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Bouygues Telecom annonce avoir versé 308 millions € à Free

Par : ToFoo93
17 mai 2023 à 09:02

Bouygues Telecom annonce avoir versé 308 millions € à Free, dans le cadre des forfaits subventionnés jugés anticoncurrentielles par son concurrent. Mardi 16 mai, Bouygues Telecom a indiqué avoir versé 308 millions d’€ à free dans le différent qui les oppose et faisant suite à la condamnation en février du tribunal de commerce. Bouygues Telecom […]

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Nouveaux forfaits mobile Bouygues Telecom : Tous en 5G

Par : ToFoo93
16 octobre 2023 à 09:00

Nouveaux forfaits mobile Bouygues Telecom : Tous en 5G pour cette fin d’année 2023. Bouygues Telecom procède à une refonte de sa gamme de forfaits mobile avec engagement jusqu’à 300Go avec parfois une baisse de prix et des offres combinées avec la box, on vous détaille tout, ci-dessous. Avec la période commerciale de fin d’année […]

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Venez échanger sur l’Agora

31 octobre 2023 à 15:18
Venez échanger sur l’Agora

Chère lectrice, cher lecteur,

Après de longs mois de travail et un nombre, disons, notable de péripéties techniques (péripéties que j’aborderai sans doute sur IndieNotes, ma newsletter sur la création de contenu indépendante sur Internet), je suis particulièrement enthousiaste de vous accueillir dans l’Agora, l’espace communautaire de L’Économiste Sceptique !

Venez échanger sur l’Agora

Pourquoi l’Agora ?

J’ai bâti l’Agora dans l’objectif de nous offrir un espace d’échange serein et constructif. L’une des conditions pour atteindre cet objectif est de ne plus faire dépendre nos échanges d’une plateforme que je ne contrôle pas.

Pendant longtemps, nos échanges ont majoritairement pris place sur Twitter. Même avant son rachat par Elon Musk, Twitter était déjà un lieu brutal, souvent toxique, et pas toujours propice aux échanges sereins et constructifs. La gestion catastrophique de la plateforme par Elon Musk a fait massivement empirer ces problèmes, au point que pour moi, Twitter est désormais inutilisable.

Pour cette raison, nos échanges se sont réduits à peau de chagrin. Ils me manquent. L’Économiste Sceptique est une co-construction entre vous et moi. Votre voix joue un rôle essentiel pour guider mon travail. À cause de l’état de Twitter, cela fait bientôt un an que j’ai du mal à l’entendre.

Mais parfois, les catastrophes sont porteuses d’opportunités. Le naufrage de Twitter m’a donné une occasion unique. À la fois, de construire un espace communautaire bien modéré et adapté au ton des échanges que je veux promouvoir autour de mon travail de vulgarisation scientifique. Également, de ne plus faire dépendre nos échanges de plateformes tierces qui peuvent tout détruire ou presque, virtuellement du jour au lendemain.

C’est dans ce contexte que j’ai patiemment bâti l’Agora au cours des six derniers mois.

Qu’y a-t-il sur l’Agora ?

L’Agora est à la fois un forum (tout le contenu du forum est public) et un chat inspiré de Discord (les canaux ne sont visibles qu’aux personnes connectées). Je ne suis pas encore sûr de la répartition des usages entre les deux fonctionnalités. Nous verrons à l’usage.

Venez échanger sur l’Agora
Venez échanger sur l’Agora

Chat en mode fenêtre (gauche), chat en plein écran (droite)

L’Agora me sert d’ores et déjà à annoncer ce sur quoi je travaille, à la fois en termes de contenu, mais aussi de fonctionnalités. L’Agora me servira aussi à communiquer les inévitables retards et autres changements de programme. Parce que mon envie d’entendre votre voix est intacte, je vous demanderai régulièrement votre avis sur l’évolution de L’Économiste Sceptique sur l’Agora.

De votre côté, l’Agora vous permet de (re)prendre la parole. Vous pouvez y suggérer de nouveaux contenus, y poser des questions sur la science économique, le scepticisme scientifique et l’économie de l’environnement, et y partager des contenus qui vous paraissent intéressants ou susceptibles d’être débunkés. Grâce au chat, vous pouvez m’y contacter en privé.

Plus généralement, l’Agora est un espace d’échange destiné à faire se rencontrer les personnes intéressées par mon travail de vulgarisation scientifique.

Un point sur la modération : j’ai profité du lancement de l’Agora pour réécrire complètement la charte. La réécriture est terminée à environ 90 %. La nouvelle charte s’applique d’ores et déjà à l’Agora.

Comment participer à l’Agora ?

Pour accéder à l’Agora, il vous suffit de vous rendre à l’adresse suivante : agora.osc.ac.

Pour participer à l’Agora, vous avez besoin de vous créer un compte à cette adresse. Si vous avez déjà un compte sur L’Économiste Sceptique (à l’adresse www.ecosceptique.com), vous avez également besoin de vous créer un compte à l’adresse mentionnée plus haut — j’ai conscience que ça n’est pas idéal, mais je suis contraint par la technique.

Une fois votre compte créé sur l’Agora, prenez soin de lire cette page d’introduction. N’hésitez pas à vous présenter au reste de la communauté dans cette catégorie. Si vous avez besoin d’inspiration, voici mon sujet de présentation.

Bonus : grâce à l’application gratuite Discourse Hub, vous pouvez accéder à l’Agora depuis n’importe quel appareil Android (via Google Play), iOS et iPadOS (via l’App Store). J’utilise moi-même Discourse Hub, j’en suis très satisfait.

Venez échanger sur l’Agora
Venez échanger sur l’Agora
Venez échanger sur l’Agora

Page d'accueil (gauche), sujet de discussion (centre), canal de chat (droite)

J’espère que l’Agora vous plaira ! Pour ma part, j’ai hâte de l’intégrer à l’écosystème que je construis patiemment depuis le reboot de L’Économiste Sceptique en 2021. J’ai également particulièrement hâte de pouvoir échanger à nouveau avec vous, et d’entendre à nouveau votre voix.

L’évolution catastrophique de Twitter a provoqué de monstrueuses perturbations dans mon activité professionnelle, perturbations qui ont des conséquences financières réelles. Vous avez sans doute vu l’effet de ces perturbations dans le rythme de publication de mes articles sur L’Économiste Sceptique. Compenser ces perturbations me demande un travail considérable, mais ce travail commence à payer. Il paye même tellement que plus le temps passe, plus je suis convaincu que l’équilibre post-Twitter sera bien meilleur que celui dans lequel nous étions auparavant. Un résultat involontairement provoqué par Elon Musk, et dont j’apprécie tout particulièrement l’ironie.

À bientôt sur L’Économiste Sceptique — et ailleurs,
Olivier

Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?

16 novembre 2023 à 15:00
Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?

Chère lectrice, cher lecteur,

Je vais immédiatement répondre à la question posée par le titre : non, je n'ai pas abandonné L'Économiste Sceptique. C'est même tout le contraire.

Pour autant, depuis environ six mois, il est vrai que le rythme de publication est erratique. Il y a trois explications dont j'aimerais vous parler : Twitter, un site Internet devenu trop étroit, et ma santé. Cet article me donnera également l'occasion de faire un point avec vous sur la suite.

Twitter

Lorsque j'ai rebooté L'Économiste Sceptique en 2021, j'avais délibérément choisi de profondément intégrer Twitter à mon travail. Twitter me servait à partager mon travail, à échanger avec vous qui suivez mon travail, et à m'informer auprès d'experts compétents, mais pas toujours visibles dans les médias.

Or, Elon Musk a détruit cet édifice. Mon travail est de moins en moins visible sur la plateforme. À cause d'une invasion de bots pro-Vladimir Poutine que Twitter ne parvient pas à enrayer, j'ai été contraint de fermer les commentaires sur quasiment toutes mes publications, coupant ainsi les échanges avec vous. Enfin, Twitter a cassé au moins cinq fois mes outils de veille. À l'heure où j'écris ces lignes, mes outils de veille basés sur Twitter sont probablement définitivement détruits.

Depuis un an, j'ai passé un temps considérable à contourner ces problèmes. Ces efforts sont en train de payer. Mais le temps que j'ai consacré à contourner ces problèmes est du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles sur L'Économiste Sceptique.

Un site Internet devenu trop étroit

Depuis le reboot de L'Économiste Sceptique, la newsletter a bien grandi. Ghost, la plateforme que j'utilisais pour publier la newsletter, m'a offert une belle rampe de lancement. Mais Ghost s'est montré de plus en plus étroit pour accommoder les évolutions de L'Économiste Sceptique. L'intégration de l'Agora m'a par exemple demandé des mois de travail, pour quand même échouer.

Au cours de l'été, j'ai mis en ligne un nouveau thème graphique. Il était censé me permettre de contourner une autre de ces étroitesses de Ghost. Or, malgré mon travail, une fois en ligne, il est rapidement devenu évident que le nouveau thème graphique avait, lui aussi, échoué.

Après ces deux échecs, il est devenu clair que pour accompagner la croissance de L'Économiste Sceptique, il était nécessaire que j'envisage un chemin plus radical : rebâtir le site Internet sur une autre plateforme que Ghost. Bien que n'étant pas terminé, le nouveau site est déjà en ligne. Je communiquerai en détail à son sujet dans les prochaines semaines.

Comme pour Twitter, le temps que j'ai consacré à construire des fondations plus solides pour la suite de L'Économiste Sceptique est du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles.

Ma santé

La santé est un sujet éminemment personnel. Je suis particulièrement réticent à discuter de la mienne en public. Je vais me contenter de généralités, et je vous demande de respecter ma volonté de discrétion.

Cela étant dit, ma santé est la principale explication au rythme de publication erratique depuis six mois. Il me semble important de vous en parler. Enfin.

Pour commencer, je veux vous rassurer : je vais bien. En fait, je ne me suis jamais aussi bien porté de toute ma vie. Il y a un an, j'ai identifié un problème de santé particulièrement handicapant. C'est un problème qui m'a pourri la vie pendant trente ans. Il a connu une importante dégradation à l'été 2022, apparemment fréquente à mon âge chez les personnes chez qui ce type de problème n'a pas été identifié. Bien que ne pouvant stricto sensu pas se "guérir", c'est un problème qui se prend très bien en charge s'il est identifié. C'est grâce à cette prise en charge réussie que je me porte aujourd'hui aussi bien.

C'est aussi cette prise en charge qui explique le rythme erratique de publication sur L'Économiste Sceptique. En plus de l'aventure intérieure, dans mon cas, la prise en charge repose principalement sur une adaptation de mon environnement. Notamment, une adaptation de mon environnement de travail. Concrètement, j'ai passé les douze derniers mois à rebâtir complètement mes méthodes de travail, pour les adapter à ce problème de santé.

Ce travail d'adaptation paye. Il paye même au-delà de mes attentes.

Pour autant, ce travail d'adaptation m'a demandé beaucoup de temps. Du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles sur L'Économiste Sceptique. Il a aussi profondément modifié mon organisation pour lire la littérature scientifique, pour écrire, pour publier sur les réseaux sociaux, et ainsi de suite. Il m'a fallu du temps pour retrouver mes marques.

Et maintenant ?

Cette période de turbulences est derrière moi. Je n'ai plus autant besoin de Twitter dans mon travail. Le nouveau site est bien avancé. L'adaptation de mon environnement de travail touche à sa fin. Le rythme de publication de L'Économiste Sceptique devrait progressivement reprendre la normale. Avec les notes et les méga-sujets de l'Agora, il devrait même augmenter.

Si vous m'avez contacté par email et que je n'ai pas (encore) répondu, voici pourquoi. Si je suis en retard sur un certain nombre de collaborations, voici pourquoi. Si vous avez publié un commentaire sur le site et que je n'y ai pas (encore) répondu, voici pourquoi. Il ne s'agit ni d'oublis, ni d'ignorance, ni d'indifférence.

J'aurais probablement dû communiquer plus tôt sur ces difficultés. Vous êtes nombreuses et nombreux à soutenir mon travail, y compris financièrement, y compris dans cette période de turbulences. C'est avec gratitude et humilité que je prends votre soutien. Expliquer plus tôt ce qu'il se passait, même en des termes génériques, aurait certainement été préférable.

Cette période de turbulences a eu des conséquences négatives sur les finances de L'Économiste Sceptique. Je ne pense pas que L'Économiste Sceptique soit en danger. Mais cette dégradation de la santé financière de L'Économiste Sceptique prend place dans un contexte plus large où mes problèmes de santé ont (inévitablement) dégradé mes finances personnelles.

Il n'y a aucune obligation, aucune injonction. Si vous le pouvez, et si vous le souhaitez, sachez que vous pouvez adhérer à l'une des formules payantes ci-dessous ou sur cette page. En plus de soutenir mon travail, adhérer vous donne accès à l'intégralité de mon contenu sur L'Économiste Sceptique.

Je n'ai pas abandonné L'Économiste Sceptique. En réalité, le travail que j'ai mené pour compenser la destruction de Twitter, pour bâtir un nouveau site Internet, et dans une certaine mesure, la transformation de mes méthodes de travail, je l'ai fait pour préparer une sorte d'Économiste Sceptique 3.0.

Mon plaisir à vulgariser la science économique, le scepticisme scientifique et l'économie de l'environnement est plus grand que jamais. Mon plaisir à échanger avec vous, y compris lorsque vous me faites part, avec bienveillance, de critiques constructives et argumentées, est plus grand que jamais. Ma volonté de continuer L'Économiste Sceptique est plus grande que jamais.

Nombre d'entre vous avez peut-être, sans doute, des questions sur cette période de turbulences, et sur ce que je prépare pour la suite de L'Économiste Sceptique. Pour y répondre en toute transparence, je vous donne rendez-vous le mercredi 22 novembre 2023 de 20 h à 21 h sur Microsoft Teams pour un Happy Hour spécial. Cet Happy Hour spécial sera ouvert à toutes et tous. Il vous suffit de vous y inscrire à cette adresse pour obtenir le lien de connexion.

Pour finir, je veux vous remercier. Merci de suivre mon travail. Merci de vous soucier de moi. Merci pour vos retours constructifs, qu'ils soient positifs ou négatifs. Merci pour vos questions. Merci pour vos commentaires. Merci pour vos partages. Merci pour votre soutien financier. Je m'estime chanceux d'être entouré par une communauté aussi positive, aussi engagée et aussi bienveillante.

Cette période de turbulence qui se referme n'a pas été simple. Je suis content qu'elle touche à sa fin. En partie, pour retrouver une forme de tranquillité. En partie, parce que le nouvel équilibre sur lequel je suis installé ouvre une superbe voie pour L'Économiste Sceptique. J'ai du contenu passionnant en préparation. J'ai des invités passionnants prévus pour les Cafés. Et j'ai hâte de vous présenter les autres nouveautés sur lesquelles je travaille.

Merci pour tout. Et en avant !

À bientôt sur L’Économiste Sceptique — et ailleurs,
Olivier

Les Asus NUC 14 Pro passent aux Meteor Lake (Maj prix)

1 mars 2024 à 09:56

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Mise à jour du 1/03/2024 : Asus US a communiqué sur les tarifs de ses nouveaux NUC 14 Pro. Deux modèles ont été détaillés et donnent un avant goût du prix de ces nouvelle machines nées de la reprise de la marque NUC à Intel. 

En entrée de gamme, on retrouve le NUC 14 Pro Core 3 100U, une puce 15 watts avec 6 cœurs et 8 Threads sous architecture Raptor Lake. Le MiniPC embarquera 2 slots SoDIMM de DDR5-5600, un stockage NVMe PCIe Gen4, deux sorties Thunderbolt 4, du Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 et un port Ethernet 2.5 Gigabit. Ticket d’entrée pour ce modèle : 394$ HT. Soit 364€HT environ et 436€ avec 20% de TVA avec une configuration mémoire et stockage pour le moment inconnue. Ces modèles sont prévus pour monter beaucoup plus haut en capacités de calcul avec des puce Intel Core Ultra 7 165H mais dans une limite de 40W de TDP.

Le Asus NUC 14 Pro+ débuteront leur carrière bien plus haut avec un prix de base de 869$ HT avec une puce Meteor Lake. Un Core 5 Ultra 125H qui pourra évoluer vers des Core Ultra7 155H ou Core Ultra 9 185H jusqu’en 65W de TDP. Cela donne 800€ environ HT et 960€ au total. 

Ces chiffres sont « bruts » et sont donc à prendre avec des pincettes quant à leur estimation « Euros ». Aucune date de distribution n’a filtré pour le moment mais la communication d’Asus France ne devrait plus tarder désormais.

Billet original du 10/01/2024 : Ces nouveaux NUC 14 Pro et NUC 14 Pro+ sont attendus au tournant. De très nombreuses entreprise ne savent aujourd’hui si elles doivent faire confiance à Asus pour les alimenter en nouveaux produits alors qu’elles achètent des NUC à Intel depuis de nombreuses années. Si la qualité des produits suit la production traditionnelle d’Intel, Asus peut réussir ici un pari intéressant pour son futur.

Asus NUC 14 Pro

Les nouveaux NUC 14 Pro  embarqueront des puces Intel Meteor Lake jusqu’au Core Ultra 7 165H dans un TDP maximal de 40 watts. On retrouvera ainsi les processeurs Intel Core Ultra 7 165H, Ultra 7 155H, Ultra 5 135H, Ultra 5 125H et l’entrée de gamme en Core 3 100U.

Asus NUC 14 Pro+

Une seconde série plus musclée sous le nom de NUC 14 Pro+ se déploiera, quant à elle, jusqu’au Core Ultra 9 185H pour un TDP de 65 Watts. Ici Asus embarquera également les Core Ultra 7 155H et Ultra 5 125H.

Ces engins permettront la même évolutivité que d’habitude chez Intel avec deux slots de DDR5-5600 pour un maximum de 96 Go à bord. Leur stockage sera légèrement différent puisque les modèles Asus NUC Pro proposeront pour certains un emplacement SATA3 au format 2.5″ tandis que les Pro+ se contenteront du double stockage commun constitué d’un port M.2 2280 NVMe PCIe Gen4 x4 et d’un second port M.2 2242 PCIe X4.

On distingue les deux loquets qu’il faudra dégager pour ouvrir et un verrou qu’on fera tourner avec tournevis

Tous les modèles sont pensés par Asus pour être accessibles et pouvoir être mis à jour physiquement sans recourir à un outil. Un large panneau inférieur permettra d’avoir sous les yeux les différents ports et slots facilement. Il pourra s’enlever en libérant des loquets qui le maintiendront en place. Cette approche « Toolless » est intéressante pour des particuliers mais elle l’est peut être moins pour des professionnels. Surtout pour les machines ayant pour vocation à être exposées au public. Si l’engin est sécurisé par un câble antivol, il faudra sans doute trouver une parade pour empêcher l’accès aux composants afin de ne pas les voir disparaitre.

Asus NUC 14 Pro avec et sans baie 2.5″

Le tout sera enfermé dans un châssis en aluminium assez sobre, Asus dit adieu au plastique des formules Intel pour sa coque supérieure. On retrouve un format classique des MiniPC NUC avec 11.7 cm de large pour 11.2 cm de profondeur et de 3.7 cm d’épaisseur à 5.4 cm au total suivant les modèles de NUC 14 Pro. Ceux disposant de la baie 2.5″ étant comme d’habitude plus hauts que les autres. Les modèles Asus NUC 14 Pro+ seront un petit peu plus larges avec 14.4 cm pour la même profondeur et une épaisseur intermédiaire de 4.1 cm. Cela est du à la dissipation nécessaire pour encaisser ces processeurs plus puissants et plus gourmands.

Toute les machines proposeront un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 Intel AX211, la connectique sera identique sur les différents modèles. En façade, on retrouve un USB 3.2 Gen 2×2 Type-C et deux USB 3.2 Gen 2 Type-A. Sur le coté ou sur l’arrière un port Antivol type Kensington Lock pour sécuriser les MiniPC.

A l’arrière, on note la présence de deux Thunderbolt 4, un USB 3.2 Gen 2 Type-A, un USB 2.0, deux sorties vidéo HDMI 2.1, un Ethernet 2.5 Gigabit (Intel i226V) et un jack d’alimentation. Les blocs d’alim fournis s’adapteront suivant les modèles de puces de 90 Watts à 150 Watts.

NUC 14 Pro

Derniers détails, les NUC 14 Pro et Pro+ seront proposés nus, sans système, mémoire ni stockage mais également prêts à l’emploi et préinstallés sous Windows 11 Home et Pro. Asus proposera même des versions sans son logo dessus, probablement pour de grosses commandes, afin qu’une entreprise puisse poser le sien à la place.

L’ensemble parait cohérent et assez travaillé de la part d’Asus qui a su proposer sa patte dans un design très attendu pour cette passation de pouvoir. On retrouve le savoir faire de la marque sur les châssis et une bonne approche technique en interne. Il ne reste plus qu’à piloter de manière fluide la commercialisation de l’ensemble.

  NUC 14 Pro NUC 14 Pro+
Processeur Intel Core Ultra 7 165H
Intel Core Ultra 7 155H
Intel Core Ultra 5 135H
Intel Core Ultra 5 125H
Intel Core 3 100U (TDP jusqu’à 40W)
Intel Core Ultra 9 185H
Intel Core Ultra 7 155H
Intel Core Ultra 5 125H
(TDP jusqu’à 65W)
Mémoire vive 2 emplacements SODIMM
Jusqu’à 96 Go au total
DDR5-5600
Stockage 1 x M.2 2280 PCIe Gen4x4
1 x M.2 2242 PCIe x4 NVMe
1 x support SATA 2,5 pouces (sur certains modèles)
1 x M.2 2280 PCIe Gen4x4
1 x M.2 2242 PCIe x4 NVMe
Sans fil

Intel AX211
WiFi 6E
BT 5.3

Connectique 1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type-C (20 Gbps)
2 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
2 x Thunderbolt 4
1 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
1 x USB 2.0 Type-A
2 x HDMI 2.1
1 x RJ45 (Intel i226V/LM)
1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type-C (20 Gbps)
2 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
2 x Thunderbolt 4
1 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
1 x USB 2.0 Type-A
2 x HDMI 2.1
1 x RJ45 (Intel i226V/LM)
1 x Antivol type Kensington Lock
Alimentation 120W (Core Ultra 5/7)
90W (Core 3)
150W (Core Ultra 9)
120W (Core Ultra 5/7)
Dimensions 117 x 112 x 54mm (avec 2.5″)
117 x 112 x 37mm
114 x 112 x 41mm
Poids 750 grammes (avec 2.5″)
600 grammes
800 grammes
Prix de départ 394 $ 869 $

 

Asus ROG NUC : un MiniPC gamer qui embarque Core Ultra 9 et GeForce RTX 4070

Les Asus NUC 14 Pro passent aux Meteor Lake (Maj prix) © MiniMachines.net. 2024.

Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?

16 novembre 2023 à 15:00
Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?

Chère lectrice, cher lecteur,

Je vais immédiatement répondre à la question posée par le titre : non, je n'ai pas abandonné L'Économiste Sceptique. C'est même tout le contraire.

Pour autant, depuis environ six mois, il est vrai que le rythme de publication est erratique. Il y a trois explications dont j'aimerais vous parler : Twitter, un site Internet devenu trop étroit, et ma santé. Cet article me donnera également l'occasion de faire un point avec vous sur la suite.

Twitter

Lorsque j'ai rebooté L'Économiste Sceptique en 2021, j'avais délibérément choisi de profondément intégrer Twitter à mon travail. Twitter me servait à partager mon travail, à échanger avec vous qui suivez mon travail, et à m'informer auprès d'experts compétents, mais pas toujours visibles dans les médias.

Or, Elon Musk a détruit cet édifice. Mon travail est de moins en moins visible sur la plateforme. À cause d'une invasion de bots pro-Vladimir Poutine que Twitter ne parvient pas à enrayer, j'ai été contraint de fermer les commentaires sur quasiment toutes mes publications, coupant ainsi les échanges avec vous. Enfin, Twitter a cassé au moins cinq fois mes outils de veille. À l'heure où j'écris ces lignes, mes outils de veille basés sur Twitter sont probablement définitivement détruits.

Depuis un an, j'ai passé un temps considérable à contourner ces problèmes. Ces efforts sont en train de payer. Mais le temps que j'ai consacré à contourner ces problèmes est du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles sur L'Économiste Sceptique.

Un site Internet devenu trop étroit

Depuis le reboot de L'Économiste Sceptique, la newsletter a bien grandi. Ghost, la plateforme que j'utilisais pour publier la newsletter, m'a offert une belle rampe de lancement. Mais Ghost s'est montré de plus en plus étroit pour accommoder les évolutions de L'Économiste Sceptique. L'intégration de l'Agora m'a par exemple demandé des mois de travail, pour quand même échouer.

Au cours de l'été, j'ai mis en ligne un nouveau thème graphique. Il était censé me permettre de contourner une autre de ces étroitesses de Ghost. Or, malgré mon travail, une fois en ligne, il est rapidement devenu évident que le nouveau thème graphique avait, lui aussi, échoué.

Après ces deux échecs, il est devenu clair que pour accompagner la croissance de L'Économiste Sceptique, il était nécessaire que j'envisage un chemin plus radical : rebâtir le site Internet sur une autre plateforme que Ghost. Bien que n'étant pas terminé, le nouveau site est déjà en ligne. Je communiquerai en détail à son sujet dans les prochaines semaines.

Comme pour Twitter, le temps que j'ai consacré à construire des fondations plus solides pour la suite de L'Économiste Sceptique est du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles.

Ma santé

La santé est un sujet éminemment personnel. Je suis particulièrement réticent à discuter de la mienne en public. Je vais me contenter de généralités, et je vous demande de respecter ma volonté de discrétion.

Cela étant dit, ma santé est la principale explication au rythme de publication erratique depuis six mois. Il me semble important de vous en parler. Enfin.

Pour commencer, je veux vous rassurer : je vais bien. En fait, je ne me suis jamais aussi bien porté de toute ma vie. Il y a un an, j'ai identifié un problème de santé particulièrement handicapant. C'est un problème qui m'a pourri la vie pendant trente ans. Il a connu une importante dégradation à l'été 2022, apparemment fréquente à mon âge chez les personnes chez qui ce type de problème n'a pas été identifié. Bien que ne pouvant stricto sensu pas se "guérir", c'est un problème qui se prend très bien en charge s'il est identifié. C'est grâce à cette prise en charge réussie que je me porte aujourd'hui aussi bien.

C'est aussi cette prise en charge qui explique le rythme erratique de publication sur L'Économiste Sceptique. En plus de l'aventure intérieure, dans mon cas, la prise en charge repose principalement sur une adaptation de mon environnement. Notamment, une adaptation de mon environnement de travail. Concrètement, j'ai passé les douze derniers mois à rebâtir complètement mes méthodes de travail, pour les adapter à ce problème de santé.

Ce travail d'adaptation paye. Il paye même au-delà de mes attentes.

Pour autant, ce travail d'adaptation m'a demandé beaucoup de temps. Du temps que je n'ai pas pu consacrer à écrire des articles sur L'Économiste Sceptique. Il a aussi profondément modifié mon organisation pour lire la littérature scientifique, pour écrire, pour publier sur les réseaux sociaux, et ainsi de suite. Il m'a fallu du temps pour retrouver mes marques.

Et maintenant ?

Cette période de turbulences est derrière moi. Je n'ai plus autant besoin de Twitter dans mon travail. Le nouveau site est bien avancé. L'adaptation de mon environnement de travail touche à sa fin. Le rythme de publication de L'Économiste Sceptique devrait progressivement reprendre la normale. Avec les notes et les méga-sujets de l'Agora, il devrait même augmenter.

Si vous m'avez contacté par email et que je n'ai pas (encore) répondu, voici pourquoi. Si je suis en retard sur un certain nombre de collaborations, voici pourquoi. Si vous avez publié un commentaire sur le site et que je n'y ai pas (encore) répondu, voici pourquoi. Il ne s'agit ni d'oublis, ni d'ignorance, ni d'indifférence.

J'aurais probablement dû communiquer plus tôt sur ces difficultés. Vous êtes nombreuses et nombreux à soutenir mon travail, y compris financièrement, y compris dans cette période de turbulences. C'est avec gratitude et humilité que je prends votre soutien. Expliquer plus tôt ce qu'il se passait, même en des termes génériques, aurait certainement été préférable.

Cette période de turbulences a eu des conséquences négatives sur les finances de L'Économiste Sceptique. Je ne pense pas que L'Économiste Sceptique soit en danger. Mais cette dégradation de la santé financière de L'Économiste Sceptique prend place dans un contexte plus large où mes problèmes de santé ont (inévitablement) dégradé mes finances personnelles.

Il n'y a aucune obligation, aucune injonction. Si vous le pouvez, et si vous le souhaitez, sachez que vous pouvez adhérer à l'une des formules payantes ci-dessous ou sur cette page. En plus de soutenir mon travail, adhérer vous donne accès à l'intégralité de mon contenu sur L'Économiste Sceptique.

Je n'ai pas abandonné L'Économiste Sceptique. En réalité, le travail que j'ai mené pour compenser la destruction de Twitter, pour bâtir un nouveau site Internet, et dans une certaine mesure, la transformation de mes méthodes de travail, je l'ai fait pour préparer une sorte d'Économiste Sceptique 3.0.

Mon plaisir à vulgariser la science économique, le scepticisme scientifique et l'économie de l'environnement est plus grand que jamais. Mon plaisir à échanger avec vous, y compris lorsque vous me faites part, avec bienveillance, de critiques constructives et argumentées, est plus grand que jamais. Ma volonté de continuer L'Économiste Sceptique est plus grande que jamais.

Nombre d'entre vous avez peut-être, sans doute, des questions sur cette période de turbulences, et sur ce que je prépare pour la suite de L'Économiste Sceptique. Pour y répondre en toute transparence, je vous donne rendez-vous le mercredi 22 novembre 2023 de 20 h à 21 h sur Microsoft Teams pour un Happy Hour spécial. Cet Happy Hour spécial sera ouvert à toutes et tous. Il vous suffit de vous y inscrire à cette adresse pour obtenir le lien de connexion.

Pour finir, je veux vous remercier. Merci de suivre mon travail. Merci de vous soucier de moi. Merci pour vos retours constructifs, qu'ils soient positifs ou négatifs. Merci pour vos questions. Merci pour vos commentaires. Merci pour vos partages. Merci pour votre soutien financier. Je m'estime chanceux d'être entouré par une communauté aussi positive, aussi engagée et aussi bienveillante.

Cette période de turbulence qui se referme n'a pas été simple. Je suis content qu'elle touche à sa fin. En partie, pour retrouver une forme de tranquillité. En partie, parce que le nouvel équilibre sur lequel je suis installé ouvre une superbe voie pour L'Économiste Sceptique. J'ai du contenu passionnant en préparation. J'ai des invités passionnants prévus pour les Cafés. Et j'ai hâte de vous présenter les autres nouveautés sur lesquelles je travaille.

Merci pour tout. Et en avant !

À bientôt sur L’Économiste Sceptique — et ailleurs,
Olivier

Je suis de retour

22 février 2024 à 15:30
Je suis de retour

Chère lectrice, cher lecteur,

En novembre 2023, j'ai publié un article afin de vous rassurer : non, je n'ai pas abandonné L'Économiste Sceptique. Entre la déliquescence de Twitter et d'importants problèmes de santé qui m'ont occupé de l'été 2022 à la fin de 2023, 2023 a été une année difficile pour mon activité de médiation scientifique.

Ai-je abandonné L’Économiste Sceptique ?
Après une année pleine de turbulences, il est temps de faire le point
Je suis de retourOlivier Simard-CasanovaOlivier Simard-Casanova
Je suis de retour

Pour autant, ces péripéties sont derrière moi. En coulisses, le travail a continué. Il a été considérable. Le gros du chantier est désormais terminé. Ce qui me permet de vous annoncer que je reprends le rythme normal de publication de mon contenu de médiation scientifique. Avec trois importants changements.

Par ailleurs, j'ai conscience qu'au cours des derniers mois, ma communication n'a pas été idéale. Je vous propose de faire le point.

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En bref

• Je reprends la publication de mon contenu de médiation scientifique sur la science économique, l'esprit critique, l'environnement et les États-Unis à un rythme normal.
• Même chose pour mon contenu sur la création de contenu sur Internet.

• Annonce #1 : j'ai fusionné mes différentes newsletters et sites sur un site unique, olivier.simardcasanova.net. Vos abonnements ont été migré, ainsi que mon contenu.
• Annonce #2 : je mets à la retraite le nom de mes différentes newsletters, y compris celui de "L'Économiste Sceptique", pour écrire directement sous mon nom. Le retrait des différents noms est sans conséquence sur mon contenu.
• Annonce #3 : ma ligne éditoriale évolue. Moins d'analyses personnelles, davantage de littérature scientifique, et davantage de graphiques.

• Si vous aviez un abonnement à l'une de mes newsletters, choisissez quels articles recevoir dans votre compte.

Qui suis-je ?

Après la (longue) semi-absence qui s'achève aujourd'hui, c'est sans doute utile de refaire les présentations. Il est également possible que vous m'ayez découvert sur Threads, Bluesky ou Mastodon. C'est l'occasion d'en savoir plus sur qui je suis.

Je m'appelle Olivier Simard-Casanova, je suis économiste (depuis 2012), statisticien (depuis 2014) et médiateur scientifique (depuis 2015). J'ai une expérience dans le milieu de la recherche et de l'enseignement supérieur, et depuis 2019, je suis indépendant.

Je suis de retour

Au cours des dernières années, j'ai été le créateur et l'auteur de plusieurs newsletters :

  • L'Économiste Sceptique, sur la science économique, le scepticisme scientifique et l'économie de l'environnement
  • L'Heure Américaine, sur la société et la politique des États-Unis
  • Cities 2100, sur les mobilités urbaines en Amérique du Nord
  • IndieNotes, sur la création de contenu indépendante en ligne

Pour en savoir plus sur moi, n'hésitez pas à consulter la page À propos.

Ma communication

Avant d'aborder les newsletters, j'aimerais faire un point sur mon manque de communication.

Comme je l'expliquais dans mon article de novembre, j'ai pris de plein fouet la destruction de Twitter par Elon Musk. Twitter jouait un rôle central dans mon activité d'indépendant. Sa destruction a eu un impact négatif considérable sur mon travail. Et en particulier, sur mon travail de médiation scientifique.

Concernant ma capacité à communiquer, c'est comme si Elon Musk m'avait pris de force le mégaphone des mains en exigeant que je lui donne de l'argent pour le récupérer. Ça n'est rien de moins que de l'extorsion, extorsion que je ne peux pas accepter.

Or, ça n'a pas été possible de vous dire "je quitte Twitter, retrouvez-moi sur la plateforme Y".

D'une part, je n'ai pas toujours eu des expériences heureuses sur les plateformes alternatives à Twitter, qui ont par ailleurs mis du temps à émerger et à atteindre une masse critique d'utilisateurs.

D'autre part, ni Mastodon, ni Threads, ni Bluesky ne sont des clones de Twitter. Après tout, Twitter était un lieu toxique bien avant son rachat par Elon Musk. Je comprends que les plateformes alternatives tentent d'emprunter un chemin différent. Mais ce chemin différent suppose de comprendre comment ces nouvelles plateformes fonctionnent, et de s'y adapter. Ce qui prend forcément du temps.

Je me suis donc retrouvé dépourvu et orphelin, ne sachant plus trop ni où, ni comment, m'exprimer. Quand s'ajoutent à la destruction de Twitter mes problèmes de santé, devoir gérer ce qui ont été les deux pires crises de ma vie en même temps n'a pas été simple. Sans mes problèmes de santé, j'aurais probablement pu trouver un nouvel équilibre plus rapidement, et me remettre à communiquer efficacement plus rapidement.

Et puis, petit à petit, je me suis souvenu que j'avais déjà un espace où je peux m'exprimer librement : mes newsletters.

Annonce #1 : les newsletters

L'un des avantages des périodes difficiles est qu'elles permettent de s'interroger en profondeur, et d'introduire des changements parfois importants.

La destruction de Twitter m'a obligé à refondre des pans entiers de ma manière de travailler, Elon Musk ayant détruit la plupart de mes outils. Mes problèmes de santé m'ont par ailleurs donné une nouvelle vision de moi-même, encore plus saine et encore plus robuste que la précédente. Je me suis dit que j'avais une occasion idéale, et sans doute unique, pour repenser en profondeur mon activité de médiation scientifique.

Jusqu'ici, je publiais, ou de manière plus objective, j'ai essayé de publier, plusieurs newsletters thématiques distinctes, chacune avec un site Internet et une identité différente : L'Économiste Sceptique, L'Heure Américaine et IndieNotes . Pour moi, c'était lourd à gérer. Pour vous, c'était confus et dispersé. Afin de simplifier aussi bien ma vie que la vôtre, j'ai fusionné mes newsletters en un site unique.

Concrètement, mon contenu précédemment publié sur mes différentes newsletters est désormais hébergé sur mon nouveau site, qui est à mon nom : olivier.simardcasanova.net. Si vous aviez un abonnement à l'une de mes précédentes newsletters, j'ai migré votre abonnement vers le nouveau site.

Sur le nouveau site, j'écrirai, et en réalité, j'écris déjà, sur les mêmes sujets que précédemment : la science économique, l'esprit critique, l'environnement, les États-Unis, la création de contenu indépendante sur Internet, et quelques autres encore. C'est d'ailleurs un peu abusif de parler de "nouveau" site : le nouveau site contient l'essentiel du contenu de médiation scientifique que j'ai publié depuis 2015, soit plus de 600 articles !

Au lieu d'avoir plusieurs sites avec chacun une newsletter thématique, il y a désormais un site unique qui héberge tous mes articles et toutes mes newsletters.

Bien sûr, j'ai conscience que tout le monde n'est pas intéressé par tous les sujets sur lesquels j'écris. J'ai ainsi séparé les anciennes newsletters en Univers, dont vous pouvez retrouver la liste sur la page Explorer. Si vous avez un abonnement à la newsletter, vous pouvez choisir de ne recevoir que les articles de certains Univers.

Lors de la fusion des newsletters, je n'ai pas pu préserver vos préférences d'abonnement aux courriels.

Si vous aviez déjà un abonnement à l'une de mes newsletters, merci de vous rendre dans votre compte grâce au bouton ci-dessus pour choisir quels articles vous souhaitez recevoir par courriel.

Toutes mes excuses pour la gêne occasionnée.

Annonce #2 : L'Économiste Sceptique

L'Économiste Sceptique étant, et de très loin, ma newsletter la plus lue, il me semble important de lui consacrer quelques mots. D'autant que la deuxième annonce concerne L'Économiste Sceptique.

Fondamentalement, la fusion des différentes newsletters en un site unique est une démarche de simplification. À la fusion, j'ai associé le retrait du nom des différentes newsletters préexistantes. Y compris pour "L'Économiste Sceptique". En d'autres termes, je mets à la retraite le nom "L'Économiste Sceptique".

J'aurais pu titrer mon annonce "La fin de L'Économiste Sceptique". Un tel titre aurait sans aucun doute fait parler. Mais il aurait été trompeur. Le seul Économiste Sceptique qui disparaît, c'est le nom. Le contenu, lui, reste intact. Tous les articles que j'ai publiés depuis 2021 sur www.ecosceptique.com sont disponibles en intégralité sur le nouveau site. Surtout, je continue à écrire sur la science économique, l'esprit critique et l'environnement à un rythme similaire, voire supérieur, au rythme de croisière que j'avais sur L'Économiste Sceptique.

Pourquoi retirer le nom "L'Économiste Sceptique" ? Après tout, c'est un nom qui commençait à être connu. C'est une décision importante, que j'ai mûrement réfléchie. Elle est motivée par trois raisons principales.

La première raison est que c'est un nom parfois confus, en particulier pour les personnes qui ne sont pas familières avec le scepticisme scientifique. Le retrait du nom permet de mettre un terme à cette confusion. La deuxième raison est que parfois, les gens m'appellent "L'Économiste Sceptique". Or, "L'Économiste Sceptique" n'a jamais été un pseudonyme. C'est le nom de la newsletter. Retirer le nom permet de mettre un terme à cette seconde confusion. La troisième raison est que je me sens désormais à l'aise d'écrire directement sous mon nom, plutôt que de me "cacher" derrière un nom impersonnel et dans une certaine mesure, artificiel.

Sur le nouveau site, trois Univers remplacent L'Économiste Sceptique :

La séparation en trois Univers vous donne davantage de contrôle : vous pouvez choisir plus finement les articles que vous souhaitez recevoir par courriel.

La création d'un Univers spécifique à l'esprit critique va également me permettre de partager des travaux scientifiques en lien avec l'esprit critique issus d'autres disciplines que la science économique. J'en ai d'ores et déjà plusieurs dizaines que j'aimerais partager avec vous, et j'en découvre chaque semaine de nouveaux.

Si un ou plusieurs de ces Univers vous intéressent, ne manquez pas mes prochains articles en vous abonnant à la newsletter.

Annonce #3 : la ligne éditoriale

Depuis plusieurs mois, j'expérimente avec une nouvelle ligne éditoriale. Si vous consultez la liste chronologique de mes publications, vous constaterez que malgré mon manque de communication, j'ai en réalité été particulièrement actif depuis l'été 2023. Ces expérimentations ont porté leurs fruits. Leurs résultats sont même allés au-delà de mes espérances.

Je peux donc vous annoncer ce qui est sans doute le plus important changement : la ligne éditoriale de mon travail de médiation scientifique évolue. À compter de maintenant, je publierai moins d'analyses personnelles, davantage d'articles portant directement sur la littérature scientifique, et davantage de graphiques.

Pourquoi cette nouvelle ligne éditoriale en particulier ?

Contrairement à ce que certains allumés toxiques qui ne savent manifestement pas lire prétendent à longueur de vidéos insultantes et fallacieuses sur YouTube, je ne suis pas un commentateur. Je ne suis pas un éditorialiste. Je ne suis pas un économiste de plateau télé qui vient donner son avis mésinformé sur la dernière polémique en cours, ou qui dit à son audience exactement ce qu'elle veut entendre au mépris des faits.

Depuis 2015, ma démarche, que j'ai régulièrement répété, a toujours été celle d'un médiateur scientifique. Mon objectif n'est pas de vous convaincre. Mon objectif n'est pas de vous faire changer d'avis. Mon objectif n'est pas de faire la guerre à quiconque ayant l'audace de ne pas penser exactement comme moi. Mon objectif n'est pas d'être connu, ni de me bâtir une influence sur votre dos.

Mon objectif a toujours été, est encore, et continuera à être, de partager avec vous la littérature scientifique qui m'intéresse, qui m'interpelle, qui m'étonne, qui m'émerveille, qui me surprend ou qui me fait réfléchir. Et c'est tout. Je n'ai pas d'autre objectif. Le reste ne m'intéresse pas.

Sans renier mon travail, il m'a semblé que la ligne éditoriale des anciennes newsletters, et celle de L'Économiste Sceptique en particulier, était encore trop souvent dans l'analyse personnelle plutôt que dans le partage de la littérature scientifique. Le recours à l'analyse personnelle m'a également conduit à écrire des articles contenant d'importantes erreurs et d'importants oublis. Commettre des erreurs n'est pas en soi une catastrophe. Les erreurs sont des occasions d'apprendre. Mais en tant que médiateur scientifique soucieux de faire du bon travail, je me devais de tirer les leçons de ces erreurs. La nouvelle ligne éditoriale a pour objectif d'éviter qu'elles ne se reproduisent.

Enfin, à un niveau plus personnel, la nouvelle ligne éditoriale est davantage en phase avec mes aspirations profondes de médiateur scientifique : la curiosité, l'émerveillement, et l'envie de partager ma passion pour les sciences.

Concrètement, je vais davantage partager et expliquer des articles de recherche publiés par des économistes, et par des scientifiques issus d'autres sciences humaines et sociales. Il y aura toujours de l'éditorial, mais il sera plus explicitement identifié comme tel.

Concernant les formats, je n'ai pas prévu de changer les formats existants. Il y aura toujours des articles, et il y aura toujours des vidéos. Les Cafés continueront, même si pour des raisons logistiques, j'ai pris la décision de ne plus les enregistrer en direct. Vous aurez la possibilité de me transmettre à l'avance vos questions, que je poserai à l'invité·e pendant l'enregistrement.

Depuis l'été 2023, j'expérimente avec un format court, les Notes. Plus courtes et plus simples à écrire que les articles, les Notes ont pour objectif de remplacer les publications sous forme de fils que dans le passé, j'aurais publié sur Twitter. Les Notes ont vocation à prendre une place importante dans mon contenu. C'est un format qui s'ajoute aux formats existants, en les complétant.

Enfin, j'expérimente avec des directs en vidéo sur YouTube. L'expérimentation est prometteuse, et a vocation à continuer au cours des prochains mois.

Qu'en est-il des formules payantes ?

Comme pour L'Économiste Sceptique, la newsletter fusionnée est également une newsletter partiellement payante. Si vous vous étiez abonné à l'une des formules payantes de L'Économiste Sceptique, j'ai migré votre abonnement payant vers le nouveau site. Vous n'avez rien à faire.

💡
Sur le nouveau site, vous avez accès au même contenu que celui auquel vous aviez accès sur le site de L'Économiste Sceptique. Le contenu qui était gratuit reste gratuit, le contenu qui était derrière le paywall reste derrière le paywall.

Les formules payantes vous donnent accès à l'intégralité de mon contenu, passé comme à venir. Elles vous permettent également de soutenir mon travail, et de m'aider à pérenniser mon activité de médiation scientifique. Enfin, elles vous permettent de recevoir toutes les Notes par courriel dès leur publication, ainsi que le Point mensuel.

J'en profite pour remercier du fond du cœur celles et ceux d'entre vous qui avez continué à me soutenir financièrement malgré cette longue période de creux. Sans votre précieux soutien, je n'aurais pas pu refondre mon activité de médiateur scientifique comme j'ai pu le faire. J'aurais même sans doute été contraint de mettre un terme à mon activité de médiateur scientifique. Un grand merci ! Je me considère chanceux d'avoir une communauté bienveillante, intéressante et intéressée, et engagée comme vous l'êtes.

Si ça n'est pas déjà le cas, vous pouvez vous aussi vous abonner à l'une des formules payantes, et ainsi m'aider à relancer sereinement mon activité de médiateur scientifique.

Une nouvelle aventure, ensemble

Entre le retour à un rythme de publication normal, et les trois changements que je viens d'annoncer, c'est sans aucune doute une nouvelle aventure qui commence ! Une nouvelle aventure qui est, et de très loin, la plus enthousiasmante de toute ma carrière de médiateur scientifique. Elle fait suite à une période vraiment difficile, ce qui la rend d'autant plus savoureuse. J'espère que vous serez nombreuses et nombreux à la partager avec moi.

Si vous n'êtes pas déjà abonné·e à la newsletter, n'hésitez pas à rejoindre les milliers d'autres personnes qui font déjà partie de l'aventure. Vous ne manquerez aucun de mes prochains articles.

Pour discuter sereinement de ces changements, pour répondre à vos questions, et pour discuter de mes projets à venir, je vous donne rendez-vous mardi 27 février 2024 de 20 h 30 à 21 h 30 (heure de Paris) sur YouTube pour un direct.

Si vous recevez cet article par courriel, n'hésitez pas à répondre au courriel pour me faire part de vos retours, de vos questions et de vos remarques. Vous pouvez également publier un commentaire sur le site.

À très bientôt,
Olivier

Retrouvez-moi chaque semaine sur France Bleu Sud Lorraine

Retrouvez-moi chaque semaine sur France Bleu Sud Lorraine

Chère lectrice, cher lecteur,

C'est avec grand plaisir que je vous annonce que depuis le mercredi 7 février 2024, je tiens une courte chronique hebdomadaire de médiation scientifique sur France Bleu Sud Lorraine. J'y aborde des travaux scientifiques qui permettent d'éclairer les sujets d'actualité et les thématiques lorrains.

Je partagerai régulièrement les chroniques sur mon site. Même si vous ne vivez pas en Lorraine, je pense qu’elles peuvent vous intéresser.

Participer à un média est une expérience nouvelle pour moi, que je prends avec curiosité et intérêt. En tant que nancéien et lorrain, c'est par ailleurs un réel plaisir que de participer à un grand média local comme France Bleu Sud Lorraine — qui plus est, un média du service public.

Je précise que je ne suis pas rémunéré pour ces chroniques.

J'en profite pour remercier Olivier Damette, Julien Lhuillier ainsi que toute l'équipe de France Bleu Sud Lorraine pour son chaleureux accueil.

Olivier

Tragédie du sous-marin Titan : des bruits inédits émergent dans un docu

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6 mars 2024 à 17:15

L'accident du sous-marin Titan s'était produit en juin 2023. Des mois après l'implosion du submersible parti explorer le Titanic, un enregistrement est diffusé : celui des « coups » entendus lors des recherches.

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Comment fonctionnent les antibiotiques ?

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Les antibiotiques, ce n'est pas automatique. Vous connaissez toutes et tous cette phrase. Mais, savez-vous comment ils ont été découverts ? Peut-être. Et, comment ils fonctionnent ? Pas sûr. Cet article de The Conversation fait le point.

Éclipse solaire : quand aura lieu la prochaine éclipse de Soleil ?

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Observer une éclipse solaire exige de l'anticipation. Quand est prévue la prochaine éclipse de Soleil ? En octobre 2024, une éclipse annulaire sera visible depuis une partie de la Terre.

Faut-il avoir peur des écrans ?

Au-delà du temps passé sur les écrans, il faut s'intéresser à la fréquence des usages et aux horaires des activités numériques. C'est ce que rappelle cet article de The Conversation.

[TEST] Star Wars: Dark Forces Remaster : moins bon que The Force Engine

Par : Estyaah
9 mars 2024 à 20:41

Dès l’annonce du remaster de Star Wars: Dark Forces par Nightdive, les vidéos ne nous avaient pas énormément convaincues. En effet, difficile de voir la différence avec le travail effectué par les modders sur The Force Engine un an plus tôt. Néanmoins, les réalisations du studio sont souvent de qualité, alors un espoir restait présent. Finalement, pas de surprises : sur PC, Star Wars: Dark Forces Remaster fait le strict minimum en termes de gameplay. Les seuls avantages de cette version seront les cinématiques entièrement refaites et la possibilité de choisir la qualité de la musique. Youpi.

Genre : rétro-FPS | Développeur : Nightdive Studios, LucasArts | Éditeur : Nightdive Studios | Plateforme : Steam | Prix : 28,99 € | Configuration recommandée : Intel Core i5-2300 2.8 GHz/AMD Phenom II X4 945 3.0 GHz, 4 Go de RAM, carte graphique compatible DX11 ou Vulkan 1.1 | Langues : Anglais, français, italien, allemand et sous-titres | Date de sortie : 28/02/2024 | Durée de vie : environ 6 heures

Test effectué sur une version Steam fournie par l’éditeur.

Star Wars: Dark Forces Remaster
Maudit rebelle !

Il y a très longtemps, en 1995

S’il y a deux choses à retenir de l’année 1995, c’est « Mangez des pommes » et la sortie de Star Wars: Dark Forces. Premier FPS de la licence, il se permettait même de proposer la visée vers le haut et le bas, contrairement à ses inspirations. Reprenant le principe d’un certain DOOM sorti deux ans plus tôt, il embrassait l’univers iconique en proposant un très bon gameplay, s’inscrivant dans un scénario cohérent avec les films. Presque 30 ans plus tard, le remaster le reprend tel quel, malgré le portage sous KEX Engine, le moteur propriétaire de Nightdive. Au niveau des sensations, c’est parfait : tout est conservé, et il est très difficile de discerner le changement. Et pour l’aspect graphique, on bénéficie de textures en 4k, d’une compatibilité avec les écrans 16/9 et une fréquence de 120 Hz. Même si c’est le minimum de ce qu’on pouvait attendre d’un tel projet, il faut avouer que le taf est bien réalisé. D’autre part, les cinématiques, entièrement refaites dans un style dessiné, ne trahissent pas la version originale. Enfin, terminons les points positifs avec la musique, qui est proposée en deux versions : General midi et OPL3, censée être la version la plus proche de l’originale. On vous laisse le choix.

Star Wars: Dark Forces Remaster
Les cinématiques ont très bien été retravaillées.

Une version pour consoles

Malheureusement, un point particulièrement gênant vient entacher le remaster : la visée. Comme dans le jeu original, il y a une visée automatique. Cependant, la version de The Force Engine proposait de la désactiver, procurant au joueur de bien meilleures sensations. Ici, malgré la possibilité de customiser le pointeur, on est obligés de se farcir cette atrocité, et laisser notre machine viser pour nous, ce qui est très frustrant à la souris. Enfin, dernière petite déception, il est impossible de viser complètement vers le haut ou le bas ; notre personnage est restreint dans ses mouvements, ce qui peut parfois un peu gêner. On ressent surtout que Nightdive a travaillé sur le gameplay pour la compatibilité avec les manettes : il y a a priori une bonne gestion des contrôleurs et l’ajout d’une roue des armes. Super.

Si vous voulez voir ce que ça donne, voici quelques extraits du début du jeu, puis plus tard dans l’aventure :

Et si vous voulez tenter de discerner les différences entre le remaster et The Force Engine, vous pouvez jeter un œil à celle-ci :

Prenez The Force Engine

Star Wars: Dark Forces Remaster n’est pas nul, mais manque complètement sa cible sur PC : l’impossibilité de désactiver la visée automatique vient tout gâcher. Parce que le reste est tout à fait respectable. Le feeling du jeu original est conservé, et la compatibilité 4k, 120 Hz et écrans larges fait le taf. En plus, on sent qu’ils se sont bien amusés sur les cinématiques, entièrement refaites. Cette version à 29 € présente donc peu d’intérêt, surtout quand il est possible d’avoir une meilleure expérience avec The Force Engine en 3 clics, en prenant la version classique de Star Wars: Dark Forces sur Steam ou GoG pour 6 €.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

Voilà les manœuvres inédites que va tenter la fusée Starship avec le 3e vol

11 mars 2024 à 09:25

starship

SpaceX innove pour ce troisième vol : outre de nouvelles manœuvres à exécuter en plein vol, l'entreprise américaine prévoit de faire s'écraser le Starship dans l'océan Indien, et non plus dans le Pacifique. Si la fusée n'explose pas avant.

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