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Map2model : une appli gratuite pour imprimer une carte en 3D
Map2model s’appuie sur les données libres d’OpenStreetMap pour recueillir les données nécessaires à l’impression d’un plan en 3D. Le site web fait tout le travail nécessaire à votre place et propose de télécharger des fichiers prêts l’emploi.
Que vous soyez curieux, que vous prépariez un projet éducatif autour d’un quartier, que vous soyez un Rapetou cherchant des plans d’évasion ou ayez simplement envie de vous amuser, la manipulation est très simple. Vous entrez l’adresse que vous recherchez, sélectionnez une aire qui vous convient dans différents formats, cliquez sur le bouton de génération et vous voilà avec un fichier prêt à être imprimé.
Des tonnes de réglages sont possibles pour modifier les paramètres d’impression, afin de gérer par exemple la hauteur des bâtiments ou des routes. Il est possible d’exporter en .3mf ou en .stl suivant vos habitudes. Si vous avez une imprimante multi-filaments, il est possible d’en profiter directement pour générer un plan très lisible avec des routes, des bâtiments et un fond de couleurs différentes. Sinon, vous devrez probablement recourir à la bonne vieille étape de peinture.
Tout n’est pas parfait dans le dispositif, les données OpenStreetMap ne sont pas toujours parfaites et le site ne prend pas en compte les formats de bâtiments les plus complexes. Mais pour faire un plan « au sol » d’un quartier comme ci-dessus, c’est assez efficace. J’imagine que pour expliquer la géographie d’un lieu, montrer ,par exemple, où des personnes doivent aller se réunir en cas d’alarme incendie par exemple, ce type de plan est intéressant. C’est également une solution très sympathique pour expliquer à un public les problématiques géographiques d’un lieu : la circulation des flux automobiles, par exemple.
L’auteur qui a publié son site sur Reddit est super à l’écoute des retours des utilisateurs. Depuis avant hier par exemple, Map2model prend en compte les lignes de voies ferrées alors que ce n’était pas le cas au lancement il y a trois jours.
A découvrir à cette adresse : https://map2model.com/
Si vous voulez soutenir le projet ou obtenir une licence commerciale, une page Patreon est disponible ici.
Map2model : une appli gratuite pour imprimer une carte en 3D © MiniMachines.net. 2025
☕️ Fin de partie pour 01Net magazine, placé en liquidation judiciaire
Il aurait dû porter le numéro 1047, avec une Une consacrée à la cyberguerre. Il ne paraîtra finalement pas, a annoncé jeudi Jean-Marie Portal, son rédacteur en chef depuis 2020.
« Le rideau est tombé sur 01NET magazine. Liquidation judiciaire. Fin brutale. La couverture que vous voyez ici ne paraîtra jamais. Tout était prêt. Le sommaire. Les textes. Le dossier de une. Il ne manquait que l’imprimeur. », écrit-il.
La société éditrice du célèbre quinzomadaire dédié à l’informatique grand public, 01 Net Mag SAS, a en effet été placée en liquidation judiciaire le 22 mai dernier, signale une annonce légale datée du 8 juin.
« J’y ai été rédacteur en chef. Et j’en suis fier. Fier d’avoir réinventé le sommaire, lancé de nouvelles rubriques, défendu un journalisme grand public qui ne prend pas ses lecteurs pour des idiots – ni ses sujets pour des vitrines de com’ », revendique Jean-Marie Portal, dans un message qui remercie ses collègues, les professionnels du secteur, mais aussi les propriétaires du magazine, racheté à Altice Media en 2019 par un repreneur dont le profil ne sonnait pas comme une évidence. « Sans eux, l’aventure se serait arrêtée bien plus tôt. »
Rappelons que le magazine 01net est issu du rapprochement entre l’Ordinateur individuel-SVM et Micro Hebdo. Le site 01net.com, resté plus longtemps dans le giron du groupe Altice, est quant à lui la propriété du groupe Keleops, qui détient également les sites Presse-Citron, Journal du Geek, ainsi que Gizmodo depuis juin 2024.

☕️ Fin de partie pour 01Net magazine, placé en liquidation judiciaire
Il aurait dû porter le numéro 1047, avec une Une consacrée à la cyberguerre. Il ne paraîtra finalement pas, a annoncé jeudi Jean-Marie Portal, son rédacteur en chef depuis 2020.
« Le rideau est tombé sur 01NET magazine. Liquidation judiciaire. Fin brutale. La couverture que vous voyez ici ne paraîtra jamais. Tout était prêt. Le sommaire. Les textes. Le dossier de une. Il ne manquait que l’imprimeur. », écrit-il.
La société éditrice du célèbre quinzomadaire dédié à l’informatique grand public, 01 Net Mag SAS, a en effet été placée en liquidation judiciaire le 22 mai dernier, signale une annonce légale datée du 8 juin.
« J’y ai été rédacteur en chef. Et j’en suis fier. Fier d’avoir réinventé le sommaire, lancé de nouvelles rubriques, défendu un journalisme grand public qui ne prend pas ses lecteurs pour des idiots – ni ses sujets pour des vitrines de com’ », revendique Jean-Marie Portal, dans un message qui remercie ses collègues, les professionnels du secteur, mais aussi les propriétaires du magazine, racheté à Altice Media en 2019 par un repreneur dont le profil ne sonnait pas comme une évidence. « Sans eux, l’aventure se serait arrêtée bien plus tôt. »
Rappelons que le magazine 01net est issu du rapprochement entre l’Ordinateur individuel-SVM et Micro Hebdo. Le site 01net.com, resté plus longtemps dans le giron du groupe Altice, est quant à lui la propriété du groupe Keleops, qui détient également les sites Presse-Citron, Journal du Geek, ainsi que Gizmodo depuis juin 2024.

Apple ouvre macOS aux conteneurs Linux
Mise en boite, mais sans blague

En marge de la WWDC, Apple a annoncé une nouveauté importante pour macOS Tahoe. Grâce à un nouveau framework, le système supporte ainsi la plus grande partie des conteneurs Linux. Explications.
Qu’est-ce qu’un conteneur ? Dans les grandes lignes, un paquet rassemblant un code logiciel à exécuter accompagné par toutes ses dépendances. Ce code peut être à peu près tout et n’importe quoi selon les besoins, mais les deux cas les plus courants sont les systèmes d’exploitation et les applications.
Cette approche à de très nombreux avantages et se retrouve souvent sur Linux, même pour les utilisateurs finaux, à travers les paquets AppImage, Flatpak et Snap. Un conteneur contient tout ce qui est nécessaire à l’exécution et n’a donc pas besoin d’une configuration particulière. Ce fonctionnement garantit qu’une application, par exemple, va s’exécuter sur toutes les configurations. Les conteneurs sont également souples à gérer et sont au cœur d’architectures serveurs entières, avec des produits comme Docker et Kubernetes.
Et sur Mac ? Il existe depuis longtemps des solutions pour faire tourner les conteneurs du monde Linux, comme Docker Desktop et Lima. Il est aussi possible de passer par des clients de virtualisation complets comme VirtualBox, VMware Fusion ou Parallels Desktop. Cependant, l’annonce de Containerization Framework par Apple intéresse au plus point.
Une solution native
Apple fournit une première préversion de son nouveau framework. Il est compatible avec la première bêta de macOS Tahoe, mais fonctionne également avec la version 15.5 de Sequoia. Ce framework s’accompagne d’un outil en ligne de commande (CLI), container
. Il est écrit en Swift, le langage de développement d’Apple pour la quasi-totalité de ses besoins.
Bon Plan : Two Point Hospital offert par Epic Games

Le store d'Epic Games vous offre le jeu Two Point Hospital, vous avez une semaine pour l'ajouter ici, vous pourrez ensuite vous prendre pour un grand médecin ou un expert médical, niveau facebook ! Concevez de splendides hôpitaux, soignez d'étranges maladies et gérez des employés difficiles tandis que vous étendez votre organisation naissante dans tout le Two Point County. […]
Lire la suiteDeere Must Face FTC's Antitrust Lawsuit Over Repair Costs, US Judge Rules
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Native-Immigrant Entrepreneurial Synergies
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TSMC prépare CoPoS : du wafer rond au panneau rectangulaire

Bdesktop : transformez votre iPad Mini en télé space-age
À la fin des années 70, les bureaux de design étaient dans une effervescence incroyable. De nouveaux matériaux étaient disponibles, des technologies révolutionnaires apparaissaient, des processus de fabrication complexes et en particulier de moulage, se généralisaient. Cette époque mythique pousse de nombreux studios de design actuels dans une exploration jubilatoire de ces archives. Et Bdesktop en fait partie.
L’idée de ce projet signé par le studio est de reprendre un téléviseur de 1978 signé par JVC et d’en faire le châssis d’un ordinateur moderne. Le JVC 3100R était un objet révolutionnaire avec un écran ultracompact, un design pyramidal et une séparation nette entre l’affichage et une bonne partie de son électronique. C’était une période où beaucoup considéraient qu’un objet devait être beau à regarder quand on l’utilisait. Et encore plus quand on ne s’en servait pas et qu’il encombrait l’espace.
Ce design qui ne pouvait que proposer un téléviseur à cette époque, permet aujourd’hui d’accueillir un ordinateur complet et très puissant. Un Mac Mini, qu’il s’agisse d’un modèle de 2010 ou de 2024, toutes les minimachines d’Apple pourront trouver leur place dans la base de ce châssis. Une ventilation dédiée permettra de les refroidir correctement. Un HomePod Mini est également intégré pour gérer le son et il est possible recomandé de glisser un iPad Mini pour compléter le tout. Ce dernier deviendra l’affichage du dispositif.
Un lecteur optique est par ailleurs accessible pour écouter des disques ou regarder des DVD, de gros boutons sont disponibles pour piloter le volume et de petites fioritures comme un affichage des ondes sonores en façade sont disponibles.
L’ensemble est imprimé professionnellement en 3D avec quelques pièces métalliques pour le bras mécanique. La finition a l’air excellente et un gros travail de gestion des câbles en interne semble aussi avoir été menée. Seule ombre au tableau, le prix demandé par Bdesktop qui atteint les 669.99$ HT.
Ci-dessous la vraie télévision JVC 3100R de 1978 :
Source : @decmonkey.luo via le petit Biou.
Bdesktop : transformez votre iPad Mini en télé space-age © MiniMachines.net. 2025
☕️ Dans la peau d’un livreur Uber Eats
4,6 euros par heure si l’on s’attache au temps de disponibilité, 11,6 euros par heure si l’on s’attache au travail effectif.
Vincent Mongaillard, journaliste au Parisien, s’est glissé dans la peau d’un livreur Uber Eats pendant trois semaines, et sa conclusion est claire : difficile de gagner l’équivalent du Smic net (9,40 euros de l’heure) dans cette profession qui réunit tout de même 65 000 personnes au statut d’autoentrepreneur. Entre 2021 et 2024, les revenus horaires bruts auraient chuté de plus de 34 % chez Uber Eats, en comptant l’inflation.
Chaque jour ou presque, il se voit demander de présenter sa carte d’identité ou d’enregistrer un selfie, une manière pour l’opérateur de lutter contre l’usurpation ou la sous-location de compte. Devant la chute de revenus, pourtant, la population des livreurs a nettement évolué : un récent rapport de l’Anses relevait que les travailleurs sans-papiers y étaient désormais surreprésentés.

Quant aux commandes, elles varient en termes de distance – l’expérience fera refuser au journaliste une épopée de Saint-Michel, au cœur de Paris, jusqu’à Nanterre au nord-ouest –, de contenus – dont ce lot de sacs poubelles demandés dans le XVIe un premier mai –, comme de temps d’attente.
Parmi les points de frustration les plus remontés par les livreurs, et expérimentés par le journaliste : le renversement des boissons, qui viennent inonder plus d’une fois les commandes.
Malgré l’aspect aléatoire des réceptions de commande, qui provoquent parfois le sentiment d’être utile, à d’autres moments, celui d’être persona non grata, « le plus dur, quand on est livreur, c’est de savoir s’arrêter », écrit le journaliste.
De la même manière qu’Uber a utilisé des techniques issues des jeux vidéos pour pousser ses chauffeurs à conduire plus, on sent le livreur tenté de faire toujours une livraison supplémentaire, dans l’espoir d’augmenter ses gains.
Du côté de la clientèle, explique le sociologue Fabien Lemozy, la facilité d’usage des applications de livraison a un autre effet secondaire : celui de créer des « rapports de domesticité » avec les travailleurs précaires.