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Reçu aujourd’hui — 23 octobre 2025

☕️ Elon Musk défend sa rémunération à 1 000 milliards de dollars sur dix ans

23 octobre 2025 à 09:06

Elon Musk compte bien défendre son statut d’homme le plus riche du monde.

Alors que les ventes de Tesla ont tout juste repris cet été, après des mois de descentes concomitantes à l’engagement politique de leur patron, les résultats opérationnels ont chuté de 40 %, impactés aussi par l’augmentation des investissements dans l’intelligence artificielle et des dépenses de fonctionnement.

Dans ce contexte, deux agences en vue, le cabinet ISS et l’agence Glass Lewis, critiquent le plan de rémunération d’Elon Musk. Le premier pointe l’absence de clauses contraignantes, ce qui laisserait au milliardaire le loisir de se tourner vers ses autres projets (xAI, SpaceX, Neuralink, etc.) si ses objectifs devenaient réellement inatteignables. La seconde juge que le projet de rémunération diluerait à l’excès les parts des autres actionnaires.

En effet, le projet qui doit être voté le 6 novembre prochain permettrait à l’homme d’affaires d’atteindre 25 % des parts du capital en récupérant 1 % supplémentaire chaque année.

Pour ce faire, il devrait atteindre des objectifs invraisemblablement élevés, en faisant passer la valorisation de Tesla de 1 400 milliards de dollars aujourd’hui à 8 500 milliards de dollars en 2035.

L’entreprise caracole déjà parmi les dix plus grosses capitalisations mondiales, rappelle Les Échos.

En pleine présentation des résultats du troisième trimestre de Tesla, Elon Musk a donc défendu sa rémunération de 1 000 milliards de dollars sur dix ans, se déclarant « pas à l’aise de construire une armée de robots et d’être mis dehors à cause de recommandations stupides ».

Elon Musk aura en effet pour mission de multiplier par dix les ventes de véhicules Tesla, pour passer de 1,6 million en 2024 à 12 millions en 2034, et déployer un million de robotaxis et un autre million de robots humanoïdes pour diversifier les sources de revenus.

☕️ Elon Musk défend sa rémunération à 1 000 milliards de dollars sur dix ans

23 octobre 2025 à 09:06

Elon Musk compte bien défendre son statut d’homme le plus riche du monde.

Alors que les ventes de Tesla ont tout juste repris cet été, après des mois de descentes concomitantes à l’engagement politique de leur patron, les résultats opérationnels ont chuté de 40 %, impactés aussi par l’augmentation des investissements dans l’intelligence artificielle et des dépenses de fonctionnement.

Dans ce contexte, deux agences en vue, le cabinet ISS et l’agence Glass Lewis, critiquent le plan de rémunération d’Elon Musk. Le premier pointe l’absence de clauses contraignantes, ce qui laisserait au milliardaire le loisir de se tourner vers ses autres projets (xAI, SpaceX, Neuralink, etc.) si ses objectifs devenaient réellement inatteignables. La seconde juge que le projet de rémunération diluerait à l’excès les parts des autres actionnaires.

En effet, le projet qui doit être voté le 6 novembre prochain permettrait à l’homme d’affaires d’atteindre 25 % des parts du capital en récupérant 1 % supplémentaire chaque année.

Pour ce faire, il devrait atteindre des objectifs invraisemblablement élevés, en faisant passer la valorisation de Tesla de 1 400 milliards de dollars aujourd’hui à 8 500 milliards de dollars en 2035.

L’entreprise caracole déjà parmi les dix plus grosses capitalisations mondiales, rappelle Les Échos.

En pleine présentation des résultats du troisième trimestre de Tesla, Elon Musk a donc défendu sa rémunération de 1 000 milliards de dollars sur dix ans, se déclarant « pas à l’aise de construire une armée de robots et d’être mis dehors à cause de recommandations stupides ».

Elon Musk aura en effet pour mission de multiplier par dix les ventes de véhicules Tesla, pour passer de 1,6 million en 2024 à 12 millions en 2034, et déployer un million de robotaxis et un autre million de robots humanoïdes pour diversifier les sources de revenus.

Tempête Benjamin : 19 départements en vigilance orange pour vents violents, plus de 100 000 foyers privés d’électricité

De « fortes rafales » touchent « une bonne partie » de la France jeudi, selon Météo-France. Plus de 100 000 foyers étaient privés d’électricité jeudi matin sur l’ensemble du territoire, principalement en Nouvelle-Aquitaine, a fait savoir Enedis.

© PHILIPPE LOPEZ / AFP

Lors du passage de la tempête Benjamin, à Lacanau (Gironde), le 23 octobre 2025.

Retraites : les effets concrets d’une suspension de la réforme

La lettre rectificative au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026, qui devait être présentée jeudi 23 octobre en conseil des ministres, détaille le financement du report de l’âge légal de départ.

© JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE »

Le premier ministre, Sébastien Lecornu, lors de la séance des questions au gouvernement, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 21 octobre 2025.

Airbus, Thales et l’italien Leonardo s’unissent dans les satellites pour contrer Starlink, l’entreprise d’Elon Musk

Les trois fabricants européens rapprochent leurs activités spatiales dans une société commune au chiffre d’affaires attendu de 6,5 milliards d’euros.

© Felix K’stle/picture-alliance/dpa/AP Images

Lors d’une présentation du satellite de recherche sur les nuages ​​et les aérosols Earthcare, à Airbus Defence and Space, à Immenstaad am Bodensee (Bade-Wurtemberg), le 1ᵉʳ février 2024.

EN DIRECT, Gaza : l’Arabie saoudite condamne le vote au Parlement israélien pour l’examen de projets de loi visant à annexer la Cisjordanie

Le Parlement israélien s’est prononcé, mercredi, en faveur de l’examen de deux projets de loi visant à étendre la souveraineté israélienne en Cisjordanie, occupée depuis 1967. De quoi « menacer » la trêve, selon le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, attendu jeudi dans l’Etat hébreu.

© Mussa Qawasma / REUTERS

Un membre des forces israéliennes monte la garde tandis que les forces israéliennes bloquent l’accès des Palestiniens et des militants étrangers aux oliviers pendant la récolte des olives, près d’Hébron, en Cisjordanie occupée par Israël, le 23 octobre 2025.

Les six ministres LR du gouvernement Lecornu, accusés de « se fondre dans le macronisme », ont été suspendus du parti

Face aux divisions et pressions internes, Bruno Retailleau, le président du parti, puis le bureau politique ont tranché mercredi pour une suspension de Rachida Dati, Annie Genevard, Vincent Jeanbrun et leurs trois autres collègues.

© LUDOVIC MARIN / AFP

Les leaders du parti Les Républicains, Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, quittant l’Elysée après une réunion avec Emmanuel Macron, à Paris, le 10 octobre 2025.
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