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[PREVIEW] Witchfire : un die & retry dans un univers beau à en crever
Attendu depuis des années, Witchfire a su faire monter la sauce tout au long de son développement. Dès son annonce en 2017, sa direction artistique avait attiré notre attention en présentant un univers de dark fantasy très alléchant, inspiré de la série des Souls. En plus, ses créateurs n’étaient pas des inconnus, puisqu’ils étaient derrière The Vanishing of Ethan Carter, mais surtout Painkiller et Bulletstorm, nous rassurant pour l’aspect FPS. Au fil des années et des reports, le cadre s’est précisé, jusqu’à parler de composantes RPG, et de rogue-lite. Enfin sorti en accès anticipé, nous avons pu nous plonger dans cet univers sombre et fantastique. Même s’il est déjà un très bon et très beau jeu, Witchfire n’est certainement pas à mettre entre toutes les mains.
Genre : Rogue-lite extraction shooter | Développeur : The Astronauts | Éditeur : The Astronauts | Plateforme : Epic Games Store | Configuration minimum : i5-8400, 16 Go de RAM, GTX 1060 | Prix : 35,99 € | Langues : Anglais | Date de sortie en accès anticipé : 20/09/2023 | Durée de vie : une trentaine d’heures pour l’instant
Preview réalisée sur une version commerciale
Le rogue-lite qui ne voulait pas en être un
Difficile de faire sortir un jeu d’une case dans laquelle on l’a mit soi-même. The Astronauts semble bien embêté avec l’aspect rogue-lite de leur titre, après l’avoir décrit comme tel pendant des mois. Surtout que d’après moi, c’est tout de même ce qui le caractérise le mieux. Dans Witchfire, on incarne le bras armé de l’Église, dont le but est d’anéantir The Witch. Dans cet accès anticipé, seuls deux de ses familiers, sous forme de boss clairement localisés sur leur carte respective, seront à éliminer. Mais les capacités de notre personnage sont beaucoup trop limitées au début de l’aventure pour y parvenir. Il va donc falloir monter en puissance, et pour cela, il faudra tuer tuer tuer, et revenir au hub pour améliorer ses armes. Certes, rien n’est aléatoire, et les cartes sont statiques, mais cette notion de progression en faisant et refaisant des runs me semble bien décrire le concept de rogue-lite. D’autre part, le hasard intervient tout de même un peu, car à chaque groupe d’ennemis décimé, un bonus à choisir entre deux viendra renforcer notre chasseur. La mort d’adversaires donne également du witchfire volatile, une ressource magique permettant de prendre des niveaux une fois rentré sain et sauf dans le hub. C’est ici que le concept d’extraction shooter arrive, car tout ce witchfire qui a pu être récolté sera perdu en cas de mort. Il est possible d’aller le récupérer à notre point de décès, mais si une autre mort survient avant d’y parvenir, il sera définitivement perdu. Pour s’extraire en vie, il “suffira” de trouver un portail de téléportation.
Ce qui est étonnant, c’est que le gain de puissance n’est pas lié au niveau du personnage – dans le sens RPG du terme –, ou très peu, car s’il est bien possible de faire évoluer directement son chasseur en lui donnant plus de vie, une régénération plus rapide des sorts ou autre, chaque nouveau point attribué réorganise les groupes de monstres, et surtout, les renforce avec l’ajout de pièges sur la carte, de nouveaux ennemis plus puissants ou encore de nouveaux événements cataclysmiques. C’est plutôt du côté des armes et pouvoirs qu’il faudra jeter un œil pour espérer avancer un peu plus sereinement. Car oui, Witchfire est dur, très dur. On peut aisément le qualifier de die & retry, puisqu’on mourra facilement en boucle jusqu’à capter le truc, ou upgrader son équipement.
Witchfire, des sensations pures
Un suivi exemplaire
Entre le début de l’accès anticipé et le test, deux semaines se sont écoulées, et neuf patches portant notamment sur l’équilibrage ont été déployés. Pour chacun d’entre eux, la qualité de vie pour les nouveaux joueurs a été améliorée. Par exemple, en réduisant certains malus, ou en limitant le renforcement de difficulté à chaque montée en niveau.
Presque 20 ans après Painkiller, les développeurs n’ont pas perdu la main. Les sensations en combat sont vraiment très bonnes. Les armes bénéficient d’un très bon sound design, d’un recul satisfaisant et d’un gros impact sur les ennemis. Si au départ, notre arsenal ne se compose que d’un revolver, il s’enrichira d’un fusil à verrou, d’un pistolet-mitrailleur, d’un fusil d’assaut, d’un fusil sniper, d’un fusil à pompe, et enfin, d’une arbalète démoniaque. Ces armes seront à débloquer auprès d’un grand miroir situé dans le hub, accessible une fois mort, ou de retour d’une expédition réussie. La vitesse de progression des recherches sera fonction du nombre d’adversaires vaincus. On y découvrira également des sorts rapides, des sorts plus puissants et des objets magiques donnant divers bonus passifs, souvent agressifs. Chaque arme, artefact ou pouvoir peut être augmenté en atteignant un certain nombre de kills et en appliquant une sorte de sceau magique récupéré dans le miroir, débloquant le niveau suivant. Ce sont principalement ces évolutions qui vous permettront de réellement gagner en puissance. Par exemple, le pistolet amélioré délivrera des balles beaucoup plus dévastatrices après rechargement, si les coups au but précédents étaient critiques. Le fusil à pompe évolué, lui, donnera des munitions enflammées, tandis qu’un des talismans de niveau deux ou trois foudroiera les ennemis les plus faibles autour de vous avec une efficacité accrue. Mais n’espérez pas tout emporter sur le terrain avec vous, il faudra choisir deux armes – outre l’arbalète démoniaque, qui est un objet spécial –, un sort léger, un sort lourd et trois types d’objets magiques. Plusieurs associations semblent viables, avec des styles de jeux un peu différents. J’ai particulièrement apprécié le couple fusil d’assaut/fusil à verrou, avec les pouvoirs d’éclair et de dôme de glace. Les mouvements, avec le dash, la glissade et le double saut, participent grandement au sentiment de jouissance, lorsque l’on commence à maîtriser tous ces outils et que l’on valse entre nos adversaires en enchaînant les headshots. Tout comme le sprint, ils puisent dans une réserve d’énergie, qui se régénère lorsque l’on se déplace “normalement”. Un point de détail m’a cependant parfois un peu gêné : lorsque l’on est affecté par des dégâts, notre jauge d’énergie tombe immédiatement à zéro, nous empêchant de rapidement nous désengager du combat, ce qui peut être un peu frustrant. J’espère que cet élément sera revu pendant la phase d’accès anticipé.
Les ennemis sont plutôt variés, et disposent de patterns qu’il faudra bien identifier si l’on ne veut pas mourir en quelques secondes. Une alerte visuelle vous indique si l’impact d’un coup – généralement à distance – est imminent, vous permettant de faire un dash salvateur, ou d’éliminer l’assaillant avant que ce ne soit l’inverse. Ceux-ci sont étourdis sous notre déluge de balles ou de sorts, ou voient leur tête exploser dans une gerbe d’étincelles maléfiques très satisfaisante. Ils ne sont pas spécialement futés, mais leur nombre et leur comportement seront les principales difficultés. Ils sont répartis en groupes, matérialisés sur la carte par un crâne orné de cornes plus ou moins imposantes, symbolisant leur difficulté. En fonction de sa confiance, on tentera d’éliminer un certain nombre de ces groupes pour obtenir des bonus temporaires, tout en économisant ses potions de soin. On pourra ensuite aller affronter le boss dans les meilleures conditions possibles. Il m’a fallu presque 14 heures pour battre le premier, ce qui déverrouille la seconde map de cet accès anticipé. Et comptez un peu plus de 20 heures pour maxer tous vos items. Rajoutez-en 10, et vous aurez sans doute vaincu le second boss. Avec de l’optimisation d’équipement – et peut-être quelques patches d’équilibrage – il sera sans doute possible de faire beaucoup plus court avec ce contenu.
Une direction artistique envoûtante
Witchfire est une putain de réussite visuelle et technique. La direction artistique est à tomber par terre : les environnements sont beaux, les lumières sont sublimes, les effets magiques sont superbes. Et le tout fonctionne déjà très bien pour un accès anticipé, même sur des machines pas folles. En témoigne mon PC portable, doté d’un Core I5-12500H, de 32 Go de RAM et d’une RTX 3060, mais habitué à de bien piètres performances, qui fait tourner le jeu à 60 FPS (limité par l’écran) en 1080p et preset moyen. Du côté des bugs, rien à signaler, le jeu fait beaucoup mieux que 90 % des titres en version finale.
Cet accès anticipé est donc actuellement composé de deux cartes distinctes, hébergeant chacun un familier de The Witch. D’après le menu de sélection, on peut s’attendre dans le futur à quatre nouveaux environnements, de nouveaux paramètres à améliorer pour son personnage, et sans doute aussi de nouveaux objets et sorts.
J’ai tâché mon caleçon
Witchfire est incroyable. L’accès anticipé est certes très difficile à appréhender et laissera de nombreux joueurs de côté. Mais si l’on parvient à atteindre les exigences du gameplay, on peut y découvrir des combats jouissifs, avec un gunfeel exemplaire et des mouvements très dynamiques. Oui, on meurt souvent, et on parcourt sans cesse la même carte, mais la satisfaction de vaincre ses ennemis dépasse largement toute la frustration que l’on aurait pu accumuler. De son côté, la direction artistique superbe, avec de très beaux environnements et des lumières magnifiques, nous envoûte et nous fascine. Et le jeu se permet de fonctionner correctement, même sur des machines modestes. Enfin, les développeurs suivent les retours des joueurs avec assiduité, puisqu’ils ont publié quasiment un patch tous les deux jours depuis la sortie en accès anticipé. Le rythme va certainement ralentir, mais le contenu promet de grandement s’étoffer. Cela laisse présager le meilleur pour la sortie en version finale, prévue dans un an. À noter que son exclusivité à l’Epic Game Store devrait s’achever à ce moment.
Si la lecture n’est pas votre truc, vous pouvez consulter la version vidéo, enregistrée lors du NoScope #44.
Les bons plans NoFrag du week-end profitent des derniers rayons de soleil
Il fait encore beau, mais cela ne va pas peut-être pas durer. Après avoir glandé comme une loque la semaine dernière, les bons plans NoFrag du week-end vont se dégourdir les jambes en forêt. Pour commencer, il faut une petite veste pour vous protéger du vent. N’oubliez pas le snood pour habiller votre cou délicat. Les chemins seront peut-être boueux, alors choisissez une paire de bottes discrètes. Et prenez une bonne paire de lunettes de soleil, on ne sait jamais. Si vous êtes un gros flemmard, et plein de contradictions, n’hésitez pas à craquer pour ce pratique quad électrique, ou cette magnifique moto-cross. Après votre petite balade, pour éviter de dégueulasser votre logis, investissez dans un décrottoir, ça pourra toujours servir. Et pour l’intérieur des bottes, optez pour le sèche-chaussures, qui sera du plus bel effet au milieu de votre salon. Vous avez maintenant l’équipement parfait pour une bonne promenade !
Les bons plans Amazon
Comme d’habitude, notre expert hardware Gothax nous propose une petite sélection de composants informatiques, idéaux pour augmenter votre e-penis dans tous les FPS. Même si la période est morose, selon lui, il a dégoté quelques petites choses :
- Sautez sur les derniers modèles de 6950XT – équivalente à une 3080Ti – avec la XFX à 640 €.
- Une carte mère AMD AM5 B650 Gaming X AX à 215 €.
- Le processeur AMD Ryzen 7 7800X3D à 433 €.
- 32 Go de RAM (2×16) G.Skill Trident Z5 Neo DDR5 à 156 €.
- Le SSD NVMe Lexar NM790 de 2 To, M.2 2280 PCIe à 106 €.
- La carte graphique XFX Speedster MERC310 RX 7900XTX Black Gaming à seulement 1060 € !
- Le boitier Corsair 4000D Airflow ATX Moyen Tour en Verre Trempé à 97 €.
- L’alim MSI MPG A850G PCIE5 850W à 140 €, –20 € d’ODR.
- Un « refroidisseur de CPU » Thermalright Phantom Spirit 120SE ARGB à 47 €.
- Toujours la super souris Logitech G502 HERO à 41 €.
- Le casque Logitech G PRO X Gamer Over à 100 € pour l’accompagner.
- Le clavier mécanique MSI Vigor GK71 Sonic Red FR Switches Sonic Red à 110 €.
- Un autre clavier mécanique, mais RGB, le HyperX Alloy Origins HyperX Red switches à 89 €.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Bon, on a toujours le code promo NOFRAGDAY pour PAYDAY 3, mais comme on l’a trouvé vraiment à chier, on ne vous conseille franchement pas de l’acheter. Après, si vous le voulez vraiment, faites ce que vous voulez ! Par contre, on avait bien aimé Starfield, malgré tous ses défauts, alors on a remis l’image au-dessus. En plus, c’est plus joli. Si vous voulez la version Steam du jeu, utilisez le code NOFRAG pour avoir 14 % de réduction, soit l’édition standard à 59 € ou l’édition premium à 85,49 €.
Notre contact chez notre partenaire Gamesplanet s’est réveillé et nous a envoyé quelques messages. On a frôlé l’accident : une des promos portait sur le remake catastrophique de XIII, qui l’abaissait au même prix que l’original, qui lui, vaut toujours le coup. Heureusement, elle s’est achevée hier, vous épargnant l’envie de le prendre. Mais il y a bien d’autres recommandations, qui seront sans doute beaucoup plus à propos :
- Lamplighters League vient de sortir, et il a une réduction de 9 % avec le code promo DOOMSDAY.
- Le JRPG SWORD ART ONLINE Last Recollection sort aujourd’hui et bénéficie de 15 % de réduction sur les 3 éditions standard, Deluxe et Ultimate.
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- The Bloodline est sorti hier, et bénéficie de 10 % de réduction, ce qui le fait à 18 €.
- Total War Pharaoh propose ses dernières précos avant la sortie du 11 octobre, avec 9 % de réduction avec le code promo EGYPT sur les trois éditions.
- Gangs of Sherwood vient de lancer ses précommandes à 36 €, soit –10 %.
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Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Une démo pour RoboCop: Rogue City
RoboCop: Rogue City a mis en ligne une démo afin que vous puissiez essayer ce magnifique jeu. Les professionnels du pad de chez IGN ont aussi publié une vidéo présentant les 23 première minutes de gameplay.
On a pu mettre les mains dessus, et on peut vous dire qu’on est plutôt mitigé. Déjà, RoboCop: Rogue City est très facile, car même avec la difficulté la plus élevée, il faut être né avec un pad dans les main pour pouvoir mourir. Du coup, les affrontements n’ont aucun enjeu, on se contente de cliquer sur la tête de nos adversaires, cons comme des balais. C’est dommage, car c’est plutôt gore et les armes semblent avoir un peu de patate. Sinon, ce n’est pas beau, d’une part car c’est très générique, et en plus, on a tendance à vouloir baisser ses options graphiques, car ça se permet de tourner aussi bien qu’une brique dans une machine à laver. Mais même tout au minimum, il y a des stutters toutes les 15 secondes sans aucune raison apparente.
Au niveau du gameplay, outre les gunfights, aussi intéressants qu’un rapport de stage de troisième sur le métier d’expert comptable, RoboCop: Rogue City présente la particularité de proposer des phases de jeu dans le commissariat, demandant de traiter les plaintes ou d’aider vos coéquipiers à ouvrir leur casier. C’est aussi bien fait que le gribouillage de votre enfant de trois ans, mais comme pour celui-ci, c’est un peu touchant quand même. C’est original, et on peut le saluer. Enfin, la dernière section de la (longue) démo, vous propose de parcourir un mini open-world, dans lequel vous aurez quelques affaires à traiter, se terminant généralement en un paquet de cervelles dégoulinantes sur les murs, même pour un simple vol de voiture. La représentation vidéo-ludique des rêves mouillés de Gerald Darmanin, en somme. Mais la mise en scène et les chargements feraient passer Starfield pour un jeu moderne et dirigé par David Fincher. Donc au final, cette démo montre que les développeurs sont pleins de bonne volonté et pas radins. Ce sont de très bonnes qualités, mais dommage que la réalisation soit si bancale. S’ils mettent les bouchées doubles sur les performances, ça pourrait au moins en faire un nanard rigolo à parcourir en une soirée ou deux.
Si notre petit retour vous a convaincu, vous pouvez dès à présent vous faire enfumer avec la précommande de RoboCop: Rogue City pour la somme, pas modique du tout de 50 € pour l’édition de base et 60 € pour la collector sur Steam et l’Epic Games Store. Le jeu est aussi disponible chez notre partenaire Gamesplanet qui vous fera “gagner” quelques euros, avec sa promotion sur l’édition de base et collector. Il sortira le 2 novembre.
The Invincible vous rappelle qu’il sort le 6 novembre
Durant le MIX Showcase October 2023, The Invincible, le walking-sim inspiré du roman du même nom de l’auteur polonais Stanislaw Lem, a fait une piqûre de rappel en publiant une nouvelle bande-annonce pour sa sortie prochaine, le 6 novembre. Probablement que les développeurs craignaient que les joueurs et nous y compris ayons oublié l’existence de leur jeu, vu que ce dernier ne nous avait pas particulièrement marqué avec sa démo. Il est rappelé que nous incarnons une scientifique, le Dr. Yasna, partie sur Regis III afin de secourir les membres d’équipage disparus et découvrir les événements qui s’y sont produits. Chaque rencontre, vous mènera à faire des choix qui auront des conséquences sur le déroulé de votre aventure.
Bien que ce soit très beau, il ne faudra pas compter sur de l’action frénétique et encore moins des gunfights. La narration n’a pas l’air spécialement captivante et le gameplay semble très axé sur le contemplatif, pour ne pas dire extrêmement mou (voire chiant).
Prévu pour le 6 novembre 2023, vous pouvez ajouter The Invincible sur votre liste de souhaits sur Steam, Gog et Epic Games Store si vous êtes intéressé.