oLes boitiers panoramiques se succèdent chez be quiet!, avec à chaque nouveauté son lot de petits plus très intéressants. Aujourd'hui, passons un peu de temps avec le dernier Light Base 500 LX, dont le tarif est à 154.90 U+20AC, un modèle compatible avec les cartes mères pourvues de connecteurs au dos du PCB et livré avec quatre ventilateurs de 120 mm, les trois à l'avant étant aussi sur le côté. Comment ? C'est à découvrir ici : be quiet! Light Base 500 LX ou sur la source.
[…]
Aujourd'hui nous vous proposons de découvrir le petit dernier de la famille Light Base de be quiet!, à savoir la version 500 dans sa déclinaison LX. Un boitier qui est donc de type panoramique, qui propose deux panneaux en verre trempé, mais aussi deux compartiments, une compatibilité BTF et pas moins de 4 ventilateurs de 120 mm qui sont capables de reproduire l'arc-en-ciel. Annoncé à 154.90 euros, dans cette version blanche, ce nouveau venu fera-t-il date ? Début de réponse dans cette vidéo.
En partenariat avec GVGMALL :
Windows 10 Pro (15U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M
Windows 11 Pro (20U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]
la suite de l’officialisation de Panther Lake, Laptop Review Club avait communiqué des scores 3DMark Time Spy censés refléter les performances de l’iGPU à 12 cœurs graphiques Xe3. Il fallait néanmoins croire le site sur parole... [Tout lire]
Free avance ses pions sur le marché de la distribution TV, avec la transformation de son application historique, Oqee, en un bouquet grand public baptisé Free TV. Il promet 170 chaînes de TV accessibles gratuitement, une offre payante à 5,99 euros par mois, et des avantages supplémentaires pour les abonnés Freebox. La formule concurrence directement Molotov, mais aussi des services comme TF1+ ou M6+.
D’abord pensée comme une extension sous forme d’application mobile des services TV de la Freebox, l’application Oqee TV devient un service de distribution à part entière, ouvert à tous les internautes. Le groupe iliad, propriétaire de Free, a en effet annoncé mardi le lancement de Free TV, une « offre de télévision gratuite d’une ampleur inédite ».
Celle-ci se décline sur mobile (iOS, Android), sur le web, sur les téléviseurs ou vidéoprojecteurs connectés (Free mentionne Samsung, LG, Philips et Hisense) ainsi bien sûr que sur les box de l’opérateur (Player Free TV 4K ou Player Pop).
170 chaînes gratuites et une offre payante à 0,99 euro pendant un an
Le bouquet gratuit annonce 170 chaînes TV, parmi lesquelles on peut retrouver l’offre de la TNT amputée, comme sur Molotov depuis les intenses déboires judiciaires associés, des chaînes des groupes TF1 et M6.
Free TV promet également 25 000 programmes en replay, et une offre de plus de 500 films et 1 000 épisodes de séries, héritée de la fonctionnalité Oqee Ciné lancée début 2023. Le contrôle du direct (mise en pause d’un programme en cours) et la reprise d’un programme depuis le début pendant sa plage de diffusion sont pris en charge. La qualité (définition, encodage) de diffusion n’a pas été communiquée.
Le tout est accessible sans frais, sous réserve de création d’un compte utilisateur et « avec acceptation des cookies », prévient Free. À cette offre gratuite, financée par la publicité, l’opérateur ajoute une option payante, Free TV+, facturée 0,99 euro par mois pendant un an puis 5,99 euros par mois.
La formule réintègre les chaînes manquantes du bouquet de la TNT gratuite, et porte le total à plus de 300 canaux, dont « de nombreuses chaines habituellement payantes comme RTL9, MTV, Disney Channel, Nickelodeon, CNN International, National Geographic, Mangas, Bloomberg TV », vante l’opérateur.
Résumé des offres Free TV
Free TV+ inclus pour les abonnés Free
Les abonnés Freebox avec le service de télévision et les abonnés mobiles Forfait Free 5G et Série Free accèdent quant à eux sans surcoût à l’offre Free TV+ qui s’enrichit, pour eux, de fonctions d’enregistrement (100 heures sur Freebox Pop et 320 heures pour les abonnés Freebox Ultra et Ultra Essentiel). Ceux qui utilisaient l’application Oqee by Free constateront mardi matin son changement de nom à l’occasion d’une mise à jour.
« Regarder la télé, en 2025, c’est une galère : faut télécharger une app pour chaque chaîne, se créer un compte sur chaque app de chaque chaîne… On a décidé de changer tout ça. Maintenant, la télé, c’est simple. Maintenant, la télé, c’est Free », clame Xavier Niel, fondateur d’iliad, dans un communiqué. Un tacle directement adressé aux grands groupes de l’audiovisuel tels que TF1, M6 ou France TV qui, tous, tentent de fédérer les internautes au sein de leurs propres environnements.
Une concurrence nouvelle pour Molotov
C’est cependant le service spécialisé Molotov, pionnier dans cette quête d’application TV unifiée, qui risque de subir le plus directement la concurrence de Free TV. Fondé en 2016, Molotov propose en effet un bouquet gratuit de 40 chaînes de TV en direct (dont l’offre TNT, sans TF1 ni M6) financé par la publicité, et plusieurs bouquets payants, dont le premier, Molotov Extra, démarre à 0,99 euro pendant un mois puis 6,99 euros par mois, pour plus de 100 chaînes, avec enregistrement, replay, contrôle du direct et affichage jusqu’à quatre écrans en full HD.
Le passif qu’entretient Xavier Niel avec les fondateurs de Molotov a-t-il joué un rôle dans l’élaboration et le lancement de l’offre Free TV ? Impossible de l’affirmer à ce stade, mais il convient de rappeler que le patron d’iliad est un actionnaire historique (via sa holding personnelle) de Molotov, après avoir injecté 32 millions d’euros dans la structure en 2019, alors que cette dernière était valorisée aux alentours de 75 millions d’euros.
L’histoire aurait pu, ou dû, bien se terminer puisque Molotov a été rachetée en 2021 par le groupe américain FuboTV, sur la base d’une valorisation nettement supérieure. L’opération, réalisée principalement par échange de titres, ne s’est cependant pas révélée aussi lucrative que prévu : entre octobre 2021 et juin 2022, le cours de l’action fuboTV a en effet perdu 70 % de sa valeur.
Jean-David Blanc, qui est toujours patron de Molotov, a depuis engagé une bataille judiciaire contre ses anciens actionnaires, Xavier Niel et le fonds Eurazeo. Comme l’a révélé l’Informé en avril dernier, il leur réclame depuis 2023 le retour à une précédente version de l’accord de cession qui prévoyait que ses associés lui versent une prime de 30 millions d’euros. Débouté en première instance, il a depuis interjeté appel.
Free avance ses pions sur le marché de la distribution TV, avec la transformation de son application historique, Oqee, en un bouquet grand public baptisé Free TV. Il promet 170 chaînes de TV accessibles gratuitement, une offre payante à 5,99 euros par mois, et des avantages supplémentaires pour les abonnés Freebox. La formule concurrence directement Molotov, mais aussi des services comme TF1+ ou M6+.
D’abord pensée comme une extension sous forme d’application mobile des services TV de la Freebox, l’application Oqee TV devient un service de distribution à part entière, ouvert à tous les internautes. Le groupe iliad, propriétaire de Free, a en effet annoncé mardi le lancement de Free TV, une « offre de télévision gratuite d’une ampleur inédite ».
Celle-ci se décline sur mobile (iOS, Android), sur le web, sur les téléviseurs ou vidéoprojecteurs connectés (Free mentionne Samsung, LG, Philips et Hisense) ainsi bien sûr que sur les box de l’opérateur (Player Free TV 4K ou Player Pop).
170 chaînes gratuites et une offre payante à 0,99 euro pendant un an
Le bouquet gratuit annonce 170 chaînes TV, parmi lesquelles on peut retrouver l’offre de la TNT amputée, comme sur Molotov depuis les intenses déboires judiciaires associés, des chaînes des groupes TF1 et M6.
Free TV promet également 25 000 programmes en replay, et une offre de plus de 500 films et 1 000 épisodes de séries, héritée de la fonctionnalité Oqee Ciné lancée début 2023. Le contrôle du direct (mise en pause d’un programme en cours) et la reprise d’un programme depuis le début pendant sa plage de diffusion sont pris en charge. La qualité (définition, encodage) de diffusion n’a pas été communiquée.
Le tout est accessible sans frais, sous réserve de création d’un compte utilisateur et « avec acceptation des cookies », prévient Free. À cette offre gratuite, financée par la publicité, l’opérateur ajoute une option payante, Free TV+, facturée 0,99 euro par mois pendant un an puis 5,99 euros par mois.
La formule réintègre les chaînes manquantes du bouquet de la TNT gratuite, et porte le total à plus de 300 canaux, dont « de nombreuses chaines habituellement payantes comme RTL9, MTV, Disney Channel, Nickelodeon, CNN International, National Geographic, Mangas, Bloomberg TV », vante l’opérateur.
Résumé des offres Free TV
Free TV+ inclus pour les abonnés Free
Les abonnés Freebox avec le service de télévision et les abonnés mobiles Forfait Free 5G et Série Free accèdent quant à eux sans surcoût à l’offre Free TV+ qui s’enrichit, pour eux, de fonctions d’enregistrement (100 heures sur Freebox Pop et 320 heures pour les abonnés Freebox Ultra et Ultra Essentiel). Ceux qui utilisaient l’application Oqee by Free constateront mardi matin son changement de nom à l’occasion d’une mise à jour.
« Regarder la télé, en 2025, c’est une galère : faut télécharger une app pour chaque chaîne, se créer un compte sur chaque app de chaque chaîne… On a décidé de changer tout ça. Maintenant, la télé, c’est simple. Maintenant, la télé, c’est Free », clame Xavier Niel, fondateur d’iliad, dans un communiqué. Un tacle directement adressé aux grands groupes de l’audiovisuel tels que TF1, M6 ou France TV qui, tous, tentent de fédérer les internautes au sein de leurs propres environnements.
Une concurrence nouvelle pour Molotov
C’est cependant le service spécialisé Molotov, pionnier dans cette quête d’application TV unifiée, qui risque de subir le plus directement la concurrence de Free TV. Fondé en 2016, Molotov propose en effet un bouquet gratuit de 40 chaînes de TV en direct (dont l’offre TNT, sans TF1 ni M6) financé par la publicité, et plusieurs bouquets payants, dont le premier, Molotov Extra, démarre à 0,99 euro pendant un mois puis 6,99 euros par mois, pour plus de 100 chaînes, avec enregistrement, replay, contrôle du direct et affichage jusqu’à quatre écrans en full HD.
Le passif qu’entretient Xavier Niel avec les fondateurs de Molotov a-t-il joué un rôle dans l’élaboration et le lancement de l’offre Free TV ? Impossible de l’affirmer à ce stade, mais il convient de rappeler que le patron d’iliad est un actionnaire historique (via sa holding personnelle) de Molotov, après avoir injecté 32 millions d’euros dans la structure en 2019, alors que cette dernière était valorisée aux alentours de 75 millions d’euros.
L’histoire aurait pu, ou dû, bien se terminer puisque Molotov a été rachetée en 2021 par le groupe américain FuboTV, sur la base d’une valorisation nettement supérieure. L’opération, réalisée principalement par échange de titres, ne s’est cependant pas révélée aussi lucrative que prévu : entre octobre 2021 et juin 2022, le cours de l’action fuboTV a en effet perdu 70 % de sa valeur.
Jean-David Blanc, qui est toujours patron de Molotov, a depuis engagé une bataille judiciaire contre ses anciens actionnaires, Xavier Niel et le fonds Eurazeo. Comme l’a révélé l’Informé en avril dernier, il leur réclame depuis 2023 le retour à une précédente version de l’accord de cession qui prévoyait que ses associés lui versent une prime de 30 millions d’euros. Débouté en première instance, il a depuis interjeté appel.
The AMD Platform Management Framework "PMF" Linux driver is being extended to enable better integration with user-space tooling. AMD SystemDeck is the initial beneficiary of the integration improvements to this AMD platform Linux driver...
The Linux 6.19 kernel coming out in early 2026 will add full support for the Logitech G13 gaming keypad, a device first launched back in 2009. Some functionality has worked in Linux over the past 17 years while full support is only coming to this next version of the Linux kernel...
While the Blender 5.0 3D modeling software is being released next month, there is already exciting changes to look forward to with Blender 5.1 in the new year. Beyond AMD HIP-RT ray-tracing by default in Blender 5.1, this follow-on Blender release is also planning on enabling Vulkan API support by default...
Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir le petit dernier de la famille Light Base de be quiet! : la version 500 dans sa déclinaison LX. Un boîtier de type panoramique qui propose deux panneaux en verre trempé, deux compartiments, une compatibilité BTF et pas moins de quatre ventilateurs de 120 mm capables de reproduire l’arc-en-ciel. Annoncé à 154,90 € dans cette version blanche, ce nouveau venu fera-t-il date ? Réponse dans ces quelques pages, avec nous.
Si vous avez déjà passé de nombreuses heures à vous renseigner sur internet à la recherche de l'écran de vos rêves, vous connaissez sans doute déjà le site RTINGS qui est une référence incontestée dans le monde pour ses tests poussés d'écrans. Résumer leur activité aux écrans serait même très réduct...
L’idée est toujours la même avec ce Minisforum MS-02 Ultra. Proposer une station de travail compacte et compétente pour remplacer ou épauler un monstre de bureau plus classique. Le format reste en effet très compact avec un châssis qui mesure 22.15 cm de large et 22.5 cm de profondeur pour 9.7 cm d’épaisseur. C’est en gros l’équivalent d’une pile d’une quinzaine de magazines posés sur un coin de bureau. C’est pourtant beaucoup plus grand que le MS-01 qui mesurait 19.6 cm de large pour 18.9 cm de profondeur mais 4.8 cm d’épaisseur seulement. Qu’est-ce qui explique l’augmentation de volume de cette machine ? Son équipement interne et surtout ses capacités d’évolution.
On retrouve une carte mère qui abrite un processeur Intel Core Ultra 9 285HX. Une puce Arrow Lake lancée en début d’année qui combine 24 cœurs avec 8 Core P et 16 Core E dans des fréquences allant de 2.1 à 5.5 GHz. Puce au TDP moyen de 55 W et qui propose un circuit graphique doté de 4 cœurs Xe à 2 GHz et un NPU Intel à 13 TOPS.
Autour de lui non pas deux mais quatre ports SODIMM DDR5-4800 avec prise en charge de la mémoire ECC. Le total de mémoire accessible sera donc de 256 Go avec correction d’erreur. Ce qui confirme déjà le positionnement particulier comme une station de travail. Pour accompagner ce poste, pas moins de quatre port M.2 2280 en PCIe 4.0 x4 permettront de combiner jusqu’à 16 To de stockage ultra-rapide. L’ensemble est monté sur un rack qui permet d’extraire la carte mère sur un berceau et d’accéder aux composants. La machine est alimentée par une solution de 350 watts et sera probablement ventilée avec le même genre de dispositif que le MS-01.
Mais ce qui change vraiment avec le Minisforum MS-02 Ultra, c’est la présence de trois ports PCI-E exploitables dans la machine. On retrouve un PCIe 5.0 x16 qui pourra accueillir une carte graphique haut de gamme. Un autre port PCIe 4.0 x16 est présent et Minisforum l’équipe par défaut d’une carte réseau haut de gamme que je détaille plus bas. Enfin, le troisième port PCIe 4.0 propose 4 lignes PCIe. Petit détail, la puce Arrow Lake embarquée ne gère que 24 lignes PCie au total, il faudra donc composer avec les possibilités déployées ici. Si vous montez une carte graphique x16, vous n’aurez plus que 8 lignes à partager ensuite. Et la carte réseau va en avoir besoin.
Le Minisforum MS-02 Ultra embarque en effet une carte haut de gamme pour sa partie Ethernet. Elle proposera 2 port 25 Gigabit SFP+, un port Ethernet 10 Gigabit et un port Ethernet 2.5 Gigabit sous puce Intel i226-LM. Aucune information de gestion spécifique au réseau n’a été publiée pour le moment : pas de détails pour du Wake-On-Lan ou autre. Pas plus que de mention d’une quelconque gestion POE. La partie réseau est complétée par une solution non détaillée d’accès au sans-fil avec un module M.2 2230 proposant par défaut du Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4.
La connectique de l’engin est assez sobre mais cela s’explique par les extensions possibles liées aux ports PCIe. On retrouve deux ports USB4 de seconde génération avec un débit de 80 Gbps et du DisplayPort. Un USB4 classique en 40 Gbps et toujours du DisplayPort, trois ports USB 3.2 Gen 2 Type-A plus classiques, un jack audio combo 3.5 mm et un unique port HDMI 2.1. Les parties réseau et vidéo étant complétées par les extensions PCIe.
Pas de prix, pas de date de commercialisation. Seule certitude, l’engin devrait être présenté dans 24H au Japon. Ce qui explique la présence des caractères japonais des images présentées dans ce billet.
Ce matin, l’actualité était chargée autour de l’hébergeur roubaisien OVHcloud. Un an à peine après son arrivée, Benjamin Revcolevschi quitte ses fonctions de directeur général, reprises par Octave Klaba, fondateur de l’entreprise. La société publie ses résultats annuel et dévisse en bourse.
Dans un communiqué, OVHcloud annonce faire (encore) « évoluer sa gouvernance avec la réunification des fonctions de président du conseil d’administration et de directeur général ». Benjamin Revcolevschi quitte donc l’entreprise et c’est Octave Klaba qui endosse de nouveau les deux casquettes.
OVHcloud pousse Benjamin Revcolevschi vers la sortie
Benjamin Revcolevschi était arrivé dans l’entreprise en avril 2024 comme directeur général adjoint avec une intégration au comité exécutif. Il y a tout juste un an, il prenait la place de Michel Paulin qui démissionnait de ses fonctions de directeur général d’OVHcloud, sans explication sur les motifs de son départ. Benjamin Revcolevschi devait être en poste « pour la durée restant à courir du mandat d’administrateur de Michel Paulin, soit jusqu’en 2026 », mais son mandat s’est arrêté avant.
Michael Paulin et Octave Klaba ont travaillé en duo pendant six ans, avec une vraie complicité entre les deux. L’idylle n’était visiblement pas la même avec Benjamin Revcolevschi et le duo n’aura duré qu’un an. Le communiqué de rupture est évidemment rempli de remerciements, d’encouragements pour la suite et de politesses. La décision n’en reste pas moins abrupte.
En effet, le conseil d’administration a décidé hier de mettre officiellement « fin à la dissociation des fonctions de président et de directeur général, ce qui entraîne la fin du mandat de Benjamin Revcolevschi ». Le même conseil « a voté à l’unanimité la nomination d’Octave Klaba au poste de Président-Directeur Général d’OVH Groupe à compter du 20 octobre 2025 ».
Pour rappel, la participation de la famille Klaba est toujours largement majoritaire dans l’entreprise : 81,3 % du capital et 82 % des droits de vote. La famille était à 68 % il y a un an, avant de lancer un vaste plan de rachat d’action à 9 euros. Les décisions du conseil d’administration sont donc les siennes.
OVHcloud veut « rapprocher vision, stratégie et exécution »
Pour Octave Klaba, il s’agit de piloter le « nouveau plan stratégique de cinq ans, durant lequel nos clients pourront profiter des dix dernières années d’investissements massifs déployés dans les datacenters et le software ». Il présentera « dans les tout prochains mois » son plan stratégique pour les années 2026 à 2030.
Le fondateur de l’entreprise explique aussi que « le contexte géopolitique, l’essor du marché du cloud et de l’IA nous demandent de nous développer plus rapidement afin de garder un temps d’avance. C’est la raison pour laquelle, le conseil d’administration a décidé de rapprocher vision, stratégie et exécution ».
Ce n’est pas la première fois qu’Octave Klaba jongle avec les casquettes. On se souviendra qu’en 2015 il avait laissé la place de directeur général à Laurent Allard pour devenir CTO (directeur technique) et « (enfin) se consacrer à la technique et l’innovation » selon ses propres mots.
Deux ans plus tard (début 2017), ce même Octave Klaba reprenait la casquette de directeur général. Durant l’été 2018, Michel Paulin arrivait à la tête d’OVH (avant le changement de nom). C’est presque à se demander quand OVHcloud va annoncer l’arrivée d’un nouveau directeur général…
Un chiffre d’affaires en hausse de 9,3 %
Aujourd’hui, OVHcloud publie également ses résultats annuels. L’entreprise dépasse de peu le milliard d’euros (1,085) de chiffre d’affaires, en hausse de 9,3 % sur un an (données comparables). C’est tout de même un point de moins que les 10,3 % de 2024.
L’année dernière, après sa prise de fonction de DG, Benjamin Revcolevschi, nous annonçait une « nouvelle phase de développement » qui s’inscrivait « d’abord dans une croissance qui reste une croissance solide, prédictible ». Le directeur général prévoyait entre 9 et 11 % et souhaitait la « maintenir durablement autour de 10 % environ ». Avec 9,3 %, OVHcloud est dans la limite basse.
520,2 millions d‘euros (+ 8 %) sont réalisés en France, 316,8 millions d’euros (+ 10 %) dans le reste de l’Europe et il reste donc 247,6 millions d’euros (+ 12 %) pour le reste du monde. « La région a bénéficié de la très bonne dynamique aux États-Unis qui connait un CAGR entre FY 2023 et FY 2025 de plus de 20 % », indique l’entreprise.
Le cloud privé est toujours le principal moteur avec 671,6 millions d‘euros (+ 8 %) soit 62 % du chiffre d’affaires, mais le cloud public affiche la plus grosse croissance avec 20 % de mieux pour atteindre 219,2 millions d’euros. Le webcloud est à 193,8 millions (+ 9 %).
OVHcloud précise que « après avoir développé les 40 produits Cloud Public, l’effort est concentré sur leur déploiement dans la configuration en « Région 3-AZ ». Le déploiement est en cours à Paris et la région de Milan sera disponible début 2026 ».
400 000 euros de bénéfices et 1,1 milliard de dette
De 38,4 % de marge EBITDA, la société atteint cette fois-ci son objectif de dépasser les 40 % avec 40,4 %. L’entreprise affiche enfin un petit bénéfice de 0,4 million d’euros sur son exercice 2025, contre des pertes de 10,3 millions d’euros en 2024.
La dette d’OVHcloud a largement augmenté puisqu’elle est passée de 667 millions d’euros au 31 aout 2024 à 1,103 milliard d’euros au 31 août 2025. À cette date, « l’intégralité de la dette du Groupe est couverte et affiche un taux d’intérêt moyen de 4,3 %, toutes marges et commissions comprises. Le levier d’endettement atteint 2,7x au 31 août 2025, en ligne avec la politique d’endettement ». On est très loin de la dette colossale de SFR qui était de 24 milliards d’euros au début de l’année.
OVHcloud dévisse de 15 % en bourse
En bourse, la nouvelle n’a pas vraiment réjoui les investisseurs puisque l’action dévisse de près de 15 % et passe en dessous des 10 euros mardi matin. C’est toujours un peu plus que lors du programme de rachat d’actions il y a un an et deux fois plus que le plus bas historique à moins de 5 euros en mai 2024.
L’entreprise est cotée depuis octobre 2021, avec une introduction à 18,50 euros l’action avant de grimper à 24 euros pour redescendre à 10 euros un an plus tard.
Le très populaire Claude Code se dote désormais d’une sandbox pour un fonctionnement isolé sur des dossiers et serveurs spécifiques. Parallèlement, Anthropic lance une version web de son outil, ainsi qu’une variante mobile, pour l’instant dans Claude pour iOS.
Claude Code, destiné au vibe coding, vient de recevoir de nouvelles moutures (en bêta) destinées à le rendre plus facilement utilisable partout. D’abord, une version web, qui permet de lancer plusieurs sessions « sans avoir à ouvrir le terminal », vante Anthropic.
Des préversions pour le web, iOS et Android
Cette mouture autorise la connexion à des dépôts GitHub et le lancement de tâches automatiques, comme avec l’application Claude Code. Comme l’explique l’entreprise, chaque session dispose de son propre environnement isolé avec suivi de la progression en temps réel, tout en laissant la possibilité d’aiguiller l’agent pendant qu’il travaille pour lui faire changer de « cap ». Si plusieurs tâches sont lancées simultanément, elles peuvent être consultées via la colonne de gauche.
« Avec Claude Code fonctionnant dans le cloud, vous pouvez désormais exécuter plusieurs tâches en parallèle sur différents référentiels à partir d’une seule interface et livrer plus rapidement grâce à la création automatique de pull requests et à des résumés de modifications clairs », déclare Anthropic dans son billet de blog.
Sur la version mobile, Anthropic en dit moins. Elle est davantage décrite comme un « avant-gout », l’entreprise promettant d’améliorer « rapidement l’expérience » en fonction des retours. Cette application semble surtout conçue pour explorer le développement avec Claude lors des déplacements qu’un outil de travail complet, du moins pour l’instant. En outre, elle n’est pour l’instant disponible que sous forme d’intégration dans l’application Claude pour iOS. Il n’est pas fait mention de la mouture Android.
L’introduction d’une sandbox
Moins visible et peut-être plus importante, l’annonce de la sandbox entraine des changements dans le fonctionnement interne de Claude Code, avec des conséquences pour ses fonctionnalités.
Comme Anthropic l’explique dans un billet dédié, « Claude écrit, teste et débogue le code à vos côtés, en naviguant dans votre base de code, en modifiant plusieurs fichiers et en exécutant des commandes pour vérifier son travail. Donner à Claude autant d’accès à votre base de code et à vos fichiers peut présenter des risques, notamment dans le cas d’une injection rapide ».
C’est pour réduire ces risques que deux fonctions, basées sur le sandboxing, sont introduites dans Claude. Première conséquence, une chute de 84 % dans les demandes d’autorisations, selon Anthropic. Jusqu’à présent, Claude Code travaillant uniquement en lecture seule, avec un modèle basé sur les permissions. Presque toutes les modifications ou exécutions de commandes demandent une autorisation.
Fonctionnement de la sandbox dans Claude Code, crédits : Anthropic
Anthropic indique cependant que les développeurs peuvent ressentir une « fatigue de l’approbation », avec pour conséquence des acceptations automatiques, sans vraiment prêter attention à ce qui est demandé. Pour contrer ce problème, le « bac à sable » crée des limites prédéfinies dans lesquelles Claude Code est libre, du moins dans la plupart des scénarios d’utilisation.
Quand la sandbox est activée, le système de fichiers et le réseau peuvent être isolés. Dans le premier cas, Claude ne peut alors accéder qu’aux dossiers spécifiquement pointés par les développeurs. Dans le second, Claude ne peut se connecter qu’à des serveurs approuvés, ce qui devrait notamment empêcher une instance contaminée par une injection « de divulguer des informations sensibles ou de télécharger des logiciels malveillants ».
Des fonctions pour l’instant optionnelles, sauf pour la version web
En cas d’activation de la sandbox, Anthropic recommande fortement les deux isolations. Une fois les dossiers et serveurs définis, Code peut évoluer presque librement dans l’espace ainsi configuré. Si une demande entraine un accès hors des conditions fixées pendant la configuration, une demande d’autorisation apparaitra.
Avec la sandbox vient un outil bash pour en manipuler les paramètres. Il permet notamment d’envoyer des processus spécifiques dans la sandbox, ainsi que des agents ou encore des serveurs MCP. Ces composants se servent de primitives natives au système d’exploitation.
Toutes ces fonctions sont fournies sous forme de préversions et peuvent donc changer. Notez que si la sandbox est une option dans l’application Claude Code, elle est nécessairement active pour sa version web, qui ne peut s’exécuter que dans ce contexte. En outre, le code du runtime de la sandbox est publié sur un dépôt GitHub sous licence Apache 2.0. Anthropic prévient que les API et formats de configuration peuvent évoluer pendant la phase de développement et donc casser la compatibilité.
Ce matin, l’actualité était chargée autour de l’hébergeur roubaisien OVHcloud. Un an à peine après son arrivée, Benjamin Revcolevschi quitte ses fonctions de directeur général, reprises par Octave Klaba, fondateur de l’entreprise. La société publie ses résultats annuel et dévisse en bourse.
Dans un communiqué, OVHcloud annonce faire (encore) « évoluer sa gouvernance avec la réunification des fonctions de président du conseil d’administration et de directeur général ». Benjamin Revcolevschi quitte donc l’entreprise et c’est Octave Klaba qui endosse de nouveau les deux casquettes.
OVHcloud pousse Benjamin Revcolevschi vers la sortie
Benjamin Revcolevschi était arrivé dans l’entreprise en avril 2024 comme directeur général adjoint avec une intégration au comité exécutif. Il y a tout juste un an, il prenait la place de Michel Paulin qui démissionnait de ses fonctions de directeur général d’OVHcloud, sans explication sur les motifs de son départ. Benjamin Revcolevschi devait être en poste « pour la durée restant à courir du mandat d’administrateur de Michel Paulin, soit jusqu’en 2026 », mais son mandat s’est arrêté avant.
Michael Paulin et Octave Klaba ont travaillé en duo pendant six ans, avec une vraie complicité entre les deux. L’idylle n’était visiblement pas la même avec Benjamin Revcolevschi et le duo n’aura duré qu’un an. Le communiqué de rupture est évidemment rempli de remerciements, d’encouragements pour la suite et de politesses. La décision n’en reste pas moins abrupte.
En effet, le conseil d’administration a décidé hier de mettre officiellement « fin à la dissociation des fonctions de président et de directeur général, ce qui entraîne la fin du mandat de Benjamin Revcolevschi ». Le même conseil « a voté à l’unanimité la nomination d’Octave Klaba au poste de Président-Directeur Général d’OVH Groupe à compter du 20 octobre 2025 ».
Pour rappel, la participation de la famille Klaba est toujours largement majoritaire dans l’entreprise : 81,3 % du capital et 82 % des droits de vote. La famille était à 68 % il y a un an, avant de lancer un vaste plan de rachat d’action à 9 euros. Les décisions du conseil d’administration sont donc les siennes.
OVHcloud veut « rapprocher vision, stratégie et exécution »
Pour Octave Klaba, il s’agit de piloter le « nouveau plan stratégique de cinq ans, durant lequel nos clients pourront profiter des dix dernières années d’investissements massifs déployés dans les datacenters et le software ». Il présentera « dans les tout prochains mois » son plan stratégique pour les années 2026 à 2030.
Le fondateur de l’entreprise explique aussi que « le contexte géopolitique, l’essor du marché du cloud et de l’IA nous demandent de nous développer plus rapidement afin de garder un temps d’avance. C’est la raison pour laquelle, le conseil d’administration a décidé de rapprocher vision, stratégie et exécution ».
Ce n’est pas la première fois qu’Octave Klaba jongle avec les casquettes. On se souviendra qu’en 2015 il avait laissé la place de directeur général à Laurent Allard pour devenir CTO (directeur technique) et « (enfin) se consacrer à la technique et l’innovation » selon ses propres mots.
Deux ans plus tard (début 2017), ce même Octave Klaba reprenait la casquette de directeur général. Durant l’été 2018, Michel Paulin arrivait à la tête d’OVH (avant le changement de nom). C’est presque à se demander quand OVHcloud va annoncer l’arrivée d’un nouveau directeur général…
Un chiffre d’affaires en hausse de 9,3 %
Aujourd’hui, OVHcloud publie également ses résultats annuels. L’entreprise dépasse de peu le milliard d’euros (1,085) de chiffre d’affaires, en hausse de 9,3 % sur un an (données comparables). C’est tout de même un point de moins que les 10,3 % de 2024.
L’année dernière, après sa prise de fonction de DG, Benjamin Revcolevschi, nous annonçait une « nouvelle phase de développement » qui s’inscrivait « d’abord dans une croissance qui reste une croissance solide, prédictible ». Le directeur général prévoyait entre 9 et 11 % et souhaitait la « maintenir durablement autour de 10 % environ ». Avec 9,3 %, OVHcloud est dans la limite basse.
520,2 millions d‘euros (+ 8 %) sont réalisés en France, 316,8 millions d’euros (+ 10 %) dans le reste de l’Europe et il reste donc 247,6 millions d’euros (+ 12 %) pour le reste du monde. « La région a bénéficié de la très bonne dynamique aux États-Unis qui connait un CAGR entre FY 2023 et FY 2025 de plus de 20 % », indique l’entreprise.
Le cloud privé est toujours le principal moteur avec 671,6 millions d‘euros (+ 8 %) soit 62 % du chiffre d’affaires, mais le cloud public affiche la plus grosse croissance avec 20 % de mieux pour atteindre 219,2 millions d’euros. Le webcloud est à 193,8 millions (+ 9 %).
OVHcloud précise que « après avoir développé les 40 produits Cloud Public, l’effort est concentré sur leur déploiement dans la configuration en « Région 3-AZ ». Le déploiement est en cours à Paris et la région de Milan sera disponible début 2026 ».
400 000 euros de bénéfices et 1,1 milliard de dette
De 38,4 % de marge EBITDA, la société atteint cette fois-ci son objectif de dépasser les 40 % avec 40,4 %. L’entreprise affiche enfin un petit bénéfice de 0,4 million d’euros sur son exercice 2025, contre des pertes de 10,3 millions d’euros en 2024.
La dette d’OVHcloud a largement augmenté puisqu’elle est passée de 667 millions d’euros au 31 aout 2024 à 1,103 milliard d’euros au 31 août 2025. À cette date, « l’intégralité de la dette du Groupe est couverte et affiche un taux d’intérêt moyen de 4,3 %, toutes marges et commissions comprises. Le levier d’endettement atteint 2,7x au 31 août 2025, en ligne avec la politique d’endettement ». On est très loin de la dette colossale de SFR qui était de 24 milliards d’euros au début de l’année.
OVHcloud dévisse de 15 % en bourse
En bourse, la nouvelle n’a pas vraiment réjoui les investisseurs puisque l’action dévisse de près de 15 % et passe en dessous des 10 euros mardi matin. C’est toujours un peu plus que lors du programme de rachat d’actions il y a un an et deux fois plus que le plus bas historique à moins de 5 euros en mai 2024.
L’entreprise est cotée depuis octobre 2021, avec une introduction à 18,50 euros l’action avant de grimper à 24 euros pour redescendre à 10 euros un an plus tard.
Le très populaire Claude Code se dote désormais d’une sandbox pour un fonctionnement isolé sur des dossiers et serveurs spécifiques. Parallèlement, Anthropic lance une version web de son outil, ainsi qu’une variante mobile, pour l’instant dans Claude pour iOS.
Claude Code, destiné au vibe coding, vient de recevoir de nouvelles moutures (en bêta) destinées à le rendre plus facilement utilisable partout. D’abord, une version web, qui permet de lancer plusieurs sessions « sans avoir à ouvrir le terminal », vante Anthropic.
Des préversions pour le web, iOS et Android
Cette mouture autorise la connexion à des dépôts GitHub et le lancement de tâches automatiques, comme avec l’application Claude Code. Comme l’explique l’entreprise, chaque session dispose de son propre environnement isolé avec suivi de la progression en temps réel, tout en laissant la possibilité d’aiguiller l’agent pendant qu’il travaille pour lui faire changer de « cap ». Si plusieurs tâches sont lancées simultanément, elles peuvent être consultées via la colonne de gauche.
« Avec Claude Code fonctionnant dans le cloud, vous pouvez désormais exécuter plusieurs tâches en parallèle sur différents référentiels à partir d’une seule interface et livrer plus rapidement grâce à la création automatique de pull requests et à des résumés de modifications clairs », déclare Anthropic dans son billet de blog.
Sur la version mobile, Anthropic en dit moins. Elle est davantage décrite comme un « avant-gout », l’entreprise promettant d’améliorer « rapidement l’expérience » en fonction des retours. Cette application semble surtout conçue pour explorer le développement avec Claude lors des déplacements qu’un outil de travail complet, du moins pour l’instant. En outre, elle n’est pour l’instant disponible que sous forme d’intégration dans l’application Claude pour iOS. Il n’est pas fait mention de la mouture Android.
L’introduction d’une sandbox
Moins visible et peut-être plus importante, l’annonce de la sandbox entraine des changements dans le fonctionnement interne de Claude Code, avec des conséquences pour ses fonctionnalités.
Comme Anthropic l’explique dans un billet dédié, « Claude écrit, teste et débogue le code à vos côtés, en naviguant dans votre base de code, en modifiant plusieurs fichiers et en exécutant des commandes pour vérifier son travail. Donner à Claude autant d’accès à votre base de code et à vos fichiers peut présenter des risques, notamment dans le cas d’une injection rapide ».
C’est pour réduire ces risques que deux fonctions, basées sur le sandboxing, sont introduites dans Claude. Première conséquence, une chute de 84 % dans les demandes d’autorisations, selon Anthropic. Jusqu’à présent, Claude Code travaillant uniquement en lecture seule, avec un modèle basé sur les permissions. Presque toutes les modifications ou exécutions de commandes demandent une autorisation.
Fonctionnement de la sandbox dans Claude Code, crédits : Anthropic
Anthropic indique cependant que les développeurs peuvent ressentir une « fatigue de l’approbation », avec pour conséquence des acceptations automatiques, sans vraiment prêter attention à ce qui est demandé. Pour contrer ce problème, le « bac à sable » crée des limites prédéfinies dans lesquelles Claude Code est libre, du moins dans la plupart des scénarios d’utilisation.
Quand la sandbox est activée, le système de fichiers et le réseau peuvent être isolés. Dans le premier cas, Claude ne peut alors accéder qu’aux dossiers spécifiquement pointés par les développeurs. Dans le second, Claude ne peut se connecter qu’à des serveurs approuvés, ce qui devrait notamment empêcher une instance contaminée par une injection « de divulguer des informations sensibles ou de télécharger des logiciels malveillants ».
Des fonctions pour l’instant optionnelles, sauf pour la version web
En cas d’activation de la sandbox, Anthropic recommande fortement les deux isolations. Une fois les dossiers et serveurs définis, Code peut évoluer presque librement dans l’espace ainsi configuré. Si une demande entraine un accès hors des conditions fixées pendant la configuration, une demande d’autorisation apparaitra.
Avec la sandbox vient un outil bash pour en manipuler les paramètres. Il permet notamment d’envoyer des processus spécifiques dans la sandbox, ainsi que des agents ou encore des serveurs MCP. Ces composants se servent de primitives natives au système d’exploitation.
Toutes ces fonctions sont fournies sous forme de préversions et peuvent donc changer. Notez que si la sandbox est une option dans l’application Claude Code, elle est nécessairement active pour sa version web, qui ne peut s’exécuter que dans ce contexte. En outre, le code du runtime de la sandbox est publié sur un dépôt GitHub sous licence Apache 2.0. Anthropic prévient que les API et formats de configuration peuvent évoluer pendant la phase de développement et donc casser la compatibilité.
KDE Plasma 6.5 is out today as the newest major feature release for the Plasma 6 desktop. Plasma 6.5 brings many great improvements and continues further evolving this modern, Wayland-focused open-source desktop...
Les boitiers avec du bois, c'est bien. Mais c'est encore mieux si d'autres composants ont aussi le droit à un peu de fibres naturels, chose désormais possible avec Thermaltake en Chine grâce à la série Steel Shadow Wooden Whisper. Des systèmes de refroidissement liquide AIO en 360 mm proposés en blanc et en noir, avec en prime un écran de monitoring pour avoir des informations sur la température du processeur, mais aussi du GPU. Le tout avec un peu d'éclairage RGB, parce qu'il en faut toujours un minimum pour la marque.
[…]
Aeltoth nous gratifie d'un conséquent mod pour le jeu The witcher 3, son nom Wild Monster Hunt DLC laisse présager un concept issu d'une autre licence. En effet, le mod propose des mécaniques de jeu proches de la licence de Capcom, avec une nouvelle map et l'opportunité de chasser des monstres inédits, avec de nombreux gains à la clé (équipements, ressources...), nous serions donc sur du farming scénarisé et potentiellement moins monotone, puisque des contrats vous sont automatiquement proposés. De plus, votre camp de sorceleur vous permettra d'effectuer de nouvelles rencontres et de forger de nouvelles armes.
Le mod se télécharge ici […]
Sortie il y a tout juste un an, la collection SKILLER SGP35 de Sharkoon prend toujours plus de volume avec l'arrivée de six nouveaux styles. De quoi décorer facilement son bureau, à condition de pouvoir installer un tapis de 1000 x 500 mm. Rien que ça !
Annoncés à 29.99 U+20AC, ces nouveautés développent la gamme vers de nouveaux thèmes pour toujours plus de choix.
[…]
Alibaba Cloud claims its new Aegaeon GPU pooling system cuts Nvidia GPU use by 82%, letting 213 H20 accelerators handle workloads that previously required 1,192. The advancements have been detailed in a paper (PDF) at the 2025 ACM Symposium on Operating Systems (SOSP) in Seoul. Tom's Hardware reports: Unlike training-time breakthroughs that chase model quality or speed, Aegaeon is an inference-time scheduler designed to maximize GPU utilization across many models with bursty or unpredictable demand. Instead of pinning one accelerator to one model, Aegaeon virtualizes GPU access at the token level, allowing it to schedule tiny slices of work across a shared pool. This means one H20 could serve several different models simultaneously, with system-wide "goodput" -- a measure of effective output -- rising by as much as nine times compared to older serverless systems.
The system was tested in production over several months, according to the paper, which lists authors from both Peking University and Alibaba's infrastructure division, including CTO Jingren Zhou. During that window, the number of GPUs needed to support dozens of different LLMs -- ranging in size up to 72 billion parameters -- fell from 1,192 to just 213. While the paper does not break down which models contributed most to the savings, reporting by the South China Morning Post says the tests were conducted using Nvidia's H20, one of the few accelerators still legally available to Chinese buyers under current U.S. export controls.