Renault refuse de sacrifier les prix comme le fait Tesla
Renault veut que les clients puissent bénéficier des optimisations des coûts de production du groupe. Pour autant, il est hors de question pour le constructeur français de casser les prix.
Renault veut que les clients puissent bénéficier des optimisations des coûts de production du groupe. Pour autant, il est hors de question pour le constructeur français de casser les prix.
Pendant que Renault se réjouit des retombées du lancement de sa Renault 5, l’ambiance doit être bien plus morose chez Stellantis qui voit la menace grandir dangereusement, notamment pour Lancia.
La Renault 5 E-Tech électrique fait un retour fracassant. Prévue pour l’automne 2024, elle démarre avec une version de 150 ch et une autonomie de 400 km, promettant une recharge rapide de 15 à 80 % en seulement 30 minutes. Avec des finitions haut de gamme dès le lancement, dont la Techno et la Iconic Cinq, elle se positionne comme un choix de prédilection pour les amateurs de technologie et de design, à un prix de départ autour de 30 000 euros.
2025 verra l’arrivée de versions plus accessibles, visant un tarif proche de 25 000 euros, grâce à une batterie de 40 kWh offrant 300 km d’autonomie. Malgré une recharge plus lente, ces modèles promettent de rendre l’électrique accessible à tous, sans compromis sur la qualité. Une version intermédiaire, avec charge rapide et des finitions variées, enrichira également la gamme.
Au-delà de l’accessibilité, Renault prévoit de lancer des versions haut de gamme et sportives, dont une édition spéciale Roland-Garros, pour séduire les amateurs de luxe et de performances. Ces modèles, alliant esthétique raffinée et caractéristiques techniques avancées, visent à concurrencer directement des modèles emblématiques comme la Mini électrique. La future Alpine A290, héritière de la légendaire R5 Turbo, promet quant à elle une expérience de conduite exaltante, avec une puissance et des performances à couper le souffle.
La stratégie de Renault avec la R5 E-Tech électrique illustre parfaitement sa vision d’un futur durable et abordable. En proposant une gamme variée, de la version économique à la sportive, Renault ne se contente pas de répondre aux attentes actuelles, mais anticipe les besoins futurs de mobilité urbaine. Avec déjà 50 000 expressions d’intérêt en seulement une semaine, la R5 E-Tech électrique est bien partie pour séduire.
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Les salons automobiles sont boudés par certaines marques. C'est bien dommage, surtout que pendant ce temps, celles qui font l'effort d'aller au contact des médias et du public ont tout compris ! Petit salon, mais convivial, la journée au Geneva International Motor Show (GIMS) a mérité le déplacement et son édito dans la newsletter Watt Else du 29 février.
Même si la charge en courant continu ne semble pas forcément nécessaire sur une citadine électrique comme la Renault 5, faire l’impasse sur cet équipement est mauvais pour l’image du constructeur français qui se dit à la pointe de la technologie.
Le constructeur français a réussi la première étape de l'opération séduction avec sa Renault 5 e-tech. Pour autant, tout n'est pas parfait. Comme sur Mégane, Renault a fait quelques choix techniques qui font débat.
Le design de la nouvelle Renault 5 électrique, présentée à l'occasion du salon de Genève, fait l'unanimité. La citadine « rétrofuturiste » est bourrée de détails qui attirent le regard.
Renault dévoile enfin sa citadine électrique. Que l'on aime, ou non, cette nouvelle Renault 5, elle ne passera pas inaperçue sur les routes avec son style « rétrofuturiste ». La surprise est-elle à la hauteur de l'attente ?