Nouveau partenariat pour SCUF, qui vise plus que l'excellence avec des produits sous licence Oracle Red Bull Racing. Bien entendu, ce partenariat va dans les deux sens et nous avons hâte de savoir si d'autres produits suivront, car nous imaginons mal les joueurs esport de l'équipe faire des courses de F1 avec une manette ; mais sait-on jamais...
Quoiqu'il en soit, le quidam peut désormais mettre la main sur des manettes Instinct Pro, Reflex et Envision Pro aux couleurs de l'écurie ORBR, soit du bleu et du rouge et quelques marquages plus ou moins discrets.
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Nous sommes le jeudi 21 novembre ; en première instance, Pierre Palmade a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme, tandis que le plan neige-verglas de niveau 2 a été activé en Ile-de-France. SK Hynix se propose de nous sortir de cette atmosphère poudreuse pour nous plonger dans les couches de sa NAND 4D ; la firme sud-coréenne se targue d’avoir amorcé la production de masse de la « première flash NAND 4D 321-high au monde à triple niveau de cellule, d'une capacité de 1 Tb »... [Tout lire]
Comme la grande majorité des autres docks d’extension graphique du marché, les deux Aoostar XG76 et Aoostar XG76XT embarque des puces AMD. Le premier emploie un Radeon 7600M tandis que le second est propulsé par un Radeon 7600M XT.
Les deux Aoostar XG76 mesurent 20.5 cm de large pour 12.3 cm de profondeur et 4 cm d’épaisseur. Parmi leurs particularités, une double connectique proposant à la fois de l’USB4 et de l’OCuLink pour une plus grande compatibilité. On pourra profiter du dock en USB4 avec une solution type ConsolePC ou portable et 40 Gbps de bande passante tandis que l’OCuLink sera plus rapide une fois connecté à un MiniPC avec 64 Gbps.
L’appareil propose deux sorties DisplayPort, un USB Type-C avec DisplayPort 1.4 et un HDMI pour s’adresser à plusieurs écrans. À noter qu’il propose une interface de connexion à la norme PCIe 4.0 x4 pour d’excellents débits.
Le modèle Aoostar XG76 propose donc une solution graphique Radeon 7600M en RDNA3 avec 28 Compute Units et 8 Go de mémoire GDDR6 dédiée. La puce pilote les technologies FSR 3.0 et Smartshift Max. Le dock consomme 150 watts et assure son propre refroidissement avec une ventilation active et une coque en aluminium. Aoostar annonce une température se situant entre 80 et 90°C pour la carte et un fonctionnement générant entre 48 et 50 dB. Contrairement à certains de ses concurrents, aucune solution de stockage interne n’est proposée.
Annoncé à 499$ HT pour le moment, le dock devrait se retrouver rapidement chez différents revendeurs avec un prix en euros, sans frais de port et depuis un entrepôt local dans les semaines qui viennent.
Le modèle Aoostar XG76XT proposera un Radeon 7600MXT plus puissant, mais est indiqué à 619$ HT sans visibilité de disponibilité pour le moment. Il se base sur le même boitier et dispose donc d’une puce plus rapide avec 32 Compute Units.
A la Ferme, nous aimons bien le format Mini-ITX, même quand le boitier est plutôt imposant à l'image du dernier The Tower 250 de Thermaltake. Il faut dire qu'avec des dimensions de 506 x 300 x 281 mm, il est assez proche du The Tower 300 en Micro-ATX et de ses 551 x 342 x 281 mm. Mais les quelques millimètres de différences peuvent faire la différence sur un bureau encombré, tandis que le refroidissement est logiquement revu à la baisse : exit le radiateur de 420 mm, on passe ici à du 360 mm maximum sur le côté droit. De quoi satisfaire des configurations exigeantes.
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En tant que régulateur des données personnelles, la CNIL a observé l’augmentation des projets d’entrepôts de données de santé. Son laboratoire de recherche, le LINC, a entrepris de lister tous les entrepôts de données de santé situés en France pour les étudier et comprendre les dynamiques en cours. Il partage ses travaux via une carte permettant de les « matérialiser ».
Le laboratoire de la CNIL, le LINC vient de publier sa carte des entrepôts de données de santé (EDS) français. Celle-ci permet de voir la distribution géographique de ses entrepôts, mais aussi d’accéder à certains détails qui les caractérisent.
La CNIL rappelle, dans son communiqué à propos de cette carte, son rôle de régulateur des données personnelles en général. Mais, parmi ces données, celles concernant la santé sont reconnues particulièrement sensibles par le législateur via différentes lois.
On peut citer la loi sur le secret médical, la loi Informatique et Libertés, celle sur l’hébergement des données de santé, la mise à disposition des données de santé ou encore les interdictions de constitution et d’utilisation ou de cessions à des fins de prospection ou de promotion commerciales de certaines informations médicales.
L’autorité de contrôle doit donc particulièrement faire attention à l’utilisation de ces données de santé. Mais, si cette utilisation est très encadrée, elle est indispensable, notamment pour suivre les patients, faire de la recherche, administrer des institutions de soin, par exemple. Les « entrepôts de données de santé » permettent de stocker et de gérer ces données. « Ils peuvent être constitués tant par des acteurs publics (comme un établissement public de soin) que privés (comme un courtier de données ou une startup), sous réserve de respecter le cadre juridique applicable », explique la CNIL.
Une augmentation des projets
Elle explique avoir observé leur multiplication ces derniers temps ainsi que des organismes souhaitant en constituer (voir les deux graphiques ci-dessous). Son laboratoire, le LINC, a donc pris l’initiative de créer un outil « permettant à la fois de comprendre les dynamiques à l’œuvre et d’améliorer la transparence de l’usage des données de santé dans le cadre de la recherche ».
Dans une note plus détaillée, le LINC analyse un peu plus ce développement dont le début a été « assez lent, avec peu de projets sur les deux premières années (2017 – 2018) » mais qui a ensuite connu une « accélération à partir de 2020 avec une prépondérance des acteurs publics et un fort développement des entrepôts « généralistes » ». Le laboratoire de la CNIL explique aussi qu’à partir de 2022, il constate une « diversification des acteurs et des projets ».
Le LINC explique que cette diversification a été « facilitée notamment par la publication du référentiel entrepôt de données de santé l’année précédente (et donc la possibilité de se déclarer conforme), le secteur public se renforçant via des appels à projets et des mises en réseau ».
Il souligne aussi le cas de la plateforme AgorIA d’accès simplifié et sécurisé à de multiples Données de Santé en Vie Réelle (DSVR), qualifié de « notable puisque les co-responsables sont deux entreprises pharmaceutiques, une entreprise de conseil et d’innovation dans le secteur de la santé et une entreprise du secteur numérique, soit une co-responsabilité de quatre acteurs distincts pour un même entrepôt ».
Le laboratoire tient aussi à souligner un changement du côté des entrepôts de données de santé hospitaliers (EDSH) en citant le rapport de la HAS [PDF] sur le sujet : « Les premiers EDSH ont été conçus pour faciliter la construction de l’information hospitalière pour le financement ou le pilotage des établissements et pour des usages proches du soin. C’est aujourd’hui la finalité de recherche qui motive la construction et le développement des EDSH ».
Une concentration sur Paris peu étonnante
Le LINC souligne qu’à la mi-2024, « les acteurs responsables d’EDS en France sont localisés à 48,5% dans la région Ile-de-France, portée notamment par une présence plus grande d’acteurs privés (les sièges sociaux d’entreprises) et d’acteurs privés à but non lucratif (les sièges sociaux d’associations, de Centres de lutte contre le cancer – CLCC, etc.). Le secteur public y représente par ailleurs moins d’un tiers (27%), quand il représente pourtant 48% à l’échelle nationale ».
L’Auvergne-Rhône-Alpes vient en deuxième position, mais loin derrière, avec 9,5 %, « porté par des organisations privées à but non lucratif, composé de réseaux de recherche (Groupe Français de Pneumo-Cancérologie, Lymphoma Academic Research Organisation, Réseau des urgences de la vallée du Rhône) et du secteur public (CHU de Grenoble, Lyon et le CH d’Annecy Genevois) ». Il remarque que les tendances et répartitions sur le territoire « changent finalement assez peu au fil du temps, l’importance de la région parisienne se renforçant au fil du temps » et note l’absence du sud de la France.
Sur la carte de la CNIL, sont donnés, en plus de la localisation géographique du dépôt :
le nom et une description de l’acteur gérant l’entrepôt ;
le statut de l’acteur (public, privé ou privé à but non lucratif) ;
le nom et une description de ou des entrepôts géré(s) par cet acteur ;
la date de l’autorisation ou de déclaration de conformité de l’entrepôt (si applicable).
Un « rappel méthodologique et de lecture de la cartographie » est aussi fourni par le laboratoire.
Les responsables de la sécurité informatique de l’Assemblée ont adressé aux députés un e-mail, consulté par POLITICO, les alertant de plusieurs « compromissions de compte » Telegram.
Plusieurs députés auraient, en effet, cliqué sur un lien frauduleux leur proposant notamment de visionner des photos « de votre professeur d’école primaire ». La compromission toucherait « tous les groupes politiques », explique à POLITICO un député, qui précise avoir vu plusieurs de ses collègues « faire la queue au comptoir du numérique de l’Assemblée », en charge d’aiguiller les élus sur leurs pratiques numériques.
Il leur a été recommandé de changer leur mot de passe et d’activer la double authentification pour accéder à leur compte.
La semaine passée, La Lettre avait par ailleurs révélé que Matignon avait donné pour consigne aux membres du gouvernement et à leurs cabinets de privilégier la messagerie chiffrée Signal. Les services du ministère de l’Intérieur ont en outre invité les conseillers ministériels à désinstaller Telegram de leurs téléphones.
Ces voltefaces interviennent alors qu’il y a un an, une circulaire avait obligé les cabinets ministériels à migrer sur Olvid en une semaine seulement. La circulaire, signée par Élisabeth Borne, avait depuis été balayée lorsque Gabriel Attal l’avait remplacée. La Lettre ne précise pas si les services de Michel Barnier ont émis des recommandations pour ce qui est de l’utilisation de la messagerie sécurisée française Olvid.
Dans un document déposé [PDF] auprès de la Cour américaine du district de Columbia, le ministère de la Justice américain a demandé officiellement mercredi 20 novembre que Google soit obligé de vendre son navigateur Chrome. Celui-ci avantagerait trop la position de son moteur de recherche, alors que l’entreprise a été reconnue coupable d’abus de position dominante, comme nous l’expliquions en début de semaine.
« La propriété et le contrôle par Google de Chrome et d’Android – des méthodes clés pour la distribution des moteurs de recherche aux consommateurs – posent un défi important pour mettre en œuvre une mesure corrective », affirme le ministère. Il ajoute que, « pour relever ces défis, Google doit se défaire de Chrome ».
Google a répondu rapidement via un billet de blog, qualifiant cette position de « programme interventionniste radical qui nuirait aux Américains et au leadership technologique mondial de l’Amérique ». L’entreprise estime que « la proposition largement excessive du ministère de la Justice va bien au-delà de la décision de la Cour ».
Rappelons que c’est le juge Amit P. Mehta, chargé du dossier, qui prendra la décision finale. Il a prévu une audience en avril sur les différents changements à apporter et devrait rendre son avis final en aout 2025. L’entreprise a d’ores et déjà affirmé vouloir faire appel de la décision du juge.
Avec ses nouvelles puces Snapdragon X Plus et Elite, Qualcomm est revenu en force sur le marché des ordinateurs portables. Ce n’est pas sa première tentative, mais elle porte cette fois ses fruits. Ces puces utilisent des cœurs CPU maison Oryon (architecture Arm).
Il y a tout juste un mois, Qualcomm annonçait son SoC Snapdragon 8 Elite pour les smartphones, avec là encore des cœurs Oryon. Le fabricant précisait qu’il s’agissait de cœurs de seconde génération, sans plus de détails.
Lors de sa journée Investor Day, Qualcomm a parlé de sa troisième génération de cœur Oryon, de nouveau pensé pour les ordinateurs portables… Ce qui n’est pas des plus simples à suivre et promet quelques mélanges entre les cœurs « Oryon » pour smartphones et ceux pour ordinateurs.
Quoi qu’il en soit, cette troisième génération (mais qui serait la seconde itération pour les ordinateurs portables) devrait être présentée en fin d’année prochaine lors du Snapdragon Summit. Elle pourrait s’appeler Snapdragon X Elite Gen 2, sauf si Qualcomm décide encore une fois de chambouler ses gammes…
Selon cette capture partagée par ComputerBase, les performances de la 2e génération des cœurs Oryon seraient 30 % supérieures à consommation égale et la consommation en baisse de 57 % à performances égales, le tout sur Geekbench avec un seul cœur actif. Mais ce n’est pas ce cœur qu’on devrait retrouver dans les Snapdragon X Elite Gen 2, mais bien la troisième génération qui devrait encore améliorer les choses.
Qualcomm devrait aussi continuer de décliner ses puces vers l’entrée de gamme, et prévoit des machines à partir de 600 dollars. Cet été, le fabricant a pour rappel lancé son premier SoC Snapdragon X Plus avec 8 cœurs seulement, au lieu de 10 auparavant.
En tant que régulateur des données personnelles, la CNIL a observé l’augmentation des projets d’entrepôts de données de santé. Son laboratoire de recherche, le LINC, a entrepris de lister tous les entrepôts de données de santé situés en France pour les étudier et comprendre les dynamiques en cours. Il partage ses travaux via une carte permettant de les « matérialiser ».
Le laboratoire de la CNIL, le LINC vient de publier sa carte des entrepôts de données de santé (EDS) français. Celle-ci permet de voir la distribution géographique de ses entrepôts, mais aussi d’accéder à certains détails qui les caractérisent.
La CNIL rappelle, dans son communiqué à propos de cette carte, son rôle de régulateur des données personnelles en général. Mais, parmi ces données, celles concernant la santé sont reconnues particulièrement sensibles par le législateur via différentes lois.
On peut citer la loi sur le secret médical, la loi Informatique et Libertés, celle sur l’hébergement des données de santé, la mise à disposition des données de santé ou encore les interdictions de constitution et d’utilisation ou de cessions à des fins de prospection ou de promotion commerciales de certaines informations médicales.
L’autorité de contrôle doit donc particulièrement faire attention à l’utilisation de ces données de santé. Mais, si cette utilisation est très encadrée, elle est indispensable, notamment pour suivre les patients, faire de la recherche, administrer des institutions de soin, par exemple. Les « entrepôts de données de santé » permettent de stocker et de gérer ces données. « Ils peuvent être constitués tant par des acteurs publics (comme un établissement public de soin) que privés (comme un courtier de données ou une startup), sous réserve de respecter le cadre juridique applicable », explique la CNIL.
Une augmentation des projets
Elle explique avoir observé leur multiplication ces derniers temps ainsi que des organismes souhaitant en constituer (voir les deux graphiques ci-dessous). Son laboratoire, le LINC, a donc pris l’initiative de créer un outil « permettant à la fois de comprendre les dynamiques à l’œuvre et d’améliorer la transparence de l’usage des données de santé dans le cadre de la recherche ».
Dans une note plus détaillée, le LINC analyse un peu plus ce développement dont le début a été « assez lent, avec peu de projets sur les deux premières années (2017 – 2018) » mais qui a ensuite connu une « accélération à partir de 2020 avec une prépondérance des acteurs publics et un fort développement des entrepôts « généralistes » ». Le laboratoire de la CNIL explique aussi qu’à partir de 2022, il constate une « diversification des acteurs et des projets ».
Le LINC explique que cette diversification a été « facilitée notamment par la publication du référentiel entrepôt de données de santé l’année précédente (et donc la possibilité de se déclarer conforme), le secteur public se renforçant via des appels à projets et des mises en réseau ».
Il souligne aussi le cas de la plateforme AgorIA d’accès simplifié et sécurisé à de multiples Données de Santé en Vie Réelle (DSVR), qualifié de « notable puisque les co-responsables sont deux entreprises pharmaceutiques, une entreprise de conseil et d’innovation dans le secteur de la santé et une entreprise du secteur numérique, soit une co-responsabilité de quatre acteurs distincts pour un même entrepôt ».
Le laboratoire tient aussi à souligner un changement du côté des entrepôts de données de santé hospitaliers (EDSH) en citant le rapport de la HAS [PDF] sur le sujet : « Les premiers EDSH ont été conçus pour faciliter la construction de l’information hospitalière pour le financement ou le pilotage des établissements et pour des usages proches du soin. C’est aujourd’hui la finalité de recherche qui motive la construction et le développement des EDSH ».
Une concentration sur Paris peu étonnante
Le LINC souligne qu’à la mi-2024, « les acteurs responsables d’EDS en France sont localisés à 48,5% dans la région Ile-de-France, portée notamment par une présence plus grande d’acteurs privés (les sièges sociaux d’entreprises) et d’acteurs privés à but non lucratif (les sièges sociaux d’associations, de Centres de lutte contre le cancer – CLCC, etc.). Le secteur public y représente par ailleurs moins d’un tiers (27%), quand il représente pourtant 48% à l’échelle nationale ».
L’Auvergne-Rhône-Alpes vient en deuxième position, mais loin derrière, avec 9,5 %, « porté par des organisations privées à but non lucratif, composé de réseaux de recherche (Groupe Français de Pneumo-Cancérologie, Lymphoma Academic Research Organisation, Réseau des urgences de la vallée du Rhône) et du secteur public (CHU de Grenoble, Lyon et le CH d’Annecy Genevois) ». Il remarque que les tendances et répartitions sur le territoire « changent finalement assez peu au fil du temps, l’importance de la région parisienne se renforçant au fil du temps » et note l’absence du sud de la France.
Sur la carte de la CNIL, sont donnés, en plus de la localisation géographique du dépôt :
le nom et une description de l’acteur gérant l’entrepôt ;
le statut de l’acteur (public, privé ou privé à but non lucratif) ;
le nom et une description de ou des entrepôts géré(s) par cet acteur ;
la date de l’autorisation ou de déclaration de conformité de l’entrepôt (si applicable).
Un « rappel méthodologique et de lecture de la cartographie » est aussi fourni par le laboratoire.
L’équipe sécurité de Canonical indique avoir publié des mises à jour de sécurité dédiées à deux paquets présents dans les différentes variantes d’Ubuntu, mais aussi de Debian et d’autres distributions : needrestart et libmodule-scandeps-perl.
Elles corrigent un ensemble de cinq vulnérabilités (CVE-2024-48990, CVE-2024-48991, CVE-2024-48992, CVE-2024-11003, CVE-2024-10224), découvertes par l’éditeur Qualys, grâce auxquelles un attaquant disposant d’un accès local (au moyen par exemple d’un malware ou d’un compte utilisateur compromis) serait en mesure d’obtenir des droits administrateur sur la machine visée.
« Dans deux des vulnérabilités, CVE-2024-48990 et CVE-2024-48922, l’attaquant local peut définir une variable d’environnement (PYTHONPATH ou RUBYLIB), puis exécuter un script pour attendre que needrestart s’exécute et l’amener à utiliser l’environnement de l’attaquant pour exécuter du code arbitraire », illustre l’éditeur.
Certains y verront sans doute une forme d’ironie : needrestart est l’utilitaire chargé de déterminer si un service doit être redémarré après l’application d’une mise à jour.
Toutes les versions actuellement maintenues d’Ubuntu sont concernées par la mise à jour, de la 16.04 à la récente 24.10.
Thermaltake a fait un mélange des genres. Dans son catalogue Tower mini tour, on trouve deux références : le Tower 200 qui est mini-ITX mais qui a de la place en hauteur, et le Tower 300, un boitier mini-ITX / µATX que nous avons par ailleurs déjà testé dans nos colonnes. Avec son Tower 250, Thermal...
An anonymous reader quotes a report from The Verge: After asking both SpaceX and Blue Origin to develop cargo landers for its Artemis missions, NASA has announced plans to use those landers to deliver heavy equipment to the Moon. The agency wants Elon Musk's SpaceX to use its Starship cargo lander to deliver a pressurized rover to the Moon "no earlier" than 2032, while Jeff Bezos' Blue Origin will be tasked with delivering a lunar surface habitat no sooner than 2033. Both launches will support NASA's Artemis missions, which aim to bring humans back to the Moon for the first time in over 50 years.
Both companies are developing human landing systems for Artemis missions -- SpaceX for Artemis III and Blue Origin for Artemis V. NASA later asked both companies to develop cargo-hauling variants of those landers, capable of carrying 26,000 to 33,000 pounds of equipment and other materials to the Moon. NASA says it will issue proposals to SpaceX and Blue Origin at the beginning of next year.
Publiée le 18 novembre dernier, la dernière version en date du modeleur 3D open source FreeCAD corrige un problème historique du logiciel. Pour l’occasion, le logiciel bascule dans une branche stable, et se voit affublé d’une version 1.0, plus de vingt ans après la sortie de sa première version, en 2002.
FreeCAD, distribué sous licence LGPL et disponible sous Windows, macOS ou Linux, appartient pour mémoire à la famille des outils de CAO 3D open source. Il se destine principalement à la conception d’objets « réels » de toute taille, de la mécanique de précision à l’ingénierie d’un bâtiment.
Et si FreeCAD passe finalement en version 1.0, c’est parce que l’équipe en charge du projet indique avoir enfin corrigé l’un des défauts historiques du logiciel, son « problème de dénomination topologique ».
De quoi s’agit-il ? Ce problème « fait référence au conséquences d’une forme qui change de nom interne après une opération de modélisation (protrusion, coupe, union, chanfrein, congé, etc.). Cela a pour conséquence la casse ou le calcul incorrect d’autres caractéristiques paramétriques dépendantes de cette forme », indique le wiki dédié au logiciel.
Pour corriger ce problème (inhérent à tous les logiciels de conception 3D), l’équipe indique avoir planché pendant plus d’un an à l’intégration d’un algorithme dédié. Elle salue par ailleurs la mémoire de Bradley McLean (bgbsww), l’un des principaux artisans de cette intégration, à qui est dédiée cette version 1.0.
FreeCAD 1.0 inaugure par ailleurs un nouvel atelier d’assemblage intégré, des améliorations au niveau de l’interface utilisateur, à commencer par l’affichage d’un indicateur de centre de rotation, ou de nouveaux filtres de sélection. Le logiciel s’orne également d’un nouveau logo.
Les notes de version détaillent la liste complète des changements, également analysée au travers de cette dépêche Linuxfr.
Les responsables de la sécurité informatique de l’Assemblée ont adressé aux députés un e-mail, consulté par POLITICO, les alertant de plusieurs « compromissions de compte » Telegram.
Plusieurs députés auraient, en effet, cliqué sur un lien frauduleux leur proposant notamment de visionner des photos « de votre professeur d’école primaire ». La compromission toucherait « tous les groupes politiques », explique à POLITICO un député, qui précise avoir vu plusieurs de ses collègues « faire la queue au comptoir du numérique de l’Assemblée », en charge d’aiguiller les élus sur leurs pratiques numériques.
Il leur a été recommandé de changer leur mot de passe et d’activer la double authentification pour accéder à leur compte.
La semaine passée, La Lettre avait par ailleurs révélé que Matignon avait donné pour consigne aux membres du gouvernement et à leurs cabinets de privilégier la messagerie chiffrée Signal. Les services du ministère de l’Intérieur ont en outre invité les conseillers ministériels à désinstaller Telegram de leurs téléphones.
Ces voltefaces interviennent alors qu’il y a un an, une circulaire avait obligé les cabinets ministériels à migrer sur Olvid en une semaine seulement. La circulaire, signée par Élisabeth Borne, avait depuis été balayée lorsque Gabriel Attal l’avait remplacée. La Lettre ne précise pas si les services de Michel Barnier ont émis des recommandations pour ce qui est de l’utilisation de la messagerie sécurisée française Olvid.
Nombreux ajouts à la série OfficePal chez Sharkoon avec pas moins de quatre nouvelles chaises qui viennent se placer à des tarifs plutôt agressifs.
Pour le haut de gamme, le C40 se décline en deux versions avec une assise en mesh ou en tissu. Deux produits assez différents donc, avec un dossier qui reste en mesh dans tous les cas, y compris pour l'appui-tête installé par défaut. Les réglages se montrent nombreux avec un ajustement de la profondeur de l'assise et de la hauteur du dossier, tandis que le mécanisme est simplement de type bascule. A moins de 300 U+20AC et avec une charge maximale de 150 kg, voilà un siège qui semble intéressant sur le papier, et discret.
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DSO gaming nous propose un nouveau dossier portant sur la dernière création du studio CSC GameWorld, un certain S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl. Huit cartes ont affronté la zone contaminée : AMD Radeon RX580, RX Vega 64, RX 6900 XT, RX 7900 XTX, NVIDIA GTX 980 Ti, RTX 2080 Ti, RTX 3080 et RTX 4090. Les résultats sont consultables ici : STALKER 2 Benchmarks et PC Performance Analysis. En 1080p, la RX 6900 XT passe les 60 fps. En 1440p, il faut déjà une RX 7900 XTX franchir les 60 fps et en 2160p, aucune passe la marque symbolique. Le jeu nécessite pleinement l'utilisation des solutions d'upscaling, même si vous possédez une configuration haut de gamme.
En termes de processeur, le meilleur compromis semble être un 8 cores et 8 threads.
John Papadopoulos souligne la beauté du jeu et une IA innovante, même si certains défauts sont évidemment présents. […]
Petite mise à jour à venir pour le boitier TALOS E3 de GAMDIAS, qui sera prochainement de retour en version CG avec une façade en verre trempé incurvé. Pas de quoi permettre une vue plus complète sur les composants, on parle ici d'une façade classique avec une partie incurvée à gauche comme à droite. C'est joli, c'est bien réalisé, mais ça ne change pas le style fondamental du boitier.
La partie basse reste ainsi en mesh, lui aussi incurvé sur les côtés, tandis que le verre dispose de découpes sur les côtés pour permettre à l'air de circuler un minimum. Simple et efficace finalement ? En blanc comme en noir, la recette devrait plaire.
[…]