AKKA-ASP Team fera partie des équipes présentes en Intercontinental GT Challenge Powered by Pirelli cette année. Le team français basé à Rabastens fera rouler une Mercedes-AMG GT3 sur l’intégralité de la saison, à savoir Spa-Francorchamps, Indianapolis, Kyalami et la finale au Moyen-Orient.
L’équipage sera annoncé ultérieurement mais on y verra au moins un pilote officiel. L’écurie dirigée par Jérôme Policand a déjà roulé dans le passé en IGTC en dehors de Spa, à Laguna Seca.
Le trio qui évoluera en IGTC sera le même toute la saison à l’exception des Total 24 Heures de Spa qui ouvriront le championnat en juillet prochain.
AKKA-ASP Team disposera d’un châssis Mercedes-AMG GT3 spécifique pour l’Intercontinental GT Challenge. Cinq châssis Evo sont déjà dans les ateliers AKKA-ASP plus deux AMG GT3 sans le kit Evo.
Pour la deuxième année, Audi Sport customer racing Asia met en place le Audi Sport Asia Trophy. Tous les pilotes classés Bronze par la FIA roulant en Audi R8 LMS GT2, GT3 et GT4, mais aussi en Audi RS 3 LMS marqueront des points.
En fin de saison, un total de 100 000 euros en pièces sera distribué aux trois meilleurs pilotes. En plus de cela, les trois pilotes les mieux classés en GT3 recevront une entrée gratuite pour disputer les 10 Heures de Suzuka 2022 dans le cadre de l’Intercontinental GT Challenge.
Mercedes-AMG voit l’arrivée de Felipe Fraga en tant que pilote soutenu par la marque allemande. Le Brésilien, âgé de 25 ans, va disputer l’Intercontinental GT Challenge pour le compte de AKKA-ASP Team.
Felipe Fraga et AKKA-ASP Team ont déjà collaboré dans le passé avec à la clé le titre Blancpain GT Series Endurance 2019 en Silver Cup avec Nico Bastian et Timur Boguslavskiy.
On retrouve cette année le pilote Stock Car en WEC chez TF Sport.
J'avais prévu de publier cet article vendredi dernier. En le finalisant, je me suis rendu compte qu'il contenait une importante erreur. J'ai préféré décaler sa publication afin de corriger l'erreur.
Chère lectrice, cher lecteur,
Dans l'article 134 sur l'épisode d'inflation aux États-Unis, j'ai écrit que le système économique américain ne s'est pas tout à fait comporté selon les prédictions des modèles macroéconomiques. Ce décalage entre les prédictions et les observations est une bonne occasion d'illustrer comment les énigmes scientifiques émergent dans la science économique, et comment les aborder avec rigueur.
Commençons par les prédictions. Grâce à la courbe de Phillips, la théorie macroéconomique standard prédit qu'à court terme, il n'est pas possible de lutter en même temps et contre l'inflation, et contre le chômage. Si la banque centrale mène une politique monétaire anti-inflation, le chômage augmentera. Si l'État mène une politique de lutte contre le chômage, l'inflation augmentera. On dit qu'il existe un arbitrage entre chômage et inflation.
Or, aux États-Unis, le récent épisode d'inflation, auquel la Federal Reserve (Fed) a répondu avec une politique monétaire anti-inflation relativement classique, n'a pas été associé à une augmentation du chômage. Le chômage aurait dû augmenter, même un peu. Or, comme le montre la Figure 1, il n'a pas du tout augmenté.
Par contraste, la Figure 2 montre l'évolution du taux de chômage et du taux d'inflation entre 1972 et 1985. On voit que lorsque l'inflation diminue, le chômage a tendance à augmenter. C'est par exemple le cas entre 1980 et 1983.
Peut-être que sans la politique monétaire anti-inflation de la Fed, le taux de chômage aurait baissé encore davantage. Ce contrefactuel n'est en réalité pas envisageable : il est difficile pour le taux de chômage de baisser en dessous de 3.5 %. En d'autres termes, le chômage est déjà à son niveau minimum et n'aurait pas pu baisser davantage. La prédiction de la courbe de Phillips de court terme semble bel et bien ne pas s'être matérialisée.
Je vous propose de représenter ces données comme on le fait avec une courbe de Phillips : en abscisse, le taux de chômage, en ordonnées, le taux d'inflation. J'ai séparé les données en plusieurs sous-périodes, en me basant sur la littérature sur la courbe de Phillips (pour les trois premières périodes, et pour les trois dernières).
Il y a beaucoup d'information sur le graphique. Prenons le temps de les détailler.
L'information qui m'intéresse, c'est la pente des différentes droites d'ajustement. Chaque droite "résume" la relation statistique entre le chômage et l'inflation pour chaque période. La première droite (points turquoises) correspond par exemple à la période 1955-1971. À part pour la période 2022(Q2)-2023 (étoiles dorées), les pentes sont systématiquement négatives (les droites "vont vers le bas").
Sous réserve qu'un ajustement linéaire soit une bonne approximation des différents nuages de points, la pente négative signifie que pour chaque période, il existe une relation négative entre le taux de chômage et le taux d'inflation : si l'un augmente, l'autre diminue — et inversement. C'est tout le message de la courbe de Phillips de court terme.
Pour autant, on voit que la pente de la droite pour 2022(Q2)-2023 est inversée : elle est croissante ! Si on isole cette seule période, cette pente différente des autres droites d'ajustement apparaît clairement.
Comme l'illustre la Figure 3, la pente de la droite d'ajustement peut varier d'une période à l'autre. Cette variation de la pente signifie que l'intensité de l'arbitrage entre inflation et chômage est plus ou moins forte selon les périodes. Mais depuis juillet 2022, la relation entre inflation et chômage n'a pas seulement changé d'intensité. Elle a même changé de sens !
Sur les Figures 3 et 4, j'ai ajusté la période depuis juillet 2022 avec une droite. Il me semble que l'on peut plutôt argumenter que la droite d'ajustement pour la période 2022(Q2)-2023 est verticale. C'est en tout cas ce que suggère la Figure 5.
Une droite verticale signifie qu'il n'y a pas (ou plus) d'arbitrage entre inflation et chômage.
Dans le détail, il y a deux courbes de Phillips : la courbe de court terme, et la courbe de long terme. Le consensus scientifique est que la courbe de long terme est une droite verticale : à long terme, il n'y a pas d'arbitrage entre inflation et chômage. À court terme, par contre, il y a un arbitrage. En toute vraisemblance, les données américaines montrent que la courbe de Phillips de court terme est devenue elle aussi verticale, au moins sur la période 2022(Q2)-2023.
Comment expliquer cette énigme scientifique ? Je n'ai bien évidemment pas la réponse. Pour autant, il me semble que l'on peut d'ores et déjà faire quelques commentaires.
Le premier commentaire est que des travaux récents montrent que la courbe de Phillips a commencé à devenir davantage verticale dès 2021 (donc avant l'épisode d'inflation).
Le second commentaire, lié au premier, est qu'il y a peut-être eu une transformation du système économique américain du fait de la COVID. De nombreuses chaînes logistiques se sont transformées. Le marché du travail s'est transformé. Est-ce que ces transformations du système économique expliquent pourquoi les prédictions de la courbe de Phillips de court terme ne se sont pas matérialisées ? Je ne sais pas. Mais il me semble que l'hypothèse n'est pas invraisemblable.
Le troisième commentaire concerne les autres pays. Ont-ils connu, eux aussi, une "verticalisation" de leur courbe de Phillips de court terme ? Je n'ai pas vérifié. Mais selon que le phénomène est spécifique aux États-Unis, ou plus général, il me semble que l'explication de cette transformation substantielle de la courbe de Phillips de court terme pourra être différente.
Le quatrième commentaire est que cet "échec" des prédictions de la courbe de Phillips de court terme est une bonne nouvelle. La lutte contre l'épisode d'inflation ne s'est pas faite au prix d'une augmentation du chômage. On a pu faire diminuer l'intensité d'un phénomène économique néfaste (l'inflation) sans faire augmenter l'intensité d'un autre phénomène économique néfaste (le chômage).
Même si, à l'avenir, la courbe de Phillips de court terme reprend une pente négative aux États-Unis, le simple fait qu'elle soit devenue verticale pendant au moins cet épisode d'inflation est une authentique énigme scientifique. Je n'ai guère de doute que de nombreux macroéconomistes travaillent d'ores et déjà à essayer de l'expliquer. Car c'est ainsi que l'on résout les énigmes scientifiques dans la science économique : dans la littérature scientifique. Pas dans une newsletter comme L'Économiste Sceptique. Pas sur les plateaux télé. Pas en superposant des graphiques comme le font certains magazines économiques que je préfère ne pas citer, qui semblent complètement ignorer que corrélation n'est pas causalité. Et encore moins en utilisant ses seules observations personnelles.
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Papiers, cartons, plastiques, barquettes, verres... On hésite parfois entre la poubelle jaune ou noire au moment de jeter un déchet. Ces quelques consignes de tri vous aideront à savoir quels produits sont recyclables, ou non.
Le stockage d’énergie peine à se faire reconnaître à sa juste valeur dans la transition énergétique. Cela pourrait changer avec les nouvelles ambitions européennes en la matière, qui pourraient faire du stockage la véritable pierre angulaire de ses objectifs climatiques.
Quand on parle de transition énergétique, de décarbonation et de sortie des énergies fossiles, on pense tout de suite aux énergies renouvelables, au premier rang desquelles l’éolien, l’hydroélectricité et le photovoltaïque. Et presque jamais de stockage. Pourtant, le développement des énergies renouvelables, et même du nucléaire, doit nécessairement s’accompagner d’une augmentation des capacités de stockage pour pallier la variabilité de leur production. Ce stockage peut s’effectuer avec différents moyens comme les batteries ou les stations de transfert d’énergie par pompage (STEP).
Certains pays l’ont bien compris et ont accéléré le développement de leur capacité de stockage, comme l’Espagne qui investit pour financer des systèmes de stockage massif d’énergie. Il n’en va pas de même en France, qui ne ressent pas le besoin immédiat de développer ses capacités de stockage. Pourtant, un tel chantier prend du temps. Et comme nous l’indiquait Yannick Peysson, responsable du programme stockage et gestion de l’énergie à l’IFPEN, dans un précédent article sur le stockage, grand oublié de la transition énergétique,« c’est dès maintenant qu’il faut s’y mettre » pour répondre à la demande de demain.
Le stockage d’énergie pris en compte par la Commission européenne
Toutefois, les choses pourraient s’accélérer sous la pression de la Commission européenne. Dans un communiqué de presse du 6 février 2024, l’instance recommande une réduction de 90 % des émissions nettes de gaz à effet de serre (GES) d’ici à 2040 (par rapport à 1990). Il s’agissait de déterminer l’étape intermédiaire de 2040, avant d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.
Et pour y parvenir, la Commission n’oublie pas le stockage, inclus dans les outils disponibles pour atteindre cet objectif intermédiaire : « le secteur de l’énergie devrait parvenir à une décarbonation complète peu après 2040, sur la base de toutes les solutions énergétiques à émissions nulles et faibles en carbone, y compris les énergies renouvelables, le nucléaire, l’efficacité énergétique, le stockage […] ». Le document ajoute qu’il sera nécessaire de mettre en place « des réseaux plus intelligents », « une flexibilité de la demande et des solutions de stockage ». Le développement des moyens de stockage d’énergie n’est donc plus une option et tous les États membres vont devoir s’y mettre.
Le Q1 est un ancêtre de l’ordinateur personnel, sa première commercialisation date de 1972, ce qui en fait un des tous premiers ordinateurs dits « desktop » au monde. Si il ne s’agit pas vraiment d’un PC au sens « micro ordinateur de monsieur tout le monde » il reste un pionnier dans l’histoire de la miniaturisation informatique.
L’histoire est assez incroyable. Il y a quelques temps en Angleterre, des nettoyeurs de maison sont mandatés pour aller vider un bâtiment rempli de tout un tas de matériels. Et, dans un lot de cartons variés bourrés de paperasse et de diverses vieilleries, ils tombent sur deux étranges machines, des Q1 Systems. Ne sachant pas trop quoi faire de ces engins au design ancien mais parfaitement conservés, ils en réfèrent à leur chef. Celui-ci a la bonne idée de contacter des spécialistes.
Le Q1 dans toute sa splendeur
Et ces experts de constater que ce que les nettoyeurs viennent de découvrir ne sont pas des déchets mais bien des morceaux de l’histoire de l’informatique. Deux machines particulières puisque leur format et leur date de commercialisation en 1972 en font des pionniers de l’aventure informatique grand public. Ces Q1 sont assemblés par Q1 Corporation, une société Américaine qui livre une première machine aux US à cette époque. Ce n’est pas encore une production de masse, loin de là, mais l’engin est fonctionnel. Il fonctionne avec un écran plasma orange et embarque un processeur Intel 8008 sorti 8 mois auparavant seulement.
Une énorme prouesse de rapidité de développement pour l’époque. La mémoire vive embarquée ici est de 16 Ko et la fréquence de la puce atteint 800 KHz. Cette production sous processeur Intel 8008 sera d’ailleurs de courte durée puisque Q1 Corporation remplacera bientôt (en 1977) le 8008 par un Zilog Z80 très populaire pendant les années 70. La marque sera ensuite rachetée par Nixdorf Computer avant sombrer dans l’oubli.
Ce que viennent de découvrir ces employés de la société de nettoyage a donc une certaine valeur, aussi bien historique que financière. Les deux ordinateurs retrouvés seront bientôt mis aux enchères pour qu’un particulier ou un musée (ou un particulier qui les offrira ensuite à un musée) puisse les acquérir.
Cette revue de presse sur Internet fait partie du travail de veille mené par l’April dans le cadre de son action de défense et de promotion du logiciel libre. Les positions exposées dans les articles sont celles de leurs auteurs et ne rejoignent pas forcément celles de l’April.
La cour d’appel de Paris a condamné Orange à payer 650.000 euros à la société coopérative Entr’Ouvert pour ne pas avoir respecté la licence GNU GPL v2.
Tout en rappelant que son indice était plus ambitieux que celui prévu à l’heure actuelle par l’Union européenne, le ministère de l’écologie a fini par abandonner son projet, auquel la Commission européenne s’était dite défavorable.
Le navigateur au panda roux n’est plus aussi populaire qu’auparavant. Ironiquement, sa meilleure arme contre Chrome pourrait être… l’un de ses anciens projets.
Marina Ferrari, députée Modem de Savoie, vient d’être nommée secrétaire d’État chargée du numérique. Elle remplace un collègue du MoDem, Jean-Noël Barrot, désormais ministre en charge de l’Europe.
Crucial is unveiling the latest addition to its Gen5 consumer NVMe SSD lineup today - the T705 PCIe 5.0 M.2 2280 NVMe SSD. It takes over flagship duties from the Crucial T700 released last year. The company has been putting focus on the high-end consumer SSD segment in the last few quarters. The T700 was one of the first to offer more than 12 GBps read speeds, and the T705 being launched today is one of the first drives available for purchase in the 14+ GBps read speeds category.
The Crucial T705 utilizes the same platform as the T700 from last year - Phison's E26 controller with Micron's B58R 232L 3D TLC NAND. The key difference is the B58R NAND operating at 2400 MT/s in the new T705 (compared to the 2000 MT/s in the T700). Micron's 232L NAND process has now matured enough for the company to put out 2400 MT/s versions with enough margins. Similar to the T700, this drive is targeted towards gamers, content creators, and professional users as well as data-heavy AI use-cases.
The move to 2400 MT/s NAND has allowed Crucial to claim an increase in the performance of the drive in all four corners - up to 20% faster random writes, and 18% higher sequential reads. Additionally, Crucial also claims more bandwidth in a similar power window for the new drive.
The T705 is launching in three capacities - 1TB, 2TB, and 4TB. Both heatsink and non-heatsink versions are available. Crucial is also offering a white heatsink limited edition for the 2TB version. This caters to users with white-themed motherboards that are increasingly gaining market presence.
Phison has been pushing DirectStorage optimizations in its high-end controllers, and it is no surprise that the T705 advertises the use of Phison's 'I/O+ Technology' to appeal to gamers. Given its high-performance nature, it is no surprise that the E26 controller needs to be equipped with DRAM for managing the flash translation layer (FTL). Crucial is using Micron LPDDR4 DRAM (1GB / TB of flash) in the T705 for this purpose.
Crucial is confident that the supplied passive heatsink is enough to keep the T705 from heavy throttling under extended use. The firmware throttling kicks in at 81C and protective shutdown at 90C. Flash pricing is not quite as low as it was last year, and the 2400 MT/s flash allows Micron / Crucial to place a premium on the product. At the 4TB capacity point, the drive can be purchased for as low as 18¢/GB, but the traditional 1TB and 2TB ones go for 20 - 26 ¢/GB depending on the heatsink option.
There are a number of Gen5 consumer SSDs slated to appear in the market over the next few months using the same 2400 MT/s B58R 3D TLC NAND and Phison's E26 controller (Sabrent's Rocket 5 is one such drive). The Crucial / Micron vertical integration on the NAND front may offer some advantage for the T705 when it comes to the pricing aspect against such SSDs. That said, the Gen5 consumer SSD market is still in its infancy with only one mass market (Phison E26) controller in the picture. The rise in consumer demand for these high-performance SSDs may coincide with other vendors such as Innogrit (with their IG5666) and Silicon Motion (with their SM2508) gaining traction. Currently, Crucial / Micron (with their Phison partnership) is the only Tier-1 vendor with a high-performance consumer Gen5 SSD portfolio, and the T705 cements their leadership position in the category further.
L’augmentation des prix de l’électricité en février 2024 a secoué les budgets de nombreux Français. Selon une enquête de Rothelec, plus de la moitié des ménages prévoient de réduire encore davantage leur consommation et se tournent de plus en plus vers le mix énergétique pour limiter leurs dépenses.
Prix de l’électricité : 61% des Français vont (encore) réduire leur consommation
L’enquête menée par Rothelec auprès de 3.101 foyers français révèle une profonde indignation suite à l’annonce de la hausse des prix de l’électricité le 1ᵉʳ février 2024. Pour 71% des sondés, cette augmentation est scandaleuse, tandis que 22% elle est moyennement acceptable. Seuls 7% des interrogés semblent l’accepter sans trop de réticences. Cette hausse, perçue comme un véritable « racket d’État », met une nouvelle fois en lumière le désarroi des ménages. Les répercussions de cette augmentation sur les budgets des Français sont palpables. Une majorité, soit 61%, admet devoir réaliser des économies supplémentaires pour compenser la dernière hausse.Seule une minorité de 28% des foyers estime pouvoir absorber cette augmentation sans difficulté notable.
L’avenir des prix de l’électricité reste par conséquent une source d’inquiétude majeure au sein de la population. Plus de deux tiers des Français (66%) anticipent de nouvelles augmentations dans les années à venir, tandis que 29% espèrent une stabilisation des tarifs. Seulement 3% des sondés sont optimistes quant à une baisse future des prix. Cette situation peu réjouissante incite les ménages à chercher des solutions durables afin de diminuer leur dépendance aux variations des prix de l’énergie et de garantir leur approvisionnement énergétique.
Le solaire a le vent en poupe
Confrontés à cette hausse, les Français explorent des alternatives pour alléger leur facture énergétique. L’enquête de Rothelec montre que seuls 24% des foyers envisagent de rester fidèles à l’électricité. Le bois et le gaz attirent respectivement 2% et 1% des sondés comme sources complémentaires. L’autoconsommation solaire en revanche émerge comme une solution de plus en plus attrayante pour les Français : 17% d’entre eux envisagent d’intégrer des panneaux solaires à leur mix énergétique. L’intérêt pour les installations photovoltaïques a bondi, avec une hausse de 84% du nombre de panneaux installés entre 2022 et 2023, en raison de la baisse du prix des panneaux. Cette tendance s’explique par plusieurs avantages : valorisation immobilière, possibilité de vendre l’énergie excédentaire et réduction notable des factures d’électricité.
On peut comprendre cet engouement : les foyers équipés en solaire espèrent une baisse de 30 à 40% de leur consommation dès la première année. L’autoconsommation a également le vent en poupe au sein des structures collectives (copropriété, quartier, immeuble, etc) : en 2023, Enedis a recensé 195 groupements, pour une puissance totale de 11 MW installés.
Après notre petite liste des démos à éviter, voici celle des bonnes démos, ou de celle qu’on n’a pas pu tester, et qu’on met ici, dans le doute.
Les démos bien
Sorceress
Genre : Immersive sim / action
On en parlait il y quelques jours pour le lancement de son Kickstarter, Sorceress est un immersive sim orienté action, avec des mouvements très agréables et des combats bien dynamiques. Il est très inspiré de Dark Messiah of Might & Magic, et c’est cool.
Calme, onirique et très joli, Été ne s’adressera pas à tout le monde ici. Mais si derrière l’armure de plate, hérissée de pics sanglais, bat un petit cœur tout mou, vous pourriez être séduit. En plus, il est parfois involontairement comique, lorsque l’on crée des tableaux complètement cons.
Sans doute développé en collaboration avec un lobby secret d’ophtalmologistes, Scroomage propose un gameplay rapide, violent et gore, en noir, blanc et rouge – pour le sang. L’action est difficilement lisible, mais ça participe à son charme.
Est-ce ne notre faute si les bonnes démos ne proposent pas d’exploser ses adversaires à grands coups de fusil à pompe ? Bon, alors vous plaignez pas d’avoir encore un walking sim dans cette liste. En plus, dans While We Wait Here, vous pouvez confectionner des burgers tout secs et l’esthétique est inspirée de la PS One. L’histoire a l’air sympa.
Peripeteia est un projet très intriguant. C’est un immersive sim dans un univers post-apo chez les soviétiques, et dans lequel on est très libre de ce qu’on fait. Le jeu ne nous prend pas par la main. Par contre, le système d’inventaire est infernal et l’IA est complètement cassée.
Cette édition du Steam Néo Fest est, plus encore que les précédentes, bourrée de jeux d’horreur, d’une qualité plus que douteuse. On en a testé quand même un ou deux, dont REVEIL, qui a le bon goût d’être joli, de proposer des énigmes sympas et d’aborder des sujets légers, comme les violences infantiles. Mais ça reste un walking sim d’horreur classique.
Les démos qu’on a pas testé, mais dont la jaquette a attiré notre attention
ELDRIMAR
Genre : Action-RPG
On en parlait cet été, ELDRIMAR est une sorte de Skyrim like avec des dégâts localisés, ce qui change de la tétrachiée de copies ratées que l’on a pu voir jusque là.
Silicon Power announced the MS70 and PX10 Portable SSDs in late 2023. The company is well known for offering entry- and mid-range products at compelling price points, but the two products came with plenty of promises in the 1GBps-class category. The MS70 promised high storage density (up to 2TB in a compact thumb drive), while the PX10 targeted power users and professionals with performance consistency as the focus. Read on for a detailed look at the Silicon Power PX10 including an analysis of its internals, value proposition, and evaluation of its performance consistency, power consumption, and thermal profile.
Prix intéressant vu il n'y à pas longtemps à 64,9€ mais sans l'arrosoir
Description Equipement complet pour la récupération d'eau de pluie avec cuve de 310 litres couleur noir anthracite + collecteur à poser sur la gouttière + arrosoir de 11 litres. Equipement de la cuve : robinet (livré non monté), pré-perçage pour bouchon de vidange (non fourni), bouchon sur le dessus de la cuve. Raccordement à la gouttière et/ou jumelage de cuves (pré-percé) Accrochage mural pré percé. Dimensions 60 x 40 x 133 cm Label O.F.G. Caractéristiques détaillées EDA Plastique Oui Noir Oui Non Hors sol Polyéthylène 310 133 De 300 à 500L 60 40 2 ans Non connue 12.8
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