Vue normale

Reçu avant avant-hier

Comment voir les Draconides, ces étoiles filantes, dans le ciel d’octobre ?

8 octobre 2025 à 16:08

Dans la soirée du 8 octobre 2025, vous pourrez peut-être observer une pluie d'étoiles filantes appelée les Draconides. Provenant de la constellation du Dragon, ce spectacle risque cependant d'être masqué par la luminosité de la Lune presque pleine.

Voici les premières images de la comète 3I/ATLAS, qui vient d’au-delà de notre système solaire

8 octobre 2025 à 14:36

Une comète interstellaire traverse notre Système solaire, passant à proximité de Mars. Des images, bien que floues et prises de loin, ont pu être captées par les sondes martiennes ExoMars Trace Gas Orbiter (TGO) et Mars Express.

Pleine Lune, étoiles filantes, lumière cendrée : que voir dans le ciel en octobre 2025 ?

1 octobre 2025 à 05:55

Les températures sont plus fraiches en octobre, mais cela ne veut pas dire qu'il faut renoncer à mettre le nez dehors. Surtout qu'il y a encore des phénomènes astronomiques à observer dans les semaines à venir. Voici le calendrier des événements célestes à vivre absolument ce mois-ci.

Notre ceinture d’astéroïdes est en voie de disparition : voici ce que révèle une première étude sur la vitesse et les causes du phénomène

30 septembre 2025 à 13:21

Entre Mars et Jupiter, se trouve la ceinture principale d'astéroïdes. Souvent envisagée comme élément stable du système solaire, elle est en réalité en train de disparaitre -- lentement, mais sûrement. Une étude qui paraitra en février 2026 explique à quelle vitesse ce phénomène se produit, et pourquoi.

7 questions sur IMAP, la mission de la Nasa qui doit nous protéger contre les tempêtes solaires

24 septembre 2025 à 10:09

Vue d'artiste du satellite IMAP

Ce 24 septembre, la Nasa doit mettre en orbite la mission IMAP, chargée d'observer en particulier notre Soleil et son environnement. À quoi va servir cette sonde ? Petit état des lieux avant le lancement.

Les photos les plus éblouissantes de l’éclipse solaire du 21 septembre 2025

22 septembre 2025 à 09:42

Une éclipse solaire a été observée près du pôle Sud de la planète le dimanche 21 septembre 2025. La France n'a pas pu y assister en vrai, mais cette éclipse partielle de Soleil a été prise en photo, notamment depuis la Nouvelle-Zélande.

Eclipse solaire ce soir, nouveautés cachées d’iOS 26 et liste des iPhone compatibles — le récap’ de la semaine

21 septembre 2025 à 12:28

La mise à jour de l'iPhone avec iOS 26 est arrivée, mais vous avez peut-être manqué certaines de ses nouveautés. C'était l'un des sujets les plus consultés cette semaine sur Numerama ! Voici le récapitulatif des sept derniers jours, y compris du côté de la vidéo !

Comment suivre en direct l’éclipse solaire du 21 septembre 2025 ?

21 septembre 2025 à 07:00

Même si la France métropolitaine ne peut pas contempler en vrai l'éclipse du 21 septembre 2025, tout n'est pas fichu pour autant. Il est possible de profiter du phénomène de cette éclipse partielle de Soleil en ligne et en direct. Voici quand et comment.

6 000 exoplanètes découvertes en 30 ans : la Nasa a bouleversé notre vision de l’univers

18 septembre 2025 à 10:26

Pas moins de 6 000 planètes ont été découvertes par la Nasa en dehors de notre système solaire, en 30 ans de recherches. 3 décennies après la toute première détection d'exoplanète, la Nasa revient sur ce que ces astres ont appris aux scientifiques.

Éclipse solaire : quand aura lieu la prochaine éclipse de Soleil ?

26 septembre 2025 à 09:30

Admirer une éclipse solaire, cela s'anticipe. Quand est prévue la prochaine éclipse de Soleil ? Il faut patienter : une éclipse annulaire est annoncée en février 2026. Voici où il faut se trouver à la surface de la Terre pour la contempler.

Les Français pourront-ils voir l’éclipse de Soleil du 21 septembre 2025 ?

18 septembre 2025 à 05:32

Une éclipse de Soleil surviendra le dimanche 21 septembre 2025. Une partie de la Terre pourra admirer la Lune occultant partiellement le Soleil. Pour autant, ce spectacle astronomique sera-t-il visible depuis la France ?

La prometteuse comète Lemmon pourrait devenir visible à l’œil nu dès cet automne

9 septembre 2025 à 12:04

Un nouvel espoir d'observer une comète à l'œil nu dans l'hémisphère nord, et donc en France, est possible. La comète C/2025 A6 (Lemmon), découverte en janvier 2025, s'approche actuellement de la Terre, tout en devenant de plus en plus brillante.

C’est quoi, une éclipse ?

19 septembre 2025 à 16:10

Une éclipse est un phénomène astronomique. Il se produit lors d'un alignement particulier entre 3 corps : le Soleil, la Terre et la Lune. Il y a des éclipses solaires et des éclipses lunaires. Lors d'une éclipse, notre perception de la Lune ou du Soleil change.

Éclipse totale de Lune, opposition de Saturne : que voir dans le ciel en septembre 2025 ?

2 septembre 2025 à 14:24

En septembre 2025, les Français seront bien placés pour voir une bonne partie de l'éclipse totale de Lune. Vous pourrez aussi admirer Saturne dans des conditions d'observations idéales. Voilà le calendrier des phénomènes astronomiques à regarder à l'œil nu -- accessible même aux débutants.

Une tempête solaire arrive ! Pourra-t-on voir une aurore depuis la France ?

1 septembre 2025 à 11:40

Plusieurs éruptions solaires phénoménales se sont produites, ce qui se traduit par de possibles aurores boréales visibles dans le ciel nocturne pour ce début de semaine. En revanche, la France devrait ne pas pouvoir en profiter.

Solaire : l’éclipse espagnole

21 août 2025 à 04:03

Le 28 avril 2025, l’Espagne et le Portugal ont basculé dans l’obscurité. En quelques secondes, près de 60 millions d’habitants ont été plongés dans un black-out massif. Transports figés, communications coupées, hôpitaux sous tension : une panne d’une ampleur inédite, qui a mis en lumière les fragilités de réseaux électriques de plus en plus dépendants des énergies renouvelables.

Alors que l’Espagne est un pionnier dans l’adoption des énergies vertes, cet incident a relancé une interrogation brûlante : le photovoltaïque, jadis célébré comme une solution miracle pour la transition énergétique, est-il en train de perdre de son éclat ?

Le black-out ibérique : une crise révélatrice

Ce 28 avril 2025, à 12 h 33, le réseau ibérique s’effondre. Selon Red Eléctrica de España (REE), le gestionnaire du réseau espagnol, une perte soudaine de 15 GW de production, principalement d’origine solaire, a été enregistrée, représentant environ 60 % de la demande nationale à ce moment précis. Elle fait chuter la fréquence à 49,2 hertz (au lieu de 50 hertz). Une série d’arrêts automatiques se déclenche, les interconnexions avec la France et le Maroc se coupent. L’Espagne et le Portugal entrent alors dans une nuit artificielle qui durera de dix à vingt heures selon les régions.

Très vite, une suspicion se porte sur la centrale solaire Nuñez de Balboa, exploitée par Iberdrola. Selon plusieurs fuites relayées par la presse, des anomalies auraient déstabilisé le réseau, provoquant une réaction en chaîne, amplifiée par la forte proportion de sources renouvelables (70 % de l’électricité provenait du solaire et de l’éolien au moment de l’incident). Mais la ministre de la Transition écologique, Sara Aagesen, tempère. Ce ne serait pas un site isolé qui aurait plongé le pays dans le noir, mais bien un enchaînement de défaillances – erreurs de pilotage de Red Eléctrica de España (REE), manque de capacités de secours disponibles, fragilité structurelle d’un réseau saturé d’énergies intermittentes.

Ce black-out a révélé une réalité technique fondamentale : les énergies renouvelables, bien qu’essentielles à la transition énergétique, posent des défis majeurs en termes de stabilité. Contrairement aux centrales thermiques ou nucléaires, les installations solaires et éoliennes n’apportent pas l’inertie électromécanique indispensable au réseau. Dans un système classique, cette inertie vient des masses en rotation – turbines, alternateurs – qui, comme la roue d’un vélo, permettent de continuer à avancer malgré une secousse ou une variation de cadence. Sans elle, la moindre oscillation de fréquence se transforme en choc violent.

Les panneaux solaires produisent du courant continu à partir de la lumière du soleil, ensuite converti en courant alternatif par des onduleurs. Or, ces équipements électroniques n’apportent aucune inertie. Les éoliennes modernes, pour la plupart connectées via des convertisseurs, ne transmettent pas non plus directement l’énergie cinétique de leurs pales au réseau. Résultat : au moment où l’Espagne fonctionnait avec près de 70 % de renouvelables, la moindre anomalie locale a suffi à faire vaciller l’ensemble du système.

Photovoltaïque : de l’euphorie au désenchantement

L’Espagne s’est longtemps enorgueillie d’être championne européenne du solaire. En 2024, les renouvelables représentaient déjà 56 % de son mix électrique, et le pays vise 81 % en 2030. À certaines heures, le photovoltaïque couvre plus de 60 % de la demande nationale. Mais cette réussite est aussi une fragilité.

Le 28 avril, la surproduction solaire atteignait 32 000 MW pour une demande limitée à 25 000 MW. Face à ce déséquilibre, les systèmes automatiques ont déconnecté en cascade des centrales entières, dès que la fréquence sortait de la plage tolérée. Ce n’est pas tant le solaire lui-même qui est en cause que l’incapacité du réseau à absorber des flux aussi massifs et variables. Sans stockage suffisant, sans mécanismes de régulation modernes, la solution du photovoltaïque se mue en problème.

Une panne aussitôt instrumentalisée

À peine les lumières revenues sur la péninsule ibérique, le débat politique s’est enflammé. En Europe, des figures de l’extrême droite comme l’Allemande Alice Weidel (AfD) ou l’Italien Antonio Tajani (Fratelli d’Italia) ont saisi l’occasion pour accuser le Pacte vert d’affaiblir la sécurité énergétique. En Espagne, l’opposition a réclamé le retour du nucléaire comme garantie de stabilité. Le Premier ministre Pedro Sánchez a répondu que les centrales nucléaires s’étaient elles-mêmes arrêtées lors du black-out, et que seules les centrales hydroélectriques et à gaz avaient permis le redémarrage.

Sur le terrain industriel, le jeu des responsabilités a vite tourné à la passe d’armes en mode renvoi de la patate chaude. Iberdrola s’est exemptée de toute faute, REE a incriminé la proportion excessive de renouvelables, tandis que la fédération patronale Aelec a dénoncé l’absence de centrales synchrones pour assurer la stabilité du réseau. La panne a ainsi révélé une évidence. La transition énergétique n’est pas qu’un enjeu technique, c’est aussi un champ de bataille politique et économique.

Le solaire : un pilier indispensable des ENR

Malgré ce désenchantement, nul ne peut se passer du photovoltaïque. Son association avec les batteries lui confère un rôle potentiel dans le lissage de la demande, dont ne peut se targuer l’éolien, à l’intermittence bien moins cyclique et plus imprévisible. Il s’installe vite, nécessite peu d’investissements lourds, ne présente pas de risque industriel majeur et affiche des progrès constants en matière de rendement et de recyclage. Aujourd’hui, les taux de récupération des matériaux (verre, aluminium, silicium) peuvent aller jusqu’à 95 %. Quant aux batteries, elles gagnent en compacité et en durabilité, en plus d’être moins onéreuses et de voir leurs matériaux (lithium, cobalt, nickel) être recyclables à près de 90 % contre moins de 50 % il y a encore dix ans.

Solaire : la France contre-attaque

J’approfondis

Mais l’intégration efficace et sûre du photovoltaïque aux réseaux exige une transformation profonde de ces derniers. L’Agence internationale de l’énergie estime qu’il faudra ajouter ou remplacer 80 millions de kilomètres de lignes électriques dans le monde d’ici 2040 pour atteindre les objectifs climatiques. Et l’Espagne, enclavée derrière les Pyrénées, doit renforcer ses interconnexions avec le reste de l’Europe pour éviter que de futures perturbations locales ne tournent au désastre continental.

Les pistes existent, comme le développement du stockage hydraulique par stations de pompage-turbinage, la production de batteries de grande capacité, mais aussi les innovations technologiques comme l’inertie virtuelle. Ces convertisseurs électroniques de nouvelle génération permettraient aux installations solaires d’imiter le comportement stabilisateur des centrales conventionnelles. Des équipes de recherche, notamment à l’IMDEA Energía, travaillent déjà sur ces solutions, qui nécessiteront des incitations économiques et des réformes réglementaires pour se déployer à grande échelle.

L’Europe en première ligne

L’Union européenne a lancé une enquête indépendante, confiée à l’ENTSO-E et à l’ACER, pour tirer toutes les leçons du black-out ibérique. Les priorités relevées pointent la nécessité de renforcer la résilience des réseaux, d’améliorer la coordination transfrontalière et d’intégrer les renouvelables dans une architecture plus robuste.

Pour l’instant, la France, protégée par son parc nucléaire et ses dispositifs de protection réseau, a échappé à ce genre de pannes. Mais ce répit ne doit pas masquer une tendance de fond : l’Europe entière est confrontée au défi d’une intégration massive des renouvelables sans fragiliser ses systèmes. Le solaire, par son ampleur et son développement rapide, est au cœur de cette équation.

L’avenir de l’énergie française au cœur d’une guerre de chapelles

J’approfondis

Une transition sous tension

L’éclipse espagnole ne signe pas l’échec du photovoltaïque. Elle rappelle que la transition énergétique ne peut se résumer à déployer toujours plus de panneaux ou d’éoliennes sans investissements massifs sur les réseaux, ses mécanismes de régulation et l’innovation technologique.

Si le solaire reste une pièce maîtresse du mix énergétique, il n’a rien d’un miracle au maniement aisé. Le 28 avril en a témoigné. À l’heure actuelle, un simple excès de production peut plonger une large partie d’un continent dans la nuit.

L’article Solaire : l’éclipse espagnole est apparu en premier sur Les Électrons Libres.

Mercure est à son élongation maximale : ça veut dire quoi ?

19 août 2025 à 16:10

Régulièrement, Mercure et Vénus sont à leur plus grande élongation. C'est une très bonne période pour observer ces planètes dans le ciel. Mais que veut exactement dire l'élongation maximale en astronomie ?

L’eau liquide existerait bien sur Mars… mais pas tous les jours

14 août 2025 à 12:39

Il pourrait y avoir certaines formes d'eau liquide sur Mars. Des traces brèves qui disparaissent lorsqu'il fait trop froid, mais qui pourraient être suffisantes pour aider au développement de certaines formes de vie extrémophiles.

Dans les coulisses des signalements d’OVNIS, « il reste ces 3 % que l’on n’arrive pas encore à comprendre »

11 août 2025 à 14:05

[Témoignage] Antoine Cousyn travaille en tant qu'enquêteur au sein du Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (GEIPAN). Il raconte comment il s’est pris de passion pour ces phénomènes et a compris, à force d’enquêtes et d’analyses, les façons dont la science pouvait apporter des réponses au mystère des « ovnis ».

❌