Vue normale
AOL To Be Sold To Bending Spoons For Roughly $1.5 Billion
Read more of this story at Slashdot.
-
Le comptoir du hardware
- LGA-1954 : Thermaltake confirme la compatibilité des ventirads LGA-1700 / 1851
LGA-1954 : Thermaltake confirme la compatibilité des ventirads LGA-1700 / 1851
C’est dans les vieux SSD qu’on fait les meilleures arnaques
![]()
Pas besoin d’être un fin limier pour se douter de l’arnaque et pourtant des gens tombent toujours dans le panneau. La raison est toujours la même, le manque de compétences techniques ou de vigilance.
![]()
Loin de moi l’idée de juger les personnes victimes de ce genre d’arnaque. Tout le monde ne passe pas sa vie à se préoccuper des évolutions du marché informatique ni des tarifs des produits. Si pour beaucoup de mes lecteurs, acheter un SSD mobile à un prix extrêmement bas, est évidemment problématique, cela ressemble simplement à la meilleure affaire possible en termes de stockage pour beaucoup d’autres.
L’histoire que nous découvrons aujourd’hui aurait finalement pu arriver à beaucoup de monde dans d’autres domaines. Un internaute témoigne des déboires liés à son acquisition d’un SSD externe Seagate. Achat qui s’est avéré être un mauvais investissement puisque ce qu’il a reçu ne correspond pas tout à fait à ce qu’il avait commandé.
Dans un emballage plus vrai que nature, le SSD reçu, un Backup Plus Slim de 1 To, ressemble à tous les autres. À la prise en main, je suppose qu’il est apparu un peu léger ou sonnant un peu trop creux. Les résultats de son utilisation n’ont pas dû être bien fameux non plus. Suffisamment en tout cas pour que l’acheteur se dise qu’il fallait jeter un coup d’œil à ses entrailles.
![]()
Et le résultat est un grand classique. On découvre d’abord un boitier quasi vide. Avec juste un petit morceau de métal pour correspondre à peu près au poids d’un SSD externe Normal. Et évidemment une électronique un peu différente de ce à quoi on pourrait s’attendre.
![]()
La prise USB Type-C est simplement connectée à un lecteur de cartes MicroSDXC qui va boucler les données afin de simuler l’existence de To de stockage. Cette arnaque est très classique et j’ai l’impression d’écrire un marronnier en la publiant. Mais je me dis que si des gens se font encore avoir en 2025 avec cette méthode, il est peut-être nécessaire d’en parler encore une fois.
![]()
Renseignez-vous toujours avant d’acheter un produit en ligne. Regardez les prix de la concurrence, regardez qui vous vend le produit également, surtout si vous êtes sur une place de marché. Essayez de voir depuis quand le vendeur existe, quels sont les autres produits proposés. L’autre jour, je suis tombé sur un casque Bluetooth Sony WH-1000XM5 à 41€ sur AliExpress. C’est évidemment une grossière copie et il suffit de regarder le vrai prix du casque pour le comprendre.
Restez vigilant
C’est dans les vieux SSD qu’on fait les meilleures arnaques © MiniMachines.net. 2025
Risque d’arnaques, de détournement : le caméo de TiboInShape sur Sora interroge
AI In Shape
Sans bruit ni fanfare, TiboInShape a rendu son visage et sa voix réutilisables par tout un chacun sur l’application Sora, appuyée sur le modèle de génération de vidéo d’OpenAI. Une décision qui pose de multiples questions sur les risques encourus, par le vidéaste lui-même, mais aussi par les internautes plus ou moins adeptes de son travail.
Depuis quelques jours, les vidéos de TiboInShape inondent les réseaux sociaux. Elles ont le visage de TiboInShape, elles ont la voix de TiboInShape, mais elles n’ont pas du tout été créées par le vidéaste : elles ont été générées par IA. Bref, ce sont des deepfakes.
Mais des deepfakes d’un genre particulier : des deepfakes a priori consentis. Sur Sora, la plateforme de génération de vidéos d’OpenAI qui vise à devenir une sorte de contre-TikTok uniquement alimenté de vidéos générées par IA, les utilisateurs peuvent rendre leur « cameo », c’est-à-dire un enregistrement de leur image et de leur voix, utilisable uniquement par eux-mêmes, en ouvrir l’accès à quelques personnes autorisées, ou le rendre accessible à tout le monde.
C’est cette dernière option que TiboInShape, Thibaud Delapart de son vrai nom, a choisie. « Si on veut rester à l’ordre du jour, il faut rebondir de réseaux en réseaux », explique-t-il sur BFM. Et d’évoquer Sora 2, et le fait que « les gens s’amusent bien sur TikTok à me mettre en situation, en train de manger des burgers chez McDo par exemple », une situation a priori invraisemblable, pour ce roi du fitness.
Quand bien même l’application Sora, donc les cameo de célébrités, ne sont pour le moment disponibles qu’aux États-Unis et au Canada, la décision du vidéaste étonne l’avocate spécialiste du droit du numérique Betty Jeulin. « C’est peut-être intéressant d’un point de vue marketing, mais en l’occurrence, TiboInShape est suivi par 27 millions de personnes, selon la loi française sur les influenceurs, cela lui donne une responsabilité », explique-t-elle à Next.
AMD RadeonSI Driver Now Defaults To Enabling ACO For Faster Performance
-
Hardware & Co - Actualités
- Oups ! Thermaltake confirme que les refroidisseurs LGA1851/1700 seront compatibles LGA1954, avant de tout effacer
Oups ! Thermaltake confirme que les refroidisseurs LGA1851/1700 seront compatibles LGA1954, avant de tout effacer
L'idée que les futures cartes mères au socket LGA1954 d'Intel seraient compatibles avec les refroidisseurs actuels, voire même ayant déjà quelques années, n'est pas nouvelle. Nous vous en parlions déjà au mois de mai 2025 sur H&Co, alors que des documents en fuite évoquaient des dimensions pour...
China Bars Influencers From Discussing Professional Topics Without Relevant Degrees
Read more of this story at Slashdot.
The Game Theory of How Algorithms Can Drive Up Prices
Read more of this story at Slashdot.
☕️ Grammarly devient Superhuman et se dote d’un assistant IA
En juin dernier, nous rapportions que Grammarly avait levé un milliard de dollars. La société, spécialisée dans la détection des fautes et l’aide à l’écriture, prévoyait alors d’investir largement dans l’IA générative, notamment pour ne pas se faire dépasser dans son domaine de prédilection par ChatGPT, Claude et autre Gemini. Le mois suivant, elle annonçait le rachat de Superhuman, un client e-mail, pour se renforcer sur le terrain de la productivité.
Et voilà que Grammarly se renomme désormais Superhuman. Les produits présents dans le portefeuille, dont surtout l’assistant d’écriture, restent en place sous les mêmes appellations.
La société en profite pour lancer un assistant dopé à l’IA générative et nommé Superhuman Go. Intégré dans l’extension Grammarly, il se propose de fournir des suggestions d’écriture, de faire des commentaires sur des e-mails, etc. Il est bien sûr utilisable dans Superhuman (le client e-mail) mais on peut le connecter à d’autres sources comme Jira, Gmail, Google Drive et Google Agenda pour lui fournir plus de contexte. D’autres sources seront ajoutées prochainement pour élargir ce contexte, notamment des CRM.
Superhuman Go est désactivé par défaut, mais les utilisateurs de l’extension peuvent l’activer par un bouton. L’assistant est pour l’instant fourni sans frais supplémentaires dans toutes les formules payantes. Selon l’entreprise, d’autres fonctions de ce type seront ajoutées bientôt à ses produits, dont Coda, un concurrent de Notion.
Grammarly reste en revanche centré sur la langue anglaise.
90 % des jeux Windows compatibles Linux ? Oui, mais…
Tout est possible
Les dernières statistiques publiées par Boiling Steam sont étonnantes : 90 % des jeux conçus pour Windows sont compatibles avec Linux. Bien que le chiffre soit impressionnant et témoigne d’une activité intense autour du sujet, il recouvre plusieurs réalités.
Le jeu vidéo sur Linux est devenu un vrai sujet depuis plusieurs années, avec une accélération notable du nombre de titres pouvant bien fonctionner sur la plateforme. Près de 90 % des jeux conçus pour Windows peuvent être lancés sur Linux, relève le site Boiling Steam en s’appuyant sur les chiffres de ProtonDB (qui permet de suivre l’état de compatibilité de chaque titre avec Proton).
Des jeux qui se lancent, mais dans quelles conditions ?
Cette statistique de 90 % représente le pourcentage de jeux qui se lancent sur Linux. Mais se lancent comment ? Le tableau fourni par Boiling Steam analyse la qualité de la prise en charge. De manière générale, l’évolution est plus que positive puisque les jeux en vert foncé (niveau Platine) représentent ceux pouvant être lancés sur Linux sans modification et avec de très bonnes performances, grâce à la couche Proton (basée sur Wine), créée par Valve.

Viennent ensuite le vert clair (Or) pour ceux ayant besoin de quelques ajustements mineurs, le jaune (Argent) pour les titres jouables mais avec des imperfections, le rouge clair (Bronze) pour les jeux dont le fonctionnement n’est pas garanti, et enfin le rouge sombre pour ceux qui ne fonctionnent tout simplement pas. Les 90 % tiennent compte de toutes les couleurs à l’exception du rouge sombre.
Dans le billet lié, Boiling Steam indique que ces statistiques ne reflètent pas non plus la part des jeux pris officiellement en charge par le Steam Deck de Valve, car la qualification qui va avec prend en compte les performances. Le site considère cependant que le niveau Platine correspondrait aux statuts Verifié ou Jouable du Steam Deck, en fonction seulement du niveau de performances.
Toujours plus vert
Le graphique montre quoi qu’il en soit une accélération notable en 2022 et 2023 dans le support des jeux, que le site attribue principalement à l’arrivée du Steam Deck et à l’effervescence qui a entouré la console portable de Valve.
Peut-on espérer que tous les jeux finissent par fonctionner un jour sur Linux ? Possible, mais il faudra que les éditeurs envisagent la plateforme comme une véritable cible, car la couche Proton ne peut pas tout faire. Le problème des logiciels anti-triche est toujours présent : avec des mécanismes pensés pour être en espace noyau sur Windows, ils n’ont aucune chance de fonctionner sur Linux. Or, ces titres sont souvent ceux qui tractent un très grand nombre de joueurs, car très compétitifs : Valorant, Fortnite, Overwatch 2, Apex Legends, la série des Call of Duty…
Mais les conséquences de la couche Proton continuent et pourraient à terme engendrer un effet de masse suffisamment important pour que les studios envisagent cette possibilité. Le jeu vidéo est l’un des grands bastions de Windows, mais la fin de support de Windows 10 entraine une interrogation chez une partie des utilisateurs sur la possibilité d’une migration, d’autant que des distributions spécialisées existent, comme GLF OS. Selon les jeux utilisés, un passage à Linux n’a donc plus rien d’un problème.
☕️ Grammarly devient Superhuman et se dote d’un assistant IA
En juin dernier, nous rapportions que Grammarly avait levé un milliard de dollars. La société, spécialisée dans la détection des fautes et l’aide à l’écriture, prévoyait alors d’investir largement dans l’IA générative, notamment pour ne pas se faire dépasser dans son domaine de prédilection par ChatGPT, Claude et autre Gemini. Le mois suivant, elle annonçait le rachat de Superhuman, un client e-mail, pour se renforcer sur le terrain de la productivité.
Et voilà que Grammarly se renomme désormais Superhuman. Les produits présents dans le portefeuille, dont surtout l’assistant d’écriture, restent en place sous les mêmes appellations.
La société en profite pour lancer un assistant dopé à l’IA générative et nommé Superhuman Go. Intégré dans l’extension Grammarly, il se propose de fournir des suggestions d’écriture, de faire des commentaires sur des e-mails, etc. Il est bien sûr utilisable dans Superhuman (le client e-mail) mais on peut le connecter à d’autres sources comme Jira, Gmail, Google Drive et Google Agenda pour lui fournir plus de contexte. D’autres sources seront ajoutées prochainement pour élargir ce contexte, notamment des CRM.
Superhuman Go est désactivé par défaut, mais les utilisateurs de l’extension peuvent l’activer par un bouton. L’assistant est pour l’instant fourni sans frais supplémentaires dans toutes les formules payantes. Selon l’entreprise, d’autres fonctions de ce type seront ajoutées bientôt à ses produits, dont Coda, un concurrent de Notion.
Grammarly reste en revanche centré sur la langue anglaise.
90 % des jeux Windows compatibles Linux ? Oui, mais…
Tout est possible
Les dernières statistiques publiées par Boiling Steam sont étonnantes : 90 % des jeux conçus pour Windows sont compatibles avec Linux. Bien que le chiffre soit impressionnant et témoigne d’une activité intense autour du sujet, il recouvre plusieurs réalités.
Le jeu vidéo sur Linux est devenu un vrai sujet depuis plusieurs années, avec une accélération notable du nombre de titres pouvant bien fonctionner sur la plateforme. Près de 90 % des jeux conçus pour Windows peuvent être lancés sur Linux, relève le site Boiling Steam en s’appuyant sur les chiffres de ProtonDB (qui permet de suivre l’état de compatibilité de chaque titre avec Proton).
Des jeux qui se lancent, mais dans quelles conditions ?
Cette statistique de 90 % représente le pourcentage de jeux qui se lancent sur Linux. Mais se lancent comment ? Le tableau fourni par Boiling Steam analyse la qualité de la prise en charge. De manière générale, l’évolution est plus que positive puisque les jeux en vert foncé (niveau Platine) représentent ceux pouvant être lancés sur Linux sans modification et avec de très bonnes performances, grâce à la couche Proton (basée sur Wine), créée par Valve.

Viennent ensuite le vert clair (Or) pour ceux ayant besoin de quelques ajustements mineurs, le jaune (Argent) pour les titres jouables mais avec des imperfections, le rouge clair (Bronze) pour les jeux dont le fonctionnement n’est pas garanti, et enfin le rouge sombre pour ceux qui ne fonctionnent tout simplement pas. Les 90 % tiennent compte de toutes les couleurs à l’exception du rouge sombre.
Dans le billet lié, Boiling Steam indique que ces statistiques ne reflètent pas non plus la part des jeux pris officiellement en charge par le Steam Deck de Valve, car la qualification qui va avec prend en compte les performances. Le site considère cependant que le niveau Platine correspondrait aux statuts Verifié ou Jouable du Steam Deck, en fonction seulement du niveau de performances.
Toujours plus vert
Le graphique montre quoi qu’il en soit une accélération notable en 2022 et 2023 dans le support des jeux, que le site attribue principalement à l’arrivée du Steam Deck et à l’effervescence qui a entouré la console portable de Valve.
Peut-on espérer que tous les jeux finissent par fonctionner un jour sur Linux ? Possible, mais il faudra que les éditeurs envisagent la plateforme comme une véritable cible, car la couche Proton ne peut pas tout faire. Le problème des logiciels anti-triche est toujours présent : avec des mécanismes pensés pour être en espace noyau sur Windows, ils n’ont aucune chance de fonctionner sur Linux. Or, ces titres sont souvent ceux qui tractent un très grand nombre de joueurs, car très compétitifs : Valorant, Fortnite, Overwatch 2, Apex Legends, la série des Call of Duty…
Mais les conséquences de la couche Proton continuent et pourraient à terme engendrer un effet de masse suffisamment important pour que les studios envisagent cette possibilité. Le jeu vidéo est l’un des grands bastions de Windows, mais la fin de support de Windows 10 entraine une interrogation chez une partie des utilisateurs sur la possibilité d’une migration, d’autant que des distributions spécialisées existent, comme GLF OS. Selon les jeux utilisés, un passage à Linux n’a donc plus rien d’un problème.
AMD Radeon AI PRO R9700 Performance For OpenCL Workloads
DeepCool PN1000M : une bonne alimentation 80 Plus Gold
Disparue il y a un petit moment, la gamme GamerStorm fait doucement son retour chez DeepCool, mais sans les artifices extravagants qu'il y avait avant. Avec l'alimentation PN1000M, certifiée 80 PLUS Gold, on reste sur du sobre en noir avec un discret logo vert. Un design sage qui cache un modèle efficace, comme on peut le voir avec notre nouveau test ici : DeepCool PN1000M ou sur la source. […]
Lire la suiteRazer présente une collection complète en cuir de Sneki Snek
Si le vert est la couleur du logo de Razer, la marque spécialiste du gaming mise essentiellement sur des périphériques en noir. Bonne nouvelle, ce vert chatoyant arrive sur plusieurs produits iconiques de la marque, et ça claque fort la rétine. Dénommé eSport Green, ce nouveau coloris ne passe pas inaperçu et s'incruste sur une très large sélection de produits. Mais pas les sièges, dommage... […]
Lire la suiteNvidia Becomes World's First $5 Trillion Company
Read more of this story at Slashdot.
-
Le comptoir du hardware
- Du patriotisme et des milliards de dollars : l’ère de l’IA Vera vu par NVIDIA