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Reçu aujourd’hui — 20 mai 2025

Logitech K400 Plus : Le clavier sans fil avec touchpad à 29.99€

20 mai 2025 à 12:21

Mise à jour : On me demande quel clavier choisir pour un MiniPC « canapé » et la recette n’a pas bougé : Le Logitech K400 Plus reste une valeur sûre. Il est à 29.99€ sur Amazon.

Billet original de Juillet 2019 : Nouveau design, boutons différents mais même principe de base. La nouvelle version propose toujours une partie clavier compacte sur la gauche et un pavé tactile sur la droite. Un dispositif qui a fait ses preuves et qui permet de suivre les nouveaux usages lié à des minimachines de plus en plus présentes sous les téléviseurs.

Minimachines

Le Logitech K400 Plus ne révolutionne donc rien tout  en améliorant le concept de base de cette proposition assez ancienne. On reste sur un dispositif relativement classique, avec une belle portée d’une dizaine de mètres et compatible à la fois avec Windows, Android, Linux et ChromeOS. Des boutons Microsoft et Android sont d’ailleurs visibles sur la partie clavier.

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Logitech fait appel à sa technologie Unifying et ses micro-dongles USB pour relier l’appareil à votre machine, l’alimentation se fait par piles et la marque a, semble-t-il, poussé le travail sur l’économie d’énergie puisqu’une paire de AA semble suffisante pour faire tenir l’engin 18 mois d’affilée.

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L’objet mesure 35.5 cm de marge pour 14 cm de profondeur et 2.35 cm d’épaisseur au point le plus volumineux et pèse 380 grammes. La zone tactile mesure 4.7 cm de profondeur pour 7.6 cm de large. Il sera décliné en noir et jaune ou en blanc et bleu avec à chaque fois des rappels colorés assez discrets comme le clic gauche qui est désormais excentré en haut à gauche du dispositif pour être manipulé de la main gauche sans lâcher le clavier.

Par contre, les touches multimédia sont encore et toujours intégrées au reste des autres fonctions et dans les touches F1 à F12.

Attention cependant, les touches fléchées de l’appareil sont désormais très différentes de l’ancien modèles K400. Très compactes, les touches haut et bas ne sont plus que l’ombre d’une touche normale. Enlevant toute possibilité d’une utilisation agréable de celles-ci. Un défaut majeur pour un objet qui servira à piloter une interface de type mediacenter à distance, et où on navigue parfois plus facilement avec les flèches qu’avec un pointeur…

Il est disponible toute l’année sur Amazon entre trente et quarante euros.

Logitech K400 Plus : Le clavier sans fil avec touchpad à 29.99€ © MiniMachines.net. 2025

Aoostar N1 Pro : Le MicroPC Intel N150 12Go / 1 To à 209€

20 mai 2025 à 12:06

Mise à jour : Le Aoostar N1 Pro est en promo chez Geekbuying, j’ai demandé au revendeur d’intégrer l’engin à son catalogue et s’il était possible d’avoir un petit code… Voir en fin de billet.

Le Aoostar N1 Pro est une nouvelle version du modèle sorti tardivement sous Intel N100 l’année dernière. Les différences entre les deux solutions ne sont d’ailleurs pas énormes avec juste un changement de puce interne.

Le nouveau modèle, le Aoostar N1 Pro évolue donc vers le processeur Intel Twin Lake N150, ce qui ne changera pas grand-chose en termes de performances ou de consommation, mais, de l’aveu des fabricants, devient beaucoup plus facile à obtenir. Le N100 a, semble-t-il, été remplacé sur les chaines de production d’Intel par le N150 et les puces se retrouvent au même tarif. L’ensemble du parc devrait donc migrer vers le N150 à moyen terme.

On retrouve une solution de ventilation classique avec un caloduc et des ailettes et une ventilation qui repoussera l’air frais vers l’extérieur, au-dessus de la connectique arrière. 

Le Aoostar N1 Pro est annoncé avec les mêmes spécifications – et probablement une carte mère identique – que le précédent modèle. Il devrait se comporter de la même manière. On retrouvera donc la même quantité de mémoire vive, sans option. Il s’agit de 12 Go de LPDDR5-4800 soudée à la carte mère et un SSD M.2 2242 compatible à la fois avec les SSD NVMe et SATA. Ce SSD sera accessible via la base de la minimachine.

Rien de vraiment extraordinaire si ce n’est que l’ensemble est très compact avec 8.9 cm de large et de profondeur et 4.15 cm d’épaisseur. Un format hyper contraint qui parvient à proposer une excellente connectique.

On retrouve ainsi en façade un unique bouton de démarrage, à droite deux sorties vidéo natives en HDMI et DisplayPort ainsi qu’un port USB 3.2 Type-C qui proposera un signal DisplayPort. L’engin pourra donc piloter trois affichages simultanément. Ce port USB saura également gérer une alimentation Power Delivery 3.0. A gauche, on retrouve trois ports USB 3.2 Type-A et un micro. À l’arrière, un jack audio combo 3.5 mm et un duo de ports Ethernet 2.5 Gigabit pilotés par un chipset Intel I226-V. Le Aoostar N1 Pro embarque un module Wi-Fi5 et Bluetooth 4.2.

Cette distribution connectique est complète, mais peut avoir un petit effet « pieuvre » à l’usage avec des câbles qui partent un peu dans tous les sens. La marque ne précise pas la possibilité d’une exploitation en mode VESA et aucun adaptateur n’est livré avec la machine. C’est probablement le genre de MiniPC à placer sous un bureau ou à coincer dans un meuble pour devenir un miniserveur, une solution domotique ou un lecteur multimédia. La possibilité de piloter l’engin à distance avec un BIOS compatible Wake-On-Lan et capable de se réveiller à heures fixes, permettant de ne pas forcément avoir à y accéder très souvent.

Mise à jour : Comme prévu, Geekbuying a ajouté le produit de son fournisseur à son catalogue et la fait parvenir à son entrepôt Européen. Et comme je suis gentil, ils ont ajouté également un petit code promo pour rendre l’engin plus abordable. La marque propose la version 12Go/1To à 209€ ce qui est très bien si vous recherchez un engin de taille hyper compacte avec deux ports Ethernet et pas mal de stockage pour laisser un mini serveur dans une gaine technique par exemple.

Le modèle AOOSTAR N1 Pro Intel N150 en 12 Go de LPDDR5 et 1 To de stockage SSD est à 239€ mais perd 10€ avec le code NNNBPM01 pour tomber à 229€ livraison offerte.

La version AOOSTAR N1 Pro Intel N150 en 12 Go de LPDDR5 et 1 To de stockage est à 219€ et tombe à 209€ avec le code NNNBPM01 à entrer au moment du paiement. La livraison est gratuite, elle prendra entre 5 et 7 jours pour arriver chez vous depuis un entrepôt Européen.

Aoostar N1 Pro : Le MicroPC Intel N150 12Go / 1 To à 209€ © MiniMachines.net. 2025

Asus ROG Bulwark Dock : un dock unique pour les supporter tous

20 mai 2025 à 11:43

J’imagine qu’une équipe de designer d’Asus s’est dit « pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? » en conceptualisant le ROG Bulwark Dock. Alors qu’ils devaient plancher sur un dock pour la console ROG Ally, ils ont réfléchi à la possibilité de le rendre compatible avec d’autres objets.

Pour la Asus ROG Ally, ce dock est un classique du genre avec une petite nuance. Il est pensé pour être mobile. Contrairement à la majorité de ces solutions, il propose un support qui se replie pour prendre moins de place. Couvert de LEDs RGB pas forcément très utiles, il embarque les connecteurs habituels de ce type d’engin.

Une fois le port USB 3.2 Type-C à angle de 90° connecté, on retrouvera à disposition une sortie HDMI 2.1, trois USB 3.2 Type-A, un port Ethernet Gigabit et un jack audio combo 3.5 mm. Mieux, le Asus ROG Bulwark Dock permettra de recharger un appareil avec une puissance maximale de 100 watts pour 130 watts en entrée. Ce qui lui permettra de remettre d’aplomb des batteries de portables, de tablettes et de smartphone.

Et l’idée est bien là, si vous avez une console PC dans votre bagage et que vous comptez l’utiliser en déplacement sur un téléviseur ou la connecter pour la recharger tout en profitant d’une connectique plus riche pour la mettre à jour, le ROG Bulwark Dock vous permettra également d’exploiter ses ports avec votre ordinateur portable comme un dock classique ou de profiter de son support pour positionner votre smartphone.

Une idée qui ne manquera probablement pas de faire des émules.

Asus ROG Bulwark Dock : un dock unique pour les supporter tous © MiniMachines.net. 2025

Beelink EQR5 : Ryzen 7 5825U 16/500Go silencieux à 319€

20 mai 2025 à 09:45

Avec le EQR5, Beelink ne change pas de méthode. Les éléments découverts dans la gamme EQ sont bien présents. Un boitier simple en ABS moulé, une alimentation intégrée dans le PC pour un encombrement minimal et un fonctionnement discret.

Le Beelink EQR5 mesure 12.6 cm de large comme de profondeur et 4.42 cm d’épaisseur. Ventilé, il est pourtant discret selon le fabricant qui emploie ici le même dispositif interne que le EQR6 que nous avons déjà croisé. Avec une petite nuance de taille, sur le précédent modèle les processeurs embarqués fonctionnaient à 45 watts de TDP. Ici, les puces choisies sont calibrées en 15 watts de TDP. Les Ryzen 7 5825U et Ryzen 5 Pro 5650U sont bien moins gourmands et dégageront moins de chaleur. Un détail qui est particulièrement intéressant avec cette gamme d’engins déjà remarqués pour leur fonctionnement très silencieux.

  Coeurs/Threads Fréquence Cache L3 Circuit Graphique Architecture TDP
Ryzen 7 5825U 8/16 2 à 4.5 GHz 20 Mo Radeon Vega 8 à 2 GHz Barcelo Zen3
7 nm
15W
Ryzen 5 Pro 5650U 6/12 2.3 à 4.2 GHz 16 Mo Radeon Vega 7 à 1.9 GHz Cezanne Zen3
7 nm
15W

Ici, on retrouve donc deux puces de la même gamme mais proposant des capacités différentes. Le Ryzen 7 5825U est plus performant mais aussi plus cher.  Le Ryzen 5 Pro 5650U est un peu moins rapide sans vraiment d’autres avantages que  son prix plus intéressant. A dépense énergétique égale, on préfèrera logiquement le plus puissant des deux processeurs, à moins d’établir finement ses besoins en ressources et savoir que les deux puces peuvent suffire à les combler.

Ces puces seront refroidies par un système classique mais bien optimisé par Beelink. La série EQ que l’on a découvert avec le Beelink EQR6 chez AMD et le Beelink EQI12 chez Intel  est avant tout pensée pour être discrete et ne pas faire de bruit. La ventilation est efficace mais c’est également au niveau des fréquences que la machine va changer. Ainsi, sur un MiniPC de la marque de la gamme SER ou de la gamme EQ, le comportement d’une puce ayant la même consommation ne sera pas le même. Sur les « EQ », Beelink privilégie le confort de l’utilisateur en respectant un usage plus proche de ce que propose un portable sur batterie. Sur la gamme « SER », les processeurs sont plus largement mis à contribution allant, parfois au delà des TDP d’origine. Cela permet à ce type de solution d’être plus rapides mais a également un impact sur leur nuisance en fonctionnement.

Ici Beelink garantit un fonctionnement à 32 dB, ce qui est extrêmement peu pour un MiniPC. Sans être inaudible, c’est souvent assez bas pour se faire totalement oublier une fois éloigné de quelques dizaines de centimètres. A noter, par contre, que ces engins EQ ne sont pas compatibles à la norme VESA et ne pourront donc pas être accrochés derrière un écran.

Aparté performances

Je fais un petit aparté sur ce que permettent ces puces AMD. Histoire qu’on soit sur la même longueur d’onde. Les deux processeurs ne vont pas à la même vitesse mais l’un et l’autre sont situés au même niveau de peloton. Ils sont au-dessus d’un Ryzen 5500U par exemple sans toutefois venir se hisser au niveau d’un 5800H. Ils conviendront très bien à des usages mixtes classiques. On pourra retoucher des images, monter de petites vidéos, faire de la musique, faire de la 3D et même jouer avec ces puces. Rien ne leur est vraiment interdit si ce n’est de se prendre pour des machines professionnelles pour tous ces postes. 

L’étagère à trophée d’un Beelink EQR5 est assez simple à visualiser. Cette machine, équipée de l’une ou de l’autre puce, sera capable de venir à bout de toutes les tâches que demande un PC familial classique, bureautique, navigation web, lecture multimédia, jeu léger et dans des conditions dégradées par rapport à un PC classique mais pour une fraction de leur dépense énergétique. C’est le genre de MiniPC qui va remplacer une tour encombrante classique avec brio et qui fournira le même niveau de service qu’une solution dépourvue de circuit graphique spécialisé. Elle sera peut-être moins rapide sur certains postes, mais pourra venir à bout de la totalité des tâches d’une machine moderne.

Ce qu’il faut retenir sur ces machines basées sur ces processeurs modernes, quels qu’ils soient, c’est qu’elles sont désormais apte à venir à bout de tout ce que l’on demande à un ordinateur dans les usages du quotidien. C’est leur force et leur objectif.

Un MiniPC qui doit être bien épaulé.

Le Beelink EQR5 est donc équipé de processeurs suffisants pour de nombreux usages mais cette performance doit être accompagnée par un ensemble de composants suffisants pour qu’elle puisse s’épanouir pleinement. Malheureusement, le constructeur propose plusieurs modèles de cette minimachine dont certains qui ne sont pas au niveau d’exigences d’un poste familial aujourd’hui. Les versions avec 8 Go de mémoire vive sont clairement sous-dimensionnées pour exploiter parfaitement le potentiel des puces embarquées. 

Il faut leur préférer, et de loin, les versions avec 16 Go de mémoire vive. Ne serait-ce que parce que les 8 Go sont vraiment étroits pour des usages sous Windows 11 avec lequel la machine est livrée mais aussi parce qu’une fois que la partie graphique du processeur se gave de textures en mémoire pour un jeu ou une application, il ne reste que peau de chagrin sur la mémoire globale. Avec 16 Go de DDR4, embarqués sur deux slots de mémoire SODIMM et extensible facilement au besoin vers 64 Go, les MiniPC seront plus réactifs et plus agréables à manipuler. Ils géreront plus de programmes en multitâches et apporteront un réel confort d’utilisation.

Le stockage est toujours de 500 Go au minimum, ce qui est largement suffisant pour un engin de ce genre qui peut simplement être secondé par une unité distante ou une solution USB au besoin. Le demi Téraoctet offre assez de place pour des programmes, des jeux et des documents classiques. Il s’agit d’un SSD M.2 2280 NVMe PCIe  3.0 X4 qui pourra lui aussi évoluer au besoin pour  un stockage plus important.

La connectique est classique et assez sobre. Sur la face avant on retrouve en plus du bouton de démarrage un port USB 3.2 Type-C, un USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm. Une petite LED est visible ainsi qu’un petit trou qui permettra de pousser un interrupteur interne afin de remettre le BIOS à zéro en cas de mauvaise manipulation.

Sur la partie arrière, une nuance par rapport à nos habitudes, la présence d’une alimentation électrique bipolaire directe. Le choix de Beelink sur ces modèles EQ d’intégrer l’alimentation est intéressant, car il permet à la marque de proposer une solution transportable très compacte et étonnamment efficace en termes de bruit. On retrouve deux ports Ethernet Gigabit, un duo de ports USB 3.2 Type-A, un USB 2.0 Type-A et deux sorties vidéo HDMI 2.0. Un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 Intel AX200 est présent pour des connexions sans fil.

L’alimentation 85 watts intégrée dans la machine

A noter que si vous désirez spécialiser ces machines dans des usages particuliers, les deux proposent un mode Wake On Lan et pourront se réveiller automatiquement après une coupure de courant. Cela, ajouté à la présence de deux ports Ethernet Gigabit, peut permettre de transformer l’engin en routeur ou en serveur maison à faible consommation.

La version Ryzen 7 5825U est distribuée en 16/500Go à 319€ grâce à une case à cocher. C’est la version que je vous recommande volontiers pour un usage familial classique et performant.

Voir le Beelink EQR5 sur Amazon

Beelink EQR5 : Ryzen 7 5825U 16/500Go silencieux à 319€ © MiniMachines.net. 2025

Acer Swift Go SFG14-75/T : un 14 pouces Lunar Lake ultra léger

20 mai 2025 à 08:06

La gamme existe depuis plusieurs années désormais et elle devient plus réussie à chaque nouveau modèle. Le nouvel Acer Swift Go SFG14-75/T allie légèreté, confort et performances pour se transformer en véritable bureau ultraportable.

Le 14 pouces est proposé en deux versions. Une avec un écran OLED 60 Hz en 1920 x 1200 pixels et l’autre en IPS plus classique, de même définition et avec un rafraichissement de 120 Hz. Toutes deux pèsent 1.39 Kg et ne mesurent que 16 mm d’épaisseur grâce à un châssis entièrement usiné en aluminium.

On retrouvera à bord des puces Intel Core Ultra 5 226V et Core Ultra 7 258V, jusqu’à 32 Go de mémoire vive LPDDR5x et un stockage assez classique en NVMe PCIe Gen4 mais sans le détail des capacités. La batterie embarquée est une 64 Wh sans qu’aucune autonomie ne soit annoncée pour le moment. Pour le reste, c’est un classique de bon élève avec une webcam FullHD employant un module infrarouge pour de la reconnaissance faciale. Un système d’enceintes stéréo autorisera jusqu’à la norme DTS:X Ultra et le module sans fil proposera du Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4.

La connectique est assez large au vu de l’épaisseur du Acer Swift Go SFG14-75/T : deux Thunderbolt 4, deux USB 3.2 Type-A, une sortie HDMI, un lecteur de cartes MicroSDXC et jack audio combo 3.5 mm.

Une version 16 pouces est également annoncée sous le nom de Acer Swift Go 16 AI SFG16-74/T et fabriquée à partir de la même base logique et connectique. Elle proposera des écrans en 1920 x 1200 IPS 120Hz ou une dalle OLED 2048 x 1280 pixels. Ce modèle proposera un clavier chiclets comme le Swift Go SFG14-75/T mais avec un pavé numérique.

Acer Swift Go SFG14-75/T : un 14 pouces Lunar Lake ultra léger © MiniMachines.net. 2025

MSI Claw A8 : une ConsolePC sous AMD Ryzen Z2 Extreme

20 mai 2025 à 05:04

Mise à jour : ajout du communiqué de presse de MSI France.

La MSI Claw A8 BZ2EM sera donc livrée sous processeur AMD. Après un partenariat courageux avec Intel, le fabricant s’intéresse à son tour aux nouvelles puces d’AMD.

La ConsolePC embarquera un processeur AMD Ryzen Z2 Extreme, une solution développant 8 coeurs et 16 Threads dans un développement de 3 cœurs Zen 5 classiques et 5 cœurs Zen 5c. Son circuit graphique est une solution comprenant pas moins de 16 cœurs RDNA 3.5. Cet ensemble, accompagné par de la mémoire LPDDR5-8000 allant jusqu’à 24 Go et un stockage monté sur un M.2 2280 PCIe Gen4 x4, pilotera un écran de 8 pouces de diagonale. Une dalle tactile en 1920 x 1200 pixels de type IPS, avec un rafraichissement de 120 Hz et 500 nits de luminosité. 

On retrouvera deux ports USB4 pour dialoguer avec l’extérieur, afficher des données et recharger la MSI Claw A8. Un lecteur de cartes MicroSDXC sera également présent avec un jack audio combo 3.5 mm. On retrouvera évidemment les éléments de pilotage classiques du format : joysticks, croix directionnelle, boutons et gâchettes. En plus d’une paire d’enceintes stéréo, de moteurs de vibration, d’une solution Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 et d’un capteur d’empreintes. La console proposera une batterie 80 Wh mais aucune idée de son autonomie pour le moment.

Bref, une MSI Claw A8 qui va beaucoup ressembler aux concurrentes. Mais le constructeur semble vouloir, par ailleurs, proposer d’autres références dont la MSI Claw 8 AI+ toujours chez Intel.

Mise à jour : Le communiqué de presse officiel de MSI France.

« Une expérience de jeu sans limites : deux nouvelles options pour la gamme Claw, avec la plateforme polyvalente Claw A8 et la version améliorée de la Claw 8 AI+ Edition

Après le lancement remarqué de la Claw 8 AI+ à la fin 2024, récemment récompensée par prestigieux prix du meilleur choix COMPUTEX 2025, MSI élargit largement son offre sur le segment du gaming portable avec deux nouveaux modèles présentés en avant-première :
la Claw A8, équipé d’un processeur AMD, et la Claw 8 AI+ Polar Tempest Edition, équipé par Intel.

La Claw A8, propulsé par un AMD Ryzen™ Z2 Extreme, offre un écran 8” FHD+ à 120 Hz, une RAM LPDDR5-800, et une connectique polyvalente. Un choix idéal pour les joueurs qui recherchent une alternative performante dans un design stylé et compact. De plus, son port E/S polyvalent lui garantit une connectivité sans faille pour toutes les expériences de jeu.

De son côté, la Claw 8 AI+ Polar Tempest Edition propose un look entièrement revisité : finition blanche éclatante, revêtement UV scintillant, et stockage amélioré avec un SSD NVMe de 2 To. La console est alimentée par le processeur Intel Lunar Lake qui lui assure puissance et efficacité.

Et pour plus de personnalisation, les deux modèles seront disponibles dans plusieurs coloris exclusifs, permettant à chaque joueur d’adopter un style qui lui ressemble. »

 

AMD Z2 Extreme : une nouvelle puce pour Console PC pour 2025

Source :  VideoCardz

MSI Claw A8 : une ConsolePC sous AMD Ryzen Z2 Extreme © MiniMachines.net. 2025

Reçu hier — 19 mai 2025

GMK EVO-T1 : un MiniPC sous Core Ultra 9 285H en approche

19 mai 2025 à 13:53

On ne sait pas grand chose du GMKtec EVO-T1 pour le moment si ce n’est qu’il essaye un peu d’attirer à lui les projecteurs du Computex. L’engin sort après deux annonces de minimachines au design assez proches, mais équipées de puces Strix Point et Strix Halo chez AMD.

Pour le EVO-T1, le constructeur a fait appel à une puce Intel Core Ultra 9 285H. Une version qui semble combler un espace vide chez GMKtec qui déploie désormais trois machines haut de gamme. Ses EVO-X2 sous Ryzen AI Max+ 395 sont à présent listés en France sur Amazon à partir de 1699€ pour la version 64Go / 1 To et jusqu’à 2199€ pour la version 128 Go / 2 To à paraitre. D’après mes sources, ces engins se vendent comme des petits pains, pas à des joueurs, mais à des pros et des labos de recherche pour des usages entièrement liés à l’utilisation d’IA locales.

La solution pour GMKtec qui doit être en train de se battre avec pas mal de concurrents pour obtenir des puces Strix Halo est donc de faire évoluer sa gamme. Et quoi de mieux que de faire jouer la concurrence en piochant chez Intel un processeur Arrow Lake ? Le EVO-T1 embarquera donc cette puce 16 cœurs (6P+8E+2LE) et 16 threads. Une puce proposant un circuit graphique Intel Arc 140T avec 8 cœurs Xe. Le MiniPC proposera 64 Go de mémoire vive, ce qui devrait lui permettre de faire tourner des IA locales, du moins le modèle 32B de DeepSeek R1. Évidemment cela restera également un MiniPC classique avec d’énormes possibilités de travail et de jeu.

Peu d’autres infos ont été données et si on peut déterminer la présence d’un très logique port Thunderbolt, de trois USB Type-A et d’un jack audio combo 3.5 mm en façade, on n’a pas grand-chose d’autre à se mettre sous la dent. Prévu pour le mois de juillet, le MiniPC devrait être dévoilé dans deux jours, lors d’un évènement d’Intel.

GMK EVO-T1 : un MiniPC sous Core Ultra 9 285H en approche © MiniMachines.net. 2025

Acer PD163QT : un double écran mobile à 399€

19 mai 2025 à 12:56

Prévu pour le mois de juillet, l’Acer PD163QT est un de ces écrans mobiles qui commencent à se multiplier pour épauler des portables en mobilité. La particularité de ce modèle est qu’il propose deux écrans au lieu d’un seul. Et cela change, à mon sens, beaucoup la destination du produit.

Le PD163QT propose donc deux affichages de 15.6 pouces autour d’une charnière qu’on alimentera en images via un USB Type-C ou en HDMI 1.4. Exploitable en modes portrait et paysage, l’écran embarque une béquille afin de le soutenir. On pourra donc le positionner pour avoir les deux écrans l’un sur l’autre ou l’un à côté de l’autre. Avec une charnière s’ouvrant à 360°, il pourra également se positionner en mode tente pour afficher du contenu de chaque côté.

Les dalles sont de type IPS, en FullHD classique avec un rafraichissement de 60 Hz et une colorimétrie juste correcte correspondant à 72% de la norme NTSC. Le dispositif propose par ailleurs de petits haut-parleurs intégrés de 2 watts et une prise jack audio stéréo.

Le point le plus important de cette solution est sans doute dans la possibilité d’alimenter les deux écrans séparément avec de l’USB Type-C et le HDMI pour venir afficher le contenu de deux engins différents. 

Annoncé pour juillet à 399€, cet Acer PD163QT pourra aussi bien épauler une machine en mobilité que devenir un compagnon déployable facilement pour travailler avec un MiniPC discret. J’imagine bien la solution d’un double écran rangé dans une bibliothèque ou un tiroir que l’on irait brancher sur un MiniPC sur un bureau afin de travailler ponctuellement. Avec la possibilité de le suspendre à un dispositif via sa béquille dans un atelier, par exemple. J’imagine également le côté fun d’avoir deux écrans en mode « bataille navale » pour jouer en mobilité ou l’intérêt de disposer de deux affichages en mode présentation pour montrer, par exemple, les deux côtés d’un site de service.

Acer PD163QT : un double écran mobile à 399€ © MiniMachines.net. 2025

Acer Predator Triton 14 AI : un 14.5″ gaming OLED avec stylet actif

19 mai 2025 à 10:34

Compact, performant et exploitable comme une tablette. Le Acer Predator Triton 14 AI semble répondre à pas mal de critères chez les utilisateurs aujourd’hui.

Le Acer Predator Triton 14 AI répond à un vœu que j’ai formulé il y a plusieurs années pour inciter les marques à sortir leurs machines du lot. Je parle d’un temps assez lointain où les constructeurs proposaient tous les mêmes netbook 10 pouces équipés des mêmes composants. À l’époque, j’avais suggéré de proposer des engins spécialisés. Un modèle abordable avec un petit clavier musical intégré par exemple, un autre avec une tablette tactile. L’idée étant de pouvoir balader sa minimachine pour autre chose que ce que proposaient tous les constructeurs tout en ajoutant un petit clavier classique Bluetooth au package pour une exploitation plus traditionnelle.

Un paquet d’année plus tard, voilà que le Acer Predator Triton 14 AI se présente. Alors ce n’est pas tout à fait le même concept, car l’engin n’est pas vraiment taillé pour enfiler des habits low-cost, mais il propose bien une surface exploitable avec un stylet actif sur son pavé tactile haptique. Sous un clavier de type chiclets rétroéclairé, on retrouve une surface en verre Gorilla Glass de Corning qui permet la manipulation d’un stylet actif. Ce dernier offre 4096 niveaux de pression, prend en charge l’orientation du trait et réagit à des pressions de 10 à 450 grammes. Mieux, Acer a fait l’effort d’assurer une large compatibilité pour son stylet. Celui-ci est compatible avec les normes AES 2.0, USI 2.0 et MPP 2.5 pour utiliser des modèles que vous avez déjà.

Dans le triton tout est bon

Le nouvel Acer Predator Triton 14 AI propose un châssis fin et léger. Avec 32.2 cm de large pour 22.1 cm de profondeur, le constructeur a réussi une très belle intégration. Si on considère la dalle et l’équipement de l’engin, le résultat est encore plus incroyable quand on connait son épaisseur de 17 mm et un poids total de 1.6 Kg.

Je ne connais pas le secret d’Acer pour intégrer les composants de cet engin, mais c’est impressionnant. On retrouve une dalle de 14.5 pouces OLED tactile en 2880 x 1800 pixels avec un rafraichissement de 120 Hz, un rafraichissement de 1 ms et une colorimétrie contrôlée correspondant à 100% de la gamme DCI-P3. Chaque dalle est testée en usine pour proposer un affichage parfait. 

Pour alimenter ces 5 184 000 pixels, on retrouvera des puces Lunar Lake pouvant aller jusqu’au Core Ultra 9 288V. La partie graphique est confiée à un circuit NVIDIA GeForce RTX 5070. La mémoire vive « LunarLakienne » sera de la LPDDR5x-8533 dépendant de la puce et donc jusqu’à 32 Go embarqués. Le stockage est un classique M.2 2280 NVMe PCIE 4.0 pouvant grimper à 2 To.

Un module sans fil Intel Killer 1750i proposera du Wi-Fi7  et du Bluetooth 5.4. La connectique est assez complète avec un Thunderbolt 4, un USB 3.2 Type-C, deux USB 3.2 Type-A, une sortie vidéo HDMI 2.1, un jack audio combo 3.5 mm et un lecteur de cartes MicroSDXC. La machine pourra piloter trois écrans externes en plus du sien puisque le port USB Type-C prend en charge un signal DisplayPort 1.4. À noter par ailleurs qu’un des ports USB Type-A permet la recharge même PC éteint.

Une webcam FullHD est présente avec micro et détection biométrique infrarouge. La restitution sonore sera assurée par un dispositif DTS:X piloté par un ensemble de six haut-parleurs. Pas de détail sur l’autonomie, juste que la batterie est une 76 Whr sans précision de recharge rapide.

Un Acer Predator Triton 14 AI qui vise autant les créatifs que les joueurs

Chose intéressante chez Acer, son Triton n’est plus seulement à la recherche de clients orientés vers le jeu. La marque embrasse désormais les deux communautés : créateurs et joueurs. Il faut dire que cela fait un moment que ces deux communautés sont probablement très mixtes. Je connais peu de musiciens, graphistes ou vidéastes qui ne s’amusent pas un peu sur leurs machines. Inversement, je vois également pas mal de joueurs qui passent du temps à réaliser des vidéos, des images, de la musique ou des productions 3D. Il faut dire qu’avec une majorité de Français joueurs, il y a peu de chances de taper à côté de la cible en orientant les deux usages.

C’est néanmoins encore assez rare de voir des marques cibler aussi frontalement les deux usages mais je pense que c’est la bonne méthode. Surtout au vu des prix demandés. Le fait de recourir à des dalles calibrées en usines par Calman est un avantage pour les deux profils. La présence d’une solution Nvidia intéressera le joueur pour les capacités de calcul, le DLSS4 et les fonctions liées. Mais aussi les créateurs avec l’apport du Nvidia Studio. 

Les LEDs RGB du clavier, le châssis usiné en métal, le revêtement anti-traces, la partie audio évoluée, tout cela a du sens pour tous les utilisateurs et permettra de faire passer la pilule du prix plus aisément. Le tarif n’est en effet pas des plus abordables. La gamme démarre à partir de 2999€.

Acer Predator Triton 14 AI : un 14.5″ gaming OLED avec stylet actif © MiniMachines.net. 2025

Le Beelink Me Mini en images et en détails

19 mai 2025 à 06:15

Je ne vais pas lui jeter la pierre mais le Beelink Me Mini de Manu montre chez lui une certaine compulsivité d’achat. Il a sauté sur la promo à 409€ sur Amazon et a reçu dans la foulée sa minimachine. Là où c’est très grave, c’est que ce n’est pas sa première.

Des preuves accablantes sont visibles sur les images. Derrière le Beelink Me Mini on retrouve une autre NAS, légèrement plus encombrant. Un Synology DS2415+, choisi probablement pour faire également table basse. Et on voit une petite différence de taille entre les deux appareils. Il faut dire qu’avec 12 baies 3.5 pouces, le syno est tout de même assez encombrant.

Mais cela n’e s’arrête pas là car Manu a également  quelques autres minimachines. Ici un Minisforum UM773 qui fait de l’ombre au MicroNAS.

Et un duo de Firebat, je ne sais pas lequel est visible sur ce cliché. Manu possède un Firebat AK2 Plus qui lui sert pour embarquer une solution Proxmox et un Firebat T2 en plus, au cas où, je suppose.

Invisible sur les photos, un quarième MiniPC avec un Beelink Mini S12 Pro pour compléter sa petite et sympathique collection. On voit ici le NAS NVMe à côté d’une souris et cela permet de bien se rendre compte des dimensions de l’engin. Pour rappel, il s’agi d’un cube qui ne mesure que 9.9 cm de côté.

Sans sa coque, on découvre donc cette solution assez originale de mini tour composée d’un élément central en aluminium anodisé noir qui est entouré de divers éléments. Ici, on peut voir la carte réseau sans fil Intel AX101 en Wi-Fi6 et Bluetooth 5.1 dans un format M.2 2242. Les antennes sont collées à des éléments en mousse pour les séparer du corps central du châssis.

Les emplacements des SSD 5 et 6 montrent leurs accroches pour pouvoir connecter des modèles de tailles différentes. Le SSD embarqué est un Crucial P3 Plus de 2 To sur l’emplacement 4. Manu va intégrer un SSD NVMe 500 WD Red pour installer un système TrueNAS et des SSD de 1 TO en RAID 1 autour.

Pas d’espace perdu, la totalité du boitier est rempli par le dissipateur en métal, les ailettes proposent un échange d’air conséquent. Ici, on voit l’alimentation positionnée en hauteur dans un compartiment aménagé dans le bloc d’aluminium.

Il s’agit d’une solution 12V en 3.75A alimentée directement par une prise bipolaire très classique. L’alimentation profitera de la ventilation interne au même titr que les aurtes composants : Intel N150, mémoire vive, SSD et carte Wi-Fi…

De l’autre côté du châssis, les trois emplacements de SSD restant en 1, 2 et 3. Un eMMC de 64 Go est également disponible à bord. Mais Manu ne compte pas s’en servir. Dans son cas ce n’est pas exploitable, c’est lui qui abrite la licence de Windows 11 de la machine mais l’exploiter ralentirait l’usage voulu. Il ne va donc pas être utilisé.

Au-dessus de l’engin, on peut voir le ventilateur choisi, un modèle qui va aspirer l’air du dessus de la machine et le repousser en dessous, évacuant ainsi constamment la chaleur générée par les différents éléments.

La connectique est assez simple, avec juste ce qu’il faut pour piloter l’engin en solo sur un poste pour le configurer et… pas grand chose d’autre si ce n’est la présence de ces deux ports Ethernet 2.5 Gigabit Intel u226-V. On retrouve donc la prise d’alimentation, un USB 2.0 Type-A et une sortie vidéo HDMI. En facade, on a pu voir un USB 3.2 Type-C et un USB 3.2 Type-A en plus du bouton de démarrage et de LEDs.

Un petit tour du propriétaire très sympathique pour cet engin aux usages particuliers. Si Manu a la chance d’avoir un gros NAS Synology et un tout petit Beelink Me mini en plus, c’est probablement pour des usages très différents. On imagine que les deux solutions peuvent se compléter de pleins de façons.

Un grand merci à Manu pour ses clichés réalisés un dimanche. Pour ma part, j’ai profité de mon repos dominical pour demander un exemplaire à Beelink…2

Le NAS-PC Beelink Me mini sous Intel N150 à 409€ en France

Le Beelink Me Mini en images et en détails © MiniMachines.net. 2025

Reçu avant avant-hier

Minisforum UM750L Slim : un Ryzen 5 7540U 16Go/1To à 349€ !

17 mai 2025 à 07:37

Le UM750L Slim débarque quelques jours après l’annonce par Minisforum du UM690L. Les engins ont beaucoup de points communs en dehors de leur processeur. Ils partagent les mêmes « trucs » pour faire baisser la note.

Le Minisforum UM750L Slim propose un processeur AMD Ryzen 5 7540U, une puce 6 cœurs Zen 4 pour 12 Threads avec 16 Mo de cache et une fréquence oscillant de 3.2 à 4.9 Ghz. Son circuit graphique embarqué est un Radeon 740M avec 4 cœurs graphiques RDNA 3 à 2.5 GHz. Une puce tout à fait capable de répondre à toutes les sollicitations classiques d’un PC aujourd’hui : bureautique, web, création 2D, 3D, montage vidéo, programmation et même jeu avec, évidemment, certaines restrictions de qualité et de définition. 

Le constructeur l’assemble ici avec 16 Go de mémoire vive non évolutive en LPDDR5-6400 soudée à la carte mère et ajoute deux ports M.2 2280 à l’équation pour le stockage. Le premier sera un NVMe PCIe 4.0 x4 équipé d’un SSD de 1 To sur lequel sera installé Windows 11. Le second un NVMe PCIe x2 libre de recevoir un stockage supplémentaire. C’est la même recette que pour le UM690L. Le recours à de la mémoire soudée permettant au constructeur de faire quelques économies.

La marque promet un fonctionnement très calme avec un volume sonore inférieur à 35 dB lorsque la machine est sollicitée au maximum de ses capacités. Un système de déplacement de chaleur vers des ailettes grâce à des caloducs et une ventilation active permettant de rejeter la chaleur vers l’arrière de la minimachine. Un second ventilateur, placé au niveau des SSD, permet également de refroidir l’ensemble des composants.

L’appareil propose une connectique très sage avec des éléments très classiques et complets. En face avant, un bouton de démarrage, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm. À l’arrière, un Ethernet 2.5 Gigabit, une sortie vidéo HDMI 2.1 et une autre en DisplayPort 1.4. Un USB4 et deux USB 2.0 Type-A. C’est  – exactement – la même connectique que le UM690L. L’engin change de coloris avec une coque argentée mais reprend précisément le même format 0.8 litres avec 13 cm de large pour 12.65 cm de profondeur et 5.04 cm d’épaisseur. Une hauteur qui pose d’ailleurs la question de cette appellation « Slim ».

Le Minisforum UM750L est proposé sur le site Français de la marque à 349€ en version 16Go de LPDDR5 et 1 To de SSD NVMe, ce qui est ma foi un assez bon prix pour un engin de ce niveau de performances. Il est livré sous Windows 11 et son processeur est plutôt bon, peu gourmand et efficace. Cela fait de ce MiniPC une machine à tout faire plutôt convaincante pour ce tarif.

Voir l’offre chez Minisforum France

Minisforum UM690L : un Ryzen 9 6900HX 16Go/1To à 425€

Minisforum UM750L Slim : un Ryzen 5 7540U 16Go/1To à 349€ ! © MiniMachines.net. 2025

Minix Z150-AERO : Le MiniPC N150 16/512 Go en promo à 239€

17 mai 2025 à 06:44

Mise à jour : Valérie signale que le Minix Z150-AERO est désormais proposé sur Amazon France et qu’il est en promotion à 239.90€. Cela fait une alternative intéressante surtout si vous recherchez un modèle de MiniPC avec des fonctions de réveil réseau, de réveil programmable et de mise en marche automatique en cas de reprise de courant. 

Billet original du 19/03/2025 : Pas encore disponible chez nous, le Minix Z150-AERO a fait son apparition sur Amazon US. Peu de changements sur cet engin qui passe de l’Intel N100 à l’Intel N150.

Plusieurs constructeurs me signalent désormais de grandes difficultés pour obtenir des puces Alder Lake-N comme le N100. Le modèle Twin Lake Intel N150 les remplace au même tarif. Il est donc logique de voir les gammes basculer peu à peu toute leur production vers ces puces. Cela est d’autant plus facile que les processeurs sont parfaitement interchangeables sans procéder à d’autres aménagements techniques. Une machine sous Intel N100 peut accueillir un N150  en changeant simplement son approvisionnement.

Le Minix Z150-AERO reprend donc à 100% l’offre précédente avec toujours de la DDR4-3200 sur un slot SODIMM, un stockage M.2 2280 NVMe PCIe 3.0 et une connectique toujours aussi complète. On retrouve toujours un jack audio combo 3.5 mm, un USB 3.2 Gen 2 Type-C avec signal DisplayPort et deux ports USB 3.2 Gen 1 Type-A sur la partie avant.

De l’autre côté s’additionnent deux USB 3.2 Gen 1 Type-A, un DisplayPort 1.4, une sortie HDMI 2.1, deux Ethernet en Gigabit pour le premier (RTL8111H) et un 2.5 Gigabit pour le second (RTL8125BG-CG). Petite nuance tout de même puisque le module Wi-Fi passe d’une version 5 précédemment à une version 6 associée à du Bluetooth 5.1. 

L’engin devrait être proposé dans les semaines qui viennent sur Amazon France, la machine est déjà proposée à 249.90$ HT en version 16/512 Go aux US.

Minix Z100-AERO : un MiniPC Intel N100 très classique

Minix Z150-AERO : Le MiniPC N150 16/512 Go en promo à 239€ © MiniMachines.net. 2025

Ultimea Poseidon D80 : un kit 7.1 Dolby Atmos complet à 249€

16 mai 2025 à 15:56

Le kit Ultimea Poseidon D80 est un ensemble très complet comprenant une barre de son, quatre enceintes satellites, deux pieds accessoires et un caisson de basse pour créer un espace Dolby Atmos. L’idée, c’est de reproduire un son enveloppant, une ambiance cinéma, chez soi.

En début de semaine, Ben8 me demande par email si je n’ai pas la possibilité de trouver un dispositif du genre. Le kit Ultimea Poseidon D80 semble correspondre à toutes ses exigences. Il doit couter moins de 300€, c’est le budget alloué à son futur Home Cinéma pour le moment. Il doit également fonctionner comme solution d’écoute musicale Bluetooth et accepter une entrée optique pour son ampli.

Je suis ici dans les clous avec un kit qui correspond à ses besoins. On retrouve une connectique avec un port USB, une entrée optique, un HDMI In et une sotie HDMI Out pour se connecter à un téléviseur ou un vidéoprojecteur. Cette sortie est d’ailleurs compatible eARC ce qui permet un retour d’information entre votre téléviseur et le kit pour adapter la gestion du son en 7.1. Un port jack très classique en entrée est disponible.

L’ensemble est constitué de 6 éléments pour gérer du 7.1. La barre de son diffuse en stéréo avec une enceinte frontale et deux auxiliaires, les deux enceintes satellites ouvrent les angles en surround avec un câble de 3 mètres pour chacune. Les enceintes arrière couvrent le son sur 360° et le caisson s’occupe des basses. Dans ce kit, des trépieds sont fournis pour les enceintes arrière en plus des kits de montage muraux pour l’ensemble.

À noter, et c’est assez important, le caisson de basse doit être alimenté électriquement et c’est vers lui que seront connectées les enceintes arrière avec des câbles de 6 mètres 3. Le dialogue entre le caisson et la barre de son se fait, quant à lui, sans fil. Le système profitant de la très faible latence du Bluetooth 5.3 pour s’en affranchir. Comme Scorcese l’aurait voulu4.

 

Le tout est donc compatible avec un signal Dolby Atmos 7.1 et une application permet de piloter finement les différents profils d’écoute. Un égaliseur sur 10 bandes est présent pour faire vos propres réglages en plus des nombreux modes pré-enregistré pour la musique, les films ou tout type de diffusion.

En mode « musique » par exemple, l’entrée son peut se faire en Bluetooth 5.3 depuis un smartphone ou une tablette et un réglage peut permettre de retrouver une signature d’orchestre, une diffusion d’ambiance ou un simple signal en stéréo suivant votre source.

Le kit est proposé à 299€ et baisse à 249€ avec le code NNNFRPD80 chez Geekbuying. La boutique le stocke en Allemagne pour une livraison gratuite et rapide. Voilà, si cela peut convenir à Ben8, je pense que cela pourrait également satisfaire d’autres lecteurs.

À noter que la version avec double trépieds arrière est aussi en promo, mais avec un autre code. Elle passe de 299€ à 279€ en utilisant NNNFRUPD8 dans votre panier.

Voir l’offre chez Geekbuying

Ultimea Poseidon D80 : un kit 7.1 Dolby Atmos complet à 249€ © MiniMachines.net. 2025

Acer Aspire 14 AI, oubliez l’IA et concentrez vous sur le reste

16 mai 2025 à 06:06

J’aime bien Acer. J’aime surtout ce qu’est devenu Acer au fil des années. Parti de pas grand-chose en tant que marque du temps des eMachines. C’est devenu un fabricant respectable, innovant, impliqué dans le marché et proposant une gamme de PC réellement pertinents. Cet Acer Aspire 14 Ai semble tout à fait intéressant d’un point de vue technique, avec un équipement sobre et un prix correct. Mais c’est également un bon exemple de la déconnexion actuelle du marché des ordinateurs portables d’avec leur public.

 

799€, c’est le prix de ce 14 pouces très compétent. Construit avec une puce Intel Lunar Lake, ici un Intel Core Ultra 5 226V qui a la double particularité d’être gravé par TSMC en 3 nanomètres et d’embarquer la mémoire vive du système en son sein. 16 Go de LPDDR5x-8533 double canal qu’on ne pourra donc pas faire évoluer. Le stockage est, quant à lui, confié à un SSD beaucoup plus classique. Un M.2 2280 NVMe PCIE 4.0 en 512 Go. Cet ensemble apportera un très bon niveau de performances mobiles croisé avec une consommation très maitrisée pour assurer une bonne autonomie.

Tout ce petit orchestre travaillera à afficher des données sur un très bon écran OLED en 1920 x 1200 pixels de 14 pouces de diagonale. Une dalle fonctionnant à 60 Hz avec une luminosité de 400 nits en 16:10 adaptée à ce type de machine mobile. La partie graphique Intel ARC du processeur pourra gérer efficacement cet affichage et profiter de fonctions avancées comme une colorimétrie calibrée à 100% de la gamme DCI-P3, profiter d’un True Black 500 pour des noirs profonds et d’un temps de réponse de 1 ms.

 

Le reste de la machine est très pertinent également avec un châssis de 31.89 cm de large pour 22.51 cm de profondeur et d’une épaisseur variant de 1.5 à 2.5 cm suivant son profil pour un poids de 1.4 Kg. Le clavier choisi est un chiclets rétro éclairé qui sera bien entendu proposé en AZERTY en France.  Il apparait au-dessus d’un large pavé tactile et semble comme enfoncé dans l’épaisseur châssis. Au-dessus de la charnière qui s’ouvre à 180°, un écran à bordures fines, une webcam FullHD avec infrarouge pour la prise en charge de la reconnaissance faciale, une paire d’enceintes et un micro.

Sur la gauche du châssis, une connectique assez classique des nouveaux appareils nomades, composée d’un double port USB4, d’une sortie vidéo HDMI et d’un USB 3.2 Type-A. Sur la droite, un second USB Type-A identique, un Antivol type Kensington Lock et un jack audio combo 3.5 mm. Le recours à un dock en mode sédentaire sera donc recommandé. La connexion aux réseaux sans fil se fera grâce à un module Intel Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3

L’Acer Aspire 14 Ai proposera une batterie Lithium-Ion 65 Wh avec un chargeur externe USB Type-C en 65W. Son autonomie annoncée peut aller jusqu’à 22 heures, ce qui sera, hors d’un laboratoire, plus proche des 12-14 heures en usage réel. On a donc un engin passe partout classique et efficace avec un bon niveau de capacités techniques, de bonnes compétences de calcul et un prix tout à fait correct. Matériellement, à 799€ à la Fnac, c’est un portable tout à fait classique que la marque pousse en avant comme une solution compétente sur de nombreux postes. Logiciellement, c’est un engin sous Windows 11 très classique.

Le problème n’est donc pas matériel ni logiciel mais bien plutôt dans l’enrobage de l’ensemble. Poussés par la folie qui entoure ce que tout le monde appelle « intelligence artificielle » en ce moment, Acer présente son engin comme le champion de cet usage. Présenté comme un PC Copilot+, avec une compétence de calcul dédiée de 47 TOPS, cette machine serait un véritable assistant virtuel. 

Acer explique que son 14 pouces permettrait de gagner du temps et de renforcer sa productivité en confiant des tâches à l’IA de Microsoft. Copilot+ suffirait à pallier vos pannes d’inspiration, vous aiderait à reformuler vos textes, à organiser votre travail. Avec une promesse idéalisée, celle de ne plus avoir à faire d’efforts. Outre le fait qu’il faut n’avoir jamais essayé Copilot pour y croire, cette idée d’un portable autonome avec IA embarquée est basée sur une annonce précédente de Microsoft, celle d’un LLM plus simple, au nom de code « Phi Silica » qui pourrait tourner vite et bien sûr une « petite » machine avec 16 Go de mémoire et 47 TOPS de NPU au total. 

Le souci de Phi Silica, c’est que tout entrainée qu’elle soit à faire certaines tâches, cette IA est ridiculement petite. Avec 3.3 milliards de paramètres quand les solutions en ligne en agrègent régulièrement jusqu’à 200 milliards, elle ne fera pas face aux usages déjà adoptés par le grand public. L’IA sera donc ici surtout reléguée à des usages secondaires comme du sous-titrage ou de l’amélioration de visioconférence. Microsoft promet que Copilot pourra faire un résumé de texte, même s’il ne le fera sans doute pas aussi bien en local qu’une application d’IA ne pourrait le faire en ligne. Et c’est tout le problème de l’éditeur aujourd’hui. Apporter des services locaux intégrés à Windows est un objectif compréhensible sur ce segment, mais penser qu’une machine mobile pourrait concurrencer des Data Center de plusieurs centaines de millions d’euros parait un peu illusoire. Et comme le public s’est habitué au niveau de qualité de réponse de ces Data Center, il y a peu à parier que celui-ci encaisse une dégradation aussi forte du service.

Micheline va à la bibliothèque pour demander ce qu’il y a dans les livres à Copilot

D’un point de vue plus secondaire, encore qu’il soit peut-être plus important, mais moins dans mon spectre d’analyse, ces annonces me font assez froid dans le dos. Microsoft pousse tous les potards à fond pour vanter son IA et ne pas rater une nouvelle révolution technologique. Et cela passe par ce genre de discours pro Intelligence Artificielle à 1000%. Annoncer qu’avec son IA Copilot on pourra profiter d’un travail réalisé sans effort annonce également un travail qui n’aura bientôt plus aucune « valeur ». Si une machine peut trouver une idée à votre place, rédiger un texte autour de cette idée et l’adapter à son public. Si elle peut résumer un texte, le paraphraser et l’expédier par email avec un minimum d’intervention de votre part, où est l’intérêt de vous faire travailler ? 

Cette mise en avant d’une IA qui viendrait au secours de l’utilisateur pour lui mâcher le travail jusqu’à le rendre facile c’est la négation même de ce travail. C’est la dévalorisation des compétences de chacun, l’annulation des diplômes et même de l’enseignement. Un détail d’autant plus douloureux que cette machine cible d’ores et déjà « les étudiants, les designers et les créateurs de contenus. »

La promesse forte de ces engins sous Copilot c’est d’avoir un assistant productif toujours avec soi. Mais le corollaire de cette assistance, c’est bien la dévaluation rapide de la valeur de vos propres compétences. Si c’est une IA qui mâche votre boulot alors celui-ci pourrait logiquement être confié à n’importe qui avec assez de jugeote pour faire une série de copiés collés. Je ne suis pas foncièrement anti-IA, l’outil peut avoir beaucoup d’intérêt pour certaines tâches et certains défis techniques, scientifiques et médicaux. Mais comme tous les outils de mon quotidien, je préférerais pouvoir le choisir. Et pas le retrouver implanté de force dans mon prochain PC. Or c’est précisément la volonté de Microsoft aujourd’hui. L’éditeur conjugue son futur avec Copilot et tord le bras des constructeurs pour qu’ils en fassent la promo jusqu’à graver une touche avec son logo. Et moi j’ai de plus en plus la sale impression de me retrouver comme une grosse dinde que les géants de la tech veulent gaver de cette bouillie de mots creux autour de cette fameuse intelligence. Et cela absolument contre mon gré.

 

Avec Copilot, Microsoft s’offre une touche de publicité

Acer Aspire 14 AI, oubliez l’IA et concentrez vous sur le reste © MiniMachines.net. 2025

La toute nouvelle Anycubic Kobra 3 V2 Combo à 339€

15 mai 2025 à 09:30

La Kobra 3 V2 Combo d’Anycubic reprend les grandes lignes du premier modèle tout en améliorant ses prestations de multiples manières. Cela reste une imprimante 3D à filament classique et c’est l’entrée de gamme de la marque. Pour autant, ce n’est pas un modèle au rabais.

Pas vraiment prévue dans les calendriers de sorties, la Kobra 3 V2 débarque un peu sans prévenir chez Anycubic. Il faut dire que cette V2 est bien un modèle qui a évolué et pas une véritable nouveauté. Une sorte de correctif de la V1 rendu possible par les évolutions récentes de la marque. On retrouve donc un modèle cartésien classique, ouvert, capable d’imprimer en grand et proposé à un prix très proche de la première en promo.

Parmi les nouveautés, on note un changement de taille d’impression maximale. De 250 x 250 x 260 mm de volume, on passe à 255 x 255 x 260 mm. 5 mm de gagné de chaque côté, c’est peu de chose mais cela permettra sans doute d’imprimer certains groupes d’objets plus confortablement. La machine bascule également sur le nouveau traitement de buse mis en palce pour la Kobra S1 sortie après la première Kobra 3 et qui est réputé offrir une meilleure tenue dans la durée.

La V2 embarque par ailleurs une caméra par défaut. Une solution 720P qui apporte à l’imprimante tout le confort d’une vision à distance mais aussi les fonctions de surveillance par IA. Le logiciel Anycubic pouvant détecter un décrochage de votre impression, les erreurs d’impression type « spaghetti » ou autres. Une alerte évite ainsi de gâcher du filament inutilement. Anycubic indique également avoir amélioré la précision et la vitesse de l’ensemble et confirme la possibilité de piloter jusqu’à 8 filaments différents. La Kobra 3 V2 peut désormais atteindre les 600 mm/s théoriques ce qui permettra des impressions plus rapides à des vitesses plus raisonnables, car si cette fulgurance de laboratoire est rarement exploitable en réalité, mais elle montre des capacités plus élevées en usage normal.

La mise à niveau  automatique de la machine est aussi annoncée comme plus efficace et plus rapide. Ce qui évitera les réglages fastidieux avant impression. Le projet des constructeurs d’imprimantes modernes et d’Anycubic ces dernières années étant de ranger au placard les idées qui ont la vie dure sur les difficultés liées à cette pratique de l’impression 3D. Si les premiers modèles sortis étaient clairement très gourmands en réglages et avaient la fâcheuse habitude de consommer beaucoup trop de temps en préparation et en impression, les imprimantes de ces dernières années sont plus automatisées, plus fiables et rapides. Augmentant largement leur efficacité.

L’appellation Kobra 3 V2 Combo vient justement de la présence d’un coffret de stockage de filaments qui va prendre en charge les bobines et les stocker à l’abri de la poussière. Ce dispositif permet de gérer l’hygrométrie des matériaux et ainsi éviter des soucis d’impression. C’est également lui qui va distribuer les différents matériaux. Je ne suis pas spécialement fan de la gestion multicouleurs des impressions, car cela provoque un gâchis énorme de matériau lié à la purge des coloris. Mais avoir « sous la main » différentes couleurs ou différents matériaux sans avoir à changer toute sa bobine, c’est réellement très pratique. Ainsi, je garde toujours un filament de base, peu cher, qui sert pour du prototypage rapide et des filaments plus coûteux qui permettent une impression finale. Bien sûr l’option d’impression mélangeant plusieurs filaments reste possible et la machine est livrée avec de quoi connecter deux boitiers externes pour gérer 8 bobines.

Le prix de la Anycubic Kobra 3 V2 Combo est réduit à 359€ jusqu’au 18 mai, après cette date, il repassera à 499€. Avec le code promo MINIMACHINES, ce tarif baisse encore de 20€. Un total de 339€ donc pour une imprimante rapide, fiable et efficace livrée avec son coffret de gestion 4 couleurs.

La version sans le coffret multi filaments est proposée à 249€ au lieu de 349€ et le code fonctionne également pour la ramener à 229€. 

Voir l’offre chez Anycubic

Avec du recul, je suis toujours aussi ravi de leurs machines. j’ai la Kobra 3 V1 combo et la Vyper10 qui tournent et aucun problème particulier avec ces deux modèles.

Anycubic Kobra 3 Combo : L’impression multi filament à 321€ !

La toute nouvelle Anycubic Kobra 3 V2 Combo à 339€ © MiniMachines.net. 2025

La prochaine console Zotac tournera bien sous Linux

14 mai 2025 à 08:14

C’est bien un processeur Strix Point qui sera à bord de la prochaine console portable de Zotac, un AMD Ryzen AI 9 HX 370. On le sait depuis janvier. Cette seconde version de la console Zotac Gaming Zone doit sortir à une date encore indéterminée et cache toujours bien des secrets. Une partie du voile concernant son système d’exploitation a été levée.

Zotac est en effet au travail pour présenter au public un système d’exploitation maison. Une version très retravaillée de la distribution Linux Manjaro. Un choix un peu étrange de la part de Zotac que j’ai du mal à expliquer. Valve propose SteamOS exactement pour ce type de produit que sont les ConsolesPC. Je n’ai pas idée de la qualité des contrats qui lient les différents fabricants à Valve pour obtenir le droit d’employer cette distribution particulière, mais on peut imaginer qu’il s’agit d’une solution d’engagement classique. Pourquoi choisir un développement indépendant qui sera couteux à produire ? Est-ce lié à des engagements avec d’autres produits chez Microsoft ? Est-ce que Zotac veut avoir les coudées franches pour faire précisément ce qu’il veut avec sa nouvelle minimachine ?

Quoi qu’il en soit, Zotac insiste sur un développement parfaitement taillé pour sa console autour de Manjaro. On se doute que derrière cette façade, on retrouvera un univers tournant sous la brique Open Source qu’est Proton pour assurer une compatibilité avec les jeux Windows, mais rien d’autre des motivations du fabricant. 

La nouvelle solution proposera un écran 7 pouces en 120 Hz, de la mémoire LPDDR5x, un stockage non détaillé sur un port M.2 2280 en NVMe PCIe 4.0 et elle embarquera une batterie de 48.5 Wh qui ne précise pas d’autonomie. On retrouvera à bord un module Wi-Fi6e et Bluetooth 5.2. L’interface de jeu devrait être très classique et semblable à celle de la première version. La puce AMD Strix Point apportera évidemment plus de muscles à l’ensemble sans que l’on sache vraiment son impact sur la batterie embarquée. La connectique annoncée serait composée de deux ports USB4, un jack audio combo 3.5 mm et un lecteur de carte MicroSDXC.

Aparté : Avec un peu de recul, ce genre d’annonce est très intéressant à suivre. Il était absolument impensable il y a encore quelques années qu’un constructeur annonce une sortie d’un produit « PC » sous autre chose que Windows. L’évolution proposée par le travail de Valve et l’offre Proton a réellement bousculé la donne.

La prochaine console Zotac tournera bien sous Linux © MiniMachines.net. 2025

Valve va lister les jeux compatibles SteamOS

14 mai 2025 à 06:06

Valve va différencier les jeux compatibles SteamOS et ceux compatibles avec le Steam Deck. Ce qui permettra à un utilisateur sur le magasin d’applications de la marque de voir quels seront les jeux susceptibles de fonctionner avec son matériel.

La distinction entre Steam Deck et Steam OS est importante. Valve précise bien que pour le moment seule la ConsolePC Lenovo Legion Go S est concernée mais que d’autres matériels sont en approche. Or ces matériels ne seront pas forcément équivalents à la console Steam Deck. Valve s’appuiera donc sur la compatibilité Steam Deck pour établir automatiquement celle de Steam OS. Les éditeurs et développeurs de jeu n’auront donc rien à faire. Une fois qu’un jeu sera testé sur le Deck, sa compatibilité sur SteamOS sera automatiquement générée et ajoutée sur sa fiche.

On comprend donc à demi-mots que cette compatibilité n’est pas forcément synonyme d’une parfaite jouabilité. Le jeu peut se lancer sous SteamOS mais sans assurer qu’il tournera assez bien pour être jouable. Cela dépendra en grande partie de l’équipement de la machine qui sera employée. Le Steam Deck sert de mètre étalon pour assurer un niveau de performances suffisant et d’autres consoles ou PC sont sortis et vont sortir avec d’autres équipements techniques. Certains seront moins compétents en calculs, d’autres ne proposeront pas forcément les mêmes options de contrôle. Cette précision de compatibilité sera néanmoins intéressante pour le joueur de passage.

À noter que l’affichage de cette compatibilité se fera automatiquement pour les utilisateurs parcourant le catalogue de jeux avec leur appareil. Un utilisateur lambda ne verra rien tandis qu’une machine sous SteamOS autre que le Deck affichera cette information. Le site ne parle que des matériels officiels, mais il y a fort à parier que tous les ordinateurs sous SteamOS auront droit à ce détail.

Plus d’infos chez Steam

 

Valve va lister les jeux compatibles SteamOS © MiniMachines.net. 2025

Minisforum UM690L : un Ryzen 9 6900HX 16Go/1To à 425€

13 mai 2025 à 14:35

Le Minisforum UM690L est évidemment moins cher que ses prédécesseurs. Le temps est passé et la puce Ryzen 9 6900HX, tout aussi excellente soit-elle, a perdu de son attrait face aux nouvelles sorties. Il y a aussi que Minisforum a choisi de faire quelques aménagements techniques pour tirer les prix vers le bas.

Ainsi le Minisforum UM690L n’utilise plus de mémoire vive sur barrette SODIMM mais de la LPDDR5-6400 soudée à la carte mère et non évolutive. Un changement qui permet d’économiser quelques euros pour la marque et qui offre deux choix pour l’acheteur. 16 Go ou 32 Go. Il sera impossible de faire évoluer son MiniPC vers 64 Go de mémoire vive, ce qui n’est assurément pas le choix le plus courant du marché, même si cela reste une option intéressante pour certains usages.

Autre changement, la disparition de l’emplacement 2.5 pouces SATA3. Le UM690L fonctionne désormais grâce à deux ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0. Cela permettra d’embarquer jusqu’à 4 To de stockage très rapide dans l’engin. La partie stockage est couverte par un dissipateur en aluminium et secondée par un système de ventilation. Un second ventilateur est placé sur le haut du châssis pour évacuer la chaleur du processeur. Le Ryzen 9 6900HX est une excellente puce aux performances toujours très convaincantes.

Il s’agit d’un processeur 8 cœurs Zen3+ déployant 16 Threads pour une enveloppe thermique de 45 watts pour des fréquences allant de 3.3 à 4.9 GHz. Son circuit graphique Radeon 680M est construit autour de l’architecture RDNA2 avec 12 cœurs. L’ensemble propose assez de réserves pour travailler et créer au quotidien. Assez de performances pour proposer d’excellentes capacités de jeu et la possibilité de pouvoir consommer la totalité des formats vidéo et audio sur le marché.

La connectique est classique avec tout d’abord un excellent réseau sans fil en Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 en plus d’un port Ethernet 2.5 Gigabit. La face avant laisse apparaitre un bouton d’alimentation, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm.

Sur l’arrière, on retrouve une sortie HDMI 2.1, un DisplayPort 1.4, un USB4 avec données et DisplayPort et deux USB 2.0 Type-A. Le UM690L pourra donc piloter trois écrans en simultané et pourra être alimenté par une solution Power Delivery entre 65 et 100 watts à la place de son port Jack classique. Il offrira également une solution externe d’alimentation à hauteur de 15 watts. Livré sous Windows 11, il occupe un espace de 0.8 litre pour 13 cm de large, 12.6 cm de profondeur et 5 cm d’épaisseur, il peut se fixer en mode VESA grâce à l’accessoire fourni.

Le Minisforum UM690L est proposé en plusieurs versions. Sur Amazon on le retrouve à 425€ en version 16 Go / 1 To. Il est par ailleurs listé à 449€ en 32 Go / 500 Go et à 469.99€ en version 32 Go / 1 To. 

L’engin est également proposé chez Minisforum France à 429€ en version 16 Go / 1 To et 459€ en version 32 Go / 1 To

Minisforum UM690L : un Ryzen 9 6900HX 16Go/1To à 425€ © MiniMachines.net. 2025

Exclu : Le site de vente Tomtop va fermer ses portes

13 mai 2025 à 10:17

Tomtop c’est un fournisseur de matériel chinois qui gravite dans la même galaxie que des acteurs comme Banggood ou Geekbuying. La marque s’approvisionne localement auprès des différents fabricants disponibles, négocie des prix, stocke et distribue ensuite à travers toute la planète ses produits.

Tomtop a installé au fil des ans de nombreux entrepôts un peu partout sur la planète. Aux USA, en Europe, en Amérique du Sud et ailleurs. Proposant aussi bien du matériel de loisir que des composants électroniques, des produits informatiques, des vêtements, des outils et même des produits de jardinage ou de beauté. Le catalogue s’est étoffé jusqu’à accueillir des milliers de références généralement introuvables ailleurs.

Mais ces dernières années, la concurrence s’est accentuée pour le distributeur. Là où Geekbuying a su trouver des relais avec des opérations spéciales et des lancements exclusifs dans les secteurs informatique, domotique et loisir. Là où Banggood a su développer une branche loisir et bricolage avec beaucoup de choix et de produits souvent intéressants, Tomtop n’a, semble-t-il, pas su trouver sa voie.

L’évolution des places de marché comme AliExpress et Amazon rendant plus facile l’exportation directe des produits sans passer par des intermédiaires comme Tomtop a encore accentué le problème. Si un magasin ne peut pas négocier une exclusivité, dénicher un objet original ou obtenir un tarif réellement plus intéressant, pourquoi continuer à commander à l’autre bout du monde ? AliExpress promet désormais des livraisons rapides. Amazon stocke le produit pour quelques euros de plus sur une palette en France… L’existence d’un site d’exportation de ce type n’a de sens que s’il propose quelque chose de différent ou de véritablement plus intéressant financièrement parlant.

Des prix parfois imbattables

L’autre élément à prendre en compte et qui pourrait avoir un fort impact dans les années qui viennent est le foisonnement du secteur. De plus en plus de marques chinoises ont compris aujourd’hui tous les rouages de la distribution internationale. Cela se voit extrêmement bien sur le secteur informatique, la grande majorité des fabricants proposent dorénavant une vente en direct de leurs produits sur quasiment toute la planète. Des sites traduits dans toutes les langues qui s’appuient sur des plateformes de paiement reconnues et faciles d’emploi. Les canaux de distributions annexes ne vont pas pour autant disparaitre, mais il risque d’y avoir ici aussi une concentration des acteurs.

Cafago n’a jamais caché sa filiation avec Tomtop

Tomtop essuie des pertes et le distributeur est donc sur le point de cesser son activité, d’ici la fin du mois d’après mes sources. La marque emportera dans son sillage le site Cafago.com qui est une sorte de clone basé sur le même stock et qui a tenté depuis sa création en 2016 de proposer une autre image des mêmes produits. j’ai toujours eu de bons rapports avec Tomtop et cette disparition n’est pas forcément une bonne nouvelle. Moins de concurrence sur ce segment pourrait avoir des effets négatifs.

En attendant, deux conseils assez paradoxaux. Ne faites plus de commande chez Tomtop de produits onéreux et/ou hors stock. Mais n’hésitez pas non plus à regarder les promos qu’ils ont en stock. Il est possible que certains d’entre eux qui vous intéressent finissent à un très bon tarif. Les matériels en stock sont en général expédiés le jour même ou le lendemain.

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Chuwi UBox Mini : un Ryzen 5 6600H 16/512 Go à 223€

13 mai 2025 à 09:22

C’est toujours étonnant de voir de nouvelles machines débarquer avec des processeurs plus anciens sur le marché des MiniPC mais c’est sans doute la solution la plus logique. Le Chuwi UBox Mini propose un Ryzen 5 6600H de 2022 et cela lui permet d’être proposé à un tarif très intéressant.

Si le Chuwi UBox Mini embarque un 6600H qui a désormais 2 ans et demi, c’est avant tout parce qu’il s’agit d’un excellent processeur. Il a bien le défaut d’être un peu gourmand en énergie avec un TDP de 45 watts. Toutefois, si on considère le reste de ses capacités, c’est une excellente solution pour la majorité des usages. Avec 6 cœurs Zen 3+ pour 12 Threads, il fonctionne de 3.3 à 4.5 GHz et déploie pas moins de 16 Mo de cache L3. Il propose surtout un circuit graphique Radeon 660M RDNA 2 bien plus rapide que le RX Vega du Ryzen 5 5600H.

Le Ryzaen 5 6600H est un processeur assez surprenant en jeu

L’intérêt pour Chuwi d’embarquer cette puce est évident. La note doit être beaucoup moins salée que pour l’achat d’une puce plus moderne pour cette minimachine. Avec ce Ryzen 5 6600H, le constructeur peut additionner 16 Go de mémoire vive DDR5-4800 en double canal et 512 Go de stockage sur un SSD M.2 2280 NVMe PCIe 3.0 pour moins de 250€. Ce qui est, encore une fois, un excellent tarif pour ce niveau de confort et de performances. Si on ajoute à l’équation un second port M.2 2280 NVMe libre et la possibilité de jusqu’à 64 Go de mémoire vive facilement, cela ouvre encore d’autres perspectives.

Le MiniPC est enfermé dans un boitier classique même si légèrement plus encombrant que la moyenne. Il mesure 12.8 cm de large pour 13 cm de profondeur, il mesure 5.7 cm de haut et pèse 650 grammes. Il est possible de le monter en mode VESA derrière un écran avec la plaque de fixation livrée. Cette épaisseur s’explique par la présence d’une ventilation à la base de l’engin.

Un ventilateur assez imposant aspire de l’air chaud depuis les côtés et la façade de la machine pour l’éjecter au travers d’un système de caloduc et d’ailettes vers l’extérieur. Une solution classique, dimensionnée pour assurer correctement le refroidissement du Ryzen. A noter au passage que Chuwi a choisi de placer le processeur vers le bas de la carte mère ce qui positionne la grille d’extraction d’air sous la connectique, ce qui n’est pas forcément optimal et nécessitera un peu d’optimisation dans le placement des câbles.

La façade avant est assez riche avec un bouton de démarrage, un jack audio combo 3.5 mm, un USB4 et deux ports USB 3.2 Type-A. À l’arrière, on retrouve un USB 3.2 Type-A supplémentaire, un USB 2.0 Type-A, des sorties vidéo DisplayPort 1.2 et HDMI 2.0, deux ports Ethernet 2.5 Gigabit et un jack d’alimentation très classique. La partie sans fil est complète avec un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 dont on n’a pas le détail d’installation. Il est donc probablement soudé à la carte mère.

Cela fait du Chuwi UBox Mini un excellent modèle au final. Le ratio performances / prix est excellent, l’équipement en mémoire vive et stockage est à la fois suffisant et évolutif et la connectique suffisamment souple pour répondre à tous les besoins. La présence d’un port USB4 qui assurera de pouvoir employer un dock au besoin et l’arrivée d’un modèle prêt à l’emploi avec un Windows 11 Pro préinstallé sont également de gros avantages.

Ce type de machine se rapproche niveau tarif des MiniPC Intel Alder Lake Core i3 N300 et N305 et Twin Lake Core 3 N300 et N350 mais proposera de bien meilleures performances en calcul et surtout en capacités graphiques. A 223.53€ sur AliExpress depuis un stock Espagnol de la branche Européenne de la marque, grâce au code FRSS10 repéré par Alain à entrer dans votre panier, cela fait de ce MiniPC un excellent investissement pour tout type d’usages : bureautique, jeu, 3D, programmation, surf, multimédia, retouche d’image et montage vidéo.

Voir l’offre sur AliExpress

Chuwi UBox Mini : un Ryzen 5 6600H 16/512 Go à 223€ © MiniMachines.net. 2025

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