500km entre Paris et l’île de Ré, 3 étapes de recharge… Le périple du Figaro en voiture électrique un jour de départ en grand week-end
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Le mois de mai a été un mois particulièrement compliqué pour les livraisons automobiles. Cette fois, la voiture électrique est aussi touchée, avec un recul de 19 % des immatriculations par rapport à 2024.
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Dans un marché automobile européen en mauvaise forme, la part de la voiture électrique a augmenté en Europe par rapport à 2024, y compris dans plusieurs pays réticents à l’électrique.
Les chiffres des nouvelles immatriculations d'avril 2025 ne laissent plus beaucoup de doutes sur le fait que le constructeur Tesla est boudé par les acheteurs en Europe. Les autres constructeurs en profitent, surtout Volkswagen, BYD et Renault.
Une étude de l’Institut Mobilité en Transition répond aux patrons de Renault et Stellantis : la hausse des prix dans l’automobile n’est pas due aux normes environnementales ni au passage à l’électrique. Ce sont surtout les constructeurs eux-mêmes qui ont relevé la facture.
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À force d’imposer des normes XXL à des voitures XXS, l’Europe tue tout espoir d’un véhicule électrique accessible, léger et simple. C'est le thème de l'édito Watt Else du 15 mai 2025.
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Le podium des voitures électriques est une nouvelle fois 100 % français en avril. Si l’on se réjouit de voir Renault devenir le leader des véhicules électriques en France, les résultats de Tesla et du groupe Stellantis inquiètent.
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