Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 29 avril 2024Actualités numériques

ENERMAX Marbleshell MS31 : Un boitier accessible au style indéfinissable

29 avril 2024 à 09:45

Ce jour, en vidéo chez nous, le nouveau petit boitier ATX/E-ATX d'Enermax, le Marbleshell MS31. Un boitier que l'on trouve à 72.90 euros, qui propose un style organique, 4 ventilateurs de 120 mm en ARGB, de l'USB Type-C, un panneau en verre trempé et un châssis qui comprend de nombreux passages pour le câble management, ainsi qu'un cache alimentation.En partenariat avec GVGMALL : Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]

Lire la suite

Quatre nouvelles cartes Intel Arc chez Sparkle

29 avril 2024 à 09:09

Sparkle poursuit son indéfectible soutient envers Intel et ses GPUs Arc, avec quatre nouveaux modèles annoncés, les Arc A770 16 Go ROC Luna OC Edition, Arc A770 16 Go ROC OC Edition, Arc A750 8 Go ROC Luna OC Edition, Arc A750 8 Go ROC OC Edition. Les nouvelles cartes intègrent la gamme ROC, qui nous rappellerait presque une gamme ROG, elles sont toutes overclockées d'usine et se différencient par leur coloris, blanc ou noir, selon si elles sont LUNA ou pas, ce qui ajoute quelques dollars au prix final... […]

Lire la suite

Maintenant 379 dollars pour une RX 7700 XT, et chez nous en France ?

29 avril 2024 à 08:56

Vous le savez nous suivons de près les prix des cartes graphiques, dans le monde et en France. Ce jour, C'est la RX 7700 XT qui a le droit à une nouvelle baisse de prix, aux USA, comme souvent. Et donc, on tombe à 379 dollars pour un modèle en ASRock Challenger. Pour rappel, la carte est en NAVI 32, avec 3456 SP et 12 Go de GDDR6, interfacés en 192 bits. […]

Lire la suite

Valetudo : un remplacement Cloud pour vos aspirobots

29 avril 2024 à 10:45

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Valetudo est un service indépendant pensé pour libérer vos aspirateurs robots asservis par le Cloud tyrannique de leur fabricant. Lancé en 2018 le service a gagné en fonctionnalités et en compatibilité pour devenir aujourd’hui une solution assez mature.

L’interface web exploitable au smartphone de Valetudo remplace l’app du fabricant.

L’objectif de Valetudo est donc de proposer un service débarrassant les aspirateurs robots d’utiliser un service dans les nuages pour nettoyer chez vous. Pensé pour être exploité facilement et sans contraintes de réseau, il est conçu et maintenu par des internautes bénévoles. Impossible de connaitre exactement le succès du service puisque les développeurs ne veulent pas engager de statistiques dans ce sens pour des raisons de confidentialité des données et que le projet n’a pas de vocation commerciale. Mais il est vraisemblable que plusieurs milliers d’aspirateurs asservis aient retrouvés leur liberté de vaquer a aspirer de la poussière sans remonter où et quand à des serveurs extérieurs.

Les avantages de se passer d’un modèle dans les nuages pour ce type d’outil sont évidents. Outre le fait que le serveur dont est dépendant vos aspirateur pour commencer a travailler est présent, il est également possible qu’il soit compromis, revendu ou que les conditions générales de son utilisation changent dans le temps. Un aspirobot dépendant d’un serveur situé à des milliers de kilomètres pour aspirer des poussières chez vous pose de nombreux problèmes.

Outre le fait qu’une marque puisse, pour une raison ou une autre, ne pas renouveler son serveur est déjà problématique. Souvent en matière d’Internet des Objets, cela se traduit par une magnifique transformation en presse papier. Mais ce type de service peut également récolter des statistiques que vous n’avez pas forcément envie de partager. Comme votre localisation, les horaires d’utilisation de votre appareil, la surface où il est employé, etc. Avoir recours à un service indépendant évitera également des mises à jour forcée. Ce qui peut être bénéfique ou problématique. Certaines de ces mises à jour peuvent corriger des bugs ou combler des failles de sécurité. D’autres posent des problèmes en rajoutant des comportements quel ‘on voudrait éviter. A chacun de doser votre usage donc, une fois les ponts coupés avec le fabricant, il faudra se débrouiller seul. 

Valeronoi est une extension qui cartographie la force du signal Wi-Fi capté par votre aspirateur.

Une fois basculé sous Valetudo de nombreuses possibilités sont ouvertes comme l’intégrer sous Home Assistant ou utiliser des extensions tierces. Un détail expliquant pourquoi il est utile ou non d’utiliser Valetudo y est également proposé ainsi qu’un listing des modèles compatibles et la démarche a suivre pour les rendre compatibles avec le système. Pour vopus engouffrer dans ce nouvel univers, une page de démarrage est prévue.

Attention, Valetudo est libre, Open-Source et optionnel. Il est totalement sans garantie et demande des compétences techniques évidentes. Ne jouez pas avec au hasard sous peine de « briquer » votre aspirateur.

Valetudo : un remplacement Cloud pour vos aspirobots © MiniMachines.net. 2024.

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ Chiffrement : WhatsApp menace de quitter l’Inde

29 avril 2024 à 09:04
WhatsApp

WhatsApp refuse actuellement de se soumettre à une partie du cadre juridique indien sur les messageries.

Et pour cause, ce dernier impose aux intermédiaires une traçabilité des messages et la possibilité d’identifier leurs auteurs à tout moment. Ces mesures ont été adoptées en 2021 pour des raisons de sécurité, notamment la lutte contre les fakenews.

Pour assurer de telles obligations, WhatsApp serait forcée de casser son chiffrement de bout en bout. Or, la filiale de Meta ne le veut pas :

« En tant que plateforme, nous disons que si l’on nous demande de casser le cryptage, alors WhatsApp disparaît. Une telle règle n’existe nulle part ailleurs dans le monde, pas même au Brésil. Nous devrons conserver une chaîne complète et nous ne savons pas quels messages devront être déchiffrés. Cela signifie que des millions et des millions de messages devront être stockés pendant plusieurs années »

La référence au Brésil n’est pas anodine. WhatsApp était en guerre avec la justice brésilienne il y a quelques années et avait d’ailleurs été condamnée. À cause d’enquêtes bloquées, les forces de l’ordre exigeaient de l’entreprise qu’elle perce ses propres défenses. À l’instar de ce que réclamait le FBI d’Apple après le massacre de San Bernardino.

Il n’existe aucun moyen pour que WhatsApp applique de telles mesures pour la seule Inde. Le pays a beau être au premier rang des utilisateurs du service (400 millions de personnes), l’entreprise menace de le quitter s’il ne revoit pas sa position. Elle a d’ailleurs mis en ligne une note technique sur la notion de traçabilité des messages et pourquoi elle s’y oppose. L’Inde n’est pas nommée, mais le message semble clair.

Déclaration d'Intel sur les problèmes de stabilité : Les fabricants de cartes mères sont à blâmer

29 avril 2024 à 08:15

Cela fait quelque temps maintenant que nous évoquons les problèmes de stabilité des processeurs Intel Raptor Lake et Raptor Lake Refresh. C'est d'ailleurs NVIDIA qui avait soulevé en premier ses problèmes avec les processeurs 13000 et 14000 des bleus. Et selon les premiers retours, les problèmes enregistrés venaient des modifications des courbes de tension, des overclocks automatiques, et de la suppression les limites de puissance. […]

Lire la suite

Une carte graphique RX 6600 LE fait à nouveau son apparition en Chine

29 avril 2024 à 08:01

La carte graphique RX 6600 LE apparaît à nouveau sur le marché Chinois et malgré ses deux lettres LE qui auraient pu laisser à penser qu'il s'agisse d'une Lenovo Edition, il n'en est rien cette nouvelle RX 6600 LE est proposée par le constructeur ONDA, marque connue pour proposer des modèles accessibles en termes de tarifs ! […]

Lire la suite

MSI semble se focaliser sur les cartes graphiques NVIDIA Geforce plutôt que sur les AMD Radeon

29 avril 2024 à 07:44

Déjà pour le lancement des dernières RX 7900 XT et RX 7900 XTX, MSI n'était pas dans les partenaires d'AMD pour proposer des cartes MBA et nous avions uniquement des modèles Custom. Pour les 7700 XT et 7800 XT, carrément pas de modèle MSI, nous étions, nous sommes, donc en droit de nous demander si MSI est toujours un partenaire des rouges. Eh bien Hardwareluxx et demandé à MSI et voilà la réponse de l'intéressé. […]

Lire la suite

☕️ Microsoft ouvre les sources de… MS-DOS 4.0

29 avril 2024 à 08:02

Vous vous souvenez peut-être, Microsoft avait ouvert les sources de MS-DOS 1.25 et 2.0, il y a dix ans, pour les confier au Computer History Museum. Le code avait été publié dans un dépôt GitHub quatre ans plus tard. Ce dernier contient désormais le code de MS-DOS 4.0, toujours sous licence MIT.

L’histoire de cette version du système est intéressante. En effet, la mouture commercialisée n’est pas celle initialement développée. La version d’origine disposait d’un multitâche préemptif. Ce dernier permettait à un programme, avec un développement idoine, de fonctionner en tâche de fond.

Lorsque le projet a été présenté en 1986, il n’a cependant pas créé l’enthousiasme. À sa sortie commerciale en 1988, le système sera nettement plus classique dans son approche.

Le code publié sur le dépôt GitHub contient bien ce multitâche préemptif qui avait été abandonné. Le travail de récupération et de publication a été réalisé conjointement avec IBM. Microsoft donne des détails intéressants dans son annonce.

Les RTX 40 difficiles d'approvisionnement, début de l'opération place nette ?

Voilà ce que remonte, en substance, Board Channels, plutôt au point quand il s'agit d'analyser le segment côté constructeurs. Sur les deux premières semaines d'avril, l'approvisionnement en puce ADA ne serait pas bon, et serait même en très grosse baisse. Tous les GPU qui animent les RTX 40 seraient...

Vers une pénurie de NVIDIA GeForce RTX 4060 Ti ?

29 avril 2024 à 07:13

Il semblerait, du moins en Asie, que la GeForce RTX 4060 Ti devienne une denrée rare sur le marché. Cette carte repose évidemment sur un GPU AD106 de NVIDIA, qui affiche une fréquence de base de 2310 Mhz et un Boost de 2535 Mhz (identique à celui de la Founders Edition), tandis que la mémoire est à 900 Mhz. La carte propose 4332 Cuda Cores et 8 Go de mémoire GDDR6 (18 Gbps). Elle est capable de jouer à tout en 1080p, voire en 1440p et profite des technologies NVIDIA. […]

Lire la suite

Toujours plus d'AIO avec écran chez Thermalright avec la série Core Vision

29 avril 2024 à 06:47

Nouvelle série chez Thermalright avec l'arrivée du kit AIO Core Vision 360 en noir. Point de 240 mm, Thermalright ne semble miser que sur du 360 mm depuis un petit moment afin de vraiment mettre à profit les performances des ventilateurs TL-B12 installés. Tournant à 2150 rpm maximum, ces ventilateurs entièrement en noir délivrent un débit d'air de 69.0 CFM avec une pression statique de 2.87 mmAq. En revanche, aucun réel dispositif n'est présent pour l'organisation des câbles, même si on reste sur un nombre réduit grâce à l'absence de RGB. Mais pas sur le top de la pompe, qui a le droit à un écran de monitoring et à un anneau RGB. […]

Lire la suite
❌
❌