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Reçu aujourd’hui — 10 octobre 2025

Cars Story #14 : La révolutionnaire Citroën DS

10 octobre 2025 à 09:33

La Citroën Traction Avant, la DS ou encore la BMC Mini ont été des voitures révolutionnaires. Elles ont non seulement marqué leur époque mais ont [...]

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Reçu hier — 9 octobre 2025

Retrouvez l’intégralité du discours de Robert Badinter sur la peine de mort

A l’occasion de l’entrée de l’ancien garde des Sceaux au Panthéon, Le Figaro vous propose le texte complet de son discours sur l’abolition de la peine de mort, prononcé à l’Assemblée nationale le 17 septembre 1981.

© ©Agip/Bridgeman Images

Robert Badinter lors d’une conférence de presse en juillet 1981.

Le long chemin vers l'abolition de la peine capitale

Le 9 octobre 1981, la peine de mort était abolie en France. Le résultat d'un âpre combat mené depuis près de deux siècles et gagné par Robert Badinter. Quarante-quatre ans après, l’ancien garde des Sceaux entre au Panthéon ce jeudi.

© MICHEL CLEMENT / AFP

Le garde des Sceaux Robert Badinter après la présentation en conseil des ministres de son projet de loi sur l'abolition de la peine de mort le 26 août 1981. 
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Rétro F1 – 40 ans déjà : A Brands Hatch 1985, le jour de gloire d’Alain Prost est arrivé

6 octobre 2025 à 07:00

favori, mais Il l’avait envisagé en 1982, mais la fiabilité du turbo en avait décidé autrement. Il l’avait frôlé en 1983, mais la Brabham de [...]

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De Mahomet à la révolution iranienne, la longue histoire de l’islamisme

GRAND RÉCIT - Dès les premières conquêtes des successeurs du Prophète, l’islam s’est voulu porteur d’un empire théocratique. Le démantèlement de l’Empire ottoman a semblé sonner le glas de cette ambition, jusqu’à ce que la révolution iranienne donne, à la fin du XXe siècle, le signal de son réveil.

© Newsha Tavakolian/Magnum Photos.

La mosquée de l’Imam Zadeh Saleh, à Téhéran, fin juin 2025. Des femmes se recueillent devant les portraits des hauts gradés iraniens tués par les frappes israéliennes durant la « guerre des douze jours ». Le 13 juin, le gouvernement israélien avait lancé une vaste opération de bombardements contre des installations militaires en Iran. Téhéran avait aussitôt riposté par des vagues de missiles visant Tel-Aviv et Jérusalem. Le 21 juin, les États-Unis étaient intervenus à leur tour ciblant les sites nucléaires iraniens.

Kessel : un siècle avant la flottille

30 septembre 2025 à 19:08

Un siècle avant la Flottille pour Gaza, Joseph Kessel prenait la mer pour rejoindre la Palestine. Une expédition bien différente, qui nous éclaire sur le conflit actuel… et sur notre société du spectacle.

Avril 1926, Marseille. Joseph Kessel embarque pour Jaffa. Comme souvent, ses voyages sont nés de rencontres avec des êtres charismatiques, Monfreid, Mermoz, Kersten… Ce jour-là, l’homme qui l’accompagne se nomme Chaïm Weizmann. Difficile de trouver deux personnalités plus antagonistes. Kessel, nomade agnostique, étranger à toute ferveur religieuse, indifférent aux appels du patriotisme comme aux élans des causes collectives, est à mille lieues de l’ardeur qui étreint le futur premier chef de l’État d’Israël. Mais celui qui fait sienne la devise de Péguy, « Dire bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste », veut voir, et raconter.

Une terre d’espoir et de feu

Contrairement à la flottille d’aujourd’hui, il ne s’attarde pas sur sa traversée de la Méditerranée. L’important n’est pas le voyage, mais la destination. La « mer de la civilisation » s’échoue sur une terre âpre, où le feu du soleil brûle les visages et les terres, où la malaria décime les familles. Même l’eau enflamme les chairs.

Depuis 1920, la Palestine est sous mandat britannique. Une conséquence de l’effondrement de l’Empire ottoman et de sa défaite lors de la Première Guerre mondiale. Son territoire correspondant grosso modo aux actuelles terres d’Israël, de la Cisjordanie et de Gaza. Elle compte alors environ 600 000 Arabes et un peu plus de 150 000 Juifs. La majorité de ces derniers sont des immigrants arrivés depuis la fin du XIXᵉ siècle de Russie, de Pologne ou d’Ukraine, venus se mêler aux communautés juives autochtones présentes sur place de longue date. Les premiers sionistes, les Amants de Sion, s’étaient embarqués à la suite d’émeutes antijuives en Russie. D’autres les ont rejoints après guerre, soupçonnés d’avoir pris part à la révolution d’Octobre et pourchassés par les armées blanches, nationalistes et cosaques. Peu de temps avant que les bolcheviques, à leur tour, ne s’en prennent à eux, voyant dans le sionisme une entreprise capitaliste, bourgeoise et nationaliste. Car ce nouveau sionisme, théorisé à la fin du XIXᵉ siècle par Theodor Herzl, propose pour la première fois la création d’un foyer national pour le peuple juif, en réponse aux persécutions.

Kessel arrive dans un pays qui semble s’ébrouer après plusieurs siècles d’une vie immuable. Les fellahs, petits paysans arabes accablés de labeur et d’impôts dans un système féodal, voient les plaines se couvrir de cultures, les villes s’élever et une nouvelle liberté poindre… qui va bientôt inquiéter leurs maîtres.

Une langue, mille rêves

Comme toujours, Kessel s’intéresse davantage aux êtres qu’à la politique. Des kvoutza, ces ancêtres du kibboutz, aux communautés orthodoxes, il découvre autant de projets sionistes qu’il y a de rêves individuels. L’individu, pourtant, s’efface derrière cette espérance collectiviste qu’il a conçue en songe.

Au cœur de la vallée de Jezreel, les jeunes idéalistes socialistes qu’il rencontre ne se mettent pas en scène, ne fantasment pas leur bravoure ni l’importance de leur rôle. Non, ils sacrifient leur héritage bourgeois et leurs mains délicates pour le rude travail de la terre, creusant, récurant, construisant de l’aube au coucher du soleil. Leur sueur a transformé un inculte marécage en promesse d’abondance.

À Bnei Brak, la colonie hassidim défie la chaleur écrasante dans ses habits de ténèbres, construit des temples avant même d’avoir garanti son souper ou sécurisé ses bicoques branlantes. Aujourd’hui encore, Bnei Brak abrite le quartier le plus pauvre d’Israël, et vote à 90 % pour les ultra-orthodoxes.

À Kfar-Yeladim, Kessel découvre stupéfait une communauté d’enfants qui vit en quasi autonomie. Guidés par le pédagogue Pougatchev, ils inventent leur constitution, leur tribunal, leur système électoral et leur presse. Ils tentent de construire une société nouvelle, pour refermer la plaie ouverte par le massacre de leurs géniteurs.

Comme nulle part ailleurs, cette promesse se construit dans un chantier permanent, qui s’oppose en tout point au charme pittoresque des cités arabes patinées par les siècles. Elle porte un nom : Tel-Aviv. Un antagonisme qui illustre si bien le dilemme du progrès. Aucune nouveauté, aucune invention ne peut procurer la douceur réconfortante d’un marché, d’une échoppe ou d’un geste ancestral. Mais que vaut ce réconfort immémorial face à la malaria, à la misère du non-développement, au joug des traditions ? C’est ce carcan qui, précisément, a poussé à fonder la cité. À Jaffa, les autochtones prenaient les visages découverts des nouvelles arrivantes pour une invitation. Tel-Aviv est « née du baiser des arabes ».

De l’entrepreneur fortuné au religieux démuni ou au jeune socialiste, les aspirations sont si diverses que seule la langue peut les réunir. « Un peuple peut exister sans gouvernement choisi, sans institutions, et même sans terre qui lui appartienne. Mais s’il ne possède pas de langue qui lui soit propre, c’est un peuple mort » écrit Kessel. En Palestine, c’est la résurrection d’une langue morte qui fait naître un peuple.

Nouvelles richesses, vieilles servitudes

Depuis l’époque ottomane, les effendis sont les véritables maîtres de la société palestinienne. Propriétaires fonciers, ils accablent d’impôts les misérables fellahs qui travaillent leurs terres pour des salaires de famine. À l’arrivée des migrants, ces potentats locaux saisissent l’aubaine et leur cèdent des parcelles à prix d’or, au mépris des fellahs qui perdent leur unique moyen de subsistance.

S’ils ne sont pas acceptés dans les communautés orthodoxes ni dans les kvoutza socialistes, nombreux trouvent des emplois chez des fermiers ou des entrepreneurs juifs. À leur grande surprise, ils découvrent des ouvriers payés aux prix européens, des hommes travaillant aux champs et réclamant aisément leur dû. « Des formules étranges de liberté, d’égalité étaient dans l’air », remarque Kessel. Les effendis sentirent la colère monter chez leurs anciens vassaux.

Mais il leur restait l’influence que confère une longue domination. Ils les persuadèrent que les nouveaux venus allaient tout leur enlever et qu’il fallait les exterminer avant qu’ils ne fussent en force. La propagande réussit. 

Terreur et développement 

Le 4 avril 1920, 70 000 personnes se rassemblent à Jérusalem. Depuis l’hôtel de ville, le maire Moussa Qazem al-Husseini presse la foule de donner son sang pour la cause. Aref al-Aref, l’éditeur du Journal Suriya al-Janubia, harangue depuis son cheval : « Si nous n’utilisons pas la force contre les sionistes et contre les Juifs, nous n’en viendrons jamais à bout ! ». On lui répond en scandant « Indépendance ! Indépendance ! » Durant quatre jours, des combats éclatent. Malgré leur infériorité numérique, les colons résistent avec l’appui des soldats britanniques. 

Ces émeutes sont la première manifestation majeure de violence entre les communautés arabe et juive de Palestine dans le contexte du conflit qui les oppose encore aujourd’hui. Elles poussent les Juifs à développer leur propre organisation de défense, la Haganah, ancêtre du noyau de l’armée israélienne : Tsahal.

Quand Kessel débarque en terre palestinienne quelques années plus tard, il sent un revirement. La dynamique de croissance qu’engendre l’immigration juive semble faire des émules. Il voit des terres sans avenir se couvrir de cultures, les grandes agglomérations devenir des centres de commerce de plus en plus florissants. Alors que le pays « nourrissait difficilement quelques centaines de milliers d’hommes » rappelle-t-il, s’ouvre la perspective d’en faire vivre des millions. Ce que, opprimés par le joug féodal de leurs maîtres, les fellahs n’ont pu faire en quatre siècles.

Le développement plutôt que l’affrontement ? En 2020 une étude indiquait que 86 % des Gazaouis se disaient plus intéressés par la croissance économique et les réformes politiques que par la politique étrangère. 7 sur 10 souhaitaient être gouvernés par l’Autorité palestinienne plutôt que par le Hamas. Organisation que les habitants des pays arabes rejetent massivement, comme le Hezbollah. Et tandis que le gouvernement Netanyahou menace d’annexer la Cisjordanie et d’occuper Gaza, près des trois quarts des Israéliens soutiennent, ou ne s’opposent pas à un accord incluant la reconnaissance d’un État de Palestine.

Kessel allait pour voir, pour sentir et pour raconter. Aujourd’hui, on va pour se montrer. Quitte à être les idiots utiles de déplorables maîtres.

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Cinéma et casinos : les bolides emblématiques des films mythiques

28 septembre 2025 à 13:16

Des tables de jeu à la sortie des parkings luxueux, les films de casino n’ont jamais cessé d’associer le glamour du jeu à celui des [...]

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Cette erreur incroyable de nos ancêtres aurait lancé l’âge du fer accidentellement, selon les chercheurs

29 septembre 2025 à 12:59

Vestiges de l'âge de fer

L'âge du fer est une période préhistorique durant laquelle les humains ont découvert la métallurgie. Une étude affirme que ce progrès monumental est avant tout l'œuvre d'un accident de la part de nos ancêtres.

Juges et politiques : histoire de l’inversion spectaculaire d’un rapport de force

GRAND RÉCIT - Rabaissés en 1789, surveillés par la République pendant un siècle, les magistrats se sont émancipés depuis les années 1970. Dernière preuve : la justice vient de condamner Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison avec mandat de dépôt différé et exécution provisoire dans l’affaire du «financement libyen». Est-ce le gouvernement des juges ?

© Bridgeman Images / AFP / MICHEL GANGNE

Le recul de l’histoire s’impose pour mesurer l’inversion spectaculaire du rapport de force entre juges et politiques.

Les Remparts, l’indispensable circuit

25 septembre 2025 à 09:35

Le coeur d’Angoulême bat pour l’automobile depuis 1939. Relancé en 1978, le circuit des Remparts est une institution. L’ambiance et les activités respirent la passion. [...]

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Les Journées du patrimoine 2025 sont lancées, voici la carte des visites gratuites à faire dès à présent

20 septembre 2025 à 05:58

Les Journées européennes du patrimoine se déroulent en France du vendredi 19 au dimanche 21 septembre 2025. La programmation a lieu partout dans l'Hexagone et est très riche, il est donc facile de s'y perdre. C'est pourquoi le ministère de la Culture a mis en place une carte interactive qui recense toutes les activités programmées.

Journées du patrimoine 2025 : voilà la carte des visites gratuites à faire en France

19 septembre 2025 à 06:15

Les Journées européennes du patrimoine se dérouleront en France du vendredi 19 au dimanche 21 septembre 2025. La programmation a lieu partout dans l'Hexagone et est très riche, il est donc facile de s'y perdre. C'est pourquoi le ministère de la Culture a mis en place une carte interactive qui recense toutes les activités programmées.

Qu’est-ce que l’archéologie ?

16 septembre 2025 à 08:03

L'archéologie est une discipline étudiant les vestiges enfouis dans le sol pour reconstituer l'Histoire de nos civilisations. Aujourd'hui de plus en plus aidé par des techniques scientifiques modernes, c'est une discipline régie par de nombreuses règles et méthodes précises cadrant la recherche.

Le suicide bancaire ottoman

14 septembre 2025 à 04:23

« Il faut faire tomber les banques ». Pour certains, elles sont le cœur pourri de notre système. Mais peut-on s’en passer ? L’Empire ottoman l’a fait, en suivant scrupuleusement la charia. Une politique qui l’a conduit à la ruine, et au pire.

Au XIIᵉ siècle, l’Europe sort lentement du Moyen Âge féodal. Les villes renaissent, le commerce s’épanouit. Grains, épices, soieries, laines, mais aussi pèlerins et croisés, la Méditerranée est au centre des échanges et des quêtes.

En Italie, de grandes familles amassent des fortunes colossales. Peruzzi ou Bardi à Florence, Doria, Spinola ou Médicis à Gênes, pour pouvoir commercer dans plusieurs devises, pour payer les achats et les expéditions, elles deviennent à la fois marchands et créanciers. Elles transportent la laine anglaise, financent les guerres royales, avancent le capital aux artisans florentins.

Leur tâche est compliquée par les pratiques des souverains locaux, qui réduisent chaque année la teneur en or ou en argent de leur monnaie et entretiennent l’inflation. En 1252, leur corporation des changeurs et banquiers, l’Arte del Cambio, crée le florin d’or dans la capitale toscane. Sa solidité en fait la devise de référence, adoptée dans toute l’Europe.

Mais, entre les attaques de pirates, les embuscades de brigands ou l’avidité des potentats locaux, transporter de l’argent reste une affaire périlleuse. Pour l’éviter, on crée la lettre de change : un marchand dépose une somme à Florence auprès d’un banquier contre une lettre qui ordonne à son correspondant de payer la somme à Bruges ou à Londres. Premier instrument de paiement international, c’est l’ancêtre du virement bancaire. Le commerce devient moins risqué et moins cher, ce qui se ressent sur le prix des produits. On invente la comptabilité en partie double, qui révolutionne la gestion, et la commenda, un accord entre deux partenaires, généralement un investisseur et un voyageur, dans le but de réaliser une entreprise commerciale.

Défauts souverains et microcrédit

À la merci d’une mauvaise récolte, écrasés par les taux des petits usuriers, les plus pauvres ne bénéficient pas des nouvelles possibilités bancaires. Pour y remédier, les magistrats de la République de Sienne créent, deux siècles plus tard, en 1472, un Monte di Pietà (mont-de-piété), une institution de prêt sur gage. Bijoux, vaisselle… Les personnes dans le besoin peuvent déposer un objet en gage contre de l’argent, prêté à faible taux. Aujourd’hui, la Banca Monte dei Paschi di Siena est la plus vieille banque en activité.

L’humanité découvre aussi les risques du défaut souverain. Au début du XIVᵉ siècle, la monarchie anglaise veut financer la guerre contre la France, mais son Trésor est vide. Les Peruzzi et les Bardi prêtent des sommes colossales en échange d’un accès privilégié à la laine du royaume, ressource vitale pour l’industrie florentine. En 1340, Édouard III se déclare en défaut de paiement, entraînant la banqueroute des deux familles toscanes et la ruine de milliers d’épargnants. Une crise financière secoue toute la région.

La conquête des Amériques

À la fin du XVe siècle, quand Christophe Colomb appareille, les instruments financiers qui rendent possible le commerce transatlantique sont déjà en place. Les banquiers génois deviennent, avec les Fugger allemands, les financiers principaux de l’Espagne, qui importe des montagnes d’argent de Bolivie et du Mexique… Quand le pays fait à son tour défaut, la finance se tourne vers Amsterdam, où l’on invente la société par actions. Des centaines de petits investisseurs peuvent financer une expédition vers l’Asie ou l’Amérique, en partageant les risques. Londres, Nantes, Bordeaux, Marseille deviennent à leur tour des places financières. Avec l’abolition progressive de la traite, on passe de l’armement des navires négriers à l’investissement dans l’industrie. Le capital accumulé durant trois siècles de commerce entre l’Ancien et le Nouveau Monde alimente la révolution industrielle. Et avec elle, les fondations du monde que nous connaissons aujourd’hui.

Pendant ce temps, de l’autre côté de la Méditerranée…

Au XIIIᵉ siècle, en Anatolie, de petites principautés turques émergent des ruines du sultanat seldjoukide d’Iconium. Parmi elles, celle d’Osman Ier, qui donnera son nom aux Ottomans. En deux siècles, la nouvelle puissance franchit les Dardanelles, s’impose dans les Balkans et prend Constantinople, qu’elle rebaptise Istanbul. Elle atteint son apogée sous Süleyman le Magnifique : Belgrade et la Hongrie tombent, et, d’Oran au Péloponnèse en passant par Jérusalem, la Méditerranée passe sous sa domination. Mais derrière cette force militaire, l’Empire stagne. Tandis que l’Europe se développe, il ne se modernise pas, reste tributaire d’une agriculture archaïque et du transit caravanier.

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1    Sourate 2 (Al-Baqara / La Vache), versets 275 et 279.

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On a lu: La petite histoire du Cyclecar

13 septembre 2025 à 16:07

Aujourd’hui comme hier, le législateur cherche à moduler la fiscalité automobile pour favoriser certains véhicules. Avec bien sur des résultats qui ne sont pas ceux [...]

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À la Préhistoire, les humains faisaient du networking autour de festins

10 septembre 2025 à 06:30

En Angleterre, une vaste étude a analysé les restes d'animaux venant de six tertres différents, ces monticules de déchets ayant traversé les époques. Les résultats sont surprenants : déjà à la Préhistoire, les humains venaient de loin pour se rassembler et festoyer ensemble. Une version préhistorique du networking, en somme…

La IVe République, ou quand les Français étaient gouvernés au jour le jour

GRAND RÉCIT - Après le vote de confiance perdu par François Bayrou ce lundi, les Français attendent un nouveau premier ministre. Nul ne sait combien de temps il tiendra. C’était la règle sous la IVe République. Les gouvernements étaient souvent renversés. Le pays vivait à très court terme.

© Bridgeman Images

Robert Schuman, Antoine Pinay, Pierre Mendès France et Guy Mollet ont été quatre importants présidents du Conseil.

F1 : Ferrari célèbre le triomphe de Monza 1975 avec une livrée spéciale

4 septembre 2025 à 19:52

Nouvelle ère A Monza, en 1975, Ferrari renouait avec le titre mondial après de longues années de disette, puisque le précédent titre remontait à…1964 ! Dix [...]

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Entreprise de persécution, jugements arbitraires, torture systématique... Un moine contredit point par point la légende noire de l’Inquisition

RÉCIT - Dans Lettres à un ami post-moderne sur l’Inquisition, le frère bénédictin Cyrille Devillers de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux se fait l’avocat de la justice inquisitoriale devant le tribunal de l’Histoire. Un étonnant plaidoyer.

© Nasjonalmuseet/Høstland, Børre

Scène de nuit de l’Inquisition, par Goya, vers 1810 (Oslo, Nasjonalmuseet). 

Une Lamborghini Miura comme objet de décoration

28 août 2025 à 11:51

Imaginez une Lamborghini Miura utilisée comme un bibelot dans un salon. C’est une histoire peu banale mais complètement réelle. C’est l’histoire extraordinaire d’une Lamborghini Miura [...]

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