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Référencement IA : Google a délibérément choisi de forcer la main aux éditeurs

23 mai 2025 à 11:12
Référencement IA : Google a délibérément choisi de forcer la main aux éditeurs

Google utilise un seul robot pour à la fois indexer le web et récupérer des données pour ses outils d’IA. Un document interne montre que c’est un choix délibéré. L’entreprise a hésité à laisser différentes options aux éditeurs, mais a opté pour n’en laisser aucune, sans rien dire publiquement.

Pas le choix, si les éditeurs de sites web veulent être indexés par le moteur de recherche de Google, ils doivent autoriser de facto l’entreprise à moissonner leurs sites pour ses outils d’IA. On le savait déjà, mais un document interne montre que l’entreprise a volontairement exclu l’idée de donner le choix.

Bloomberg l’a découvert dans le dossier du procès sur l’abus de position de Google dans la recherche web.

Une ligne rouge : la séparation entre recherche sur le Web et entrainement des IA

Dans ce document [PDF], Google estime bien avoir six options pour la granularité du contrôle donné aux éditeurs, allant d’une réelle séparation entre indexation et entrainement à l’option extrême de ne proposer aucun contrôle. Le schéma inclus rejette pourtant directement la séparation claire derrière une « ligne rouge bloquante » :

Parmi ces options, Google a évoqué la possibilité d’un « opt-out SGE-only », qui aurait permis le refus de l’utilisation des données dans certaines fonctions d’IA générative de Google Search, sans pour autant être exclu du moteur de recherche lui-même.

Un choix délibéré de ne pas donner de nouveaux contrôles

Finalement, l’entreprise a choisi de ne pas donner « de nouveaux contrôles sur la recherche ». Dans ce document, une responsable gestion produits chez Google Search, Chetna Bindra, écrit noir sur blanc qu’ « au minimum, notre position actuelle en matière de produits devrait être l’option 2 : faire ce que l’on dit, dire ce que l’on fait, mais prudemment ».

Google a décidé de « mettre à jour silencieusement » et « sans annonce publique » sur sa façon dont l’entreprise utilise les données des éditeurs de sites. Dans le document, Google indique clairement sa volonté de cacher les détails des différences entre l’entrainement de ses IA Gemini et de son système pour son moteur de recherche.

« Un peu accablant »

Devant le tribunal, Paul Bannister, responsable chez Raptive (une entreprise qui aide environ 5 000 éditeurs de sites à gagner de l’argent grâce à leurs contenus) a affirmé : « c’est un peu accablant », ajoutant que « cela montre clairement qu’ils savaient qu’il existait une série d’options et qu’ils ont choisi la plus conservatrice et la plus protectrice d’entre elles, à savoir celle qui n’offrait aucun contrôle aux éditeurs ».

Interrogée par The Verge, Google affirme que ce document était une première liste d’options envisagées alors que l’entreprise faisait évoluer sa recherche boostée par l’IA. Selon l’entreprise, il ne reflèterait pas les décisions prises finalement. « Les éditeurs ont toujours contrôlé la manière dont leur contenu est mis à la disposition de Google, car des modèles d’IA sont intégrés dans le moteur de recherche depuis de nombreuses années, ce qui permet de mettre en évidence les sites pertinents et de générer du trafic vers ces derniers », ajoute-t-elle.

Nos confrères de The Verge font remarquer que la documentation de Google indique que le paramètre nosnippet « s’applique à tous les types de résultats de recherche (sur Google : recherche sur le Web, Google Images, Discover, Aperçus IA, Mode IA) et empêche également l’utilisation du contenu en tant qu’entrée directe pour les Aperçus IA et le Mode IA ».

Référencement IA : Google a délibérément choisi de forcer la main aux éditeurs

23 mai 2025 à 11:12
Référencement IA : Google a délibérément choisi de forcer la main aux éditeurs

Google utilise un seul robot pour à la fois indexer le web et récupérer des données pour ses outils d’IA. Un document interne montre que c’est un choix délibéré. L’entreprise a hésité à laisser différentes options aux éditeurs, mais a opté pour n’en laisser aucune, sans rien dire publiquement.

Pas le choix, si les éditeurs de sites web veulent être indexés par le moteur de recherche de Google, ils doivent autoriser de facto l’entreprise à moissonner leurs sites pour ses outils d’IA. On le savait déjà, mais un document interne montre que l’entreprise a volontairement exclu l’idée de donner le choix.

Bloomberg l’a découvert dans le dossier du procès sur l’abus de position de Google dans la recherche web.

Une ligne rouge : la séparation entre recherche sur le Web et entrainement des IA

Dans ce document [PDF], Google estime bien avoir six options pour la granularité du contrôle donné aux éditeurs, allant d’une réelle séparation entre indexation et entrainement à l’option extrême de ne proposer aucun contrôle. Le schéma inclus rejette pourtant directement la séparation claire derrière une « ligne rouge bloquante » :

Parmi ces options, Google a évoqué la possibilité d’un « opt-out SGE-only », qui aurait permis le refus de l’utilisation des données dans certaines fonctions d’IA générative de Google Search, sans pour autant être exclu du moteur de recherche lui-même.

Un choix délibéré de ne pas donner de nouveaux contrôles

Finalement, l’entreprise a choisi de ne pas donner « de nouveaux contrôles sur la recherche ». Dans ce document, une responsable gestion produits chez Google Search, Chetna Bindra, écrit noir sur blanc qu’ « au minimum, notre position actuelle en matière de produits devrait être l’option 2 : faire ce que l’on dit, dire ce que l’on fait, mais prudemment ».

Google a décidé de « mettre à jour silencieusement » et « sans annonce publique » sur sa façon dont l’entreprise utilise les données des éditeurs de sites. Dans le document, Google indique clairement sa volonté de cacher les détails des différences entre l’entrainement de ses IA Gemini et de son système pour son moteur de recherche.

« Un peu accablant »

Devant le tribunal, Paul Bannister, responsable chez Raptive (une entreprise qui aide environ 5 000 éditeurs de sites à gagner de l’argent grâce à leurs contenus) a affirmé : « c’est un peu accablant », ajoutant que « cela montre clairement qu’ils savaient qu’il existait une série d’options et qu’ils ont choisi la plus conservatrice et la plus protectrice d’entre elles, à savoir celle qui n’offrait aucun contrôle aux éditeurs ».

Interrogée par The Verge, Google affirme que ce document était une première liste d’options envisagées alors que l’entreprise faisait évoluer sa recherche boostée par l’IA. Selon l’entreprise, il ne reflèterait pas les décisions prises finalement. « Les éditeurs ont toujours contrôlé la manière dont leur contenu est mis à la disposition de Google, car des modèles d’IA sont intégrés dans le moteur de recherche depuis de nombreuses années, ce qui permet de mettre en évidence les sites pertinents et de générer du trafic vers ces derniers », ajoute-t-elle.

Nos confrères de The Verge font remarquer que la documentation de Google indique que le paramètre nosnippet « s’applique à tous les types de résultats de recherche (sur Google : recherche sur le Web, Google Images, Discover, Aperçus IA, Mode IA) et empêche également l’utilisation du contenu en tant qu’entrée directe pour les Aperçus IA et le Mode IA ».

SoC Xiaomi XRING 01 : un coup d'essai transformé en coup de maitre !

La rumeur courait depuis un moment maintenant que le fabricant chinois Xiaomi projetait de concevoir sa propre gamme de SoC pour smartphones. Le bruit de couloir devenait ensuite une quasi-certitude suite à de nombreuses fuites concordante, jusqu'à ce mois de mai 2025 où tout devient concret : le Xi...

The Technology Revolution is Leaving Europe Behind

Par :msmash
23 mai 2025 à 12:00
Europe has created just 14 companies worth more than $10 billion over the past 50 years compared to 241 in the United States, underscoring the continent's struggle to compete in the global technology race despite having a larger population and similar education levels. The productivity gap has widened dramatically since the digital revolution began. European workers produced 95% of what their American counterparts made per hour in the late 1990s, but that figure has dropped to less than 80% today. Only four of the world's top 50 technology companies are European, and none of the top 10 quantum computing investors operate from Europe. Several high-profile European entrepreneurs have relocated to Silicon Valley, including Thomas Odenwald, who quit German AI startup Aleph Alpha after two months, citing slow decision-making and lack of stock options for employees. "If I look at how quickly things change in Silicon Valley...it's happening so fast that I don't think Europe can keep up with that speed," Odenwald said. The challenges extend beyond individual companies. European businesses spend 40% of their IT budgets on regulatory compliance, according to Amazon surveys, while complex labor laws create three-month notice periods and lengthy noncompete clauses.

Read more of this story at Slashdot.

A propos des NPU, des TOPS et de l’IA marketing en général

23 mai 2025 à 11:33

Les processeurs embarqués dans les ordinateurs aujourd’hui proposent des capacités de calcul liées à l’IA. Elles sont souvent proposées sous l’angle le plus flatteur. Soit en mettant en avant leur NPU qui est l’unité de calcul spécialisée dans cette tâche, soit en affichant une compétence de calcul globale. Par exemple un Core Ultra 9 285H d’Intel proposera 99 TOPS au total, en employant toutes ses ressources pour cela : processeur, circuit graphique qui calculera à lui seul 77 TOPS sur le total et son circuit AI Boost spécialisé, le fameux NPU.

Les puces Arrow Lake embarquent un NPU 13 TOPS

En solo cette unité dédiée seule ne propose que 13.1 TOPS seulement. Ce qui est inférieur aux demandes de Microsoft pour pouvoir qualifier ce PC à une certification « Copilot+ ». Ce qui m’amène à quelques réflexions.

Une bonne partie La totalité des marques de MiniPC s’intéressent à l’IA aujourd’hui, ce qui semble logique puisque tout le monde s’intéresse à l’IA. J’ai reçu des communiqués de presse pour des réfrigérateurs pilotés par IA ou des batteries optimisées par IA. Comme me dit un copain aux US : « s’il n’y a pas écrit IA dans ta présentation de produit, ce n’est pas la peine de lancer tes slides. ». Et il est donc logique de voir d’un côté Microsoft ou Google qui essayent de tirer la couverture avec les marques « Copilot » et « Gemini » et de l’autre des fabricants d’ordinateurs tenter d’appâter le public avec des spécifications orientées pour mettre en valeur leurs capacités de calcul en IA.

Et je remarque un truc assez drôle avec tout cela. L’intérêt pour des standards comme « Copilot+ » n’intéressent les marques quand dans la mesure où leur PC sera utilisé par le grand public et uniquement si leur machine atteint les 40 TOPS de puissance réclamés par Microsoft pour être certifié « Copilot+ ». Si c’est bien le cas, alors le constructeur le fait clairement savoir. Ils n’ont rien à perdre à l’indiquer sur leur marketing. L’idée est de profiter du rebond du matraquage publicitaire de Microsoft pour vendre leurs engins.

Copilot veut être l’agent conversationnel de votre PC Windows avec les mêmes arguments qu’Internet Explorer, une installation par défaut

Mais si leurs PC est équipé d’un NPU ne correspondant pas au standard de Microsoft, qui ne propose donc pas un NPU déployant 40 TOPs, cela n’empêche absolument pas les marques d’indiquer que leur produit est « prêt pour l’IA ». D’abord parce que pour Intel comme pour AMD, leurs puces en sont tout à fait capables. Ensuite et surtout parce que les marques se fichent pas mal des recommandations spécifiques de Microsoft. Et si l’engin n’est pas « Copilotable » il n’en reste pas moins apte à beaucoup de choses en termes de calcul d’IA. Ce scénario qui consiste à regarder ailleurs quand on n’atteint pas les standards est classique. C’est ce que font tous les fabricants depuis toujours.

Mais là où c’est drôle pour l’IA, c’est quand le matériel vendu dépasse le cadre de ce que veut Microsoft. Windows a toujours donné le LA en termes d’usages informatiques grand public, c’est beaucoup moins vrai pour les machines spécialisées. Et l’Intelligence Artificielle cristallise ce constat de manière très crue. Dès que les 40 TOPS sont dépassés, ce n’est plus Windows qui est mis en avant mais directement l’outil IA que l’on va employer localement. Et c’est le LLM DeepSeek qui est le plus souvent porté par les marques. Le fait qu’un MiniPC propose un NPU spécialisé minimal mais puisse fournir au final beaucoup plus en capacité au global permet de sauter par-dessus le marketing de Microsoft pour aller mettre directement en avant des tâches plus avancées. Les constructeurs savent qu’ils s’adressent alors à des experts et n’ont alors plus aucun complexe de communication.

C’est d’autant plus amusant que, très clairement, le grand public ne s’intéresse pas spécialement aux usages locaux de l’IA sur PC. Ou plutôt, elle n’a pas attendu Copilot+ et ses copains pour flouter son arrière-plan en vidéo conférence, améliorer une photo ou enlever un bruit de fond d’un enregistrement sonore. On fait ça depuis des années maintenant.

Pour terminer mes digressions sur l’IA.

Je me rends compte que pour beaucoup d’utilisateurs, les termes TOPS ou INT restent des acronymes incompréhensibles. Le fonctionnement de l’Intelligence artificielle est complexe, mais les notions de base sont faciles à acquérir.

TOPS signifie « Trillions Operations Per Second » que l’on traduirait logiquement par trillions d’opérations par seconde. Mais un détail à son importance. Le Trillion est traduit différemment en France et aux USA. En France, un Trillion, c’est un milliard de milliards. Aux USA le mot « Trillion » désigne ce que chez nous, on appelle un « Billion ». Soit mille milliards. 13 TOPS c’est donc 13 000 milliards d’opérations par seconde.

La grosse différence entre un NPU et un CPU, entre la puce spécialisée dans ces calculs et un processeur classique, c’est sa capacité à traiter des tâches en parallèle. Imaginons que vous ayez à compter combien d’allumettes sont tombées par terre après avoir fait tomber la boite. Un processeur classique va les compter une par une ou 4 par 4 si elle a 4 cœurs. Mais elle mettra les tâches les une à la suite des autres, ce qui va prendre du temps. Le NPU lui va compter l’ensemble des allumettes e parallèle, toutes en même temps, si elle a assez de TOPS. Un NPU avec 2 TOPS pourra compter 2 000 milliards d’allumettes en une seconde.

Et c’est très logique car les besoins d’un processeur classique suivent un chemin d’abord tracé par les développeurs du logiciel. On a besoin des calculs d’un premier élément pour continuer à calculer la suite. Pour un NPU cela n’est pas la même chose, les calculs sont effectués en parallèle, parce qu’ils sont indépendants les un des autres. C’est pour cela que Nvidia est si performant sur ce segment, ses circuits graphiques ont été pensés pour calculer de cette manière. Chaque cœur CUDA d’une carte graphique GeForce s’occupe de calculer un élément d’affichage dans son coin. Une réflexion lumineuse ou le déplacement d’un des trois points d’un triangle quand on déplace un objet en 3D à l’écran est calculé de manière indépendante. Une carte graphique GeForce RTX 4090 propose par exemple 1300 TOPS de puissance de calcul. Les puces dédiées de la marque ont simplement repris cette capacité graphique pour l’optimiser pour des calculs purement orientés vers l’Intelligence Artificielle.

À noter, une petite information importante tout de même pour finir, les TOPS sont souvent accompagnés d’un élément qui les qualifie. Les INT. Cette seconde indication, généralement notée en INT4 (16-bits) ou INT8 (32 bits), indique la précision du calcul pour parvenir à ce nombre d’opérations par seconde. Pour aller très vite, une machine qui proposera 10 TOPS INT8 fera donc 10 000 milliards d’opérations par seconde sur des entiers 8 bits. Cet élément est parfois important, car cela impacte la précision des calculs. Un nombre de TOPS indiqué en INT8 réfèrera à un calcul plus précis qu’un nombre identique de TOPS indiqué en INT4.

Cela ne brosse qu’à grands traits le tableau complexe des circuits spécialisés de l’IA, mais donnera une petite idée de ce qu’il se cache derrière ces chiffres. Et cela permet également de les relativiser. Car on se rend compte que la « normalisation » voulue par Microsoft est surtout basée sur son partenariat avec Qualcomm pour le lancement de ses PC sous SoC ARM « Copilot+ ». Les 40 TOPs demandés correspondent à ce que les puces Qualcomm Snadragon Elite pouvaient proposer alors. Un score loin devant ce qu’embarquaient les concurrents x86 Intel et AMD au moment de l’annonce et à des kilomètres derrière les capacités des cartes graphiques déjà en vente depuis des années.

On comprend que ce chiffre ne correspond pas à un usage réel au quotidien, tout simplement parce qu’aucun logiciel grand public ou presque ne les prenait alors en compte. Pour vous donner une idée, 5 TOPS vous suffisent largement à flouter votre arrière-plan lors d’une conversation en visioconférence ou à exécuter un filtre d’amélioration de votre voix en éliminant les bruits parasites. D’un autre côté, 40 TOPs ne seront pas suffisants, très loin de là, pour entrainer une IA à une tâche. Et toute exploitation d’une IA de génération d’image vous orientera vers le choix d’un PC avec, non pas un NPU, mais bien une carte graphique. Tout simplement parce que ces cartes offriront beaucoup plus de puissance et l’avantage d’une mémoire dédiée.

Bref, avant de vous enflammer pour un PC parce qu’il proposerait une compatibilité « IA », des tas de TOPS ou la présence absolument nécessaire de telle ou telle certification, il est toujours important de bien définir vos besoins. Un PC avec un gros score NPU apparaitra peut-être comme un investissement plus perenne sans qu’il ne soit forcément l’allié dont vous avez réellement besoin.

Microsoft annonce Copilot+, une IA intimement mêlée à Windows

A propos des NPU, des TOPS et de l’IA marketing en général © MiniMachines.net. 2025

Mesa Will Stop Building Gallium-XA By Default

23 mai 2025 à 10:24
Back in April Mesa deprecated Gallium Nine alongside the XA state tracker used for X.Org Server acceleration. Gallium-XA was developed by VMware for use with their DDX driver for accelerating X11 within their virtualized environments. XA isn't really used these days and the generic GLAMOR code is in much better shape. Thus Mesa is now no longer building the XA code as the next step toward its removal...

Computex 2025 : GIGABYTE nous propose ses nouveaux écrans en Dual Mode

23 mai 2025 à 09:45

Sur le stand de chez GIGABYTE, nous avons découvert quatre nouveaux écrans, dont deux en Dual Mode : les M27UP et M27UP ICE. Vous l'avez deviné, ce sont les mêmes écrans, seule la couleur change, passant au blanc sur le modèle ICE. Quoi qu'il en soit, ce sont des écrans à double définition, capables de basculer de l'UHD à 160 Hz vers une définition FHD à 320 Hz. Ils prennent en charge l'AMD FreeSync ainsi que le G-Sync Compatible de NVIDIA. […]

Lire la suite

☕️ Dark web : Europol annonce 270 arrestations dans 10 pays, dont 29 en France

23 mai 2025 à 10:14

Europol vient d’annoncer l’arrestation de 270 vendeurs et acheteurs du « dark web » dans 10 pays, dont 130 aux États-Unis, 42 en Allemagne, 37 au Royaume-Uni et 29 en France. Baptisée « Opération RapTor », elle aurait aussi permis de démanteler plusieurs réseaux de trafic de drogue, d’armes et de contrefaçons.

Les suspects, qui avaient réalisé des milliers de ventes sur des places de marché illicites, en utilisant des outils de chiffrement et des crypto-monnaies afin de brouiller les pistes, ont néanmoins été identifiés grâce à des enquêtes coordonnées basées sur des renseignements provenant des démantèlements des places de marché du dark web Nemesis, Tor2Door, Bohemia et Kingdom Markets.

Europol évoque aussi la saisie de plus de 184 millions en cash et cryptomonnaies, plus de 2 tonnes de drogues (dont des amphétamines, de la cocaïne, de la kétamine, des opioïdes et du cannabis), 12 500 produits contrefaits, plus de 180 armes à feux, factices, tasers et couteaux, et plus de 4 tonnes de tabac illégal.

Le Département de la Justice états-unien précise que l’opération, coordonnée par une équipe de la Joint Criminal Opioid and Darknet Enforcement (JCODE), a également permis la saisie de 144 kilogrammes de fentanyl et narcotiques associés, ainsi qu’à l’identification d’un citoyen iranien, Berhouz Parsarad, comme ayant été l’administrateur de la place de marché Nemesis. De sa création en 2021 à sa fermeture, en 2024, elle avait dénombré 30 000 utilisateurs actifs, 1 000 vendeurs, ayant permis la vente de près de 30 millions de dollars de stupéfiants.

Cette action internationale fait suite à l’opération SpecTor qui, en mai 2023, avait déjà permis l’arrestation de 288 suspects, et la saisie de 50,8 millions d’euros en espèce et cryptoactifs, 850 kilos de drogues et 117 armes à feux.

En 2020, un autre coup de filet international baptisé « DisrupTor » avait déjà conduit à 179 arrestations de traficants du « dark web », tandis que l’opération « Dark HunTOR » avait permis d’arrêter 150 autres suspects, rappelle BleepingComputer.

☕️ Dark web : Europol annonce 270 arrestations dans 10 pays, dont 29 en France

23 mai 2025 à 10:14

Europol vient d’annoncer l’arrestation de 270 vendeurs et acheteurs du « dark web » dans 10 pays, dont 130 aux États-Unis, 42 en Allemagne, 37 au Royaume-Uni et 29 en France. Baptisée « Opération RapTor », elle aurait aussi permis de démanteler plusieurs réseaux de trafic de drogue, d’armes et de contrefaçons.

Les suspects, qui avaient réalisé des milliers de ventes sur des places de marché illicites, en utilisant des outils de chiffrement et des crypto-monnaies afin de brouiller les pistes, ont néanmoins été identifiés grâce à des enquêtes coordonnées basées sur des renseignements provenant des démantèlements des places de marché du dark web Nemesis, Tor2Door, Bohemia et Kingdom Markets.

Europol évoque aussi la saisie de plus de 184 millions en cash et cryptomonnaies, plus de 2 tonnes de drogues (dont des amphétamines, de la cocaïne, de la kétamine, des opioïdes et du cannabis), 12 500 produits contrefaits, plus de 180 armes à feux, factices, tasers et couteaux, et plus de 4 tonnes de tabac illégal.

Le Département de la Justice états-unien précise que l’opération, coordonnée par une équipe de la Joint Criminal Opioid and Darknet Enforcement (JCODE), a également permis la saisie de 144 kilogrammes de fentanyl et narcotiques associés, ainsi qu’à l’identification d’un citoyen iranien, Berhouz Parsarad, comme ayant été l’administrateur de la place de marché Nemesis. De sa création en 2021 à sa fermeture, en 2024, elle avait dénombré 30 000 utilisateurs actifs, 1 000 vendeurs, ayant permis la vente de près de 30 millions de dollars de stupéfiants.

Cette action internationale fait suite à l’opération SpecTor qui, en mai 2023, avait déjà permis l’arrestation de 288 suspects, et la saisie de 50,8 millions d’euros en espèce et cryptoactifs, 850 kilos de drogues et 117 armes à feux.

En 2020, un autre coup de filet international baptisé « DisrupTor » avait déjà conduit à 179 arrestations de traficants du « dark web », tandis que l’opération « Dark HunTOR » avait permis d’arrêter 150 autres suspects, rappelle BleepingComputer.

Intel a aussi son chatbot pour les joueurs, l’AI Gaming Coach

L’AI Gaming Coach n’est assurément pas à ranger dans les excentricités du Computex 2025 — NVIDIA a défraîchi le concept avec Project G-Assist, tout comme Microsoft avec son Copilot for Gaming, — mais c’est l’une des rares présentations d’Intel du salon qui s'adresse directement au grand public, et plus spécifiquement aux joueurs. Un G-Assist moins abouti La démonstration ci-dessous permet de se faire une petite idée du fonctionnement d’AI Gaming Coach... [Tout lire]

Le GMKtec EVO-T1 Core Ultra 9 285H sera lancé en juillet

23 mai 2025 à 10:40

On a découvert l’existence du GMKtec EVO-T1 il y a quelques jours et désormais la marque communique officiellement sur le produit. Avec un calendrier de disponibilité prévu pour juillet prochain, le MiniPC embarquera bien un Core Ultra 9 285H.

La puce 16 cœurs / 24 Treads sous circuit graphique Intel Arc 140T embarquée dirige l’engin vers un modèle haut de gamme, mais aux profils de publics plus larges que le EVO-X2 présenté en mars dernier. Il s’agit d’un MiniPC aux usages classiques avec une belle ambition d’IA et non pas un modèle qui intéressera avant tout les développeurs cherchant un engin pour travailler avec des algorithmes de ce type. 

La marque nous donne officiellement quelques détails sur son anatomie et ses possibilités. Gardant pour le moment l’information de son prix public et de la date précise de son lancement. On sait juste que la machine sera mise en vente en juillet sans informations supplémentaires sur sa réelle disponibilité.

Quelques précisions ont été faites sur son équipement connectique avec la confirmation que la minimachine proposera en tout quatre ports USB Type-A (sans préciser leurs qualités), deux USB4, des sorties vidéo HDMI et DisplayPort, un jack audio combo 3.5 mm, deux ports Ethernet et que l’engin aura bien un port OCuLink pour pouvoir exploiter une carte graphique externe.

Le GMKtec EVO-T1

La marque en profite pour publier deux images de l’engin. On y découvre une évacuation d’air chaud placée… sous les ports de la machine. 

Le GMKtec EVO-X1

Cela fait un concurrent aux solutions AMD Strix Point plus qu’à celles sous Strix Halo pour le constructeur. Il sera intéressant de voir le positionnement de cet engin par rapport au GMKtec EVO-X1 sous AMD Ryzen Al 9 HX 370. Un engin qui se négocie à 1030€ en ce moment sur Amazon dans une version 32Go LPDDR5x et 1 To de stockage NVMe.

Le GMKtec EVO-T1 Core Ultra 9 285H sera lancé en juillet © MiniMachines.net. 2025

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