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Reçu aujourd’hui — 16 juillet 2025Actualités numériques

La Razer Deathadder V4 Pro, la meilleure souris esport !

16 juillet 2025 à 11:15

Place à la nouvelle Deathadder V4 Pro de Razer, une souris haut de gamme qui s'affiche à 180 U+20AC avec son dongle 8K. Car oui, à ce prix, le bundle est presque complet. Presque ? Nous verrons dans l'article ce qu'il manque... Plutôt orientée pour les joueurs professionnels, la Deathadder V4 Pro fera aussi très bien le travail entre les mains d'un amateur à la recherche d'une souris d'exception. Car oui, c'est ce qu'elle est. On vous dit tout ici : Razer Deathadder V4 Pro ou sur la source. […]

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DeepCool passe en mode accessoires pour boitier, avec notamment un sac de transport

16 juillet 2025 à 10:30

Cela fait un petit moment que DeepCool utilise un motif avec des carrés sur ses différents produits, dont les boitiers avec des petits cubes PIXEL pour personnaliser son setup. C'est sympa, mais le style pegboard peut être bien mieux exploiter, et la marque avance désormais un accessoire bien plus intéressant : un support pour à peu près tout et n'importe quoi de pas trop gros. Un casque, une manette, un téléphone, voilà ce qui est préconisé, mais on trouvera d'autres possibilités facilement. Dénommé HB-01, ce gadget est décliné en noir et en blanc et se veut compatible avec de nombreux boitiers : MORPHEUS, CH560, CH360, CH270, CH260, CH170, CH160, et tous les dérivés PLUS et DIGITAL. […]

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8BitDo Pro 3, une grosse mise à jour pour la manette symétrique

16 juillet 2025 à 10:00

Si la gamme Ultimate a les faveurs de nombreux joueurs, la série Pro reste un incontournable chez 8BitDo avec un format symétrique plutôt délaissé par la concurrence. Et celle-ci s'offre une mise à jour énorme avec la nouvelle Pro 3 Bluetooth, une manette qui fait le plein de fonctionnalités tout en cassant les habitudes de la marque. Premier élément important, la manette s'offre désormais un dock de charge, un excellent point qui vient la placer au niveau d'une Ultimate. Ensuite, on passe désormais sur des joysticks TMR couplés à des gâchettes à effet Hall, avec ajout de boutons supplémentaires L4 et R4. Une Ultimate 2 symétrique donc ? Non, pas exactement... […]

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CHIEFTEC passe son sympathique AIO Iceberg au blanc, et c'est plus que pas mal

16 juillet 2025 à 09:30

L'an dernier, CHIEFTEC nous surprenait agréablement avec sa série Iceberg. Des kits watercooling AIO et bien pensés avec de bonnes performances, mais un design peut-être un peu austère en noir. Bonne nouvelle, ils arrivent désormais en blanc, et ça change pas de choses au premier regard ! Physiquement, l'ensemble évolue donc du noir au blanc, mais le reste ne change pas. On retrouve donc les ventilateurs chainables mécaniquement, un logo qui pivote pour le top de la pompe ou encore une vitesse de rotation de 2200 rpm pour ces ventilateurs. La série n'est pas la plus silencieux, mais elle se démarque par le prix et les bonnes performances. […]

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L’open data des décisions de justice sérieusement remis en question

16 juillet 2025 à 10:39
Fermez-moi tout ça !
L’open data des décisions de justice sérieusement remis en question

Un rapport remis au ministre de la Justice, Gérald Darmanin, émet six propositions de modification des conditions de publication des décisions de justice qui sont, depuis peu, diffusées en open data. Des informations comme les noms et prénoms des personnes physiques, mais aussi les noms d’entreprises mentionnées seraient occultées.

Ce vendredi 11 juillet, le conseiller honoraire à la Cour de cassation Daniel Ludet a remis au ministre de la Justice, Gérald Darmanin, son rapport sur l’open data des décisions de justice. Ce rapport, en ligne depuis le 15 juillet [PDF], remet fortement en question la diffusion de certaines informations qui permettent au public d’être informé et aux journalistes (entre autres) de faire leur travail.

Gérald Darmanin cadrait, dès sa lettre de mission, le travail du conseiller et de son équipe en leur demandant de « proposer des recommandations relatives notamment :

  • à l’occultation des informations relatives à l’identification des magistrats, personnels de greffe et plus largement tous professionnels de justice ;
  • au respect des secrets protégés par la loi dans les décisions, notamment liés à la protection d’intérêts économiques ;
  • au modèle de financement de l’open data au regard des ressources déployées. »

Rappelons que l’open data des décisions de justice est prévue depuis 2019 dans le code de l’organisation judiciaire. Ainsi, l’article 111 - 13 de ce code indique que, « sous réserve des dispositions particulières qui régissent l’accès aux décisions de justice et leur publicité, les décisions rendues par les juridictions judiciaires sont mises à la disposition du public à titre gratuit sous forme électronique ».

Un open data des décisions de justice qui se met tout juste en place

Le rapport explique que « loi du 23 mars 2019 de programmation 2018 - 2022 et de réforme pour la justice a précisé et complété cet article en prévoyant notamment que les noms et prénoms des personnes physiques mentionnées dans la décision, lorsqu’elles sont parties ou tiers, sont occultés préalablement à la mise à disposition du public ».

La Cour de cassation a été la première institution judiciaire à appliquer l’open data de ses décisions. Elle a même développé un outil de pseudonymisation utilisant le machine learning pour que les décisions publiées soient lisibles de façon intelligible tout en ne publiant pas les informations personnelles protégées dans le cadre de cette loi.

Concernant le personnel judiciaire, le rapport ajoute que « le principe de la mention du nom des magistrats et des membres du greffe est retenu. Il est toutefois prévu que, « lorsque sa divulgation est de nature à porter atteinte à la sécurité ou au respect de la vie privée de ces personnes ou de leur entourage, est également occulté tout élément permettant d’identifier les parties, les tiers, les magistrats et les membres du greffe » ». L’équipe rédactrice du rapport commente : « ainsi, un magistrat ou un membre du greffe ne peut obtenir l’occultation de son nom, notamment, que dans le cadre d’une démarche individuelle s’appuyant sur des éléments particuliers de sa situation ».

Protection des magistrats mais aussi secrets des entreprises

Mais, sans donner de contexte détaillé, elle estime qu’il existe un « climat de critiques très vives de la justice, de ses décisions et de ceux qui la servent » et évoque des « insultes et de menaces proférées le plus souvent par le canal de réseaux sociaux et visant nommément des magistrats et d’autres professionnels de justice ». Ceci expliquerait donc la volonté de modifier l’encadrement judiciaire concernant la mention des noms du personnel judiciaire.

Le rapport ne se borne pas à vouloir mieux protéger les magistrats et membres du greffe. Ainsi, il explique qu’ « avant même que les décisions des tribunaux de commerce ne rentrent dans l’open data, l’attention a été appelée par des acteurs de la justice commerciale relayés par le MEDEF et la CPME, sur les inconvénients importants, pour les entreprises, de voir des éléments « sensibles » de leur organisation et de leur fonctionnement ainsi que des secrets inhérents à leur activité ou légalement reconnus, largement accessibles, en particulier à travers les décisions rendues dans le domaine des « procédures collectives » concernant les entreprises en difficulté ».

Le rapport remet aussi en question « le principe de gratuité de la mise à disposition des décisions » en évoquant « une période de fortes contraintes pesant sur les finances publique » alors qu’ « en même temps », il fait le constat « d’activités lucratives, florissantes, d’entreprises concevant et vendant des produits dont l’élaboration tire profit de la révolution technologique permanente et dont la matière provient précisément de ces décisions de justice accessibles à tout public ».

Crescendo vers une restriction de plus en plus fort des informations publiées

L’équipe en charge du rapport fait quatre premières propositions de modification de l’article 111 - 13 au ministre de la Justice, allant crescendo vers une restriction de plus en plus fort des informations publiées. Elle préconise, dans sa première proposition, que l’article « devrait mentionner que les noms et prénoms des personnes physiques sont occultés préalablement à la mise à disposition du public » mais, dans sa deuxième proposition, elle suggère que ça soit aussi le cas pour « la dénomination sociale des sociétés mentionnées dans la décision ».

Elle ajoute même, dans sa troisième proposition que « les occultations préalables à la mise à disposition du public devraient comprendre également les adresses et les localités, les dates relatives à l’état des personnes et les chaînes de caractères directement identifiantes mentionnées dans la décision, ainsi que ses motifs lorsque la décision a été rendue en chambre du conseil ».

Sa quatrième proposition ajoute « l’occultation complémentaire de tout élément dont la divulgation est de nature à porter atteinte non seulement à la sécurité ou au respect de la vie privée de ces personnes, mais aussi au secret en matière industrielle ou commerciale lorsqu’il s’agit d’entreprises, ainsi qu’à d’autres secrets légalement protégés ».

Toutes ces informations sont pourtant importantes pour informer le public d’éventuelles condamnations d’entreprises et de connaître leur contexte.

Le rapport propose, sans le dire réellement, de tourner la page de l’open data de décisions de justice et de ne laisser accéder aux données importantes qu’aux personnes et entreprises qui s’engageraient devant la Cour de cassation à des conditions fixées par des conventions. La cinquième proposition du rapport ouvrirait l’accès de ces données à des « utilisateurs pour les besoins de leur activité professionnelle ou économique, dans le cadre de conventions, conclues avec la Cour de cassation, et qui précisent les obligations des intéressés quant aux garanties entourant la réutilisation des décisions, la diffusion de décisions à des tiers, et la préservation des secrets légalement protégés auxquels elles pourraient donner accès ».

Dans sa sixième « proposition », le rapport reconnait qu’il y a besoin que se « prolonge la réflexion, notamment, sur la nécessaire articulation du régime de délivrance des copies aux tiers avec celui de l’open data et sur l’applicabilité ou non du principe de gratuité à la mise à disposition d’utilisateurs de flux spéciaux de décisions de justice intègres ou plus intègres, d’où découlera la nécessité ou non d’une modification de la loi ».

L’open data des décisions de justice sérieusement remis en question

16 juillet 2025 à 10:39
Fermez-moi tout ça !
L’open data des décisions de justice sérieusement remis en question

Un rapport remis au ministre de la Justice, Gérald Darmanin, émet six propositions de modification des conditions de publication des décisions de justice qui sont, depuis peu, diffusées en open data. Des informations comme les noms et prénoms des personnes physiques, mais aussi les noms d’entreprises mentionnées seraient occultées.

Ce vendredi 11 juillet, le conseiller honoraire à la Cour de cassation Daniel Ludet a remis au ministre de la Justice, Gérald Darmanin, son rapport sur l’open data des décisions de justice. Ce rapport, en ligne depuis le 15 juillet [PDF], remet fortement en question la diffusion de certaines informations qui permettent au public d’être informé et aux journalistes (entre autres) de faire leur travail.

Gérald Darmanin cadrait, dès sa lettre de mission, le travail du conseiller et de son équipe en leur demandant de « proposer des recommandations relatives notamment :

  • à l’occultation des informations relatives à l’identification des magistrats, personnels de greffe et plus largement tous professionnels de justice ;
  • au respect des secrets protégés par la loi dans les décisions, notamment liés à la protection d’intérêts économiques ;
  • au modèle de financement de l’open data au regard des ressources déployées. »

Rappelons que l’open data des décisions de justice est prévue depuis 2019 dans le code de l’organisation judiciaire. Ainsi, l’article 111 - 13 de ce code indique que, « sous réserve des dispositions particulières qui régissent l’accès aux décisions de justice et leur publicité, les décisions rendues par les juridictions judiciaires sont mises à la disposition du public à titre gratuit sous forme électronique ».

Un open data des décisions de justice qui se met tout juste en place

Le rapport explique que « loi du 23 mars 2019 de programmation 2018 - 2022 et de réforme pour la justice a précisé et complété cet article en prévoyant notamment que les noms et prénoms des personnes physiques mentionnées dans la décision, lorsqu’elles sont parties ou tiers, sont occultés préalablement à la mise à disposition du public ».

La Cour de cassation a été la première institution judiciaire à appliquer l’open data de ses décisions. Elle a même développé un outil de pseudonymisation utilisant le machine learning pour que les décisions publiées soient lisibles de façon intelligible tout en ne publiant pas les informations personnelles protégées dans le cadre de cette loi.

Concernant le personnel judiciaire, le rapport ajoute que « le principe de la mention du nom des magistrats et des membres du greffe est retenu. Il est toutefois prévu que, « lorsque sa divulgation est de nature à porter atteinte à la sécurité ou au respect de la vie privée de ces personnes ou de leur entourage, est également occulté tout élément permettant d’identifier les parties, les tiers, les magistrats et les membres du greffe » ». L’équipe rédactrice du rapport commente : « ainsi, un magistrat ou un membre du greffe ne peut obtenir l’occultation de son nom, notamment, que dans le cadre d’une démarche individuelle s’appuyant sur des éléments particuliers de sa situation ».

Protection des magistrats mais aussi secrets des entreprises

Mais, sans donner de contexte détaillé, elle estime qu’il existe un « climat de critiques très vives de la justice, de ses décisions et de ceux qui la servent » et évoque des « insultes et de menaces proférées le plus souvent par le canal de réseaux sociaux et visant nommément des magistrats et d’autres professionnels de justice ». Ceci expliquerait donc la volonté de modifier l’encadrement judiciaire concernant la mention des noms du personnel judiciaire.

Le rapport ne se borne pas à vouloir mieux protéger les magistrats et membres du greffe. Ainsi, il explique qu’ « avant même que les décisions des tribunaux de commerce ne rentrent dans l’open data, l’attention a été appelée par des acteurs de la justice commerciale relayés par le MEDEF et la CPME, sur les inconvénients importants, pour les entreprises, de voir des éléments « sensibles » de leur organisation et de leur fonctionnement ainsi que des secrets inhérents à leur activité ou légalement reconnus, largement accessibles, en particulier à travers les décisions rendues dans le domaine des « procédures collectives » concernant les entreprises en difficulté ».

Le rapport remet aussi en question « le principe de gratuité de la mise à disposition des décisions » en évoquant « une période de fortes contraintes pesant sur les finances publique » alors qu’ « en même temps », il fait le constat « d’activités lucratives, florissantes, d’entreprises concevant et vendant des produits dont l’élaboration tire profit de la révolution technologique permanente et dont la matière provient précisément de ces décisions de justice accessibles à tout public ».

Crescendo vers une restriction de plus en plus fort des informations publiées

L’équipe en charge du rapport fait quatre premières propositions de modification de l’article 111 - 13 au ministre de la Justice, allant crescendo vers une restriction de plus en plus fort des informations publiées. Elle préconise, dans sa première proposition, que l’article « devrait mentionner que les noms et prénoms des personnes physiques sont occultés préalablement à la mise à disposition du public » mais, dans sa deuxième proposition, elle suggère que ça soit aussi le cas pour « la dénomination sociale des sociétés mentionnées dans la décision ».

Elle ajoute même, dans sa troisième proposition que « les occultations préalables à la mise à disposition du public devraient comprendre également les adresses et les localités, les dates relatives à l’état des personnes et les chaînes de caractères directement identifiantes mentionnées dans la décision, ainsi que ses motifs lorsque la décision a été rendue en chambre du conseil ».

Sa quatrième proposition ajoute « l’occultation complémentaire de tout élément dont la divulgation est de nature à porter atteinte non seulement à la sécurité ou au respect de la vie privée de ces personnes, mais aussi au secret en matière industrielle ou commerciale lorsqu’il s’agit d’entreprises, ainsi qu’à d’autres secrets légalement protégés ».

Toutes ces informations sont pourtant importantes pour informer le public d’éventuelles condamnations d’entreprises et de connaître leur contexte.

Le rapport propose, sans le dire réellement, de tourner la page de l’open data de décisions de justice et de ne laisser accéder aux données importantes qu’aux personnes et entreprises qui s’engageraient devant la Cour de cassation à des conditions fixées par des conventions. La cinquième proposition du rapport ouvrirait l’accès de ces données à des « utilisateurs pour les besoins de leur activité professionnelle ou économique, dans le cadre de conventions, conclues avec la Cour de cassation, et qui précisent les obligations des intéressés quant aux garanties entourant la réutilisation des décisions, la diffusion de décisions à des tiers, et la préservation des secrets légalement protégés auxquels elles pourraient donner accès ».

Dans sa sixième « proposition », le rapport reconnait qu’il y a besoin que se « prolonge la réflexion, notamment, sur la nécessaire articulation du régime de délivrance des copies aux tiers avec celui de l’open data et sur l’applicabilité ou non du principe de gratuité à la mise à disposition d’utilisateurs de flux spéciaux de décisions de justice intègres ou plus intègres, d’où découlera la nécessité ou non d’une modification de la loi ».

En 2028, Intel devrait dire adieu aux P-cores et E-cores : place à l'Unified Core

Une page serait en train de se tourner chez Intel. Plusieurs pages d'ailleurs en réalité, même si elles sont directement liées. Comme vous le savez sans doute, Intel utilise majoritairement deux types de cœurs CPU dans ses processeurs depuis ses Intel Core de 12e génération alias Alder Lake : les Pe...

Curl Creator Mulls Nixing Bug Bounty Awards To Stop AI Slop

Par :BeauHD
16 juillet 2025 à 10:00
Daniel Stenberg, creator of the curl utility, is considering ending its bug bounty program due to a surge in low-quality, AI-generated reports that are overwhelming the small volunteer team. Despite attempts to discourage AI-assisted submissions, these reports now make up about 20% of all entries in 2025, while genuine vulnerabilities have dropped to just 5%. The Register reports: "The general trend so far in 2025 has been way more AI slop than ever before (about 20 percent of all submissions) as we have averaged about two security report submissions per week," he wrote in a blog post on Monday. "In early July, about 5 percent of the submissions in 2025 had turned out to be genuine vulnerabilities. The valid-rate has decreased significantly compared to previous years." The situation has prompted Stenberg to reevaluate whether to continue curl's bug bounty program, which he says has paid out more than $90,000 for 81 awards since its inception in 2019. He said he expects to spend the rest of the year mulling possible responses to the rising tide of AI refuse. Presently, the curl bug bounty program -- outsourced to HackerOne - requires the bug reporter to disclose the use of generative AI. It does not entirely ban AI-assisted submissions, but does discourage them. "You should check and double-check all facts and claims any AI told you before you pass on such reports to us," the program's policy explains. "You are normally much better off avoiding AI." Two bug submissions per week on average may not seem like a lot, but the curl security team consists of only seven members. As Stenberg explains, three or four reviewers review each submission, a process that takes anywhere from 30 minutes to three hours. "I personally spend an insane amount of time on curl already, wasting three hours still leaves time for other things," Stenberg lamented. "My fellows however are not full time on curl. They might only have three hours per week for curl. Not to mention the emotional toll it takes to deal with these mind-numbing stupidities." [...] Stenberg says it's not clear what HackerOne should do to reduce reckless use of AI, but insists something needs to be done. His post ponders charging a fee to submit a report or dropping the bug bounty award, while also expressing reservations about both potential remedies. "As a lot of these reporters seem to genuinely think they help out, apparently blatantly tricked by the marketing of the AI hype-machines, it is not certain that removing the money from the table is going to completely stop the flood," he concludes.

Read more of this story at Slashdot.

Un dock Steam Deck pour clavier compact a imprimer en 3D

16 juillet 2025 à 10:31

Le designer Falkke propose sur Cultsn un fichier 3D sous licence qui permet de rajouter une charnière simple à un Steam Deck. Celle-ci propose non seulement de retenir la Console PC en place, mais également de lui ajouter un clavier.

Deux modèles de claviers sont annoncés comme parfaitement compatibles avec ce dock. Le Logitech Pebble Keys 2 K380s vendu pour 35€ environ. Et le Keychron K3 visible sur la photo avec une note un peu plus salée puisqu’il est proposé à 99.99€. Des prix qu’il faudra ajouter à la licence du dock proposée à 12.5€ au téléchargement.

Mais une fois la facture payée, on retrouve un format de pseudo portable assez réussi. Parfait pour jouer à certains titres ou travailler sur le pouce avec sa console.

Reste à savoir si le jeu en vaut la chandelle. Si vous n’avez pas d’imprimante 3D ou si vous trouvez le design un peu cher, le recour à un dock commercial vous apportera probablement le même niveau de confort avec plus de choix de claviers. On trouve ce type de dock à tous les prix désormais avec des solutions démarrant à moins de 20€ et, suivant les services proposés, des modèles à 60€ sur le haut de gamme.

Une solution qui permet de jouer à Factorio sur sa console ne peut pas être une mauvaise solution. Merci à Thomas pour le lien.

Un dock Steam Deck pour clavier compact a imprimer en 3D © MiniMachines.net. 2025

La Razer Deathadder V4 Pro, la meilleure souris esport !

16 juillet 2025 à 11:00
Aujourd’hui, nous nous retrouvons pour le test de la dernière itération de la mythique Deathadder : la V4 Pro. Successeure directe de la V3 Pro, cette dernière version vient corriger la grande majorité de ses défauts tout en empruntant les qualités qui ont fait de la dernière Viper un best seller. Qualité de fabrication au top du top, tout optique des clics à la molette, dernières innovations en matière de technologie sans fil, batterie ultra endurante, revêtement toujours aussi impeccable : c’est simple, il nous est difficile de trouver une lacune à cette dernière Deathadder qui est sur le papier la souris la plus performante du marché tout en étant irréprochable sur l’implémentation de l’intégralité de ses features. Razer n’a pas chômé et semble avoir à coeur de créer la meilleure souris compétitive, que ça soit en termes de specs ou de ressenti en main et on peut dire que le pari est réussi. Néanmoins, nous sommes arrivés à un point où les technologies sans fil sont très performantes et ce même sur des modèles entrée de gamme à une fraction du prix. Et si nous vous parlons de ça, c’est parce que cette Deathadder V4 Pro est proposée à… 180€ ! Est-ce justifié ? Parlons en plus en détail dans notre test.

Profitez de Windows 10 à 13 euros pour passer à Windows 11 avant de devoir vous serrer la ceinture !

16 juillet 2025 à 09:15

D'ici à la rentrée, le support de Windows 10 par Microsoft sera terminé. Outre les quelques astuces pour avoir un support étendu, la solution sera de passer à Windows 11. Et comme vous le savez, de Windows 10, il est possible de passer à la version 11 sans débourser un sous de plus. Et grâce à notre partenaire GVGMALL, vous n'aurez plus à payer des sommes folles et en plus, vous n'aurez plus le message Windows non activé en bas de votre écran. Mais pourquoi ? Car GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs qui sont plus ultra avantageux : - Windows 11 dès 19 U+20AC - Windows 10 dès 13 U+20AC - Licences Office dès 24 U+20AC De plus, avec le code promo CCVIP, bénéficiez de 30 % de réduction supplémentaire sur vos achats. Pourquoi attendre ? En passant à Windows 10 pour seulement 13 U+20AC, vous pourrez également effectuer une mise à niveau gratuite vers Windows 11, vous permettant ainsi d'accéder au dernier OS de Microsoft à moindre coût. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Profitez des offres suivantes chez GVGMALL et Cowcotland : - Windows 11 Pro OEM Lifetime à 19.96 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime à 13.86 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime à 18.41 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime à 12.63 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime à 24.11 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime à 42.25 U+20AC - Windos 10 Enterprise LTSC 2021 CD Key Global à 9.09 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 à 34.14 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 à 51.92 U+20AC […]

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Fanatec CSL Elite Steering Wheel Porsche Vision GT, plus que la classe pour ton sim racing

16 juillet 2025 à 09:00

On se pose confortablement dans le siège baquet, on empoigne le volant CSL Elite de Fanatec en version Porsche Vision GT, et... On profite à fond ! Vendu environ 350 U+20AC, ce volant reprend le style et la forme de celui du concept car du même nom pour une expérience de jeu inédite. A quel point ? Voyons tout ça dans cette nouvelle vidéo, avec tout le reste du setup pour en profiter pleinement. Car un volant seul, ça reste de la décoration sans le moteur et les pédales. En partenariat avec GVGMALL: Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]

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Phanteks Eclipse G370A, une nouvelle référence abordable ?

16 juillet 2025 à 08:30

Nouvel ajout à la série Eclipse de Phanteks avec le G370A, un boitier abordable et surprenant dans sa conception. Sans parler d'innovations ci et là, il offre juste un maximum de place et cache bien son jeu derrière son design très sobre. Attendu au tarif recommandé de 60 U+20AC environ, le G370A est livré de base avec trois ventilateurs M25 en façade, qu'on pourra compléter par trois ventilateurs de 120 mm dans le haut et un autre à l'arrière. Mais attention, il ne sera possible de mettre un radiateur de 360 mm que dans le haut, la façade étant limité à du 240 mm. Suffisant pour de nombreuses configurations tout de même, mais ce n'est pas tout. […]

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Le mod RTX Remix de Need For Speed: Underground entre en phase 0.5 !

16 juillet 2025 à 08:20

alessandro893 vient de publier la version alpha de son mod RTX Remix pour le jeu Need For Speed: Underground, le téléchargement est possible ici. Il s'agit d'une version alpha, le moddeur estime que le travail est finalisé à environ 80 %, ce qui peut engendrer une impression de déséquilibres dans le rendu visuel et la présence, évidente, de bugs. […]

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Le Beelink GTi15 Ultra embarque un Core Ultra 9 285H Arrow Lake

16 juillet 2025 à 09:49

Le Beelink GTi15 Ultra sort presque un an jour pour jour après le GTi14 Ultra. Ce dernier embarquait des puces allant des solutions Alder Lake aux puces Meteor Lake en passant par les Raptor Lake. La marque inaugurait donc cette nouvelle gamme avec toute une panoplie de solutions. 

Une gamme dans laquelle Beelink s’engage. Son idée avec le Beelink GTi15 Ultra est également de montrer cet investissement. Après avoir sorti un premier modèle, la marque a rendu Open Source son dock permettant de le connecter à une carte graphique externe. L’arrivée de ce nouveau modèle sous processeur Arrow Lake Core Ultra 9 285H permet de remettre le concept sur le devant de la scène.

Plus rapide, avec un meilleur circuit graphique de base et un NPU plus puissant, le nouveau MiniPC conserve le même aspect que précédemment même si de petites évolutions ont été mises en place. On découvre par exemple une meilleure connectique réseau. La base ne bouge pas beaucoup, l’engin est finalement composé du même châssis, même si certains éléments ont changé.

On retrouve ainsi en face avant un USB 3.2 Type-A, un lecteur de cartes SDXC, un USB 3.2 Type-C et un jack audio combo 3.5 mm en plus du bouton de démarrage. Sur le haut de la coque, on note la présence de quatre petits trous permettant de placer des micros. 

Sur la partie arrière, on découvre un Thunderbolt 4, un second jack audio combo 3.5 mm, une sortie vidéo HDMI 2.1 et un DisplayPort 1.4 et deux USB 3.2 Type-A. Le gros changement vient des ports Ethernet qui passent d’une paire de connecteurs 2.5 Gigabit sur le GTi14 à un double 10 Gigabit sur le GTi15 Ultra. De quoi piloter des réseaux de manière très rapide.

 Pour le reste pas de changement, l’alimentation interne en 145 watts est toujours la même et on retrouve donc bien la prise bipolaire d’alimentation. Le MiniPC propose également toujours une solution audio interne avec une paire d’enceintes stéréo.

Mais la principale caractéristique de ce modèle est donc bien la présence d’un port PCIe 8x sur son flanc. Port qui permettra, une fois docké, de profiter d’une carte graphique externe. Si le montage parait toujours aussi bancal dans la durée pour les raisons habituelles1 il offrira plus de bande passante qu’une solution OCuLink sans toutefois atteindre les capacités d’une solution PCIe x16 classique. 

Pas encore de date ni de prix pour ce modèle, Beelink n’a pas donné de détails à son propos. Seule certitude, l’engin sera proposé en 32 et 64 Go de DDR5-5600 pour un maximum de 96 Go sur deux slots. Le stockage sera confié à deux ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 en 1 ou 2 To par défaut. La partie sans fil sera confiée à un module Intel BE200 en Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4.

Le Beelink GTi15 Ultra embarque un Core Ultra 9 285H Arrow Lake © MiniMachines.net. 2025

Karen Hao : « Les empires de l’IA étouffent l’innovation »


16 juillet 2025 à 08:35
C'est l'heure de l'alliance rebelle
Karen Hao : « Les empires de l’IA étouffent l’innovation »


La relation d’OpenAI au travail de ses employés comme des entraîneurs de données, celle de Sam Altman à la consommation énergétique de son entreprise, la manière dont l’industrie freine la recherche scientifique en IA… Next a parlé de tous ces sujets avec la journaliste et autrice d’« Empire of AI » Karen Hao.

En 2015, une dizaine de personnalités de la Silicon Valley – parmi lesquelles l’informaticien Illya Sutskever ou les entrepreneurs Sam Altman, Greg Bockman et Elon Musk – se réunissent pour créer une nouvelle entité. Son nom ? OpenAI. Son but ? Faire avancer la recherche en intelligence artificielle. Sa spécificité, publicisée jusque dans son nom ? Être une organisation à but non lucratif, ouverte ou reposant sur les principes de l’open source, dont l’objet serait de faire progresser les connaissances communes, partagées, dans ce domaine informatique de plus en plus prisé qu’est l’intelligence artificielle.

Le projet attire tout de suite l’attention. Il est, après tout, financé par de grands noms : Altman, Brockman et Musk eux-mêmes, le cofondateur de LinkedIn Reid Hoffman, la venture capitalist et ex-collègue de Sam Altman chez Y Combinator Jessica Livingston, le financier Peter Thiel…

En quelques années, la promesse initiale évolue. En 2018, Elon Musk part avec pertes et fracas, critiquant le manque de résultats d’OpenAI et les risques de conflit d’intérêt à venir, alors que Tesla développe ses compétences en matière d’IA. De quasi-ONG de financement de la recherche en IA, OpenAI devient une société privée, de plus en plus secrète.

Fin 2023, un an à peine après que la publication du robot conversationnel ChatGPT a fasciné le grand public par ses capacités de génération de texte et d’image, nouveau coup de tonnerre. Sam Altman, à la tête du projet depuis ses débuts, est d’abord licencié de son poste de CEO par le conseil d’administration, remplacé par l’ex-directrice de la technologie Mira Murati, avant de reprendre sa place.

Aux premières loges de ces multiples rebondissements se trouve une journaliste, Karen Hao, d’abord employée par la MIT Technology Review, puis le Wall Street Journal, et actuellement freelance pour diverses publications dont le magazine états-unien The Atlantic. Première journaliste à obtenir l’accès à la start-up, Karen Hao a depuis continué d’enquêter sur ses activités et celles de l’industrie au sens large, jusqu’à publier Empire of AI, Dreams and nightmares in Sam Altman’s Open AI (Penguin Random House, non traduit), en mai 2025. Elle s’est entretenue avec Next.

« Sam Altman a réussi à créer une ferveur quasi religieuse pour la création d’une intelligence artificielle générale »

>> Vous montrez clairement que l’intelligence artificielle (IA), ou même la notion d’intelligence artificielle générale, varie beaucoup dans l’industrie, au point que ses promoteurs semblent pouvoir toujours l’adapter aux nouveaux problèmes qui les intéressent. Comment est-ce possible ?

L’idée originale de l’intelligence artificielle est de recréer l’intelligence humaine à l’aide d’ordinateurs. Mais il n’y a pas de consensus scientifique sur ce qu’est l’intelligence humaine, ce qui explique que la définition de l’IA évolue régulièrement au fil du temps. L’intelligence artificielle générale (AGI) obéit à la même logique : il ne s’agit que d’un re-positionnement, c’est une manière de se différencier des produits et services existants.

OpenAI s’inscrit dans cette grande tradition d’incapacité à définir ce que l’IA signifie vraiment. L’entreprise utilise tout de même une définition explicite : pour elle, les AGI sont des « systèmes autonomes qui surpassent les humains dans la plupart des tâches à valeur économique ». Ils la définissent donc surtout comme des machines d’automatisation du travail. Mais dans certains cas, il arrive que Microsoft et OpenAI parlent d’AGI comme de systèmes qui seraient capables de générer cent milliards de dollars ou mille milliards de dollars. Une telle définition est totalement différente de celle de la machine à automatiser le travail.


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