US Probes Whether Negotiator Took Slice of Hacker Payments
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Les votes pour les Cowcotland Reader Awards 2025 débutent ce jour, il est temps de nous dire quelles sont vos marques favorites, mais aussi vos produits préférés ? Cerise sur le gâteau, en répondant à ces questions, vous aurez peut-être la chance de gagner la carte graphique de votre choix d'une valeur de 1000 euros !!! Pour voter, c'est simple, cela se passe ici même : Votez pour vos marques et produits préférés. Les lecteurs de Cowcotland auront ainsi la possibilité de voter pour leurs marques préférées, et cela, dans 57 catégories distinctes. Vous pouvez voter jusqu'au 20 juillet prochain. Qui remportera les Cowcotland Reader Awards cette année ? Les gagnants des Cowcotland Reader Awards seront rendus publics en ligne le 19 août prochain. […]
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Il y a un peu moins d'une semaine, nous vous parlions de la polémique qui entoure l'écran LCD de la Switch 2 de Nintendo et notamment son manque de réactivité qui ferait tache pour une console de nouvelle génération fraichement sortie en 2025. Dans un test publié par Monitors Unboxed, l'écran de la...
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En avril dernier, Synology annonçait limiter le choix de ses stockages pour ses NAS. Avec la volonté de privilégier ses « propres » produits pour s’assurer de leur fiabilité. Les guillemets autour de propre ne sont pas de trop puisque ces stockages sont en réalité des disques et des SSD fabriqués par d’autres suivant leur cahier des charges.
Aujourd’hui nous découvrons que non seulement l’ouverture promise à d’autres marques pour proposer des unités de stockage compatibles n’a pas augmenté mais que les prix des composants de la marque ont littéralement explosés.
Les nouveaux SSD « Entreprise » de la marque, les SNV5400, sont de sortie. Et avec eux on découvre des tarifs absolument hors sol. Un SSD M.2 2280 NVMe de 1.6 To en PCIe Gen3 s’achètera à… plus de 630€ en France. Les prix de la concurrence pour ce type de SSD se situent aux alentours de 100$. Et pour le moment ce SSD est le seul à être compatible avec les nouveaux NAS de la marque.
Si Synology avait gardé la porte ouverte pour que d’autres constructeurs puissent accéder à cette compatibilité, pour le moment aucun autre produit n’est annoncé comme étant validé par la marque. De telle sorte qu’il sera impossible pour un acheteur de NAS Synology de ne pas casser sa tirelire en ajoutant ces SSD hors de prix.
Pire encore, ces SSD ont beau être très chers, ils ne sont pas bons en termes de débits. Le SNV5420 de 1.6 To offre des débits séquentiels de 3000 MB/s en lecture et 1000 MB/s en écriture. Cela est dû principalement au choix d’une interface PCIe 3.0 avec 4 lignes PCIe seulement. C’est peu et n’est pas justifié par le prix même si le SSD indique une endurance de 2900 TBW.
Avec des concurrents largement positionnés sur le PCIe 4.0 depuis un moment sur ce marché pro, le SSD de Synology est clairement daté. Surtout que sur ce segment de pointe, les constructeurs n’hésitent pas à jouer leur avantage en misant sur les dernières technologies. Beaucoup de gammes pro sont déjà proposées en PCIe 5.0. Certains proposent donc mieux pour moins cher, d’autres beaucoup mieux et plus endurant. Chez Western Digital les SSD Red SN700 en PCIe 3.0 indiquent une endurance de 5100 TBW… Presque deux fois mieux pour un modèle d’une capacité de 4 To vendu 353€ soit 283€ de moins que le nouveau modèle Synology de 1.6 Go. Le modèle 1 To est à 96.29€…
Cette décision signe donc probablement la fin des longues fiançailles entre Synology et le grand public. Voir avec les entreprises ayant le plus de compétences en matière de stockage. L’offre concurrente est en train d’exploser et je vois mal un particulier investir dans un produit de cette marque désormais. Même si les NAS concernés sont pour le moment des versions clairement orientées pour les professionnels, le risque est de plus en plus grand de continuer à faire confiance en Synology.
Le risque de voir ces limitations s’étendre à toujours plus de matériel existe, jusqu’à déborder vers des appareils moins haut de gamme. En créant ainsi deux catégories de NAS réellement distinctes, la marque va forcément vouloir prioriser la partie la plus rentable de son offre. Et cela veut dire que l’énergie et les ressources de développement disponibles iront d’abord vers les produits à destinations des « vaches à lait » que seront les pros. Et certains développements pourraient disparaitre pour les produits grand public.
Synology commercialise des SSD totalement hors de prix © MiniMachines.net. 2025
Besoin d'être un peu plus frais pour le visage ? Les bras ? Besoin d'un coup de main pour démarrer le barbecue ? Ca tombe bien, ARCTIC vient de lancer son ventilateur portable Summair 2Go, et il est chouette. Environ 22 U+20AC pour une grosse autonomie, une prise en main efficace et pratique plus une batterie amovible, c'est tout simplement idéal pour suffoquer un peu moins qu'on soit dehors ou dedans. Et en plus, il est garanti six ans ! En partenariat avec GVGMALL: Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]
Lire la suiteDans la vie, il faut se donner des défis pour placer la barre sans cesse plus haut. Chez NVIDIA, il semblerait que l'objectif soit que chaque lancement d'une nouvelle carte graphique GeForce RTX 50 soit encore plus bordélique que le précédent, et on peut dire que le contrat est rempli avec la GeForc...
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Toujours via les annonces de développement du Steam Deck, on retrouve de nombreuses corrections concernant les consoles tierces exploitant – ou pouvant exploiter – Steam OS.
Les consoles tierces ont donc droit à un travail soigné de Valve qui veut probablement s’en servir d’ambassadeur pour mettre en avant son système. Si les possesseurs de la console de la marque sont également pris en compte, de nombreux correctifs et améliorations sont listés. Et dans le lot, on peut lire un premier appel du pied à des consoles des marques MSI, AYANEO, AYN, GPD, ONEXPLAYER et OrangePI.
Il ne s’agit pour le moment que de la prise en charge du bouton de mise en marche et d’arrêt. C’est néanmoins un signe fort à mon sens de l’intérêt de Valve pour ces marques souvent pionnières sur ce marché.
Si demain Valve s’associe à elles pour proposer des consoles PC sous Steam OS cela pourrait bouleverser tout le marché. Ces marques ont en effet le mauvais réflexe de monter en gamme avec des modèles de plus en plus onéreux. Il s’agit de suivre ce que propose le marché PC sans trop réfléchir aux conséquences financières sur le prix final de la machine. Avec des consoles dont les prix dépassent largement celui d’un Steam Deck ou d’une Switch, voir celui d’un ordinateur portable plus puissant, ce marché est en train de s’écrouler sur lui-même. En basculant sous Steam OS, ces marques pourraient changer de fusil d’épaule et arrêter de ne compter que sur un petit nombre d’acheteurs à des prix élevés pour proposer des modèles moins chers en plus grand nombre.
Détail de la mise à jour SteamOS 3.7.13
Général
Audio
Accessibilité
Appareils autres que Steam Deck
Développement
Valve met la vapeur pour Steam OS sur les consoles tierces © MiniMachines.net. 2025
Accusés de harcèlement moral et sexuel et pour l’un, de tentative d’agression sexuelle, trois anciens cadres d’Ubisoft ont été condamnés mercredi par le tribunal de Bobigny à des peines allant jusqu’à trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende. Lors de leur procès, les prévenus s’étaient retranchés derrière l’idée d’une culture d’entreprise dont ils n’auraient pas été directement responsables.
Le tribunal de Bobigny a rendu mercredi son délibéré dans le procès des trois anciens cadres et dirigeants d’Ubisoft accusés de harcèlement moral et sexuel à l’encontre de plusieurs personnes de leurs équipes. Il a finalement suivi les réquisitions du parquet en ce qui concerne le principal protagoniste de l’affaire.
D’après l’AFP, qui rapporte ce verdict, c’est en effet Thomas François, vice-président du service éditorial, qui a été condamné à la peine la plus lourde, à savoir trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, pour harcèlement moral, harcèlement sexuel et tentative d’agression sexuelle.
Les faits incriminés se sont produits entre 2012 et 2020, date à laquelle l’éditeur de jeu vidéo a procédé à son licenciement pour faute grave, après que les accusations de harcèlement répété mené à l’encontre de ses équipes eurent été rendues publiques, notamment par l’intermédiaire d’une enquête de Libération. A l’époque, une vingtaine de témoins rapportaient l’ambiance délétère entretenue par Thomas François, à base de supposées blagues en forme d’humiliations.
Lors du procès, début juin, l’intéressé avait minimisé les humiliations en question, expliquant par exemple qu’il n’avait pas compris la gêne de l’intéressée lorsqu’il avait ligoté l’une de ses collaboratrices à une chaise avant de la mettre dans l’ascenseur.
Son supérieur Serge Hascoët, directeur créatif d’Ubisoft de 2000 à 2020 et donc numéro deux de l’éditeur derrière Yves Guillemot jusqu’à sa démission, a quant à lui été condamné à 18 mois de prison avec sursis et 45 000 euros d’amende pour complicité de harcèlement moral. Les nombreux témoignages apportés au procès appuyaient l’hypothèse selon laquelle il aurait laissé son protégé sévir à sa guise.
Le procès a également mis en lumière comment Hascoët profitait de sa position pour faire réaliser à ses subalternes des tâches servant ses besoins personnels et non la bonne marche de l’entreprise. « Hascoët s’est défendu en affirmant qu’il n’avait aucun souvenir de tous ces événements, qu’il n’avait rien vu des agissements de Tommy François, qu’il ne pensait pas à mal », rapporte à son sujet Libération.
Le troisième accusé, Guillaume Patrux, ancien game director du projet AGOS: A Game Of Space, a quant à lui été condamné à 12 mois de prison avec sursis et à 10 000 euros d’amende « pour son comportement violent et intimidant à l’égard de la petite équipe où il travaillait ».
En tant que personne morale, Ubisoft n’a fait l’objet d’aucune poursuite à ce stade, tout comme son équipe dirigeante actuelle. Une absence soulignée par la défense des trois prévenus. « Si on veut être cohérent avec l’idée que le harcèlement soit systémique, il faut que tout le monde soit présent à la barre », avait par exemple plaidé Jean-Guillaume Le Mintier, l’avocat de Serge Hascoët.
En attendant, l’éditeur fait profil bas, dans sa communication officielle, sur cette affaire. Rappelons que ce procès intervient alors que l’entreprise basée à Montreuil a lancé un plan de restructuration stratégique qui prévoit le transfert d’une partie de ses activités à une nouvelle filiale codétenue avec le géant chinois Tencent, actionnaire historique du groupe. Ubisoft, qui a fermé plusieurs studios au cours des derniers mois, affronte par ailleurs un climat social tendu depuis la fin 2024 sur fond de réduction des latitudes offertes à ses salariés en matière de télétravail.
Accusés de harcèlement moral et sexuel et pour l’un, de tentative d’agression sexuelle, trois anciens cadres d’Ubisoft ont été condamnés mercredi par le tribunal de Bobigny à des peines allant jusqu’à trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende. Lors de leur procès, les prévenus s’étaient retranchés derrière l’idée d’une culture d’entreprise dont ils n’auraient pas été directement responsables.
Le tribunal de Bobigny a rendu mercredi son délibéré dans le procès des trois anciens cadres et dirigeants d’Ubisoft accusés de harcèlement moral et sexuel à l’encontre de plusieurs personnes de leurs équipes. Il a finalement suivi les réquisitions du parquet en ce qui concerne le principal protagoniste de l’affaire.
D’après l’AFP, qui rapporte ce verdict, c’est en effet Thomas François, vice-président du service éditorial, qui a été condamné à la peine la plus lourde, à savoir trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, pour harcèlement moral, harcèlement sexuel et tentative d’agression sexuelle.
Les faits incriminés se sont produits entre 2012 et 2020, date à laquelle l’éditeur de jeu vidéo a procédé à son licenciement pour faute grave, après que les accusations de harcèlement répété mené à l’encontre de ses équipes eurent été rendues publiques, notamment par l’intermédiaire d’une enquête de Libération. A l’époque, une vingtaine de témoins rapportaient l’ambiance délétère entretenue par Thomas François, à base de supposées blagues en forme d’humiliations.
Lors du procès, début juin, l’intéressé avait minimisé les humiliations en question, expliquant par exemple qu’il n’avait pas compris la gêne de l’intéressée lorsqu’il avait ligoté l’une de ses collaboratrices à une chaise avant de la mettre dans l’ascenseur.
Son supérieur Serge Hascoët, directeur créatif d’Ubisoft de 2000 à 2020 et donc numéro deux de l’éditeur derrière Yves Guillemot jusqu’à sa démission, a quant à lui été condamné à 18 mois de prison avec sursis et 45 000 euros d’amende pour complicité de harcèlement moral. Les nombreux témoignages apportés au procès appuyaient l’hypothèse selon laquelle il aurait laissé son protégé sévir à sa guise.
Le procès a également mis en lumière comment Hascoët profitait de sa position pour faire réaliser à ses subalternes des tâches servant ses besoins personnels et non la bonne marche de l’entreprise. « Hascoët s’est défendu en affirmant qu’il n’avait aucun souvenir de tous ces événements, qu’il n’avait rien vu des agissements de Tommy François, qu’il ne pensait pas à mal », rapporte à son sujet Libération.
Le troisième accusé, Guillaume Patrux, ancien game director du projet AGOS: A Game Of Space, a quant à lui été condamné à 12 mois de prison avec sursis et à 10 000 euros d’amende « pour son comportement violent et intimidant à l’égard de la petite équipe où il travaillait ».
En tant que personne morale, Ubisoft n’a fait l’objet d’aucune poursuite à ce stade, tout comme son équipe dirigeante actuelle. Une absence soulignée par la défense des trois prévenus. « Si on veut être cohérent avec l’idée que le harcèlement soit systémique, il faut que tout le monde soit présent à la barre », avait par exemple plaidé Jean-Guillaume Le Mintier, l’avocat de Serge Hascoët.
En attendant, l’éditeur fait profil bas, dans sa communication officielle, sur cette affaire. Rappelons que ce procès intervient alors que l’entreprise basée à Montreuil a lancé un plan de restructuration stratégique qui prévoit le transfert d’une partie de ses activités à une nouvelle filiale codétenue avec le géant chinois Tencent, actionnaire historique du groupe. Ubisoft, qui a fermé plusieurs studios au cours des derniers mois, affronte par ailleurs un climat social tendu depuis la fin 2024 sur fond de réduction des latitudes offertes à ses salariés en matière de télétravail.