L’audiovisuel public s’est trouvé un nouveau canal de distribution : la plateforme Prime Video de l’américain Amazon. À compter du 3 juillet, cette dernière offre en effet à ses abonnés « l’accès à l’intégralité de l’offre france.tv – première plateforme de streaming gratuit en France – avec les directs des chaînes (France 2, France 3, France 4, France 5 et France Info), les programmes en preview et en replay ainsi que les contenus exclusifs », indiquent les deux groupes.
« Avec ce mode de distribution inédit, notre groupe franchit une étape historique pour renforcer la visibilité de son offre de service public, et ainsi permettre à tous les publics de retrouver et découvrir la richesse unique de france.tv sur de nouveaux environnements », se réjouit Delphine Ernotte-Cunci, PDG de France Télévisions, dans un communiqué. Les chaînes du groupe disposeront d’un emplacement dédié (un « corner ») sur la page d’accueil du service de streaming d’Amazon, au même titre que ses autres partenaires tels que MGM, Paramount ou OCS.
L’accord se concrétise par une disponibilité immédiate
L’arrivée d’émissions de flux, fournies par un acteur de la télévision linéaire, constitue une première pour Amazon Prime Video en France. Cette annonce intervient quelques jours seulement après que TF1 et Netflix ont dévoilé un accord de distribution similaire, dont la mise en œuvre n’interviendra toutefois qu’à l’été 2026.
L’audiovisuel public s’est trouvé un nouveau canal de distribution : la plateforme Prime Video de l’américain Amazon. À compter du 3 juillet, cette dernière offre en effet à ses abonnés « l’accès à l’intégralité de l’offre france.tv – première plateforme de streaming gratuit en France – avec les directs des chaînes (France 2, France 3, France 4, France 5 et France Info), les programmes en preview et en replay ainsi que les contenus exclusifs », indiquent les deux groupes.
« Avec ce mode de distribution inédit, notre groupe franchit une étape historique pour renforcer la visibilité de son offre de service public, et ainsi permettre à tous les publics de retrouver et découvrir la richesse unique de france.tv sur de nouveaux environnements », se réjouit Delphine Ernotte-Cunci, PDG de France Télévisions, dans un communiqué. Les chaînes du groupe disposeront d’un emplacement dédié (un « corner ») sur la page d’accueil du service de streaming d’Amazon, au même titre que ses autres partenaires tels que MGM, Paramount ou OCS.
L’accord se concrétise par une disponibilité immédiate
L’arrivée d’émissions de flux, fournies par un acteur de la télévision linéaire, constitue une première pour Amazon Prime Video en France. Cette annonce intervient quelques jours seulement après que TF1 et Netflix ont dévoilé un accord de distribution similaire, dont la mise en œuvre n’interviendra toutefois qu’à l’été 2026.
Le ONEXPLAYER X1 Air reprend le concept lancé en 2024 par la marque, un engin assez hybride qui se comportera différemment suivant les situations. De tablette elle pourra devenir une console de jeu grâce à des poignées latérales. En lui ajoutant un clavier magnétique, l’écran deviendra un ultraportable.
Le modèle 2023 sous Meteor Lake
Piloté par un processeur Lunar Lake, la nouvelle version ONEXPLAYER X1 Air proposera un écran de 10.95 pouces en 2560 x 1600 pixels et sera piloté par un processeur Intel Core Ultra 7 258V. Une solution huit cœurs qui se développe en quatre cœurs Performances cadencés à 4.8 GHz maximum et quatre cœurs Efficaces qui ne monteront pas au-delà des 3.7 GHz. Un mélange qui permet de proposer à la fois de la performance et une bonne autonomie suivant les cas.
La partie graphique de la puce est confiée à un circuit Intel ARC 140V qui développe 8 cœurs Xe à 1.95 GHz ainsi que 64 TOPS de performances en calcul d’IA. Un NPU dédié rajoutera 47 TOPS de performances supplémentaires. La puce fait partie de cette génération de processeurs Intel qui embarque sa mémoire intégrée et elle profitera ainsi de 32 Go de LPDDR5-8533. L’ensemble fonctionnera dans une enveloppe thermique de 17 watts avec un mode Turbo grimpant à 37 watts.
On retrouvera un SSD M.2 NVMe PCIE 4.0 pour la partie stockage, une nouvelle batterie de 71 Wh contre 65 Wh pour la première version et une paire de ports USB4. Si le design est identique aux modèles précédents, on devrait également avoir droit à un USB 3.2 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm et un lecteur de cartes microSDXC. Une webcam avec infrarouge devrait par ailleurs être présente. Rien n’a été dit sur la possibilité de revoir, comme sur le modèle de juin 2024, un port OCuLink. Celui-ci permettrait de piloter des docks graphiques externes pour de meilleures performances globales.
Le reste ressemble beaucoup aux modèles précédents avec un châssis en aluminium proposant une béquille ajustable pour le positionner facilement sur un bureau. Je suis toujours assez dubitatif avec ce genre de design. Non pas qu’il ne soit pas inintéressant, mais parce que son utilisation en mode tablette me parait toujours assez gauche. La taille de l’écran, l’encombrement de sa diagonale, le poids global de l’engin en font une solution de Console PC assez maladroite. L’usage en mode tablette semble satisfaisant et l’ajout du clavier ajoutera du confort.
Le modèle 2023 sous Meteor Lake
Reste le souci de cette gamme en général chez le constructeur. On ne connait pas le prix du ONEXPLAYER X1 Air mais les modèles précédents me paraissent toujours assez détachés de la réalité. Malgré ses grandes qualités, les produits de cette gamme ont bien du mal à justifier leurs tarifs. Ces engins sont à chaque fois positionnés sur une fourchette basse aux alentours de 1000€ HT. Ce qui m’apparait beaucoup pour ce type de solution, non pas que le produit ne vaille forcément pas ce tarif, c’est juste qu’il ne m’apparait pas forcément indispensable voire légèrement gadget. Surtout pour des machines qui ne restent garanties que 12 mois par le constructeur.
J’aimerais tellement voir ce genre d’engin décliné en des solutions plus simples et plus accessibles. Perdre un peu l’objectif « gaming » de vue.
La Commission européenne vient de mettre en ligne le portail d’accès aux données du DSA qui permet aux chercheurs de demander un accès aux données des très grandes plateformes en ligne.
En effet, l’article 40 du règlement sur les services numériques (DSA) adopté fin 2022 prévoit un mécanisme permettant aux chercheurs d’accéder aux données des plateformes comme X, Google, TikTok, l’App Store qui sont listées par la Commission.
La Commission a adopté ce 2 juillet l’acte délégué qui précise les modalités permettant aux chercheurs d’y accéder. Ils pourront analyser l’impact de ces plateformes sur leurs utilisateurs et sur les débats au sein de l’Union européenne, par exemple. Ce texte permet de palier la fermeture des api gratuites que proposaient il y a quelques années des plateformes comme Twitter tout en élargissant le spectre d’analyse à toutes les très grandes plateformes.
L’acte délégué adopté prévoit que les chercheurs demandent un agrément sur le portail d’accès aux données du DSA. Cette demande sera évaluée par l’un des coordonnateurs des services numériques. En France, c’est l’Arcom qui a été désigné comme tel.
Dans un communiqué, celle-ci affirme qu’elle « entend œuvrer à la pleine appropriation de ce nouveau mécanisme par les chercheurs ».
Vingt fois sur le pas de tir remettez votre lanceur…
Alors que SpaceX et d’autres acteurs du New Space misent depuis longtemps sur le réutilisable pour les premiers étages des fusées, l’Europe est à la traine, même si des projets sont en préparation depuis des années. Deux d’entre eux viennent de passer des étapes importantes : le moteur Prometheus et le démonstrateur Themis.
Cela fait maintenant près de huit ans que l’Europe travaille sur des lanceurs réutilisables, afin de concurrencer des fusées telles que les Falcon 9 de SpaceX. Deux projets avancent en parallèle : le moteur réutilisable Prometheus et le démonstrateur Themis qui doit déblayer la route pour les fusées Ariane de prochaines générations (on parle parfois d’Ariane Next).
Prometheus a fait vrombir ses turbines pour la première fois il y a un an avec un allumage pendant 12 secondes du moteur. Le 20 juin 2025, ArianeGroup annonce avoir réussi avec succès « un essai comprenant quatre démarrages successifs sur son banc d’essai à Vernon ». Une étape importante pour la suite du programme.
L’Europe assume une prise de risque relativement importante
« Cette capacité de redémarrage d’un moteur à poussée variable ré-utilisable de classe 100 tonnes, comme Prometheus, est unique en Europe », affirme ArianeGroup. L’entreprise vante au passage l’agilité de son projet en mode « test and learn » et assume « une prise de risque relativement importante dans le but d’accélérer l’apprentissage ». Cette méthode est à la base du fonctionnement de SpaceX, qui n’hésite même pas à tester certaines procédures sur des vols commerciaux (comme les premiers retours des premiers étages).
Prometheus est un acronyme pour Precursor Reusable Oxygen METHan cost Effective Engin. Comme son nom l’indique, il vise aussi à réduire les coûts. Le moteur utilise pour cela des ergols liquides (méthane et oxygène) : « Le méthane permet une combustion propre et simplifie la manutention, pour permettre la réutilisation et réduire le coût des opérations au sol avant et après le vol ». Par rapport au moteur Vulcain de l’étage central de l’ancien lanceur Ariane 5, le coût de fabrication serait divisé par un facteur dix, affirmait il y a quelques années ArianeGroup.
Themis, un démonstrateur du futur premier étage Ariane
Un moteur, c’est bien, mais une fusée réutilisable, c’est mieux. Pour y arriver, le projet Themis a été lancé sous la forme d’un démonstrateur. Ce projet a été validé lors de la Conférence Ministérielle de l’ESA Space 19 +.
Il s’agit d’un étage principal réutilisable développé en partenariat avec l’Agence spatiale européenne. Pour le CNES, il s’agit de « prototyper un futur premier étage Ariane, bas coût et réutilisable ». Themis mesure 28 mètres de hauteur pour 3,5 mètres de diamètre et une masse sèche de 30 tonnes.
Il est arrivé au centre spatial SSC Esrange en Suède, « où il est prévu de procéder aux premiers essais de réutilisation en Europe dans le cadre du projet SALTO [acronyme de reuSable strAtegic space Launcher Technologies & Operations, ndlr], qui fait partie du programme de travail sur la recherche et l’innovation spatiales (R&I), de l’Union européenne ».
ArianeGroup explique que le démonstrateur va être mis en configuration de vol, puis érigé sur son pas de tir. Il entamera « au cours des prochaines semaines les premières étapes de la campagne d’essais, les « essais combinés », qui conduiront à la réalisation d’un premier essai en vol à basse altitude dans le cadre du programme SALTO ».
En 2025, les premiers vols verticaux pour Themis
Cette année, sont prévus les premiers vols verticaux à basse altitude, depuis la base de Kiruna en Suède, selon le CNES. Le projet est donc largement en retard sur le calendrier qui prévoyait les premiers vols verticaux – ou « hops » – en 2021, avant de les repousser à 2023, alors qu’ils sont maintenant attendus pour 2025. À l’époque, un essai complet en vol était prévu pour 2025, avec en prime une récupération sur une base maritime.
Ces tests seront importants, car ils permettront de rassembler un maximum de données « pour vérifier le comportement des éléments du lanceur, et apprendre progressivement à maitriser l’ensemble des opérations liées à la réutilisation ».
La Commission européenne vient de mettre en ligne le portail d’accès aux données du DSA qui permet aux chercheurs de demander un accès aux données des très grandes plateformes en ligne.
En effet, l’article 40 du règlement sur les services numériques (DSA) adopté fin 2022 prévoit un mécanisme permettant aux chercheurs d’accéder aux données des plateformes comme X, Google, TikTok, l’App Store qui sont listées par la Commission.
La Commission a adopté ce 2 juillet l’acte délégué qui précise les modalités permettant aux chercheurs d’y accéder. Ils pourront analyser l’impact de ces plateformes sur leurs utilisateurs et sur les débats au sein de l’Union européenne, par exemple. Ce texte permet de palier la fermeture des api gratuites que proposaient il y a quelques années des plateformes comme Twitter tout en élargissant le spectre d’analyse à toutes les très grandes plateformes.
L’acte délégué adopté prévoit que les chercheurs demandent un agrément sur le portail d’accès aux données du DSA. Cette demande sera évaluée par l’un des coordonnateurs des services numériques. En France, c’est l’Arcom qui a été désigné comme tel.
Dans un communiqué, celle-ci affirme qu’elle « entend œuvrer à la pleine appropriation de ce nouveau mécanisme par les chercheurs ».
Vingt fois sur le pas de tir remettez votre lanceur…
Alors que SpaceX et d’autres acteurs du New Space misent depuis longtemps sur le réutilisable pour les premiers étages des fusées, l’Europe est à la traine, même si des projets sont en préparation depuis des années. Deux d’entre eux viennent de passer des étapes importantes : le moteur Prometheus et le démonstrateur Themis.
Cela fait maintenant près de huit ans que l’Europe travaille sur des lanceurs réutilisables, afin de concurrencer des fusées telles que les Falcon 9 de SpaceX. Deux projets avancent en parallèle : le moteur réutilisable Prometheus et le démonstrateur Themis qui doit déblayer la route pour les fusées Ariane de prochaines générations (on parle parfois d’Ariane Next).
Prometheus a fait vrombir ses turbines pour la première fois il y a un an avec un allumage pendant 12 secondes du moteur. Le 20 juin 2025, ArianeGroup annonce avoir réussi avec succès « un essai comprenant quatre démarrages successifs sur son banc d’essai à Vernon ». Une étape importante pour la suite du programme.
L’Europe assume une prise de risque relativement importante
« Cette capacité de redémarrage d’un moteur à poussée variable ré-utilisable de classe 100 tonnes, comme Prometheus, est unique en Europe », affirme ArianeGroup. L’entreprise vante au passage l’agilité de son projet en mode « test and learn » et assume « une prise de risque relativement importante dans le but d’accélérer l’apprentissage ». Cette méthode est à la base du fonctionnement de SpaceX, qui n’hésite même pas à tester certaines procédures sur des vols commerciaux (comme les premiers retours des premiers étages).
Prometheus est un acronyme pour Precursor Reusable Oxygen METHan cost Effective Engin. Comme son nom l’indique, il vise aussi à réduire les coûts. Le moteur utilise pour cela des ergols liquides (méthane et oxygène) : « Le méthane permet une combustion propre et simplifie la manutention, pour permettre la réutilisation et réduire le coût des opérations au sol avant et après le vol ». Par rapport au moteur Vulcain de l’étage central de l’ancien lanceur Ariane 5, le coût de fabrication serait divisé par un facteur dix, affirmait il y a quelques années ArianeGroup.
Themis, un démonstrateur du futur premier étage Ariane
Un moteur, c’est bien, mais une fusée réutilisable, c’est mieux. Pour y arriver, le projet Themis a été lancé sous la forme d’un démonstrateur. Ce projet a été validé lors de la Conférence Ministérielle de l’ESA Space 19 +.
Il s’agit d’un étage principal réutilisable développé en partenariat avec l’Agence spatiale européenne. Pour le CNES, il s’agit de « prototyper un futur premier étage Ariane, bas coût et réutilisable ». Themis mesure 28 mètres de hauteur pour 3,5 mètres de diamètre et une masse sèche de 30 tonnes.
Il est arrivé au centre spatial SSC Esrange en Suède, « où il est prévu de procéder aux premiers essais de réutilisation en Europe dans le cadre du projet SALTO [acronyme de reuSable strAtegic space Launcher Technologies & Operations, ndlr], qui fait partie du programme de travail sur la recherche et l’innovation spatiales (R&I), de l’Union européenne ».
ArianeGroup explique que le démonstrateur va être mis en configuration de vol, puis érigé sur son pas de tir. Il entamera « au cours des prochaines semaines les premières étapes de la campagne d’essais, les « essais combinés », qui conduiront à la réalisation d’un premier essai en vol à basse altitude dans le cadre du programme SALTO ».
En 2025, les premiers vols verticaux pour Themis
Cette année, sont prévus les premiers vols verticaux à basse altitude, depuis la base de Kiruna en Suède, selon le CNES. Le projet est donc largement en retard sur le calendrier qui prévoyait les premiers vols verticaux – ou « hops » – en 2021, avant de les repousser à 2023, alors qu’ils sont maintenant attendus pour 2025. À l’époque, un essai complet en vol était prévu pour 2025, avec en prime une récupération sur une base maritime.
Ces tests seront importants, car ils permettront de rassembler un maximum de données « pour vérifier le comportement des éléments du lanceur, et apprendre progressivement à maitriser l’ensemble des opérations liées à la réutilisation ».
Il est de retour ! Corsair revient avec une nouvelle version de son K70, cette fois-ci dans une version PRO TKL. Au menu : des switches magnétiques Corsair MGX, une construction solide et la promesse d’une latence quasi nulle grâce à la technologie AXON maison avec un hyper polling rate jusqu’à 8000 Hz. Affiché aux alentours dès 179 €, il vise clairement le haut du panier. Pour autant, la concurrence est désormais bien installée sur ce secteur dans lequel sa version Core peinait à se démarquer. Qu’en est-il de cette nouvelle déclinaison ? C’est ce que nous allons tenter de déterminer.
Le studio FromSoftware, Inc. nous annonce le déploiement d'un patch 1.01.4 à destination de son jeu ELDEN RING NIGHTREIGN, classiquement, le téléchargement devrait vous être proposé à l'ouverture de votre launcher.
Concrètement, la mise à jour s'attache à corriger divers bugs constatés par la communauté. […]
Zoup, on commence les tests tôt ce jour et nous vous proposons de découvrir le dernier clavier de Corsair, avec le K70 PRO TKL. Un clavier mécanique à destination des joueurs qui exploitent des switchs MGX ajustables et linéaires, pré-lubrifiés et à effet Hall.
C'est tout simplement ici : Test clavier Corsair K70 PRO TKL ou en cliquant sur la source. […]
Vous le savez, le 1 er juillet, NVIDIA a lancé un nouveau modèle de carte graphique avec la RTX 5050. Une carte entrée de gamme qui est en GB207, avec 2560 Cuda Cores et 8 Go de mémoire vidéo, en GDDR6 et en 128 bits. Nous serons sur une vitesse mémoire de 20 Gbps, ce qui nous donnera une bande passante de 320 Go/sec, comme sur les dernières carte graphique AMD. Le TDP de ce modèle est de 135 watts et un seul et unique connecteur 8 PIN PCI Express est nécessaire pour faire fonctionner la carte. Le MSRP de ce modèle est de 249 dollars. […]
C'est le constat de Hardware Unboxed, qui a décidé de confronter des drivers récents d'AMD à ceux proposés lors des reviews, pour la RX 9070 XT, cela semble sans appel, la carte progresse en moyenne de 9 % et dépasse désormais la RTX 5070 Ti, qui elle ne connait qu'une progression de 2.5 % sur la même période, en 1440p, la situation est moins glorieuse en 2160p.
Les tests semblent n'avoir été effectués que dans des jeux raster, notre test initial, de la RX 9070 XT, la plaçait déjà devant la RTX 5070 Ti, dans cette situation, mais cela s'inversait dans les jeux Ray Tracing (assez largement). Le tarif demeure à l'avantage de la carte d'AMD, la RX 9070 XT est proposée, au tarif le plus abordable, pour 90 euros de moins que la plus accessible des RTX 5070 Ti. […]
Un premier patch 1.1.10.0 vient d'être déployé pour le jeu Dune: Awakening, le studio Funcom estime que le téléchargement devrait vous être proposé à l'ouverture de votre launcher, toutefois, si ce n'est pas le cas, il vous recommande de le redémarrer.
Le studio nous promet divers ajustements de gameplay et diverses corrections, la liste complète est la suivante : […]
Microsoft a confirmé mercredi au Seattle Times qu’un nouveau tour de vis se préparait au sein de ses équipes. L’entreprise affiche son intention de se séparer d’un maximum de 4 % de ses effectifs, soit environ 9 000 personnes, sans préciser comment ces coupes franches allaient se répartir entre les différentes unités business et implantations géographiques.
Il semblerait tout de même que la division jeu vidéo soit concernée au premier chef, avec des réductions d’effectifs envisagées dans plusieurs studios du groupe. King, éditeur de Candy Crush, tombé dans le giron de Microsoft suite au rachat d’Activision Blizzard, devrait par exemple se séparer d’environ 200 personnes, soit 10 % de ses équipes.
Un courrier adressé aux salariés par Phil Spencer, patron de la division Xbox, illustre la justification avancée par Microsoft : diminuer au maximum les couches intermédiaires de management quand elles ne sont pas indispensables, et réduire les effectifs sur les sujets les moins stratégiques, pour concentrer les efforts sur les projets considérés comme les plus porteurs.
Microsoft, qui compte environ 228 000 employés dans le monde, multiplie les vagues de départ depuis deux ans. En mai, l’entreprise avait déjà entrepris de faire sortir quelque 6 000 personnes. En 2024, l’éditeur avait déjà procédé à des réductions d’effectifs au sein des branches HoloLens et Azure, ainsi que dans sa division jeux vidéo. Début 2023, Satya Nadella avait annoncé un plan de départ visant 10 000 postes.
Microsoft a publié le 30 avril dernier ses résultats pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2025, clos au 31 mars. L’entreprise fait état d’un chiffre d’affaires de 70,1 milliards de dollars, en hausse de 13 % sur un an, et d’un résultat net de 25,8 milliards de dollars sur le trimestre.
Microsoft a confirmé mercredi au Seattle Times qu’un nouveau tour de vis se préparait au sein de ses équipes. L’entreprise affiche son intention de se séparer d’un maximum de 4 % de ses effectifs, soit environ 9 000 personnes, sans préciser comment ces coupes franches allaient se répartir entre les différentes unités business et implantations géographiques.
Il semblerait tout de même que la division jeu vidéo soit concernée au premier chef, avec des réductions d’effectifs envisagées dans plusieurs studios du groupe. King, éditeur de Candy Crush, tombé dans le giron de Microsoft suite au rachat d’Activision Blizzard, devrait par exemple se séparer d’environ 200 personnes, soit 10 % de ses équipes.
Un courrier adressé aux salariés par Phil Spencer, patron de la division Xbox, illustre la justification avancée par Microsoft : diminuer au maximum les couches intermédiaires de management quand elles ne sont pas indispensables, et réduire les effectifs sur les sujets les moins stratégiques, pour concentrer les efforts sur les projets considérés comme les plus porteurs.
Microsoft, qui compte environ 228 000 employés dans le monde, multiplie les vagues de départ depuis deux ans. En mai, l’entreprise avait déjà entrepris de faire sortir quelque 6 000 personnes. En 2024, l’éditeur avait déjà procédé à des réductions d’effectifs au sein des branches HoloLens et Azure, ainsi que dans sa division jeux vidéo. Début 2023, Satya Nadella avait annoncé un plan de départ visant 10 000 postes.
Microsoft a publié le 30 avril dernier ses résultats pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2025, clos au 31 mars. L’entreprise fait état d’un chiffre d’affaires de 70,1 milliards de dollars, en hausse de 13 % sur un an, et d’un résultat net de 25,8 milliards de dollars sur le trimestre.
SONY a officialisé que la PlayStation 5 Pro bénéficiera en 2026 de la version intégrale de la technologie de mise à l'échelle FidelityFX Super Resolution 4 que l'on appelle également le FSR 4. Cette mise à jour apportera exactement le même moteur que celui proposé sur PC depuis sa sortie en mars, en remplacement du système maison PlayStation Spectral Super Resolution que l'on appelle aussi le PSSR, et ce, sans aucune limitation de fonctionnalités. […]
D'après les informations du très respectable Reuters, Intel pourrait opérer un virage stratégique majeur concernant sa technologie de gravure. Le nouveau PDG, Lip-Bu Tan, réfléchirait sérieusement à ne plus proposer le procédé 18A à d'autres entreprises. Ce revirement marquerait une rupture avec la stratégie de Pat Gelsinger, son prédécesseur, qui avait lourdement investi dans le 18A.
Depuis sa prise de fonction en mars, Lip-Bu Tan cherche à réduire les coûts et à trouver des solutions pour relancer un Intel qui est en difficulté depuis maintenant quelque temps. Nouveaux processeurs Arrow Lake-S poussifs, résultats financiers en berne, grosse restructuration interne avec des gros licenciements, ou encore soucis de stabilité. Et donc, dès juin, il aurait fait part de ses inquiétudeset#8239;: le 18A peinerait à séduire de nouveaux clients. […]
Astronomers have detected a mysterious "interstellar object," dubbed A11pl3Z, speeding through the solar system at 152,000 mph. If confirmed, it would be just the third known interstellar visitor, following 'Oumuamua and Comet Borisov. The visiting space object will pass near Mars and the Sun later this year before leaving the solar system forever. Live Science reports: The newly discovered object, currently dubbed A11pl3Z, was first spotted in data collected between June 25 and June 29 by the Asteroid Terrestrial-impact Last Alert System (ATLAS), which automatically scans the night sky using telescopes in Hawaii and South Africa. The mystery object was confirmed by both NASA's Center for Near Earth Object Studies and the International Astronomical Union's Minor Planet Center on Tuesday (July 1), according to EarthSky.org.
A11pl3Z is most likely a large asteroid, or maybe a comet, potentially spanning up to 12 miles (20 kilometers). It is traveling toward the inner solar system at around 152,000 mph (245,000 km/h) and is approaching us from the part of the night sky where the bar of the Milky Way is located. Based on A11pl3Z's speed and trajectory, experts think it originated from beyond the sun's gravitational influence and has enough momentum to shoot straight through our cosmic neighborhood without slowing down. However, more observations are needed to tell for sure.
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) a laissé un vide, dans l’écosystème de la Silicon Valley, pourquoi ne pas la remplacer par une autre banque dont le nom serait plus fun… au hasard, en le tirant des écrits de J.R.R. Tolkien ?
C’est peu ou prou le raisonnement que semblent avoir suivi Palmer Luckey, le cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, soutenu par le Founders Fund de Peter Thiel.
Ce dernier est connu pour avoir lancé de multiples projets nommés d’après l’œuvre de l’auteur du Seigneur des Anneaux (Palantir, Anduril, les fonds Valar Ventures, Narya Capital et Mithril Capital, les holdings Rivendell One et Lembas Capital, etc…). En l’occurrence, la nouvelle banque serait nommée Erebor, comme la Montagne Solitaire de la Terre du Milieu.
Elle aurait pour mission, comme la SVB jusqu’en 2023, de financer start-ups et acteurs des cryptoactifs. Le projet est aussi soutenu par le cofondateur de Palantir et fondateur de la société de capital-risque 8VC Joe Lonsdale.
Pendant la campagne présidentielle, Palmer Luckey et Joe Lonsdale ont été de gros soutiens financiers pour Donald Trump, souligne le Financial Times.
En préparation depuis la chute de la SVB, leur projet viendrait soutenir un écosystème dans lequel le président des États-Unis est désormais très investi.
Erebor sera dirigée par deux CEO : Jacob Hirschman, un ancien du groupe crypto Circle, et Owen Rapaport, co-fondateur de la société Aer Compliance. La présidence devrait par ailleurs être assumée par l’ancien vice-président de la SVB, Mike Hagedorn.
La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) a laissé un vide, dans l’écosystème de la Silicon Valley, pourquoi ne pas la remplacer par une autre banque dont le nom serait plus fun… au hasard, en le tirant des écrits de J.R.R. Tolkien ?
C’est peu ou prou le raisonnement que semblent avoir suivi Palmer Luckey, le cofondateur de la société de technologies militaires Anduril, soutenu par le Founders Fund de Peter Thiel.
Ce dernier est connu pour avoir lancé de multiples projets nommés d’après l’œuvre de l’auteur du Seigneur des Anneaux (Palantir, Anduril, les fonds Valar Ventures, Narya Capital et Mithril Capital, les holdings Rivendell One et Lembas Capital, etc…). En l’occurrence, la nouvelle banque serait nommée Erebor, comme la Montagne Solitaire de la Terre du Milieu.
Elle aurait pour mission, comme la SVB jusqu’en 2023, de financer start-ups et acteurs des cryptoactifs. Le projet est aussi soutenu par le cofondateur de Palantir et fondateur de la société de capital-risque 8VC Joe Lonsdale.
Pendant la campagne présidentielle, Palmer Luckey et Joe Lonsdale ont été de gros soutiens financiers pour Donald Trump, souligne le Financial Times.
En préparation depuis la chute de la SVB, leur projet viendrait soutenir un écosystème dans lequel le président des États-Unis est désormais très investi.
Erebor sera dirigée par deux CEO : Jacob Hirschman, un ancien du groupe crypto Circle, et Owen Rapaport, co-fondateur de la société Aer Compliance. La présidence devrait par ailleurs être assumée par l’ancien vice-président de la SVB, Mike Hagedorn.