientifique et inexacte selon laquelle l’IA se rapproche du raisonnement humain », expliquent plusieurs dizaines de chercheuses et chercheurs à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dans une lettre ouverte [PDF].
Ils réagissent aux propos que la dirigeante a tenus en mai dernier lors de la Conférence annuelle sur le budget de l’UE 2025. En effet, Ursula von der Leyen affirmait, entre autres que, « quand le budget actuel a été négocié, nous pensions que l’IA ne se rapprocherait du raisonnement humain que vers 2050. Aujourd’hui, nous nous attendons à ce que cela se produise déjà l’année prochaine ».
Pas de sources précises de la Commission
Le chercheur Kris Shrishak, qui travaille au sein de l’ONG irlandaise Irish Council for Civil Liberties, avait questionné début juillet la Commission à propos de documents sources sur lesquelles se basait sa présidente pour affirmer une telle chose.
Les services d’Ursula von der Leyen lui ont répondu [PDF] en octobre « que la Commission ne détient aucun document qui correspondrait à la description donnée dans votre demande », tout en affirmant que cette déclaration s’appuyait « sur les connaissances professionnelles des services de la Commission et sur l’analyse documentaire de la littérature scientifique ».
Mais en référence, ils citaient trois responsables d’entreprises d’IA : Dario Amodei (CEO d’Anthropic), Jensen Huang (CEO de NVIDIA), Sam Altman (CEO d’OpenAI). Les services de la Commission ajoutaient aussi le billet de blog du chercheur franco-marocain Yoshua Bengio publié en octobre 2024.
« Affirmations marketing motivées par l’appât du gain »
Pour les chercheurs, « il s’agit là d’affirmations marketing motivées par l’appât du gain et l’idéologie plutôt que par des preuves empiriques et formelles. En bref, les déclarations de ces CEO du secteur technologique concernant la « superintelligence » et l’ « AGI » sont manifestement liées à leurs impératifs financiers et non à une science rigoureuse ».
Selon eux, une telle reprise par la présidente de la Commission saperait « la crédibilité de l’Europe en tant que source fiable et digne de confiance de connaissances scientifiques. Cela est particulièrement vrai dans le contexte actuel d’une importante bulle spéculative alimentée par un engouement injustifié pour l’IA ».
Kris Shrishak a enfoncé le clou dans un article publié sur Tech avec la chercheuse Abeba Birhane, en affirmant que « ces spéculations ne sont pas que des mots ». Ainsi, ils expliquent que « le plan « Continent IA » de la Commission intègre ces spéculations idéologiques dans ses politiques. Dans ce plan, la Commission affirme que « la prochaine génération de modèles d’IA de pointe devrait permettre une avancée considérable en matière de capacités, vers l’intelligence artificielle générale » ». Et ils assènent que « la Commission européenne a accepté sans réserve l’utilité de l’IA, en particulier de l’IA générative ».
Plus de 70 chercheurs et chercheuses européens ont signé une lettre ouverte adressée à la présidente de la Commission européenne pour lui demander de revenir sur ses propos prédisant que l’IA serait capable d’égaler le raisonnement humain l’an prochain. Ils lui reprochent de ne s’appuyer que sur des déclarations de marketing prononcées par des CEO d’entreprises d’IA.
« Nous, experts en intelligence artificielle et ses conséquences sociales, sommes profondément préoccupés par votre déclaration non scientifique et inexacte selon laquelle l’IA se rapproche du raisonnement humain », expliquent plusieurs dizaines de chercheuses et chercheurs à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dans une lettre ouverte [PDF].
Ils réagissent aux propos que la dirigeante a tenus en mai dernier lors de la Conférence annuelle sur le budget de l’UE 2025. En effet, Ursula von der Leyen affirmait, entre autres que, « quand le budget actuel a été négocié, nous pensions que l’IA ne se rapprocherait du raisonnement humain que vers 2050. Aujourd’hui, nous nous attendons à ce que cela se produise déjà l’année prochaine ».
Pas de sources précises de la Commission
Le chercheur Kris Shrishak, qui travaille au sein de l’ONG irlandaise Irish Council for Civil Liberties, avait questionné début juillet la Commission à propos de documents sources sur lesquelles se basait sa présidente pour affirmer une telle chose.
Les services d’Ursula von der Leyen lui ont répondu [PDF] en octobre « que la Commission ne détient aucun document qui correspondrait à la description donnée dans votre demande », tout en affirmant que cette déclaration s’appuyait « sur les connaissances professionnelles des services de la Commission et sur l’analyse documentaire de la littérature scientifique ».
Mais en référence, ils citaient trois responsables d’entreprises d’IA : Dario Amodei (CEO d’Anthropic), Jensen Huang (CEO de NVIDIA), Sam Altman (CEO d’OpenAI). Les services de la Commission ajoutaient aussi le billet de blog du chercheur franco-marocain Yoshua Bengio publié en octobre 2024.
« Affirmations marketing motivées par l’appât du gain »
Pour les chercheurs, « il s’agit là d’affirmations marketing motivées par l’appât du gain et l’idéologie plutôt que par des preuves empiriques et formelles. En bref, les déclarations de ces CEO du secteur technologique concernant la « superintelligence » et l’ « AGI » sont manifestement liées à leurs impératifs financiers et non à une science rigoureuse ».
Selon eux, une telle reprise par la présidente de la Commission saperait « la crédibilité de l’Europe en tant que source fiable et digne de confiance de connaissances scientifiques. Cela est particulièrement vrai dans le contexte actuel d’une importante bulle spéculative alimentée par un engouement injustifié pour l’IA ».
Kris Shrishak a enfoncé le clou dans un article publié sur Tech avec la chercheuse Abeba Birhane, en affirmant que « ces spéculations ne sont pas que des mots ». Ainsi, ils expliquent que « le plan « Continent IA » de la Commission intègre ces spéculations idéologiques dans ses politiques. Dans ce plan, la Commission affirme que « la prochaine génération de modèles d’IA de pointe devrait permettre une avancée considérable en matière de capacités, vers l’intelligence artificielle générale » ». Et ils assènent que « la Commission européenne a accepté sans réserve l’utilité de l’IA, en particulier de l’IA générative ».
Dans trois semaines, Orange permettra à ses clients d’envoyer et de recevoir des SMS par satellite. L’opérateur nous donne des détails techniques sur ce service et son fonctionnement. Pour faire simple, c’est comme du roaming, mais dans l’espace.
Lors de ses OpenTech, Orange a annoncé le lancement de Messages Satellite qui permettra d’envoyer des SMS sans aucune connexion à un réseau mobile, aussi bien depuis la France que dans « 36 pays sur 4 continents ».
Ce service sera disponible à partir du 11 décembre pour le grand public et courant 2026 pour les clients professionnels et entreprises. Selon Orange, c’est une « première en Europe continentale ». Pour envoyer ou recevoir des SMS, il faut être en extérieur, avoir une vue dégagée sur le ciel et « viser » un satellite avec son smartphone.
Orange s’associe à l’opérateur Skylo
Pour le lancement, seuls quelques smartphones sont compatibles : les Pixel 9 et 10 de Google. D’autres téléphones suivront, mais Orange a refusé de nous préciser lesquels ni dans quels délais. Orange s’appuie sur un partenaire américain : Skylo. C’est un opérateur de réseau non-terrestre (NTN). Ces Non-Terrestrial Networks sont, selon la 3GPP, « des réseaux ou des segments de réseaux qui utilisent soit des systèmes d’aéronefs sans équipage […] soit des satellites » pour les communications.
L’Américain Skylo est déjà partenaire de Google pour la fonctionnalité Satellite SOS sur les Pixel 9 et 10, les mêmes que ceux supportés par Orange.
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