Nommé meilleur FPS coop par la rédac, Ready or Not n’a pas les chevilles qui enflent et ne compte pas s’en arrêter là, en proposant des mises à jour et du nouveau contenu dans le courant de l’année 2024. C’est via un billet de blog Steam publié par le studio VOID Interactive, que vous pourrez découvrir la roadmap. De l’hiver à l’automne, des mises à jour seront déployées, ainsi que deux DLCs payants accompagnés de nouvelles armes gratuites pour le jeu de base. Prévu pour ce printemps, le premier DLC se nommera Home Invasion et sera gratuit pour les possesseurs de la Supporter Edition. Pour le second, il faudra attendre de nouvelles informations de la part des développeurs, sachant que ces derniers soulignent que la roadmap peut être sujette à des changements, en fonction de leur avancée dans le développement.
Si vos camarades et vous-même souhaitez participer à des interventions musclées au sein d’une unité du SWAT, Ready or Not est disponible sur Steam, à moins de 50 €.
Après un lancement en accès anticipé qui peine à convaincre les joueurs et les membres de la rédac, le studio SinginGiant, en charge du développement de Contain, a publié un long billet de blog Steam. Dans ce dernier, les développeurs ont listé tous les correctifs et les changements au niveau du gameplay, de l’IA et autres fonctionnalités. Vu qu’on n’a pas l’intention de tous les énumérer, voici quelques-uns :
La capacité de se relever tout seul après s’être fait mettre à terre et de jouer en solo sans créer de lobby
L’affectation de la touche I au lieu de la touche G pour l’inspection de l’arme et l’affectation de la touche G pour lancer une grenade (c’est du génie, il fallait y penser)
L’IA (soldats ennemis) ne pourra plus effectuer des visées automatiques pour les tirs à la tête et leur temps de réaction sera réajusté
L’IA (anomalies) aura une hitbox plus grande et des points de vie réajustés
Au rayon des nouveautés, le studio proposera des phases de beta test pour les plus courageux d’entre vous, vous permettant ainsi de découvrir les nouveaux patchs avant leur sortie officielle et constater l’étendu des dégâts. Également, les devs annoncent d’ores et déjà que les prochains patchs comprendront la VOIP, le matchmaking, les effets visuels, le comportement de l’IA, le FSR et bien d’autres mécaniques de gameplay. De nouveaux ennemis et une nouvelle interface utilisateur seront prochainement ajoutés. Suite aux demandes de la communauté, une refonte totale sur le gunplay et le mouvement des personnages sera effectué, ainsi que de nouvelles missions d’extraction et un système de progression seront prévus. Pour en apprendre davantage sur cette mise à jour, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
Si vous êtes intéressé par ce énième FPS rempli d’anomalies en tout genre, Contain est disponible en accès anticipé sur Steam, à moins de 29 €.
Après avoir dévoilé une démo (toujours disponible) en ce début de mois, le studio Doku Games, composé d’un unique développeur, a publié un billet de blog Steam accompagné d’une bande-annonce, pour dévoiler la création de la page Kickstarter d’Out of Action. Si vous souhaitez participer à cette campagne de financement, le dev vous informe d’ores et déjà que vous pourrez bénéficier d’une réduction sur le prix du jeu, participer aux sessions limitées de playtests PVP et même gagner des cosmétiques exclusifs.
Au travers d’extraits de gameplay bourrés d’action, avec une ambiance musicale très proche de SPRAWL, le studio nous fait le récapitulatif de toutes les armes et augmentations disponibles dans le jeu. On pourra même attirer vers soi les armes au sol, comme un jedi avec le pouvoir de la Force. Le gunplay et les déplacements paraissent toujours aussi bon, avec leur lot de glissades et d’effusions de sang. En tout cas, cette campagne de séduction semble pour le moins réussie, avec déjà plus de 500 potentiels contributeurs abonnés à la page Kickstarter.
Si vous êtes intéressé par Out of Action, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et participer à sa campagne de financement qui débutera prochainement, en vous abonnant à sa page Kickstarter. En attendant, vous pourrez toujours découvrir ou rejouer à la démo présente sur la page Steam du jeu.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Notre partenaire Gamesplanet, très en forme cette semaine, nous a envoyé un mail avec plein de nouvelles choses, dont une promo pour Pacific Drive, le jeu de survie avec une voiture. Comme vous pouvez le voir au-dessus, ils proposent 15 % de réduc sur le jeu, ce qui fait l’édition standard à 25,49 € et l’édition deluxe à 29,74 € jusqu’au 29 février. Si les critiques sont globalement positives, notre expert n’est pour l’instant pas vraiment convaincu. Si vous n’êtes pas trop impatients, attendez quelques jours, que l’on publie notre test. Heureusement, il y a plein d’autres jeux en promo :
Balastro, un jeu mêlant rogue-lite et poker, unanimement encensé, vient de sortir et bénéficie de 15 % de réduc jusqu’à demain, ce qui le donne contre un peu moins de 12 €.
Le jeu de stratégie Terminator: Dark Fate – Defiance, qui est sorti il y a deux jours, semble également plutôt apprécié par les joueurs. Il est à –20 %, soit 31,19 €.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Même si le katana n’a pas convaincu notre expert MathMoite, le studio Pet Project Games continue son petit bonhomme de chemin et déploie une nouvelle mise à jour pour RIPOUT nommée Monstrous. On apprend, via un billet de blog Steam, que les devs vous proposeront de combattre un nouvelle abomination, mi-mutant, mi-robot, équipé de miniguns et répondant au doux nom de Bulwark. Pour lutter efficacement contre cette menace blindée, votre arsenal s’étoffera avec le Buckshot, une arme de poing très efficace à courte portée.
Si vous en avez marre de jouer aux livreurs de colis dans la mission d’escorte, peut-être apprécierez-vous le tir aux pigeons bidons biologiques corrompus sur une chaîne de recyclage. Dans cette nouvelle mission tout droit sortie d’une mouvance écologique radicale, vous devrez empêcher ces bidons incriminés d’atteindre le recycleur, sinon ce dernier explosera et tous vos efforts de tri sélectif seront réduits à néant. Si vous êtes intéressé par cette mise à jour, d’autres nouveautés et liste de correctifs seront à découvrir en consultant le billet de blog Steam.
Si vous souhaitez réveiller votre instinct d’écologiste, RIPOUT est actuellement en promotion à -25 % sur Steam, soit moins de 19 € jusqu’au 1 mars.
Il aura fallu attendre le deuxième anniversaire de Dying Light 2 pour que le studio Techland nous ponde enfin une mise à jour donnant accès aux armes à feu, dans cet enfer post-apocalyptique rempli de zombies. Au travers d’un long billet de blog Steam matraqué à coups de « nous vous avons entendus », les devs vous informent, en premier lieu, que vous pourrez désormais faire joujou avec des pistolets, des mitraillettes, des carabines et des fusils dans de nouvelles missions dédiées. À cette occasion, des améliorations graphiques seront également apportées et un nouvel adversaire, le grenadier renégat, fera son apparition. Les ennemis existants, quant à eux, infligeront plus dégâts et seront plus malins d’après les dires du studio.
Des contrats d’anniversaire et de nouvelles quêtes seront disponibles, afin de débloquer du nouveau contenu (cosmétiques et armes). De nouvelles armes nocturnes s’ajouteront à celles déjà présentes et les niveaux de légende seront désormais plus accessibles, avec une progression rééquilibrée, suite aux avis de la « merveilleuse communauté et des super influenceurs qui en font partie ». Si vous n’êtes pas gêné par des tournures pompeuses, vous pouvez consulter le billet de blog Steam pour en apprendre davantage.
Pour marquer son anniversaire, Dying Light 2 est actuellement en promotion à -50 % pour l’édition Reloaded et à -34 % pour l’édition Ultimate sur Steam, soit moins de 30 € et de 60 € jusqu’au 7 mars. Aussi, vous pourrez profiter du week-end gratuit pour vous essayer à ce dernier. Ou pour économiser quelques euros de plus et nous soutenir par la même occasion, notre partenaire Gamesplanet propose une promotion à -60 % sur l’édition de base, soit moins de 24 €.
Durant le MIX Showcase October 2023, The Invincible, le walking-sim inspiré du roman du même nom de l’auteur polonais Stanislaw Lem, a fait une piqûre de rappel en publiant une nouvelle bande-annonce pour sa sortie prochaine, le 6 novembre. Probablement que les développeurs craignaient que les joueurs et nous y compris ayons oublié l’existence de leur jeu, vu que ce dernier ne nous avait pas particulièrement marqué avec sa démo. Il est rappelé que nous incarnons une scientifique, le Dr. Yasna, partie sur Regis III afin de secourir les membres d’équipage disparus et découvrir les événements qui s’y sont produits. Chaque rencontre, vous mènera à faire des choix qui auront des conséquences sur le déroulé de votre aventure.
Bien que ce soit très beau, il ne faudra pas compter sur de l’action frénétique et encore moins des gunfights. La narration n’a pas l’air spécialement captivante et le gameplay semble très axé sur le contemplatif, pour ne pas dire extrêmement mou (voire chiant).
Prévu pour le 6 novembre 2023, vous pouvez ajouter The Invincible sur votre liste de souhaits sur Steam, Gog et Epic Games Store si vous êtes intéressé.
Dans cet univers démoniaque, vous incarnerez Devilated qui traversera de nombreux labyrinthes peuplés de créatures et de boss, tous plus étranges les uns que les autres. Avec son côté RPG, vous pourrez ramasser, revendre et acheter de nouvelles armes auprès de marchands, pour adapter et varier votre gameplay face à la menace qui vous attend. Le but étant d’obtenir le meilleur score possible.
Au visionnage de la bande-annonce, le gameplay a l’air dynamique et nerveux. Mais, les graphismes n’ont pas l’air particulièrement beaux et l’action devient parfois illisible avec tous ces effets visuels. N’ayant pas marqué spécialement notre intérêt au sein de la Rédac, la tendance chez les joueurs Steam semble également se confirmer, vu qu’une moyenne de trois joueurs observée depuis le 30 septembre.
Si vous êtes malgré tout intéressé par Devilated, vous pouvez vous le procurer en accès anticipté sur Steam à environ 20 €.
Nous vous en parlions le mois dernier, le mode zombie de Call of Duty: Modern Warfare III se dévoile ici un peu plus au travers d’une nouvelle bande-annonce. Cette fois-ci, plusieurs équipes pourront massacrer des hordes de zombies classiques, ainsi que des spéciaux toujours plus moches, dans un monde ouvert. Le gameplay se basera sur des mécaniques de battle royale avec réduction de la carte due à une tempête d’Aether, et de l’extraction shooters avec le stockage d’armes exfiltrées que l’on pourra réutiliser lors de prochaines parties.
Pour le reste, c’est du déjà-vu avec l’obtention d’armes spéciales et de power-ups avec la machine Sacré Punch, le Cola énergisant, la Boîte Mystère ou encore les Armes miracles. On notera la présence de véhicules, dont une moto ultra flashy qui semble émettre une onde de choc. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant le très long billet de blog Steam.
Il y a tout de même une surenchère sur le bonus de la précommande. Si, jusque-là, vous aviez résisté au skin zombie de Ghost, les développeurs ont décidé de vous rajouter le plan d’une arme nommée Soul Harvester. Franchement, si vous hésitez encore, qu’est-ce qu’il vous faut de plus ? (peut-être payer moins cher le jeu de base, vu tout le fric que vous allez raquer avec les microtransactions, qui sait ?)
Prévu pour le 10 novembre, vous pouvez toujours précommander Call Of Duty: Modern Warfare III sur Steam et Battle.net pour 70 € environ.
Annoncé pour le 2 novembre, The Talos Principle 2, le FPS d’énigmes saupoudré d’une narration philosophique, n’a pas souhaité attendre le Steam Néo Fest de ce mois pour publier sa démo. Disponible depuis la fin de semaine dernière sur la page Steam du jeu, vous devrez ainsi vous creuser les méninges pour résoudre les puzzles et tenter d’obtenir des réponses à des questions existentielles en parcourant différents environnements. En tant que robot, vous pourrez compter sur des capacités telles que la manipulation de la gravité ou le transfert d’esprit pour progresser dans le jeu.
Si vous êtes convaincu après avoir essayé la démo, vous pouvez précommander le nouvel opus de The Talos Principle sur Steam ou Epic Games Store en profitant d’une réduction de 10% jusqu’au 2 novembre.
Découvert durant le Steam Néo Fest de février 2023 par notre expert Estyaah, Scene Investigators a publié une bande-annonce pour dévoiler sa date sortie, le 24 octobre 2023. Si vous caressiez le doux rêve inaccessible de devenir détective privé, sachez désormais que vous aurez l’opportunité d’en incarner un, en résolvant des affaires avec votre esprit d’analyse et de déduction. Il vous faudra analyser les différentes scènes de crime et récupérer les indices qui s’y trouvent pour identifier le coupable. Si vous souhaitez vous faire un avis plus concret, vous pouvez vous essayer à la démo disponible sur la page Steam du jeu.
Si vous aimez résoudre des dossiers criminels, vous pouvez ajouter Scene Investigators à votre liste de souhaits Steam en attendant sa sortie le 24 octobre prochain.
Quatre mois ce sont écoulés depuis le dernier Steam Néo Fest, alors c’est reparti pour un tour ! Parce que chez NoFrag, on est comme ça, on va d’abord parler de tous les trucs nazes.
Backrooms Break
Genre : Horreur / Rogue-lite
On vous en avait déjà parlé, et comme prévu, c’est plus un concept qu’un jeu. Les sensations de tir et les destructions des environnements sont sympathiques, mais pas plus de cinq minutes.
Si vous aimez taper sur des squelettes moches avec une seconde d’input lag en jouant un personnage avec des chaussures en ciment, allez-y, Darkblade Ascent a été fait spécifiquement pour vous !
Le peu d’espoir qu’on avait dans ce jeu s’est volatilisé après en avoir fait l’essai. Les armes sont des nerfs, les ennemis ne sont pas intéressants à affronter et le gameplay est aussi profond qu’un pédiluve.
Tiens donc, c’est nul ! On ne s’y attendait tellement pas… Les ennemis ne réagissent à a vos tirs et c’est très moche, mais vous pouvez jouer en coop jusqu’à quatre ! La chance !
Après notre petite liste des démos à éviter, voici celle des bonnes démos, ou de celle qu’on n’a pas pu tester, et qu’on met ici, dans le doute.
Les démos bien
Sorceress
Genre : Immersive sim / action
On en parlait il y quelques jours pour le lancement de son Kickstarter, Sorceress est un immersive sim orienté action, avec des mouvements très agréables et des combats bien dynamiques. Il est très inspiré de Dark Messiah of Might & Magic, et c’est cool.
Calme, onirique et très joli, Été ne s’adressera pas à tout le monde ici. Mais si derrière l’armure de plate, hérissée de pics sanglais, bat un petit cœur tout mou, vous pourriez être séduit. En plus, il est parfois involontairement comique, lorsque l’on crée des tableaux complètement cons.
Sans doute développé en collaboration avec un lobby secret d’ophtalmologistes, Scroomage propose un gameplay rapide, violent et gore, en noir, blanc et rouge – pour le sang. L’action est difficilement lisible, mais ça participe à son charme.
Est-ce ne notre faute si les bonnes démos ne proposent pas d’exploser ses adversaires à grands coups de fusil à pompe ? Bon, alors vous plaignez pas d’avoir encore un walking sim dans cette liste. En plus, dans While We Wait Here, vous pouvez confectionner des burgers tout secs et l’esthétique est inspirée de la PS One. L’histoire a l’air sympa.
Peripeteia est un projet très intriguant. C’est un immersive sim dans un univers post-apo chez les soviétiques, et dans lequel on est très libre de ce qu’on fait. Le jeu ne nous prend pas par la main. Par contre, le système d’inventaire est infernal et l’IA est complètement cassée.
Cette édition du Steam Néo Fest est, plus encore que les précédentes, bourrée de jeux d’horreur, d’une qualité plus que douteuse. On en a testé quand même un ou deux, dont REVEIL, qui a le bon goût d’être joli, de proposer des énigmes sympas et d’aborder des sujets légers, comme les violences infantiles. Mais ça reste un walking sim d’horreur classique.
Les démos qu’on a pas testé, mais dont la jaquette a attiré notre attention
ELDRIMAR
Genre : Action-RPG
On en parlait cet été, ELDRIMAR est une sorte de Skyrim like avec des dégâts localisés, ce qui change de la tétrachiée de copies ratées que l’on a pu voir jusque là.
Dévoilé en juillet 2023, Butcher’s Creek, un First Person Slasher gore inspiré de Condemned et développé par David Szymansky, le papa de Dusk, n’a plus donné signe de vie depuis. C’est dans le courant de la semaine dernière, que le dev a publié une longue vidéo pour présenter le système de combat de son jeu atypique. En effet, vous pourrez utiliser différentes armes de mêlée comprenant une latte de bois, une clé à molette, une hachette, un marteau et autres joyeusetés, pour défoncer le crâne de vos ennemis. Vous compterez également sur un coup de pied surpuissant à faire pâlir de jalousie Jean-Claude Van Damme. Il vous sera possible de balancer tous types d’objets sur vos adversaires et d’utiliser des éléments du décor à votre avantage, comme un piège composé de scies circulaires ou un trou sans fond. Mais, le plus surprenant reste le coup de pied dans un bidon de produit inflammable qui explose à l’impact.
Par contre, il ne faudra malheureusement pas taper comme un surexcité, car une barre d’endurance diminuera au fur et à mesure des coups portés. De même, les armes auront une barre d’usure. Un système de parade est mis en place pour vous permettre de réduire, voire annuler les dégâts subis. Le jeu est encore bien loin d’être terminé et les combats semblent ardus, si vous ne faites un tant soit peu attention à vos ennemis.
Si vous êtes intrigué par le concept de Butcher’s Creek, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Il est prévu pour sortir cette année.
Perdu entre promesses non tenues et date de sortie maintes fois reportée, WRATH: Aeon of Ruin a connu un développement chaotique durant sa période d’accès anticipé, allant jusqu’à cliver sa propre communauté. D’un côté, les fervents croyants, impatients de mettre la main sur ce rétro-FPS de boomer et de l’autre, les impies bafoués, à la limite de crier au scam. Il faut dire que les dernières sorties de l’éditeur 3D Realms (Graven, Ripout et Kingpin: Reloaded) sont bien loin d’avoir connu le succès escompté et n’aident pas à redorer leur image bien écornée auprès d’une partie des joueurs. De plus, la récente coupe dans leurs effectifs, orchestré par le groupe Embracer, risque très probablement d’impacter les développements en cours et à venir, à moins que ces derniers soient déjà tout simplement annulés. Pour revenir à notre rétro-FPS, c’est durant le Realms Deep 2023 que ce dernier voit enfin le bout du tunnel, en annonçant la sortie de la version 1.0 pour le 27 février. Plus de trois ans après notre dernière preview plutôt encourageante, on était impatients de mettre la main sur la version finale. Et on peut déjà vous dire qu’elle est plutôt réussie.
Genre : Rétro-FPS |Développeur : KillPixel Games, Slipgate Ironworks | Éditeur : 3D Realms, Fulqrum Publishing | Plateforme : Steam|Prix : 24,99 € |Configuration recommandée : Intel Core i3, 4 Go de RAM, Geforce 710GT |Langues : interfaces et sous-titres en français|Date de sortie : 27/02/2024 |Durée de vie : 10 heures en difficulté moyenne (avec quelques morts à répétition et des tentatives infructueuses pour dénicher des secrets)
Test réalisé sur la version Steam fournie par l’éditeur
Quelqu’un a oublié d’allumer la lumière ?
Pour débuter votre périple dans ce monde obscur et dévasté, vous incarnez un héros nommé l’Étranger (très original) demeurant dans une barque funéraire dérivant en pleine mer. Invoqué par une être vêtu de blanc, vous êtes missionné pour aller faire la peau aux gardiens de l’Ancien monde et libérer l’un d’entre eux injustement emprisonné. Il ne faudra pas vous attendre à des cinématiques pour étoffer le lore, mais uniquement des monologues textuels de votre commanditaire et des parchemins à trouver dans les différents niveaux. Un codex est mis à votre disposition pour répertorier différentes informations telles que les armes, les ennemis, les parchemins et les données sur les niveaux explorés (le nombre d’ennemis tués, le temps écoulé, le nombre de secrets découverts…).
Vous commencez par vous aventurer dans un sanctuaire très (trop) sombre, à tel point que j’ai été obligé de mettre la luminosité et le gamma à fond pour voir quelque chose. Cette obscurité n’est, a priori, pas un effet artistique, mais plutôt un cache misère pour les textures. Ledit niveau fera surtout office de tutoriel, dans lequel il vous faudra retenir deux mécaniques essentielles liées à la sauvegarde, que sont le sanctuaire, vous permettant de sauvegarder une unique fois tout en régénérant votre vie, et l’ancre spirituelle, vous permettant d’effectuer une auto-save à l’endroit où vous l’aurez posée, en conservant votre état actuel (vie et munitions restantes). Sans quoi, vous devrez recommencer le niveau entier suite à un faux pas, tout en rageant. Vous serez tenté de ne pas utiliser le sanctuaire pour le garder en dernier recours, tant pour votre progression que pour la régénération de votre vie. De même, l’ancre spirituelle n’est pas infinie (sauf si vous l’activez dans les paramètres, mais ça détruit tout l’intérêt du jeu, apprenez à souffrir, plutôt), car vous devrez récupérer ces items en cours de route pour pouvoir les employer. C’est pourquoi la sauvegarde sera votre salut, et si un sanctuaire est présent dans le coin, c’est que vous allez probablement vous en prendre plein la tronche prochainement.
Après ça, vous pourrez attaquer dans le dur. Le monde de WRATH: Aeon of Ruin se compose de trois hubs principaux, depuis lesquels vous pouvez explorer cinq niveaux afin d’en récupérer la relique qui vous ouvrira l’accès aux gardiens. Le jeu ne vous prenant pas la main, vous choisissez l’ordre dans lequel vous faites les niveaux. Malgré la présence de gros pixels, la direction artistique est très réussie et les environnements sont variés. Vous visiterez des marécages, des forêts, des temples, des sanctuaires enneigés et même les entrailles d’une créature géante. Les niveaux sont parfois labyrinthiques et jouent sur la verticalité. Dans l’ensemble, vous verrez surtout des couloirs et des arènes. Du côté de la musique, elle est totalement anecdotique, vu que le bruit des ennemis prend le pas sur le reste. D’ailleurs, même s’ils ne sont pas dans le même pièce que vous, vous aurez le plaisir de les entendre grogner tout du long.
C’est parti pour déverser votre colère et votre rage
Pour entamer votre croisade en bonne et due forme, vous disposez d’un arsenal varié comprenant une lame, un revolver et un fusil à pompe pour les plus classiques, ou un dégueuloir, un canon à scories et un cristallisateur pour les plus exotiques. Chaque pétoire a un tir secondaire, avec comme principal défaut de prendre trop de temps à s’activer vis-à-vis de vos ennemis véloces. Le gunfeel est plutôt bon et j’ai pris plaisir à voir mes adversaires exploser en mille morceaux. J’ai globalement bien apprécié les neuf armes, même si on a tendance à utiliser certaines plus que d’autres pour se débarrasser des sacs à PVs. Il est à noter que la distance joue sur l’efficacité de vos armes et vous avez parfois la désagréable impression de ne pas toucher votre ennemi. De plus, la localisation des dégâts est quelquefois étrange. Mention spéciale pour l’épée, qui sert à la fois à trancher les ennemis et à dasher. Est-ce que vous voyez le problème ? Il faut tout d’abord prendre son épée en main, puis donner un coup, ce qui nous fera dasher. C’est vraiment une idée à la con et il aurait été plus judicieux de dissocier les deux actions.
Justement venons-en au personnage : il ne subit pas les dégâts de chute, ce qui permet de jouer sur la verticalité. Par contre, attention au feu, notre avatar est très sensible aux flambeaux qui éclairent les niveaux. Heureusement, vous avez accès à des artefacts qui vous conférent des capacités spéciales (résistance, dégâts accrus, masque à oxygène…) limitées dans le temps et en nombre d’utilisation. Vous avez la possibilité d’en collecter dans les différents niveaux, pour vous refaire un stock. Par contre, à mon goût, la roue de sélection des artefacts n’est pas très instinctive et certains auraient pu être virés, vu leur utilité plus que restreinte.
Maintenant, parlons de vos ennemis. Le bestiaire est diversifié, avec quelques références à l’univers de DOOM. Contrairement à vous, leurs attaques ne sont pas affectées par la distance et leur zone de dégâts est généralement assez large.. Ils n’attendent pas sagement que vous veniez les voir et préférent vous débusquer. Autant une partie d’entre eux est facile à appréhender et à tuer, mais les autres sont de vrais tanks, encaissant vos coups sans broncher. Dans certaines situations, le spawn des adversaires est à la limite du sadisme, avec l’apparition d’un ennemi lourd juste après l’ouverture d’une porte, ou caché dans un angle mort d’une pièce. Le challenge est plutôt relevé et vous mourrez sans doute très souvent, ce qui n’est pas un mal en soi. Il arrivera que vos ennemis ne réagissent pas de suite ou soient bloqués dans le décor. Mais dès que vous leur tirerez dessus, ils se retourneront d’emblée dans votre direction pour vous fumer. Les ennemis sont impitoyables et je vous déconseille de foncer dans le tas. Je ne vous cache pas qu’on peut ressentir une certaine frustration d’être tué par ennemi tombé au fond de l’eau (eux ne meurent pas de noyade) et que vous ne voyez pas. Sachez également que si vous apercevez une partie d’un monstre dépasser du rebord d’un mur, vous pouvez en profiter pour lui tirer dessus, mais lui aussi peut en faire de même. De manière générale, vous serez bien content d’avoir des artefacts, d’autant plus lors des combats contre les boss, qui font fondre vos points de vie comme neige au soleil. De plus, si vous ajoutez leurs tirs téléguidés et une zone de dégâts importante, vous resterez souvent à couvert et profiterez d’une fenêtre de tir pour envoyer tout ce que vous avez. Ils ont un design très intéressant et les combats intégrent des mécaniques de gameplay propres à leur hub pour pimenter le tout.
Une aventure sympa, non sans défauts
Globalement, WRATH: Aeon of Ruin est une expérience plaisante qui ravira probablement les fans de rétro-FPS, par son univers et sa difficulté relevée. Pour affronter un bestiaire varié, vous prendrez plaisir à user de diverses armes, surtout quelques unes particulièrement efficaces. Pareil pour les artefacts mis à votre disposition, malgré l’inutilité de certains. Cependant, le système de sauvegarde pourra en rebuter plus d’un au premier abord, et certains ennemis seront une véritable plaie par moment, sans parler des spawns sadiques. Vous l’aurez donc compris, le jeu est loin d’être exempt de défauts, mais vous pourrez tout de même passer un très bon moment.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
Toujours en accès anticipé depuis août 2022, ZERO HOUR, un FPS coopératif tactique se déroulant au Bangladesh, continue doucement mais sûrement d’étoffer son contenu. Dimanche dernier, les studios M7 Productions et Attrito ont publié un billet de blog de Steam pour annoncer la sortie de la nouvelle mise à jour, Operation Storm Harbor. Dans cette dernière, jouable en coop ou en PVP, vos équipiers et vous-même seront missionnés pour intercepter un groupe de trafiquants d’armes dans les entrepôts portuaires de Mongla. De nouveaux modèles de personnages (ennemis et SWAT) ont été introduits, pour ne pas avoir l’impression de tuer pour la centième fois le frère du frère du criminel rencontré lors de votre première intervention. De plus, les effets visuels ont été retravaillés au niveau des armes à feu (impact des balles et flash à la sortie du canon), des explosions et du gore.
Peut-être ne l’avez-vous pas remarqué, mais la vue en bodycam est très en vogue ces derniers temps. Ce détail n’ayant pas échappé aux devs, il ont donc intégré cette nouvelle fonctionnalité pour les aficionados du genre. L’IA de votre escouade a été également améliorée pour être plus réactive. Par exemple, si vous visez dans leur direction, ils s’écarteront pour vous laisser le champ libre. Pour vous faire saliver, le studio a annoncé d’ores et déjà le prochain contenu à venir comprenant la customisation des personnages, deux nouvelles armes (P90 et un fusil Enfield), de nouveaux modèles d’avatars et de multiples améliorations. Si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
Si vous souhaitez participer à de nouvelles missions d’intervention sur le territoire du Bangladesh, ZERO HOUR est actuellement en promotion à -40 % sur Steam, jusqu’au 4 mars.
En fin de semaine dernière, le studio Steelkrill, spécialisé dans les jeux d’horreur (The Voidness,Rotten Flesh et The Backrooms 1998), a récidivé en dévoilant leur dernière production, Baby Blues Nightmare. Vous y incarnerez un enfant en bas âge à la recherche de ses jouets préférés, au sein d’une immense salle de jeu bien glauque. Pour mener à bien cette périlleuse mission, vous devrez résoudre divers puzzles et vous frayer un chemin parmi les obstacles. Vous pourrez également vous pavaner à bord de votre tricycle personnalisable et faire preuve de créativité en dessinant sur les murs. Tout un programme, mais il ne faut surtout pas oublier que vous serez épié par des monstres, qui vous détecteront au moindre bruit.
Hormis le fait de jouer avec la perspective d’un très jeune enfant, tout le reste semble être du déjà-vu et revu. Vous devrez à chaque fois vous planquer dès qu’une menace approche. La petite originalité, c’est que vous devez garder un œil sur votre jauge de sang-froid pour ne pas être effrayé, sinon les monstres débarqueront. On notera tout de même qu’on vous laisse manipuler une bombe de peinture… Quelle bande d’irresponsables, ces devs.
Pour le moment, Baby Blues Nightmare n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé de vivre un expérience horrifique dans la peau d’un bambin.
Durant le live du Nacon Connect 2024, notre expert Loulou espérait plus que tout un FPS bourrin à souhait, avec un robot tueur d’humains surarmé. Mais, vous ne pouvez pas imaginer sa déception à la découverte de Terminator: Survivors, un énième extraction shooter. Dans ce jeu de survie en monde ouvert, tiré de la licence culte Terminator, vous y incarnerez des survivants du Jugement dernier, ignorants l’existence de Skynet et de ses robots. Seul ou en équipe, vous devrez explorer ce monde post-apocalyptique, afin de récupérer des ressources qui serviront à améliorer votre base et vos équipements. Durant vos expéditions, vous serez confronté à d’autres humains et au fameux Terminator.
Vu que la présente bande-annonce ne montre absolument rien en termes de gameplay, il est difficile de se prononcer sur le gunplay et tout autre aspects, quel comble ! Même l’interview de Marco PONTE, CEO et Creative Director du studio Nacon Milan, ne vous dévoilera rien de plus que des concepts art. Bien loin de vendre du rêve pour le moment, au moins il n’a pas été oublié d’annoncer la sortie en accès anticipé du jeu, prévu pour le 24 octobre 2024.
En attendant sa sortie pour octobre 2024, vous pouvez ajouter Terminator: Survivors à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, si vous êtes intéressé.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Nouveau mois, nouvelles promos chez notre partenaire Gamesplanet. Ils nous proposent, par exemple, des réductions sur des précommandes. Par exemple :
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !