À la rédac’, les FPS d’horreur n’ont jamais été notre tasse de thé, et Pine Harbor, découvert 2023 n’en fait pas exception. Même si la dernière démo lors du Steam FPS Fest semblait moins pire que celle d’octobre 2023, on a été assez surpris de voir que les devs du studio Vision Forge Team, en charge du développement, avaient annoncé sa sortie en accès anticipé ce 25 avril. Via un billet de blog Steam très sommaire, vous aurez l’immense plaisir de lire ce qui suit :

« This is a very early version and we rely on your feedback to improve the experience and quality of the game. Keep in touch and have fun. »  Traduction : « C’est une version très anticipée et nous comptons sur vos commentaires pour améliorer l’expérience et la qualité du jeu. Restez en contact et amusez-vous. »

Vu par certains comme une potentielle arnaque, le concept d’accès anticipé a séduit de nombreux développeurs, leur permettant de remplacer une équipe de contrôle qualité par des joueurs en statut de testeurs non-déclarés à l’URSAFF, ainsi que de proposer un jeu à son prix de vente final pour un contenu de base rachitique et buggé. Ici, nous sommes peut-être témoin d’une révolution, vu que Pine Harbor est sorti en accès très (voire trop) anticipé. Avec des avis globalement moyens sur Steam, certains joueurs laissent entendre que la version actuelle serait limite une démo payante et pauvre en contenu. Par exemple, l’optimisation semble très mal foutue, l’IA ennemie est horrible avec des spawns à l’infini durant la session de nuit, et le système de sauvegarde est complétement incohérent. La liste de reproches étant encore très longue, n’hésitez pas à jeter un œil aux commentaires Steam, si vous avez du temps à perdre.

Si à tout hasard, Pine Harbor pouvait éventuellement vous intéresser, ce dernier est disponible à moins 13 € sur Steam. Mais il serait très judicieux d’attendre que le développement de ce dernier soit plus avancé, pour ne pas avoir l’impression de s’être fait entuber.

Découvert en 2023, Jawbreaker est un FPS d’horreur et de survie développé en solo par Vincent Lade, qui n’en est pas à son premier jeu. Hier, il est enfin sorti sur Steam, comme l’indique le billet de blog. Vous incarnerez un survivant de la fin du monde, missionné pour récupérer diverses ressources dans un commissariat abandonné. Mais vous vous doutez bien que les choses ne se passeront comme prévues. Entre gangs de psychopathes et mutants géants, il vous faudra faire preuve d’autant de discrétion que de violence, en fonction des situations qui se présenteront à vous. Ainsi, vous devrez explorer chaque recoin d’un commissariat pour trouver des armes avec des munitions limitées, et résoudre de multiples puzzles pour vous échapper de cet endroit. Comme si cela ne suffisait pas, dès que le soleil se couche, une nouvelle menace pointera le bout de son nez.

Sur Steam, l’avis global des joueurs est moyen, en soulignant que les graphismes sont plutôt beaux, mais que le système d’infiltration semble parfois très punitif. Le dev étant à l’écoute de sa communauté et très réactif, un patch a été déployé pour corriger certains de ces aspects. À la rédac’, c’est pas trop notre came, on préfère se faire souffrir sur des rétro-FPS pas terminés tels que Phantom Fury, dont le test est disponible ici.

Si vous souhaitez tester votre instinct de survie dans un monde rempli de détraqués et de monstruosités, Jawbreaker est disponible sur Steam à moins de -10 % jusqu’au 29 avril, soit moins de 14 €.

Merci à Azultain pour l’info

Lors du Realms Deep 2022, l’éditeur 3D REALMS, qui n’est plus à un échec commercial près, avait dévoilé un nouveau rétro-FPS, Phantom Fury. Suite directe d’Ion Fury, ce nouvel opus nous narre l’histoire de l’héroïne Shelly Harrison alias Bombshell, traversant les États-Unis pour sauver une fois de plus l’humanité. Initialement prévu courant 2023, le jeu est finalement reporté dû aux retours sur la démo sortie en septembre, qui annonçait déjà la couleur avec un gunplay à chier et des animations pas terminées. D’autant plus que la réputation peu flatteuse du couple 3D REALMS et Splipgate Ironworks n’a pas dû jouer en leur faveur. Finalement, en mars 2024 et probablement afin d’arrêter les frais, il est annoncé en grande pompe que le jeu sortira le 23 avril. À la rédac, nous avons eu la chance de mettre la main sur ce « chef d’œuvre » et autant vous dire de suite que le roadtrip vendu n’a pas été des plus agréables.

Genre : Rétro-FPS buggé et mal optimisé | Développeur : Slipgate Ironworks | Éditeur : 3D Realms | Plateforme : Steam | Prix : 24,99 € | Configuration recommandée : Intel Core i5-10600K, 16GB, NVIDIA GTX 1660 | Langues : interface et sous-titres en français | Date de sortie : 23/04/2024 | Durée de vie :  entre 10 et 15 heures en difficulté normale (plus court, si vous bourrinez)

Test réalisé sur la version Steam fournie par l’éditeur

Une histoire sans saveur avec plus d’interactivité

Dans Phantom Fury, il faut croire que l’on a pas le temps de tergiverser. À peine sortie de son coma, Shelly Harrison, équipée d’un bras robotique, sera missionnée par son général et une mystérieuse scientifique pour récupérer un mystérieux artefact nommé le Demon Core, tout en affrontant sur sa route une horde de mutants et de soldats. Comme d’habitude, l’intrigue proposée n’est pas des plus originales et je peux vous assurer que les retournements de situation que vous verrez venir à des kilomètres le seront encore moins. Si malgré tout, vous vous sentez un tant soit peu concerné, vous pourrez en apprendre davantage au travers d’échanges avec vos différents interlocuteurs, des textes à consulter sur des ordinateurs et du peu de cinématiques présentes dans le jeu. Ne comptez pas non plus sur un développement très poussé du personnage, même si un flashback lui est dédié.

Dès les premières minutes, qui feront office de tutoriel, vous apprendrez à consulter des ordinateurs et à appréhender votre environnement avec cette fameuse interactivité survendue par les devs. Ne vous inquiétez pas, il faudra bien tuer tuer tuer, mais ces PC vous permettront de déclencher des mécanismes, récupérer des codes d’accès et lire des pavés de textes inutiles. C’est tellement réaliste qu’il vous faudra cliquer sur sur le bouton « retour », apparaissant sur l’écran de l’appareil, pour revenir à la page précédente. Et si on se penche sur les autres éléments interactifs, on ne peut que constater que c’est très mal fichu et totalement inutile. Quel est l’intérêt de jouer avec les lumières de bureau, les tasses, les bloc-notes, le régulateur de la ventilation, les bornes d’arcades et autres ? Je n’ai pas franchement trouvé, sachant qu’il est possible à Shelly de ramasser automatiquement les munitions, les packs de soins ou de l’armure, sans avoir besoin d’interagir – paye ta cohérence. Et je vous explique pas la galère que c’est, dès qu’il faut ouvrir un casier pour récupérer des munitions en hauteur et que le curseur de la souris ne détecte pas l’élément. Mais en même temps, ce sera le cadet de vos soucis, vu ce qui vous attendra par la suite, car nous allons bientôt débuter notre voyage dans le monde merveilleux des incohérences et des bugs.

Un mauvais départ pour sauver le monde

Après un bug bloquant dans la première mission m’ayant fait redémarrer le jeu, j’ai pu constater que Shelly ne faisait pas preuve d’une rapidité et d’une agilité hors du commun, que ce soit dans ses déplacements ou le rechargement des armes. Par exemple, elle ne pourra grimper que sur les rebords prévus à cet effet, et vous trouverez parfois la situation bien stupide lorsque le personnage restera bloqué comme une conne devant un muret volontairement ignoré par les devs. J’ai également pu observer que Shelly pouvait échapper aux trois lois de Newton, notamment quand des ennemis la projetaient comme un frisbee de l’autre côté de la pièce, ou que son véhicule s’envolait suite à une prise en sandwich par des blindés adverses.

Pour les combats, Shelly dispose d’un arsenal plutôt varié, qu’il vous sera possible d’améliorer via un magasin. Pour la première amélioration, j’ai choisi le taser pour le pistolet, mais manque de bol, celui-ci est buggé. En effet, dès le niveau suivant, le taser pourtant bien présent sur l’arme ne fonctionnait pas, et j’ai du l’enlever et le remettre pour enfin le faire marcher. Mais en soi, le gameplay est plutôt pas mal. Le feeling est bon, à l’exemple du fusil à pompe ou du revolver, qui donnent une bonne sensation de puissance. Dommage que les armes ne se valent vraiment pas. Au final, vous n’en privilégierez que deux ou trois. Certaines ne servent franchement à rien, comme la scie à métaux. Par ailleurs, toutes ne sont pas améliorables, donnant l’impression que les devs ne sont pas allés jusqu’au bout de leurs idées. Les arbres de compétences du bras robotique et de la combinaison sont faussement généreux, avec des aptitudes dont on ne voit pas l’utilité. D’autre part, le fameux bras robotique est finalement très limité, car il ne fera pas de dégâts si votre adversaire est trop près, ni trop loin. Enfin, deux ou trois armes sont récupérées de l’ancien opus, pour marquer le clin d’œil et gonfler le nombre de vos pétoires.

Une difficulté en scie

Deux types d’adversaires vous mèneront la vie dure, les mutants et les soldats. Les premiers ne brilleront pas par leur intelligence, mais plutôt par leur nombre. Il ne feront que vous foncer dessus ou vous balancer tout ce qui leur tombe sous la main. De plus, la variété de mutants est très limitée et peu inspirée. Les deuxièmes se composeront de soldats de base et spéciaux : lourds et équipés de matériel tel que le camouflage optique, le minigun ou le lance-mousse. Tous deux ont un point commun, leur comportement complètement incohérent. Parfois les mutants réagissent à votre présence, parfois non, tandis que les humains semblent tous être hyperactifs et courent dans tous les sens. Certains auront tendance à vous contourner pour vous foncer sur le coin de la gueule, alors que d’autres iront se perdre à Pétaouchnok, au point de devoir aller les chercher vous-même. Mais ils font de sacrés dégâts, et vu que Shelly encaisse très mal, le game over ne tardera pas à pointer le bout de son nez.

En effet, la difficulté paraît mal équilibrée, ce qui, d’une part, rallonge artificiellement la durée du jeu, et d’autre part, rend certains passages très frustrants. Les tourelles sont un exemple parfait avec l’auto-lock, ou les vagues d’ennemis en continu vers les derniers niveaux. De plus, il faut souligner le manque variété dans les ennemis – sans doute le symptôme d’une sortie précipitée – avec le recyclage d’une sorte de boss intermédiaire dans les derniers niveaux. Pareil pour les deux premiers boss, tous deux des hélicoptères. Heureusement, vous affronterez également des robots et un mutant géant, pour varier un peu les plaisirs.

Accrochez vos ceintures pour un roadtrip très buggé…

Pour profiter de ce magnifique pays qu’est les États-Unis, vous aurez la chance de visiter des bases militaires, des laboratoires, une forêt, les fonds marins et une ville partiellement détruite, mais durant la nuit, de préférence. Les niveaux se composent essentiellement de couloirs et d’arènes ouvertes. Dans l’ensemble, la direction artistique est plutôt réussie en s’inspirant des productions des années 2000, mais n’est pas pour autant exemptée de défauts. Vous apprécierez une balade en 4×4 dans la forêt avec du clipping pour les arbres, ou les textures dans un laboratoire qui prennent tellement de temps à charger que je suis resté bloqué dedans. Et je n’ose évoquer le brouillard dans le niveau à Chicago, tellement épais qu’on y voit comme à travers une pelle, ou les fonds marins d’une obscurité complètement absurde.

Une liste de bugs non-exhaustive :

On  entend des soldats crier ou tirer après avoir été complétement vaporisés, des portes peuvent rester fermées jusqu’au rechargement d’une sauvegarde, vous pouvez avoir une chance de perdre toutes vos améliorations en relançant un niveau, des ennemis peuvent se retrouver bloqués dans les textures tout en vous mitraillant, des ennemis paralysés continuent d’avancer vers vous…

Durant votre expédition, vous progresserez de manière identique dans l’ensemble des niveaux, à savoir récupérer des cartes et des codes d’accès, poser du C4 et utiliser votre matraque électrique pour recharger un interrupteur. Il n’y a aucun indicateur d’objectif et de carte, il vous arrivera parfois de vous perdre car vous ne comprendrez pas où aller pour récupérer tel objet ou remplir telle tâche. Vous aurez la possibilité d’utiliser des véhicules aériens, sous-marins et terrestres. Ces passages sont très anecdotiques, tout en sachant que vous ne piloterez pas l’avion, ce qui est une sage décision de la part des devs, vu les commandes horribles des autres engins. Par contre, si vous rêviez d’être conducteur d’engin de travaux, vous pourrez, à deux reprises, soulever des rochers ou des véhicules pour vous ouvrir la voie.

Un jeu totalement gâché

Bien que tout ne soit pas à jeter, Phantom Fury fait partie des nombreux titres de 3D REALMS qui n’est pas passé par la case « contrôle qualité ». Au lieu de proposer de l’interactivité qui n’apporte rien de plus, il aurait été préférable de mettre l’accent sur la correction des trop nombreux bugs. Faute à une difficulté mal équilibrée et une IA inconstante, certains passages deviennent frustrants et bien que le gunplay soit correct, ça ne suffit pas à combler toutes les lacunes. Peut-être qu’un miraculeux patch viendra sauver les meubles, mais on n’y croit pas, et on ne vous conseille franchement pas de vous pencher sur ce jeu pour l’instant. Phantom Fury aurait pu être une bonne surprise sans pour autant être excellent, mais encore une fois, le duo 3D REALMS et Splipgate Ironworks ne semble pas avoir appris de ses erreurs.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

Mardi dernier, les devs du studio Red Barrels ont publié un billet de blog Steam pour annoncer la sortie de la nouvelle mise à jour de The Outlast Trials. Dans cette dernière, vous pourrez participer à un événement temporaire nommé TOXIC SHOCK. Si les psychopathes n’étaient pas une menace suffisante pour vous, peut-être apprécieriez-vous de respirer un gaz toxique qui vous inflige des dégâts permanents ? Pour cette nouvelle expérimentation, votre objectif sera de collecter des rats drogués, qui vous permettront d’obtenir des tokens et des cosmétiques. Également, deux MK-Challenges (Tilt The Scales of Justice et Sabotage the Factory) inédits s’ajouteront tout au long de l’événement.

Les devs ont constaté qu’une partie des joueurs n’étaient pas de très bons sujets de tests, ce qui empêchaient ces derniers d’expérimenter certains programmes de Murkoff. Pour palier à cela, les conditions d’accès aux Program X et  Program Ultra ont été modifiées, comme ça ils pourront souffrir comme les autres. Si vous souhaitez en apprendre davantage et découvrir la longue liste de correctifs, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.

Si vos amis et vous-même êtes prêts à contribuer contre votre gré pour la science, The Outlast Trials est disponible sur Steam à moins de 39 €.

Sorti en accès anticipé depuis octobre 2022, Sker Ritual, un jeu d’horreur coopératif à la sauce COD Zombie, est désormais disponible en version 1.0 depuis hier. Le studio Wales Interactive, en charge du développement, a publié pour l’occasion un billet de blog Steam accompagné d’une bande-annonce de lancement. Ainsi, vous pourrez profiter de nouvelles histoires incluant des cutsccenes et des dialogues, quatre armes supplémentaires et des cosmétiques aussi bien gratuits que payants. Si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter le patch notes en anglais.

Sympa sans plus, Sker Ritual ne réinvente pas la roue et se distingue par l’originalité de son bestiaire issu du folklore britannique. Le gunplay a l’air pas mal avec son arsenal améliorable, et l’IA ennemie comme à son habitude semble très limitée.

Si vous souhaitez passer le temps à dézinguer une horde de monstres avec vos amis, Sker Ritual est en version 1.0 sur Steam, avec une promotion de -20 % jusqu’au 26 avril, soit moins de 20 €.

Cette semaine, nos confrères d’IGN ont diffusé la bande-annonce de POOLS, développé par le studio Tensori. Présenté comme « jeu expérimental d’horreur et d’exploration calme » sur sa fiche Steam, vous traverserez six chapitres labyrinthiques où l’ambiance sonore et visuelle influeront grandement sur votre sens de l’orientation et votre perception de l’environnement. Ici, il n’y aura ni ennemi, ni histoire obscure, seulement vous, se promenant dans un immense complexe aquatique – en gros, un pur walking-sim. Visuellement très beau, POOLS se démarque donc par sa direction artistique et son rythme très lent, suggérant l’horreur par l’ambiance plutôt que de la montrer avec des jumpscares et des monstres psychopathes dont sont friands nos très chers YouTubers

Si vous êtes intrigué par le proposition de POOLS, ce dernier sera disponible le 26 avril prochain sur Steam.

Annoncé en mai 2023, Quintus and the Formidable Curse, un jeu d’horreur-aventure où un humain et une souris font équipe, s’est fait très discret depuis. Dans le courant de la semaine, le studio Wreck Tangle Games, en charge du développement de ce jeu atypique, est sorti du bois en publiant une bande-annonce pour dévoiler la date de sortie, soit le 28 juin. Pour rappel, dans la région fictive de Cificap County, vous incarnerez Alan (l’humain) et Quintus (la souris) partant affronter des monstres étranges et qui ne font pas spécialement peur. Chacun des protagonistes aura un gameplay différent, par exemple Alan utilisera des armes de mêlée et Quintus profitera sa petite taille pour se déplacer dans des endroits exigus ou en hauteur. Vous pourrez également compter sur deux autres rongeurs disposant de pouvoirs élémentaires, qui feront office d’armes.

En voyant la bande-annonce, on a franchement l’impression d’avoir à faire à un jeu d’action de second zone avec l’aspect horreur en option. Question de goûts, les graphismes et la modélisation des personnages sont franchement pas terribles. Le gunplay (si on peut appeler ça comme ça) avec les rongeurs et les combats au corps-à-corps ont l’air un peu plus travaillé, avec des ennemis qui ressentent bien les coups portés.

Si vous souhaitez partir à l’aventure (sans l’horreur) avec des souris comme amies, vous pourrez vous procurer Quintus and the Formidable Curse sur Steam le 28 juin prochain.

En ce début d’année 2024, nous vous parlions de la nouvelle roadmap et du système de progression à venir dans Starship Troopers: Extermination. Et ce n’est qu’en ce milieu de semaine, que les devs du studio Offworld se décident enfin à publier un billet de blog Steam pour le déploiement de la grosse mise à jour 0.7.0. Dans cette dernière, vous pourrez désormais sélectionner six nouvelles classes (Sniper, Demolisher, Guardion, Engineer, Medic et Ranger), tout en profitant des améliorations apportées à l’armurerie (armes, habilités, équipements et perks). De nouvelles missions secondaires et des événements mondiaux seront également disponibles pour contribuer au génocide des Arachnides.

Ce n’est pas tout, le nouveau système de maîtrise d’armes vous permettra de débloquer des attachments et des skins de toute beauté pour customiser vos armes. Si vous en aviez marre de ne pas trouver une escouade ou une mission en particulier (peut-être parce que vous êtes trop casse-couille), l’interface de sélection des missions a été amélioré en ce sens et la fonctionnalité Quick Play vous lancera directement dans l’action, si vous êtes pressé et pas regardant. En l’absence d’un medic compétent et frustré de ne pas pouvoir fraguer comme il l’entend, la nouvelle mécanique Reinforcements permettra un nombre de respawn limité et commun à votre unité, en fonction de la difficulté et du type de mission.

Enfin, si vous étiez un trop bon soldat de la Fédération avec un rang de career à son maximum, vous aurez la possibilité de profiter du Re-Enlistement vous permettant de reset votre progression sans perdre le niveau maîtrise de vos armes, et de débloquer de nouveaux atouts tels qu’un nouveau badge de career pour la frime ou un emplacement d’équipement. Si vous avez du temps à perdre, d’autres nouveautés et une liste de correctifs sont à découvrir en consultant le billet de blog Steam.

Toujours en accès anticipé, Starship Troopers: Extermination est disponible à moins de 29 € sur Steam, si vous êtes intéressé. Ou vous pouvez également profiter de la promotion de -10 % de notre partenaire Gamesplanet et nous soutenir au passage.

À l’occasion du stream du The Triple-I Initiative Showcase, le studio Fumi Games, en charge du rétro-FPS Mouse, a diffusé une courte bande-annonce de gameplay. Dans cette dernière, on y voit le bienfaits des épinards, ce qui n’est pas sans rappeler notre bon vieux marin Popeye (en vérité, c’était uniquement pour gonfler la vente d’épinards). Notre héros pourra profiter temporairement d’une force accrue, pour distribuer des mandales aux ennemis. Hormis ça, il y a quelques séquences de gunplay et de plate-formes avec un grappin ou des coussins d’air.

Pour rappel, dans cet univers de cartoons des années 30′, vous y incarnerez le détective privé nommé Mouse, qui luttera contre la pègre à l’aide d’armes à feu diverses et d’épinards. Le jeu est toujours prévu pour 2025, sans plus de précisions.

Si vous n’êtes pas trop déstabilisé par le sacré coup de vieux que vous venez de vous prendre avec Popeye, vous pouvez toujours ajouter Mouse à votre liste de souhaits Steam.

Récemment, la rédac a découvert un rétro-FPS nommé PIGFACE, dans lequel vous incarnerez une personne kidnappée devant participer contre son gré à un jeu de survie, sous peine de voir sa vie écourtée. À l’aide d’armes de mêlée et à feu, vous devrez abattre vos ennemis, qui sont prêts à tout pour obtenir la récompense mise sur votre tête. Tito, l’unique développeur du jeu, a publié sur sa chaîne officielle YouTube, une bande-annonce pour la sortie d’une démo sur les mécaniques de combat, que nous avons pu tester.

Durant cette démo très courte, nous avons pu massacrer à coups de marteau et d’armes à feu en tout genre (revolver, mitraillette, fusil à précision, fusil à pompe…) des ennemis pour le moins débiles. Mais pour autant, le feeling des armes reste très bon et les graphismes sont pas dégueu. Étant en début de développement, on ne sait pas grand chose sur PIGFACE, et encore moins sur son concept à long terme. Mais si vous êtes intéressé, le dev semble très actif sur son compte officiel X et YouTube.

Si vous êtes curieux et avez quelques minutes à perdre, vous pouvez vous essayer à la démo technique de PIGFACE disponible depuis sa page itch.io.

En attendant les prochains DLCs prévus courant 2024, le studio Tuxedo Labs, en charge du très explosif Teardown, propose une mise à jour de son pack de mods dévoilé au travers d’une bande-annonce. Ainsi, vous pourrez profiter de nouveaux contenus comprenant :

• Un fusil plasma destructeur, une bombe de peinture pour vandaliser la propriété d’autrui, et un tuyau d’incendie pour éteindre vos méfaits de pyromane
• Des nouveaux environnements à explorer et à faire exploser
• La possibilité de conduire des éléments du décor
• Des ragdolls, des vélos et des rampes pour faire des tricks.

Très apprécié par notre expert Saer, Teardown est disponible sur Steam à moins de 30 € pour l’édition de base. Et si vous êtes d’humeur dépensière, l’édition deluxe et ultimate sont respectivement à 39,99 € et 49,99 €. Ou vous pouvez également profiter de la promotion à -10 % de notre partenaire Gamesplanet sur l’édition de base, et nous soutenir au passage.

Durant la création d’un jeu, il arrive parfois que le développeur se sente perdu, voire dépassé par son projet, au point de se poser des questions existentielles. Dans le cas de Killer Bean, le développeur indé l’a formalisé au travers d’une vidéo de gameplay nommée « Did I make the Killer Bean game too hard ? » (Est-ce que j’ai rendu le jeu Killer Bean trop dur ?). Durant cinq minutes, vous pourrez vous faire votre propre avis en observant les trois tentatives du dev, en vue à la troisième et à la première personne.

À la rédac, on n’a rien vu d’extraordinaire si ce n’est que les cabrioles en vue FPS qui doivent donner la gerbe à longue. On note également le son de poêle lors des impacts de balles et la présence du friendly fire entre les ennemis qui n’ont pas l’air très futés. À part ça, le gunplay et le bullet time rendent au moins le tout dynamique.

Killer Bean n’a toujours pas de date de sortie annoncée. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

En dépit de l’ajout d’un nouveau mode de jeu suscitant un léger regain d’intérêt, le studio Pet Project Games, en charge du RIPOUT, peine à faire dépasser le pic de la vingtaine de joueurs sur ces deux dernières semaines. C’est pourquoi, dans une ultime tentative, les devs ont décidé de publier un billet de blog Steam pour annoncer la sortie d’une nouvelle mise à jour et un week-end d’essai gratuit, se déroulant du 05 au 08 avril. Du côté de la mise à jour, le tutoriel du jeu a été amélioré afin que les mécaniques de base soient mieux assimilées, vu que ça l’air très compliqué à jouer pour les simples d’esprits que vous êtes. Et pour parfaire ce tableau, une IA vocale nommée Cynthia, sera votre compagnon de S.O.S solitude qui vous guidera durant votre expédition vers Sanctuary, à défaut de trouver des joueurs pour la coop.

Vous profiterez également d’une nouvelle arme de poing, le Missile Pistol, vous permettant de tirer des missiles sur vos adversaires avec une cadence élevée. Au niveau du bestiaire, vous rencontrerez le Leaper, une sorte de mini-chien mutant se déplaçant en meute et vous crachant des boules de plasma. Si vous souhaitez découvrir la liste des correctifs et les autres nouveautés, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.

À moins que vous ayez envie de vous la jouer solo (et encore), ce ne sera pas pour l’aspect coopératif de RIPOUT que vous trouverez bonheur. Si malgré tout ce dernier suscite chez vous un quelconque intérêt, vous pouvez vous le procurer en promotion à 15 € sur Steam ou profiter du week-end d’essai gratuit (du 5 au 8 avril), à vous de voir.

Après avoir étoffé la liste des infections à choper, le studio Far From Home, en charge de Forever Skies, a publié un billet de blog Steam pour la sortie de la mise à jour Airship Gardening, le 28 mars. Dans cette dernière, vous découvrirez un nouveau pan de l’histoire principale, avec le chapitre 2 – Hunt For Cure vous donnant accès à une nouvelle zone nommée Suburbs. Là-bas, vous pourrez y récupérer de nouvelles ressources, technologies et plans pour construire des équipements, à l’exemple du Aircutter. Concernant votre dirigeable, vous aurez le plaisir de le customiser afin de le rendre moins austère, car la disparition de l’humanité ne rime pas forcément avec la fin du bon goût. Et si vous avez la main verte, il vous sera possible d’aménager un espace de jardinage, pour y faire pousser toutes sortes de plantes. Ce sera surtout l’occasion pour vous d’élargir votre consommation personnelle « d’herbes médicinales », à bon entendeur. Si vous souhaitez en découvrir davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.

Si vous aimez faire du jardinage au sein d’un dirigeable de fortune, durant une période post-apocalyptique, Forever Skies est actuellement à -25 % sur Steam jusqu’au 11 avril, à moins de 22 €.

On aurait pu penser que c’était une farce du 1^er avril, mais il n’en est rien. Le studio Nightdive, spécialisé dans le remaster de rétro-FPS, a dévoilé PO’ed: Definitive Edition via une bande-annonce. Dans ce rétro-FPS des années 90, vous y incarnerez un cuisinier dont le vaisseau spatial s’est écrasé sur une planète infestée d’aliens voraces. Tel un Philippe Etchebest furax, vous irez faire roussir vos ennemis à l’apparence bien singulière, avec vos ustensiles de cuisine et armes futuristes (canon plasma, lance-roquettes à tête chercheuse, un pistolet à viande…). Vous profiterez également d’un jetpack pour vous déplacer comme un majestueux papillon dans des environnements ouverts en 3D.

Pour mener à bien leur opération séduction, les devs annoncent des graphismes et un gameplay améliorés, ainsi que la correction des bugs présents dans le jeu d’origine. On ne va pas passer par quatre chemins, qui se rappelle franchement de ce jeu ? Bien que ce soit gore à souhait, le jeu n’a pas l’air particulièrement attrayant et les graphismes restent bien moches.

PO’ed: Definitive Edition n’a pas de date de sortie annoncée. Mais en attendant, si vous souhaitez vous reconvertir en cuisinier spécialisé dans les préparations à base d’aliens, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam.

Après une dernière mise à jour en décembre 2023, le studio The Outsiders, en charge de Metal: Hellsinger, a collaboré dans le plus grand des secrets avec le studio Lab42 (Snooker 19), pour développer Metal: Hellsinger VR. Prévu pour courant 2024, vous pourrez revivre l’aventure de l’Inconnue parcourant les enfers en quête de vengeance, à travers votre casque VR. Le moins que l’on puisse dire en visionnant la bande-annonce, est que les graphismes sont plutôt réussis et le gunplay semble très dynamique. La musique joue également pour beaucoup, il vous faudra donc faire gaffe à ne pas vous bousiller les cervicales ou balancer votre casque à l’autre bout de la pièce en effectuant un headbang.

Prévu pour 2024, Metal: Hellsinger VR sera disponible sur Steam, Meta Quest et PSVR. En attendant, vous pouvez profiter des offres promotionnelles à -60 % et à -53 % sur les différentes éditions de Metal: Hellsinger disponibles sur Steam jusqu’au 8 avril.

À la rédac, on s’est vraiment fait violence pour se farcir non pas un, deux, trois… mais quatre billets de blog Steam (1, 2, 3 et 4) pour la sortie de la saison 3 de Call of Duty: Modern Warfare III, ce 3 avril. C’est une véritable purge visuelle et textuelle ! Qui au studio Sledgehammer a eu l’idée de pondre de ça et se dire une demie-seconde, que le commun des mortels va prendre un plaisir orgasmique à lire tout ça. À cause de ces conneries, l’achat important de citrate de bétaïne et de paracétamol ont eu raison de notre pauvre Fcp, qui est porté disparu depuis qu’il a vu l’état du budget de NoFrag. Donc, vous comprendrez bien que l’on va la faire courte et vous laissez le plaisir de vous abîmer les yeux prématurément en lisant chaque billet en entier, si vous souhaitez en apprendre davantage.

Pour le multi de Call of Duty Modern Warfare III, les devs, sans doute sous cocaïne pour nous pondre autant de trucs, vous proposeront six nouvelles cartes cartes en 6v6 durant la saison 3, dont une remastérisée et deux réutilisées à partir des points d’intérêt de Vondel et Rebirth Island. À moins que l’on ne soit plus en capacité de compter dû aux premières manifestations de notre indigestion, vous profiterez également de quatre (d’après le billet, mais on en voit cinq) modes de jeu (Capture the Flag, One in the Chamber, Minefield, Escort et Vortex Playlist pour une durée limitée). Pour empirer les ballonnements déjà présents, il ne faut surtout pas oublier les perks, les équipements, les récompenses saisonnières et les armes, que vous pourrez découvrir plus en détails ici.

À partir de là, tous les symptômes de l’indigestion se sont manifestés simultanément avec d’affreux maux de tête, rien qu’à la vue des deux parties dédiées (1 et 2) au mode Warzone. Pour innover et surtout préserver le peu de santé qui nous reste, on voulait plutôt vous suggérer de lire ces deux pavés, que de vous faire un résumé. Mais conscience professionnelle oblige, zut ! Vous irez vous foutre sur la tronche sur la nouvelle carte Rebirth Island et participerez à divers events, contracts ou modes de jeu (Call of Duty: Warzone Bootcamp, Rebirth Resurgence, Rebirth Resurgence Loaded et Rebirth Lockdown). Évidemment, vous aurez le droit à un dégueulis de perks, d’équipements, de récompenses et de fonctionnalités à tout va, que vous pourrez constater ici et là.

Au point où on en est, autant terminer avec le mode Zombie qui comprendra la suite de l’histoire du Dark Aether, un nouveau warlord nommé Rainmaker, des challenges et plein d’autres trucs sûrement « très intéressants », que vous retrouverez ici. Si vous n’en aviez pas assez des collabs à la con pour des skins, Godzilla et King Kong s’inviteront pour votre plus grand plaisir dans votre jeu favori.

Voilà ! Mon dieu ! Enfin c’est terminé ! Ahhhh… On a oublié que vous pouvez toujours vous procurer le trop cher Call of Duty: Modern Warfare III  sur Steam ou Battle.net contre 70 €. Et, a contrario, profiter du mode Warzone sans débourser le moindre centime (sauf pour répondre à l’appel de la microtransaction), vu que c’est un free-to-play.

Plus de cinq mois après la sortie en accès anticipé du rétro-FPS Forgive Me Father 2, le studio Byte Barrel se décide enfin à sortir du bois avec la publication d’un billet de blog Steam, annonçant l’arrivée de la première mise à jour. Prévue pour le 4 avril, cette dernière ajoutera deux niveaux que sont Basement et University, remplis d’ennemis de l’univers lovecraftien. Notre protagoniste, quant à lui, se verra doté de nouvelles armes à l’apparence bien étrange et dégueu, avec Eldritch Grasper (une sorte de gatling) et Blood Pumper (une variante du pistolet utilisant du sang comme munitions). De plus, une capacité nommée Mirror complétera le Dark Tome et vous permettra de renvoyer les dégâts subis à vos ennemis. Les devs annoncent également que le contenu de cette mise à jour sera plus important que prévu. Pour en apprendre davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam en anglais.

Jouissif, mais avec un contenu de base assez maigre, Forgive Me Father 2, toujours en accès anticipé, verra enfin sa première à jour sortir ce 4 avril. Et si vous êtes intéressé, ce dernier est disponible en promotion à -20 % jusqu’au 4 avril sur GoG, soit moins de 15 €. Ou vous pouvez également vous faire plaisir avec le bundle Back with a Vengeance: The Best of Retro Boomer Shooters d’Humble Bundle à $18, incluant en plus de Forgive Me Father 2, les très bons FPS, Prodeus et Turbo Overkill, que nous vous recommandons chaudement.

N’étant plus à une énième mise à jour près, le studio Hello Games, en charge de No Man’s Sky, a dévoilé ORBITAL dans le courant de la semaine. Détaillée via un billet de blog Steam, cette nouvelle mise à jour vous apportera une refonte graphique extérieure et intérieure des stations spatiales. Chaque intérieur sera généré procéduralement avec de nouvelles activités, boutiques et gameplay, en fonction du système dans lequel vous voyagez. Mais ce n’est pas tout : presque 8 ans après la sortie du jeu, vous pourrez enfin customiser votre vaisseau pour ressembler à un sex toy multicolore dérivant dans le vide spatial. De plus, un nouveau système de guilde est introduit pour vous permettre de vous faire un réputation et d’obtenir de meilleurs objets. Enfin, en qualité de chef de cargo, il vous sera possible de créer votre flotte de frégates et de les envoyer en mission. Si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter le patch note complet et en anglais sur le site officiel.

À la rédac’, No Man’s Sky continue de nous en toucher une sans déplacer l’autre. Mais si vous êtes tout de même intéressé, ce dernier est en promotion à -50 % sur Steam jusqu’au 8 avril, soit moins de 30 €.