En début de semaine, nous avons découvert le trailer pour un nouveau jeu horrifique : Beyonder. Pour une fois, le concept semble plutôt original, puisqu’il a pour ambition de regrouper jusqu’à 32 joueurs, répartis dans trois factions différentes. De quatre à six personnes seront des soldats surarmés, trois ou quatre seront des monstres sanguinaires, et le reste, des cobayes bien décidés à s’enfuir. Ces derniers pourront looter des armes pour se défendre, et a priori, pourront soit coopérer, soit trahir leurs compagnons pour s’en sortir. L’objectif des soldats, par contre, est un peu plus ambivalent : si l’on a bien compris, ils doivent éliminer les anomalies, mais auront chacun des ordres pour soit escorter, soit exécuter les cobayes. Mais ils pourront aussi en recruter pour grossir leurs rangs. Dans tous les cas, c’est plutôt intrigant sur le papier.
Malheureusement, en mouvement, c’est un peu moins enthousiasmant. Si la direction artistique est résolument rétro et plutôt correcte, présenter un trailer qui rame à la moindre scène d’action ne donne pas spécialement envie. Espérons que ce ne soit qu’un faux pas dans la communication, et que les développeurs ne prennent pas l’optimisation à la légère. Ce serait dommage, pour une fois qu’on voit un projet un peu original émerger.
Pour l’instant, aucune fenêtre de sortie n’a été évoquée. Mais si Beyonder vous intéresse, vous pouvez d’ores et déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Annoncé en février dernier, THRESHOLD est un walking sim horrifique avec une direction artistique rétro, développé en solo par Julien Eveillé, un ancien développeur d’Arkane, maintenant chez Crytek. S’il a bossé sur de gros titres comme “DEATHLOOP” ou Dishonored 2, et travaille encore sur Hunt: Showdown 1896 ou le futur Crysis 4, son projet perso promet d’être un peu moins orienté vers l’action. En effet, même si la fiche Steam parle de sauver le monde, il faudra le faire en marchant et en utilisant des seaux et des petites bouteilles d’oxygène, dans un poste-frontière situé dans les montagnes. Il y a quelques jours, Julien a publié un billet de blog Steam pour annoncer la date de sortie : ce sera le 19 novembre.
L’atmosphère qui se dégage du jeu semble très réussie, et vous pouvez d’ailleurs en avoir un avant-goût en jouant à la courte démo, qui est en fait un prologue au jeu principal – pas de risque de se spoiler. À la rédac, on est déjà conquis par la direction artistique et l’ambiance bien glauque, on a hâte de visiter cet univers intriguant.
D’ici le 19 novembre, si THRESHOLD vous intéresse, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On vous en parlait l’année dernière lors de la sortie d’une démo, Paperhead est un fast-FPS horrifique dans un univers fait de carton, allant des décors jusqu’aux personnages. Dans le cadre de l’Indie Horror Showcase, les développeurs ont partagé un nouveau trailer, pour annoncer l’arrivée en novembre de Paperhead: Episode 0, sans doute un prologue à l’aventure principale.
On n’avait pas eu l’occasion de tester la démo à l’époque, mais on se laissera peut-être tenter cette fois-ci, car le gameplay semble bien nerveux, et les armes ont l’air d’avoir pas mal de patate.
En attendant la sortie en novembre de Paperhead: Episode 0, qui sera gratuit, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
À l’occasion de l’Indie Horror Showcase, présenté cette année par DreadXP (Dread X Collections, My Friendly Neighborhood), l’éditeur de Projekt Z: Beyond Order a partagé un nouveau trailer pour annoncer que le jeu devrait arriver au printemps 2025. Comme d’habitude dans leurs vidéos, le gunfeel défouraille sa grand-mère et donne bien envie de tâter de la MP40 pour trouer des zombies – nazis, qui plus est. Pour rappel, c’est un jeu coopératif inspiré des mécaniques de Left 4 Dead, avec des missions linéaires, mais pendant lesquelles on pourra looter des trucs pour ensuite améliorer sa base et son équipement.
Avec cette annonce, les devs voient enfin le bout du tunnel, malgré quelques péripéties qui auraient bien pu faire annuler le projet.
En attendant le printemps 2025, si Projekt Z: Beyond Order vous intéresse autant que nous, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On vous en parlait en début de mois, Dark Hours, un jeu d’horreur en coop dans lequel on doit voler le maximum de choses dans une maison gardée par un monstre sanguinaire, est sorti en accès anticipé le 24 octobre. Développé par un studio français, le titre semble surfer sur la vague des jeux sociaux de type Among Us et Lethal Company. Attendez-vous donc à de la coopération, mais aussi à des coups de poignard dans le dos pour parvenir à être le meilleur voleur. On doit vous avouer que ce qui nous avait réellement donné des frissons, c’étaient les réactions surjouées de tous ces influenceurs. Mais le concept paraît intéressant, surtout si l’on a plein d’amis pour faire une partie. Il semble que le jeu ait trouvé son public, car deux jours après la sortie, on peut voir un pic de près de 1 500 joueurs simultanés, ce qui est plutôt pas mal pour un petit titre indé sans trop de publicité.
Les avis sont d’ailleurs très positifs, puisque 80 % le recommandent, malgré quelques bugs encore présents. On notera surtout que la composante « amis » semble vraiment indispensable, car l’expérience en solo dans une partie publique n’a pas l’air d’être au goût de certains…
Si Dark Hours vous intéresse, il est actuellement en promotion à –11 % sur Steam pour la semaine de sa sortie, ce qui le fait à moins de 9 € jusqu’au 31 octobre.
Call Of Duty 21: Black Ops 6 est sorti vendredi à 6 heures du mat’, pour nous les Français. Si on peut voir que le jeu a été pris d’assaut sur Steam, la lecture des chiffres de SteamDB n’est pas évidente. En effet, ils comptabilisent en même temps les utilisateurs des deux précédents épisodes, Modern Warfare II et Modern Warfare III, ainsi que Warzone, qui est gratuit, puisqu’ils sont tous regroupés sous la même application. Pratique. En prenant une marge assez large, on peut tout de même estimer qu’au moins 200 000 joueurs simultanés sont sur le nouvel opus d’Activision sur la plateforme de Gaben. Il faut aussi indiquer qu’il est inclus dans Xbox Game Pass, ce qui, d’après des analystes que citent Gamesindustry.biz, pourrait permettre un gain de jusqu’à 1,5 million d’abonnés supplémentaires.
D’autre part, malgré les inévitables mauvaises critiques inhérentes à tous les triple A, ce nouveau Call Of’ semble conquérir le cœur des joueurs. Les modes multi seraient toujours aussi réussis, le mode zombie fait son grand retour, et le solo parviendrait à faire oublier la catastrophe de l’année dernière. De notre côté, on a, pour l’instant, juste pu lancer quelques parties en multi et le début du solo. Effectivement, rien à redire, c’est très bien calibré. Mais il va falloir creuser un peu plus pour savoir si c’est vraiment la nouvelle référence. On va essayer de sortir un test au plus tôt, mais ce ne sera sans doute pas avant la fin des vacances.
En attendant, Call Of Duty: Black Ops 6 est disponible sur Steam et Battle.net pour 80 putain d’euros, ou directement dans le catalogue du PC Game Pass (12 €/mois) et du Xbox Game Pass Ultimate (18 €/mois).
Si nous, on est un peu à la bourre, notre cher Gothax était levé aux aurores, pour nous dégoter la crème de la crème du matériel informatique chez notre partenaire Amazon :
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
On ne va évidemment pas passer à côté de l’occasion de vous rappeler que notre partenaire Gamesplanet vous propose un code promo pour avoir une réduction de 20 % sur les précommandes de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl. Avec le code NOFRAGSTALKER, vous pouvez avoir l’édition standard à 48 €, l’édition deluxe à 64 €, et l’édition ultimate à 88 €. Ils nous indiquent cependant que cette promotion sera valide jusqu’à la fin de l’année, dans le cas ou vous préféreriez attendre notre retour après sa sortie le 20 novembre.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Vous n’avez pas pu le manquer, le week-end dernier s’est déroulée la CitizenCon 2954 à Manchester. À cette occasion, Chris Roberts nous a présenté plein de choses sur Star Citizen, mais surtout, une date pour la sortie de Squadron 42 : ce sera pour 2026. Bon, elle était estimée « au plus tard au deuxième trimestre 2022 » en 2019, donc si ça se trouve, on l’attendra toujours pendant nos parties endiablées sur Arma 4. Mais pour rassurer tout le monde, il nous a fait profiter de plus d’une heure de « gameplay » située au tout début de l’aventure.
La particularité, c’est que c’était joué en live, et que le jeu a planté. On pourrait évidemment se moquer comme tout le monde, mais on doit dire qu’ils ont au moins eu les couilles de faire une démo live, et pas juste du gameplay préenregistré, comme vous pouvez le voir au-dessus. Mais pour un jeu qui n’est pas prévu avant deux ans, rencontrer quelques crashes n’est pas spécialement alarmant. Et puis cette période laissera le temps à la technologie de réduire ces vilains stutters qui viennent accrocher quelques frames tout au long de la vidéo.
D’autre part, on nous annonce que l’aventure durera entre 30 et 40 heures, on croise les doigts pour qu’il y ait au moins une heure ou deux de gameplay effectif, vu ce qui nous a été présenté. Les cinématiques sont effectivement très belles, et on pourra sans doute s’attendre à un scénario correctement construit. L’histoire ne semble pas casser trois pattes à un canard, mais on suppose que ça fera le taf. Du côté des mécaniques de gameplay, on reste pour l’instant un peu dubitatifs. La majeure partie était dédiée à du tir aux pigeons depuis une tourelle bien fixe. Pas franchement très excitant. La suite nous a un peu plus enthousiasmés, puisqu’il s’agissait d’une sorte de walking sim dans des décors franchement réussis. On pourra dire ce qu’on veut, la direction artistique est indéniablement une grande réussite.
On finira sur une petite déception quant à l’état actuel des combats en FPS : les ennemis extraterrestres semblent vraiment débiles et se contentent de foncer droit sur le joueur, tels des fans du jeu face à un commentaire critique à l’encontre de Star Citizen. En plus, ils ne semblent pas réagir aux impacts. À la décharge des développeurs, toute cette séquence était extrêmement mal jouée – à la manette, désolé pour le pléonasme –, ce qui n’aide pas à donner une bonne impression. Et encore une fois, il s’agit d’une version alpha, à au moins deux ans d’une sortie. Et rappelez-vous, on avait pu entendre des membres de l’équipe dédiée à la partie FPS parler de leur art, et ils nous semblaient plein de bon sens et très compétents. On peut donc supposer que de nombreuses améliorations seront apportées.
Comme vous voyez, on ne peut pas s’empêcher d’en faire des tartines sur Star Citizen et Squadron 42. Pour autant, on n’a pas pu dédier autant de temps qu’on aurait voulu pour regarder les nombreuses heures de conférences. Il y a eu notamment les différentes tenues proposées aux joueurs, ou vingt minutes de concours de cosplay. On ne sait pas ce que ça vaut, mais on a trouvé ce récapitulatif très détaillé et en français de tout ce qui s’est passé le week-end dernier dans le Verse.
Découvert il y a tout juste un an lors du Steam Néo Fest, While We Wait Here nous avait attiré par son aspect rétro inspiré des graphismes PSOne, et sa narration promettant de mettre un pied dans l’horreur. La démo proposait de préparer des petits plats tout en discutant avec les clients, dans un restaurant perdu au milieu d’une tempête plus ou moins surnaturelle. Elle ne mentait pas sur le contenu du jeu complet : l’histoire est triste et sombre, et on a beaucoup aimé.
Genre : Walking Sim narratif |Développeur : Bad Vices Games | Éditeur : Bad Vices Games| Plateforme : Steam, Epic Games Store|Prix : 5 €|Configuration minimale : Processeur i3-4130, 8 Go de RAM, Geforce 750 |Langues : Anglais, sous-titres en français |Date de sortie : 23/10/2024 |Durée : de deux à trois heures
Test effectué sur une version fournie par le développeur.
Un walking sim centré sur la narration
Autant le dire tout de suite, la narration est au centre de While We Wait Here. À de nombreuses reprises, vous perdrez la main sur le personnage, et vous devrez attendre la fin des dialogues. Cela pourrait paraître comme un défaut, mais ce ne l’est finalement pas tant que ça, si l’on parvient à se plonger dans l’histoire, que j’ai trouvé plutôt prenante et bien construite. Sans trop dévoiler l’intrigue, on incarne l’un ou l’autre des membres d’un couple qui possède un petit restaurant paumé au milieu de la pampa américaine, et qui va traverser un drame. Loin d’être totalement explicite, le jeu fait passer le message par des métaphores, et notamment une ambiance de fin du monde et des passages lorgnant sur l’horreur psychologique. Mais tout au long de l’aventure, on discutera également avec plusieurs personnages – les clients –, qui nous raconteront leurs soucis avec un doublage anglais impeccable. Les développeurs indiquent sur la page Steam qu’on peut les aider, et que cela influe sur la narration. Vous ne pourrez pas rater ces moments, puisqu’ils se traduisent par un choix de dialogue, et qu’ils sont assez rares. Si cela permet théoriquement une certaine rejouabilité, je dois admettre qu’après avoir relancé pour tester une autre branche de l’histoire, je n’ai pas trouvé assez de différences pour justifier une nouvelle partie – du moins, pas immédiatement. J’aurais plutôt préféré une aventure plus linéaire, mais plus longue, ce qui m’aurait permis de profiter de la direction artistique un peu plus longtemps. Les gros pixels façon PSOne – en tout de même beaucoup plus fins – et les effets visuels, collent parfaitement à l’ambiance mêlant détresse, dépression et nostalgie.
Des boucles de gameplay étonnamment réussies
Si While We Wait Here est d’abord un walking sim, il propose néanmoins quelques autres mécaniques de gameplay intéressantes. Vous devrez notamment satisfaire les demandes des clients du restaurant en préparant les commandes. Si au départ, on vous demande de faire un burger tout sec avec uniquement deux tranches de pain et un steak, vous devrez confectionner quelques petits plats légèrement plus compliqués par la suite. Pas de panique, on reste sur trois à quatre ingrédients uniquement. Mais il faudra aller les chercher dans le frigo, les déposer au bon endroit, dresser l’assiette, etc. On aurait pu craindre quelque chose de très répétitif ou raté, mais cette boucle de gameplay est plutôt habilement distillée pour ne pas lasser, et assez bien réalisée pour que ce soit agréable à jouer. Il y a deux ou trois autres séquences – que je ne vais pas spoiler – qui dépassent largement le cadre du walking sim, et qui n’ont pas à rougir du reste de la production.
Un joli petit détour
While We Wait Here est une courte aventure, mais qui vaut le coup si vous appréciez les walking sim narratifs. La direction artistique, très chouette, colle parfaitement à l’ambiance du titre, teintée d’horreur et de tristesse, tandis que des mécaniques que l’on pourrait qualifier de plus « ludiques », ne dénotent pas du tout avec l’atmosphère. La préparation des burgers ou des milk-shakes est plutôt amusante, entre deux échanges avec nos clients rongés par les soucis. Une très bonne expérience calme et reposante, dans une atmosphère emprunte de nostalgie et de regrets.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
Comme prévu, No More Room In Hell 2 est sorti un peu plus tôt dans la journée. Ce qui n’était pas prévu, c’est la réception catastrophique du nouveau titre de Torn Banner Studios (Chivalry 2). Telle une horde de zombies sans fin, les joueurs ont déversé leur bile dans les commentaires Steam, au point que la plateforme de Gaben semble avoir du mal à actualiser leur nombre. On a pu voir 1798 avis pendant plusieurs heures, dont seulement 17 % positifs. Au moment où l’on écrit cette news, on est passé à 2 200 et 20 % d’avis positifs.
Les joueurs reprochent pas mal de chose :
des serveurs à chier avec du lag et des problèmes pour rejoindre : on pouvait s’y attendre, et pour un accès anticipé, on ne devrait pas trop leur en tenir rigueur
une optimisation à la zob : là encore, difficile de leur reprocher un manque d’optimisation pour une sortie en accès anticipé
des zombies qui buggent en disparaissant ou en apparaissant sur le joueur : ok, ça c’est bien naze pour un gameplay basé sur la mort permanente
des hitboxes complètement pétées, avec a priori pas de localisation des dégâts au corps-à-corps, et aucune réaction aux coups. Inadmissible, 12 ans après Left 4 Dead ou des concurrents comme Dead Island 2, eux aussi en coop.
il faut une dizaine de coups pour tuer un zombie, mais on n’a qu’une minuscule barre de stamina, ce qui fait qu’il faut attendre comme un con pour récupérer après deux ou trois coups. Sur plusieurs streams, on a vu des joueurs se placer sur une voiture, pour taper une quinzaine de zombies d’affilée, dans un gameplay d’un ennui abyssal.
Le concept du jeu semble très éloigné de No More Room In Hell premier du nom, ce que regrettent beaucoup d’anciens joueurs
le contenu ne semble pas énorme pour le prix affiché, avec uniquement une carte, la seconde n’étant qu’au stade de concept
Bon on n’a pas tout listé, mais vous voyez le tableau. Du côté des streamers, malgré les probables collaborations commerciales, ce n’est pas beaucoup plus rose. On est allé jeter un œil à gauche et à droite, et on a pu entendre une quantité impressionnante de jurons, dont un très beau « go actually fuck yourself » destiné aux développeurs.
On avait demandé à récupérer quelques clefs pour le tester, mais on n’aura peut-être pas de réponse positive, vu la situation. Si on parvient tout de même à en avoir, on tentera sans doute l’aventure, en priant pour qu’au moins les problèmes serveurs se soient tassés.
Dans tous les cas, n’achetez pas No More Room In Hell 2, d’autant plus qu’il est vendu à 29 € sur Steam. Il faudra sans doute attendre de nombreux mois avant qu’il ne soit au minimum correct.
Dans une communication publiée sur Steam hier, les développeurs du free-to-play Delta Force ont annoncé le lancement de la bêta ouverte le 5 décembre prochain. Cela fait suite aux quelques jours de « démo » pendant le Steam Neo Fest, qui n’avaient pas vu énormément de changements par rapport à l’alpha d’août dernier. Pour rappel, Delta Force proposera trois modes de jeu distincts : un solo, remake de Black Hawk Down, qui n’est pas encore disponible, un mode extraction pompé de DMZ de Call Of’, et un mode Havock copié de Battlefield 2042. Cela peut sembler un peu dénigrant dit comme ça, mais au contraire, on avait trouvé la réalisation très aboutie, en particulier le mode multijoueur à grande échelle, avec des points à conquérir ou à défendre, selon l’équipe.
Ils profitent de l’annonce pour décrire le contenu de cette prochaine bêta. On aura droit à de nouvelles maps et de nouveaux modes pour les deux parties du jeu, ainsi que de nouveaux opérateurs. Pour ceux qui n’auraient pas suivi, Delta Force propose des héros avec différentes capacités, mais qui jusqu’à présent, étaient plutôt différentiables. On verra si ça ne devient pas un peu trop le bordel, comme son illustre inspirateur à sa sortie.
Dans le billet de blog, ils répondent aussi à quelques questions, dont celle de la thune. Oui, il y aura des passes de combat et des cosmétiques, mais ils assurent qu’il n’y aura aucun élément pay-to-win, contrairement à son copain Arena Breakout: Infinite, édité par la même société, Tencent.
En attendant le 5 décembre et sa bêta ouverte, vous pouvez ajouter Delta Force à votre liste de souhaits depuis sa page Steam s’il vous intéresse.
Une fois n’est pas coutume, on fait une news spéciale pour l’arrivée d’un code promo. Mais avouez que ce n’est pas pour n’importe quel jeu : il s’agit de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl. Notre partenaire de longue date, Gamesplanet, vous propose d’utiliser le code promo NOFRAGSTALKER pour bénéficier de 20 % de réduction sur toutes les précommandes, et aussi sur le jeu une fois qu’il sera sorti le 20 novembre, puisque cela court jusqu’à la fin de l’année.
Comme vous pouvez le voir sur le visuel, cela permet d’avoir la version standard à 48 €, la version deluxe à 64 €, qui contient des cosmétiques exclusifs ainsi qu’une quête spéciale supplémentaire (WTF ??), et la version ultimate à 88 €, qui ajoute également de nouveaux airs de guitare pour le feu de camp et des écussons.
Bon, vous le savez, chez NoFrag, on ne vous recommandera jamais de craquer pour des précommandes. Mais on sait que certains d’entre vous sont faibles, et qu’ils ne vont pas résister, d’autant plus quand on voit les previews plutôt encourageantes un peu partout. Alors tant qu’à faire, si vous souhaitez absolument précommander S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, passez par l’un des liens au-dessus, cela nous fera gagner quelques euros dans notre portefeuille Gamesplanet. Ce qui nous permettra d’obtenir des jeux que les éditeurs ne nous envoient pas, ou de vous en offrir lorsque l’on organise des quizz !
Lundi dernier, la rédaction de NoFrag a enregistré l’épisode #64 de NoScope, notre émission bimensuelle consacrée à l’actualité du FPS. Pour cette seconde partie du mois d’octobre, nous revenons sur l’annonce de la date de sortie d’Arma 4, de celle de Squadron 42, ou sur l’inflexion des commentaires positifs pour PAYDAY 3.
Malgré la distance, peut-être avez-vous entendu Loulou rager sur Shady Knight ? Il vous en parle à tête reposée, maintenant qu’il a pu plonger ses doigts dans de l’azote liquide pendant une semaine. De l’autre côté du spectre vidéoludique, Mathmoite vous évoque son aventure lente et silencieuse dans A Quiet Place: The Road Ahead. Et enfin, Estyaah vous fait part de son retour sur les playtests de Beautiful Light, et tout ce qui est prévu pour le jeu d’ici sa sortie en accès anticipé en 2026.
On termine avec un rapide retour sur les démos du Steam Néo Fest qui nous ont plu – ça n’a donc pas été très long.
00:00:00 – Intro 00:01:29 – Les news en vrac (Arma 4, PAYDAY 3, Subnautica 2, Squadron 42…) 01:06:46 – Quizz : des FPS horrifiques 01:25:13 – Test : Shady Knight 01:37:57 – Test : A Quiet Place: The Road Ahead 01:49:13 – Preview : Beautiful Light 01:59:28 – Dossier : Les démos du Steam Néo Fest 02:07:48 – À venir
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
C’est lors de la conférence Xbox Partner que l’on a pu apercevoir un trailer pour Blindfire, un FPS compétitif se déroulant dans le noir, dans lequel on peut voir les ennemis quand ils font du bruit. La surprise, c’est que le jeu est sorti le jour même en accès anticipé. Les développeurs annoncent qu’il faut aussi bien se fier à ses oreilles qu’à ses réflexes. En voyant la vidéo, on avait surtout l’impression que ça sentait la merde. On aurait plutôt dû se fier à notre nez.
Par curiosité, après avoir payé les 9 € demandés, on a lancé une partie. Sans surprise, c’est complètement à chier : les mouvements sont d’une mollesse abyssale, le gunfeel du fusil à pompe est complètement raté, et le concept de jouer dans le noir est intrigant deux minutes uniquement. Seule la musique du menu est réussie. On ne se prononcera pas sur les graphismes, puisque le jeu choisit justement d’éviter de les montrer. En plus, ça met un peu de temps à trouver des parties, ce qui n’est pas étonnant quand on ne regroupe qu’une petite trentaine de joueurs Steam en pic journalier. Peut-être cependant qu’il rencontre un peu plus de succès sur Xbox.
Bref, ne perdez pas de temps avec Blindfire, car malgré un concept original, il est vraiment nul. Si vous aimez vous faire du mal, vous le trouverez à 8,10 € sur l’Epic Games Store, 70 ct de plus sur Steam, ou mieux encore, 9 € sur le Microsoft Store pour une expérience masochiste ultime.
Pendant la conférence Xbox Partner de jeudi dernier, Remedy (Control, Alan Wake) a présenté FBC: Firebreak. Bien que prenant place dans l’univers des jeux du studio finlandais, et plus particulièrement dans les bâtiments visités dans le TPS Control, le prochain titre sera un FPS, et coopératif à trois joueurs, qui plus est. Une première pour le studio. Le trailer nous permet d’admirer une direction artistique mêlant brutalisme et anomalies inspirées de la mythologie de la fondation SCP. Il faut avouer que les décors semblent plutôt sympathiques, mais on n’est pas vraiment convaincus par les ennemis, qui font un peu plastique.
Par contre, les armes et équipements montrés dans les minuscules séquences de gameplay ont l’air d’être au moins un peu originaux. D’ailleurs, dans une seconde vidéo publiée le lendemain, le game director nous détaille un peu plus le jeu. Avant de partir en mission, chaque joueur pourra choisir son loadout, de préférence en bonne intelligence pour profiter de synergies avec les autres. Mais on pourra aussi prendre n’importe quoi, crever comme une merde, rager en cassant son clavier, et foncer lâcher un commentaire négatif sur la page Steam du jeu. D’autre part, on pourra ajouter des « paranormal augments » – sortes de pouvoirs – à ses armes, pour qu’elles produisent des effets « inattendus ».
Finalement, cette petite vidéo nous en apprend pas mal sur les méthodes du studio. Le projet est développé par une petite équipe, et au lieu de tout créer de zéro, ils réutilisent des assets réalisés pour leurs jeux précédents, ce qui est plutôt malin. Évidemment, cela ne veut pas dire qu’il n’ont rien à faire, et ils indiquent notamment qu’ils ont dû réimaginer complètement les niveaux pour que ça fonctionne en FPS. On est assez curieux de voir ce qu’ils vont nous proposer, mais on est assez confiants, vu la qualité de leurs précédents titres.
FBC: Firebreak est prévu pour 2025, sans plus de détails. En attendant, s’il vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store. Il sera aussi disponible dans le Xbox Game Pass.
Lundi soir, le 21 octobre à 21 h, la rédaction de NoFrag enregistrera l’épisode #64 de NoScope. On continuera nos expérimentations sur la réduction du nombre de news, en essayant de ne pas prendre encore plus de temps que prévu. Même si on n’a pas encore tout à fait décidé de quoi on allait parler, vous aurez sans doute nos conjectures sur Arma 4, nos analyses éclairées sur le changement de moteur pour le prochain Halo, ou encore sur l’inflexion des commentaires positifs pour PAYDAY 3.
Malgré la distance, peut-être avez-vous entendu Loulou rager sur Shady Knight ? Il vous en parlera à tête reposée, maintenant qu’il a pu plonger ses doigts dans de l’azote liquide pendant une semaine. De l’autre côté du spectre vidéoludique, Mathmoite vous évoquera son aventure lente et silencieuse dans A Quiet Place: The Road Ahead. Et enfin, Estyaah vous fera part de son retour sur les playtests de Beautiful Light, et tout ce qui est prévu pour le jeu d’ici sa sortie en accès anticipé en 2026.
Allez, offrez-vous un petit moment de détente, équipez-vous d’une bonne bière bien fraîche et rejoignez-nous donc sur Twitch lundi soir à 21 h pétantes. Ou à peu près, on verra.
Si vous êtes vieux comme nous, vous savez sans doute que Prophecy Games est le studio qui avait tenté de faire revivre la licence Tribes avec Tribes 3: Rivals. Malheureusement, ça n’avait pas franchement convaincu, ni les anciens, qui trouvaient ça trop casu, ni les nouveaux joueurs, peu intéressés par un concept datant d’une vingtaine d’années. Un peu avant, les développeurs avaient eu la mauvaise idée de faire Starsiege: Deadzone, un extraction shooter générique, sans âme ni feeling contre des robots, qui avait bidé magistralement. Forts de leurs échecs, et sans aucune remise en question, voilà que le studio nous propose un nouveau jeu : Deadzone: Rogue.
Et pour éviter d’uniquement faire une annonce, une démo a été mise à disposition, a priori dans le cadre du Steam Neo Fest. On a donc jeté un œil curieux, pour constater qu’ils n’ont pas appris de leurs erreurs. Mettez-vous ça dans le crâne, amis développeurs : les robots, c’est nul comme ennemi (en général). On n’a aucune satisfaction à abattre nos cibles, d’autant plus que leur comportement est particulièrement ridicule. On a rarement vu des IA aussi débiles, qui s’arrêtent pendant quelques secondes avant de vous tirer dessus, puis qui se déplacent mollement pour recommencer. Et les niveaux, formés de quelques petites pièces sans aucune inspiration, ne vont pas aider à l’immersion. C’est dommage, car le feeling semble un peu meilleur que leur extraction shooter : le fusil d’assaut ou le fusil à pompe ont un peu de patate. Et les mécaniques de rogue-lite, bien qu’absolument pas originales, fonctionnent également plutôt bien.
On ne voit donc pas trop qui voudrait s’infliger ça. Mais si vous êtes curieux, vous pouvez vous aussi tester la démo de Deadzone: Rogue sur Steam. Aucune date de sortie n’a pour l’instant été annoncée pour la version complète.
À l’occasion de la conférence Xbox Partner qui s’est déroulée jeudi dernier, les développeurs de Mouse: P.I. For Hire, un FPS avec une esthétique reprenant les dessins animés des années 50, ont publié un nouveau trailer, pour annoncer la future sortie sur consoles de salon. On se fiche évidemment de cette information, mais ça nous donne l’occasion de voir un peu plus de gameplay – tout de même enregistré au clavier/souris – du titre que l’on attend avec curiosité : la direction artistique est très réussie et les sensations semblent plutôt bonnes grâce à plein de petits détails sur les armes et les ennemis.
Mouse: P.I. For Hire est toujours prévu pour 2025, sans plus de détails. Mais s’il vous intéresse, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Toujours rien de particulier cette semaine chez notre partenaire Gamesplanet, mais des promos sur plein de trucs plus ou moins intéressants. On vous rappelle, à toutes fins utiles, que le code promo pour Warhammer 40,000: Space Marine 2 qui devait s’arrêter le 30 septembre est finalement prolongé jusqu’à la fin de l’année. Donc si vous voulez profiter de 15 % sur le jeu, utilisez le code promo NOFRAG, ce qui fait la version Standard à un peu moins de 52 €, l’édition Gold à 77 € ou la version Ultra à 85,5 €. Et sinon, il y a plein choses sympas :
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !