Les usines tournent au ralenti, les clients s’impatientent et les batteries françaises de la société ACC peinent à suivre. En pariant tout sur un fournisseur encore en rodage, Stellantis se retrouve aujourd’hui piégé par sa propre audace industrielle.

Autrefois locomotive en France, Stellantis s’enlise. Le marché électrique ne pardonne pas les faux pas. L'éditorial de la newsletter Watt Else du 2 octobre s'inquiète du sort du groupe franco-italo-américain.

Tesla sait finir ses trimestres en fanfare : le Model Y explose les compteurs en septembre. Mais derrière le feu d’artifice, Renault et sa R5 gardent les deux pieds bien ancrés en tête du marché français.

Nous avons enfin approché la Peugeot e-208 GTi au salon de Lyon. Badge mythique, look musclé, 280 ch sous le capot : la petite lionne intrigue. Mais est-ce le futur collector de Peugeot… ou un flop annoncé ?

Leapmotor s'est félicité d'avoir produit un million de voitures depuis ses débuts en 2017. Ce nouveau record a été atteint moins d'un an après le cap des 500 000 voitures fabriquées, preuve que la marque est en pleine ascension.

Stellantis a officiellement annoncé l’arrêt du développement de son Ram 1500 REV. Après plusieurs reports, le contexte du marché américain semble être la parfaite excuse pour abandonner le véhicule.

Sobre, bien dessinée et stratégiquement calibrée pour l’Europe, la Leapmotor B05 débarque à Munich avec probablement dans l’idée de bousculer un peu la Volkswagen ID.3, la Cupra Born et la Renault Mégane E-Tech.

Stellantis abandonne discrètement son programme de conduite autonome de niveau 3. Un recul qui en dit long sur les difficultés de l’industrie à concrétiser ses promesses de voitures autonomes.

En plus de rencontrer des problèmes de moteur PureTech et d’airbags Takata, le groupe Stellantis continue de décevoir certains acheteurs, y compris de voitures électriques récentes. Une pétition a été déposée sur le site de l’Assemblée nationale pour demander une commission d’enquête sur les pratiques du groupe.