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Les Asus NUC 14 Pro passent aux Meteor Lake (Maj prix)

1 mars 2024 à 09:56

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Mise à jour du 1/03/2024 : Asus US a communiqué sur les tarifs de ses nouveaux NUC 14 Pro. Deux modèles ont été détaillés et donnent un avant goût du prix de ces nouvelle machines nées de la reprise de la marque NUC à Intel. 

En entrée de gamme, on retrouve le NUC 14 Pro Core 3 100U, une puce 15 watts avec 6 cœurs et 8 Threads sous architecture Raptor Lake. Le MiniPC embarquera 2 slots SoDIMM de DDR5-5600, un stockage NVMe PCIe Gen4, deux sorties Thunderbolt 4, du Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 et un port Ethernet 2.5 Gigabit. Ticket d’entrée pour ce modèle : 394$ HT. Soit 364€HT environ et 436€ avec 20% de TVA avec une configuration mémoire et stockage pour le moment inconnue. Ces modèles sont prévus pour monter beaucoup plus haut en capacités de calcul avec des puce Intel Core Ultra 7 165H mais dans une limite de 40W de TDP.

Le Asus NUC 14 Pro+ débuteront leur carrière bien plus haut avec un prix de base de 869$ HT avec une puce Meteor Lake. Un Core 5 Ultra 125H qui pourra évoluer vers des Core Ultra7 155H ou Core Ultra 9 185H jusqu’en 65W de TDP. Cela donne 800€ environ HT et 960€ au total. 

Ces chiffres sont « bruts » et sont donc à prendre avec des pincettes quant à leur estimation « Euros ». Aucune date de distribution n’a filtré pour le moment mais la communication d’Asus France ne devrait plus tarder désormais.

Billet original du 10/01/2024 : Ces nouveaux NUC 14 Pro et NUC 14 Pro+ sont attendus au tournant. De très nombreuses entreprise ne savent aujourd’hui si elles doivent faire confiance à Asus pour les alimenter en nouveaux produits alors qu’elles achètent des NUC à Intel depuis de nombreuses années. Si la qualité des produits suit la production traditionnelle d’Intel, Asus peut réussir ici un pari intéressant pour son futur.

Asus NUC 14 Pro

Les nouveaux NUC 14 Pro  embarqueront des puces Intel Meteor Lake jusqu’au Core Ultra 7 165H dans un TDP maximal de 40 watts. On retrouvera ainsi les processeurs Intel Core Ultra 7 165H, Ultra 7 155H, Ultra 5 135H, Ultra 5 125H et l’entrée de gamme en Core 3 100U.

Asus NUC 14 Pro+

Une seconde série plus musclée sous le nom de NUC 14 Pro+ se déploiera, quant à elle, jusqu’au Core Ultra 9 185H pour un TDP de 65 Watts. Ici Asus embarquera également les Core Ultra 7 155H et Ultra 5 125H.

Ces engins permettront la même évolutivité que d’habitude chez Intel avec deux slots de DDR5-5600 pour un maximum de 96 Go à bord. Leur stockage sera légèrement différent puisque les modèles Asus NUC Pro proposeront pour certains un emplacement SATA3 au format 2.5″ tandis que les Pro+ se contenteront du double stockage commun constitué d’un port M.2 2280 NVMe PCIe Gen4 x4 et d’un second port M.2 2242 PCIe X4.

On distingue les deux loquets qu’il faudra dégager pour ouvrir et un verrou qu’on fera tourner avec tournevis

Tous les modèles sont pensés par Asus pour être accessibles et pouvoir être mis à jour physiquement sans recourir à un outil. Un large panneau inférieur permettra d’avoir sous les yeux les différents ports et slots facilement. Il pourra s’enlever en libérant des loquets qui le maintiendront en place. Cette approche « Toolless » est intéressante pour des particuliers mais elle l’est peut être moins pour des professionnels. Surtout pour les machines ayant pour vocation à être exposées au public. Si l’engin est sécurisé par un câble antivol, il faudra sans doute trouver une parade pour empêcher l’accès aux composants afin de ne pas les voir disparaitre.

Asus NUC 14 Pro avec et sans baie 2.5″

Le tout sera enfermé dans un châssis en aluminium assez sobre, Asus dit adieu au plastique des formules Intel pour sa coque supérieure. On retrouve un format classique des MiniPC NUC avec 11.7 cm de large pour 11.2 cm de profondeur et de 3.7 cm d’épaisseur à 5.4 cm au total suivant les modèles de NUC 14 Pro. Ceux disposant de la baie 2.5″ étant comme d’habitude plus hauts que les autres. Les modèles Asus NUC 14 Pro+ seront un petit peu plus larges avec 14.4 cm pour la même profondeur et une épaisseur intermédiaire de 4.1 cm. Cela est du à la dissipation nécessaire pour encaisser ces processeurs plus puissants et plus gourmands.

Toute les machines proposeront un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 Intel AX211, la connectique sera identique sur les différents modèles. En façade, on retrouve un USB 3.2 Gen 2×2 Type-C et deux USB 3.2 Gen 2 Type-A. Sur le coté ou sur l’arrière un port Antivol type Kensington Lock pour sécuriser les MiniPC.

A l’arrière, on note la présence de deux Thunderbolt 4, un USB 3.2 Gen 2 Type-A, un USB 2.0, deux sorties vidéo HDMI 2.1, un Ethernet 2.5 Gigabit (Intel i226V) et un jack d’alimentation. Les blocs d’alim fournis s’adapteront suivant les modèles de puces de 90 Watts à 150 Watts.

NUC 14 Pro

Derniers détails, les NUC 14 Pro et Pro+ seront proposés nus, sans système, mémoire ni stockage mais également prêts à l’emploi et préinstallés sous Windows 11 Home et Pro. Asus proposera même des versions sans son logo dessus, probablement pour de grosses commandes, afin qu’une entreprise puisse poser le sien à la place.

L’ensemble parait cohérent et assez travaillé de la part d’Asus qui a su proposer sa patte dans un design très attendu pour cette passation de pouvoir. On retrouve le savoir faire de la marque sur les châssis et une bonne approche technique en interne. Il ne reste plus qu’à piloter de manière fluide la commercialisation de l’ensemble.

  NUC 14 Pro NUC 14 Pro+
Processeur Intel Core Ultra 7 165H
Intel Core Ultra 7 155H
Intel Core Ultra 5 135H
Intel Core Ultra 5 125H
Intel Core 3 100U (TDP jusqu’à 40W)
Intel Core Ultra 9 185H
Intel Core Ultra 7 155H
Intel Core Ultra 5 125H
(TDP jusqu’à 65W)
Mémoire vive 2 emplacements SODIMM
Jusqu’à 96 Go au total
DDR5-5600
Stockage 1 x M.2 2280 PCIe Gen4x4
1 x M.2 2242 PCIe x4 NVMe
1 x support SATA 2,5 pouces (sur certains modèles)
1 x M.2 2280 PCIe Gen4x4
1 x M.2 2242 PCIe x4 NVMe
Sans fil

Intel AX211
WiFi 6E
BT 5.3

Connectique 1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type-C (20 Gbps)
2 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
2 x Thunderbolt 4
1 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
1 x USB 2.0 Type-A
2 x HDMI 2.1
1 x RJ45 (Intel i226V/LM)
1 x USB 3.2 Gen 2×2 Type-C (20 Gbps)
2 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
2 x Thunderbolt 4
1 x USB 3.2 Gen 2 Type-A
1 x USB 2.0 Type-A
2 x HDMI 2.1
1 x RJ45 (Intel i226V/LM)
1 x Antivol type Kensington Lock
Alimentation 120W (Core Ultra 5/7)
90W (Core 3)
150W (Core Ultra 9)
120W (Core Ultra 5/7)
Dimensions 117 x 112 x 54mm (avec 2.5″)
117 x 112 x 37mm
114 x 112 x 41mm
Poids 750 grammes (avec 2.5″)
600 grammes
800 grammes
Prix de départ 394 $ 869 $

 

Asus ROG NUC : un MiniPC gamer qui embarque Core Ultra 9 et GeForce RTX 4070

Les Asus NUC 14 Pro passent aux Meteor Lake (Maj prix) © MiniMachines.net. 2024.

Voilà les stations et les lignes de métro à fuir pendant les JO de Paris 2024

12 avril 2024 à 15:16

métro bondé

Le ministère des Tranports fournit une carte interactive qui tente de représenter l'affluence dans le métro, le RER, le tram et le transilien pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. En choisissant l'heure et la date, il est possible de repérer les stations et les lignes qu'il faudra absolument éviter.

Gaz : la hausse de juillet 2024 sera « indolore » annonce la CRE

20 février 2024 à 14:37
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Alors que les Français s’apprêtent à serrer la ceinture face à l’annonce d’une nouvelle augmentation du tarif d’utilisation du réseau de gaz au 1ᵉʳ juillet 2024, comme annoncée par la CRE, cette dernière semble leur apporter une lueur d’espoir. Des prévisions à prendre au sérieux ?

Gaz : hausse de juillet 2024, la facture ne flambera pas selon la CRE

Début février 2024, la Commission de régulation de l’énergie a annoncé une hausse moyenne de +27,5 % du tarif d’utilisation du réseau de gaz pour le 1ᵉʳ juillet 2024, qui représente pas moins d’un tiers de la facture globale (HT) des consommateurs. Cette augmentation, selon l’organisme, devrait se traduire par une hausse sur la facture des abonnés au gaz de l’ordre de 5,5% à 10,4%, selon le type de contrat des ménages (chauffage ou eau chaude sanitaire et/ou cuisson).

Depuis le mois de décembre 2023, les prévisions de la CRE sont néanmoins optimistes. En effet, le prix du gaz sur le marché de gros semble poursuivre sa baisse amorcée depuis le mois de décembre 2023. Cette tendance s’est pour le moment confirmée avec la publication, le 13 février 2024, du prix repère du gaz pour le mois de mars 2024. Cette diminution du prix du gaz sur le marché de gros est essentiellement due à la baisse de la consommation de gaz (-20 %) qui a été observée sur l’année 2023.

Les limites des prévisions de la CRE

 

La Commission de régulation de l’énergie prévoit ainsi que le prix repère de vente de gaz (GRDF) serait de 120 euros le mégawattheure au mois de juillet 2024, ce qui équivaudrait à une baisse de -6 euros par rapport au tarif de décembre 2023. À titre de comparaison, le mégawattheure était à 300 euros pendant l’été 2022. Cette baisse des prix sur le marché de gros s’annonce donc comme d’une bonne nouvelle pour les consommateurs, qui ne devraient pas voir leur facture augmenter malgré la hausse initialement prévue.

Toutefois, la prudence reste de mise. La CRE elle-même souligne que ces estimations doivent être considérées avec précaution, car le coût d’approvisionnement final ne sera connu qu’un mois avant la livraison du gaz. D’autre part, les prévisions actuelles reposent sur des hypothèses qui pourraient être remises en question par une potentielle dégradation du contexte géopolitique ou des perturbations dans la chaîne logistique. Le prix du gaz reste par conséquent extrêmement volatile.

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Électricité : 7 Français sur 10 jugent la dernière augmentation scandaleuse

26 février 2024 à 13:25
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L’augmentation des prix de l’électricité en février 2024 a secoué les budgets de nombreux Français. Selon une enquête de Rothelec, plus de la moitié des ménages prévoient de réduire encore davantage leur consommation et se tournent de plus en plus vers le mix énergétique pour limiter leurs dépenses.

 

Prix de l’électricité : 61% des Français vont (encore) réduire leur consommation

L’enquête menée par Rothelec auprès de 3.101 foyers français révèle une profonde indignation suite à l’annonce de la hausse des prix de l’électricité le 1ᵉʳ février 2024. Pour 71% des sondés, cette augmentation est scandaleuse, tandis que 22% elle est moyennement acceptable. Seuls 7% des interrogés semblent l’accepter sans trop de réticences. Cette hausse, perçue comme un véritable « racket d’État », met une nouvelle fois en lumière le désarroi des ménages. Les répercussions de cette augmentation sur les budgets des Français sont palpables. Une majorité, soit 61%, admet devoir réaliser des économies supplémentaires pour compenser la dernière hausse. Seule une minorité de 28% des foyers estime pouvoir absorber cette augmentation sans difficulté notable.

 

L’avenir des prix de l’électricité reste par conséquent une source d’inquiétude majeure au sein de la population. Plus de deux tiers des Français (66%) anticipent de nouvelles augmentations dans les années à venir, tandis que 29% espèrent une stabilisation des tarifs. Seulement 3% des sondés sont optimistes quant à une baisse future des prix. Cette situation peu réjouissante incite les ménages à chercher des solutions durables afin de diminuer leur dépendance aux variations des prix de l’énergie et de garantir leur approvisionnement énergétique.

 

 

Le solaire a le vent en poupe

 

Confrontés à cette hausse, les Français explorent des alternatives pour alléger leur facture énergétique. L’enquête de Rothelec montre que seuls 24% des foyers envisagent de rester fidèles à l’électricité. Le bois et le gaz attirent respectivement 2% et 1% des sondés comme sources complémentaires. L’autoconsommation solaire en revanche émerge comme une solution de plus en plus attrayante pour les Français : 17% d’entre eux envisagent d’intégrer des panneaux solaires à leur mix énergétique. L’intérêt pour les installations photovoltaïques a bondi, avec une hausse de 84% du nombre de panneaux installés entre 2022 et 2023, en raison de la baisse du prix des panneaux. Cette tendance s’explique par plusieurs avantages : valorisation immobilière, possibilité de vendre l’énergie excédentaire et réduction notable des factures d’électricité.

On peut comprendre cet engouement : les foyers équipés en solaire espèrent une baisse de 30 à 40% de leur consommation dès la première année. L’autoconsommation a également le vent en poupe au sein des structures collectives (copropriété, quartier, immeuble, etc) : en 2023, Enedis a recensé 195 groupements, pour une puissance totale de 11 MW installés.

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Prix de l’eau : ce département vote une augmentation de +60%

28 février 2024 à 13:00
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Le syndicat d’eau du Roumois et du plateau du Neubourg (SERPN) vient de voter une augmentation du prix de l’eau pour 96 communes du département de l’Eure. Celle-ci sera effective dès le 1ᵉʳ avril 2024 et est justifiée par le besoin de financement pour remettre aux normes le réseau. Loin d’être isolée, cette problématique s’étend à l’échelle nationale.

 

Prix de l’eau : l’Eure à la recherche de financement pour moderniser son réseau

 

Le département de l’Eure se trouve à un tournant majeur concernant la gestion de son eau. À partir du 1ᵉʳ avril 2024, les résidents verront le prix du mètre cube d’eau s’élever de 1,70 euro à 2,40 euros hors taxes, traduisant une augmentation de 60%. Cette mesure affectera directement environ 32.000 abonnés répartis sur 96 communes. Les tarifs des abonnements annuels connaîtront également une hausse significative, passant de 45 à 115 euros pour les contrats standards, et de 1.000 à 2.450 euros pour les plus élevés. Cette augmentation, votée le 22 février 2024 par le SERPN, répond à un besoin urgent d’investissement dans les infrastructures de traitement de l’eau.

Julie Leboulenger, directrice technique au SERPN, souligne la gravité de la situation : « Les analyses des derniers mois ont mis en avant des problèmes de pollution par des résidus de produits phytosanitaires (…) Ceci nous oblige à mettre en place des stations de traitement pour retrouver la conformité de l’eau que nous fournissons.» Le coût pour la construction d’une station de traitement est estimé à environ cinq millions d’euros, une somme considérable qui justifie en partie cette hausse tarifaire. L’autre urgence est de moderniser les infrastructures du département qui s’étend sur plus de 1.500 km. Le SERPN a fait une demande auprès de l’Agence de l’eau et espère obtenir des subventions à hauteur de 35%.

 

Une problématique nationale

La problématique de la pollution de l’eau par les produits phytosanitaires et la nécessité d’investissements massifs pour y remédier ne sont pas exclusives au département de l’Eure. Lors des 3ᵉˢ Rencontres nationales de l’eau publique à Bordeaux, le 12 octobre 2023, les discussions ont mis en évidence les défis auxquels la France doit faire face en matière de gestion de l’eau. Christophe Lime, président de France Eau Publique (FEP), a insisté sur l’importance d’adopter une approche responsable : « On va devoir appliquer le principe du pollueur payeur jusqu’au bout, c’est celui qui a pollué depuis un certain nombre d’années qui doit assumer les conséquences et ce n’est pas obligatoirement l’utilisateur du produit

La tarification progressive, annoncée par le président Emmanuel Macron, vise à encourager une consommation plus responsable tout en garantissant un accès pour tous. Selon les projections de FEP, le prix moyen de l’eau pourrait connaître une hausse de 50% d’ici à 2030, principalement due à l’augmentation des coûts énergétiques et à la nécessité de moderniser les infrastructures.

 

 

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Chèque énergie 2023 : plus que quelques jours pour l’utiliser

6 mars 2024 à 14:41
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Dans l’ombre d’un tiroir ou au fond d’une enveloppe se cache peut-être votre chèque énergie 2023.  Le temps presse, il ne vous reste que quelques jours pour l’utiliser, après, il sera trop tard !

 

Chèque énergie : vous avez jusqu’au 31 mars 2024 pour l’utiliser

Plus de 5,6 millions de Français étaient éligibles au chèque énergie de 2023, ce qui représente près de 20% des foyers modestes. Si vous faites partie des bénéficiaires et que vous ne l’avez toujours pas utilisé, il est grand temps de le faire ou de le retrouver. Après le 31 mars 2024, vous ne pourrez plus l’utiliser ! Le chèque énergie a été mis en place par le gouvernement depuis 2018 dans le but de lutter contre la précarité énergétique et donc d’aider les foyers aux revenus modestes à payer leurs factures énergétiques. Son montant est calculé en fonction de la composition du foyer, également appelée unité de consommation (UC), et de son revenu fiscal de référence (RFR). Pour l’année 2023, son montant allait de 48 à 277 euros !

Pour l’utiliser, c’est très simple : il vous suffit de fournir votre numéro de référence qui est indiqué sur votre chèque lors du paiement de votre facture énergétique en ligne. Vous pouvez également l’envoyer par courrier directement à votre fournisseur, ou lui demander une déduction de son montant sur votre prochaine facture. Vous avez la possibilité d’automatiser la démarche en cochant la case rouge sur votre chèque avant de l’envoyer à votre fournisseur. Le chèque énergie peut aussi être utilisé dans le cadre de travaux de rénovation énergétique. Dans ce cas, il est impératif que vos travaux soient effectués par un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE).

 

Les autres chèques

 

Le chèque énergie a été reconduit pour l’année 2024 et si vous y étiez éligible en 2023, vous n’avez aucune démarche à effectuer pour celui de cette année. Il vous est néanmoins possible de faire une réclamation dans le cas où vous ne le recevriez pas ici. Mais sachez qu’il existe d’autres chèques pour les ménages à faibles revenus. Le gouvernement a en effet mis en place des aides complémentaires, notamment le chèque fioul exceptionnel dont le montant varie entre 100 et 200 euros. Celui-ci bénéficie à plus d’1,6 million de Français !

Il y a également le chèque énergie exceptionnel (100 à 200 euros) auquel près de 12 millions de Français sont éligibles. Attention, pour ce dernier, la date limite d’utilisation est aussi fixée au 31 mars 2024. Un autre chèque moins connu : le chèque bois, qui aide pas moins de 2,6 millions de Français et dont le montant peut, lui aussi, s’élever jusqu’à 200 euros. Ces aides sont loin d’être négligeables. Si on fait leur cumul, cela revient à un soutien de 677 euros par an (hors chèque bois) pour les ménages les plus modestes !

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Comment regarder les Oscars 2024 en ligne ?

10 mars 2024 à 23:40

Oscars statuette

Canal+ diffuse en direct et en streaming la 96ᵉ cérémonie des Oscars. Anatomie d'une chute de Justine Triet est très proche d'un possible triomphe. Après la Palme d'or à Cannes et plusieurs succès durant les César, le long-métrage est bien placé pour repartir avec quelques statuettes américaines... dont l'oscar du meilleur film.

Mais pourquoi les Russes sont-ils aussi méchants ?

10 mars 2024 à 11:06

orangina rouge méchant

Ils sont déjà suspectés d'avoir été derrière des piratages dans le monde du sport. Voici pourquoi il est vraisemblable que Moscou tente à nouveau de semer le bazar lors des Jeux olympiques de Paris.

Mais pourquoi les Russes sont-ils aussi méchants ?

10 mars 2024 à 11:06

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Mais pourquoi la Russie est-elle aussi « cyber-méchante » ?

10 mars 2024 à 11:06

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Stratégie énergétique : toujours pas de cap, Attal lance une nouvelle consultation

18 mars 2024 à 14:59
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Le gouvernement peine à donner une direction à la stratégie énergétique et climatique de la France. L’avis des Français sera une nouvelle fois demandé sur ces sujets. Gabriel Attal a annoncé une prochaine grande consultation suite à une réunion qui rassemblait différentes ONG environnementales, vendredi 15 mars 2024.

 

Souveraineté énergétique : le gouvernement redemande l’avis des Français

 

La France a battu des records d’exportation d’électricité en janvier 2024, mais ne dispose néanmoins toujours pas de direction sur sa stratégie énergétique et climatique. L’annonce d’une nouvelle grande consultation par le Premier ministre, Gabriel Attal, et qui sera dirigée par la Commission nationale du débat public (CNDP) a, par conséquent, suscité de vives réactions de la part des différents acteurs du secteur énergétique français. Celle-ci semble avoir été plutôt bien accueillie de la part des ONG environnementales, notamment du fait de leur habitude à se mobiliser pour ce type d’initiative.

Mais le gouvernement, dépourvu de majorité à l’Assemblée nationale, est pris entre deux feux avec une droite pro-nucléaire et une gauche pro-renouvelable, et rechigne ainsi à donner une direction énergétique à la France. Comme le souligne Yves Brechet, ancien haut-commissaire à l’énergie atomique : « Empêché, le gouvernement procrastine et s’emploie à repousser le problème. Mais on n’en finit plus de débattre… Maintenant, il faut décider ! ». Même tonalité du côté du secteur éolien : « S’ils ont la trouille de ne pas pouvoir faire voter leurs textes, qu’ils le disent ! Mais qu’ils arrêtent de nous faire perdre notre temps ». Aucune date n’a encore été annoncée quant au lancement de cette prochaine grande consultation et la présentation du projet de loi sur l’énergie ne fait toujours pas partie du calendrier parlementaire. Celui-ci doit pourtant fixer la stratégie énergétique et climatique de la France à l’horizon 2030-2035 via notamment la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) et la stratégie nationale bas carbone (SNBC).

 

 Gagner du temps

 

Ce n’est pas la première fois que le gouvernement interroge les Français au sujet de la souveraineté énergétique de la France et ses objectifs climatiques. L’ex-Première ministre, Élisabeth Borne, avait lancé une grande consultation en 2022. Son compte-rendu de novembre 2023 n’a pour autant pas été rendu public, et celui-ci n’a abouti à aucune initiative de la part du gouvernement. C’est même tout le contraire, le gouvernement a amputé le projet de loi de ses objectifs de production par énergie ainsi que de ses objectifs de réduction des émissions de carbone. La France ne dispose donc d’aucune direction sur sa stratégie énergétique et climatique.

À noter par ailleurs que sans projet de loi sur l’énergie, la suppression de 12 réacteurs nucléaires, qui avait été annoncée en 2018 par Emmanuel Macron, et sur laquelle il est revenu en arrière en 2022 avec l’annonce d’un plan de relance du nucléaire, n’a par conséquent toujours pas été réellement actée. Le gouvernement, avec l’approche des élections européennes, semble ainsi vouloir gagner du temps. L’annonce de cette nouvelle grande consultation a de quoi laisser les acteurs du secteur des énergies renouvelables, du nucléaire, mais aussi les Français, sceptiques quant à son efficacité réelle…

 

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iOS 18 sur iPhone : nouveautés, date de sortie, compatibilité… tout savoir sur la mise à jour

26 mars 2024 à 18:42

Le 10 juin 2024, Apple dévoilera iOS 18, qui s'annonce comme « la plus grande mise à jour de l'histoire de l'iPhone ». Que sait-on sur ses nouveautés ? Sans surprise, iOS 18 devrait mettre l'intelligence artificielle générative à l'honneur.

Android 15 : date de sortie, nouveautés, installation, téléphones compatibles… tout ce que l’on sait

12 avril 2024 à 09:20

La sortie d'Android 15 est attendue pour l'été 2024, mais Google devrait dévoiler la plupart de ses nouveautés le 14 mai, lors de sa conférence I/O. Date de sortie, smartphones compatibles… Voici toutes les informations sur la future mise à jour du système d'exploitation le plus utilisé de la planète.

On sait enfin quand Apple annoncera iOS 18 et sa réponse à ChatGPT

26 mars 2024 à 18:28

La WWDC, le traditionnel événement d'Apple dédié aux développeurs, aura lieu du 10 au 14 juin. La marque devrait y dévoiler plusieurs mises à jour pour ses systèmes d'exploitation, en plus de nouveautés liées à l'intelligence artificielle.

Comment les récentes fuites de données pourraient être réutilisées pour les J0 2024

28 mars 2024 à 14:41

Les récentes cyberattaques contre la FFF, France Travail ou les mutuelles offrent une base de données « fraiches » que les cybercriminels pourraient exploiter en vue des Jeux Olympiques à Paris cet été.

Minisforum HX200G : un MiniPC Gaming 100% AMD

3 avril 2024 à 13:42

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Mise à jour du 03/04/2024 : le HX200G devrait dévoiler son tarif d’ici la fin du mois avec une disponibilité rapide en Chine puis une distribution en Europe et aux US.

Billet original du 11/01/2024 ! A vrai dire, je ne serais pas du tout surpris que ce Minisforum HX200G soit réellement un portable de jeu de 2023. La marque nous a déjà proposé une carte mère de portable Intel NUC dans un format tout en hauteur par le passé avec les NUCXI5 et NUCXI7. Il semblerait qu’elle propose ici un équivalent dans une solution plus orientée gaming. 

On ne sait pas grand chose de cet engin pour le moment si ce n’est qu’il emploie un duo de puces AMD. Un Ryzen 9 7945HX comme processeur, une solide solution déployée sur 16 cœurs Zen 4 et 32 threads fonctionnant de 2.5 à 5.4 GHz avec 64 Mo de cache L3 et un TDP de 55 à 75 Watts. Un circuit graphique également signé AMD sera intégré avec un circuit Radeon RX 7600M XT disposant de 32 CU RDNA 3 pour  120 Watts de TDP. Au final les entrailles d’une machine de jeu très musclée qui seront sans doute exploitables pour de nombreuses autres tâches créatives.

Le HX200G devrait pouvoir encaisser ces composants aussi bien, voir mieux, qu’un portable classique. La machine a l’air en effet plus épaisse et bénéficie d’une solution de refroidissement de quatre ventilateur et d’ouïes d’aération assez imposantes. Je ne sais pas par contre quel bruit sera capable de générer cet engin lorsqu’il sera sollicité au max de ses capacités.

Le stockage sera confié à une solution NVMe PCIe Gen5 dans un format pour le moment encore inconnu. La mémoire vive sera sans doute confiée à une solution SODIMM DDR5 mais aucun d’atail n’a pour le moment filtré. En plus d’un système de décoration par LED, on devrait retrouver une connectique de portable classique mais Minisforum n’en a pas fait le détail.

Minisforum HX200G : un MiniPC Gaming 100% AMD © MiniMachines.net. 2024.

Gaz : l’autoconsommation collective pour accélérer la production de biogaz

4 avril 2024 à 15:30
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Le gaz renouvelable est depuis le 29 mars 2024 ouvert à l’autoconsommation collective, une initiative du gouvernement visant à encourager de nouveaux projets de production de biogaz.

 

Le gaz renouvelable désormais ouvert à l’autoconsommation collective

Avec les décrets et l’arrêté du 29 mars 2024, la France marque un tournant décisif dans son engagement vers une énergie plus verte. L’autoconsommation collective, jusqu’alors cantonnée à l’électricité, ouvre ses portes au gaz renouvelable. Les consommateurs ont désormais la possibilité de consommer du gaz renouvelable produit par des infrastructures (entreprises agricoles, ménages ou collectivités) proches de chez eux.

Les règles sont précises : les participants doivent être connectés au réseau public de gaz naturel et la distance séparant les installations de production des consommateurs ne doit pas excéder deux kilomètres, avec la possibilité d’étendre ce périmètre à dix, voire vingt kilomètres en zone rurale, sous certaines conditions. À noter par ailleurs, que ces opérations sont limitées à une production annuelle de 25 GWh, un plafond qui vise à encourager les petits producteurs de biogaz et à garantir une distribution équitable.

 

Encourager de nouveaux projets de biogaz

Si l’autoconsommation étendue au gaz renouvelable permet aux consommateurs de réduire leur facture énergétique, ainsi que leur empreinte carbone, elle vise surtout à encourager de nouveaux projets de production de biogaz. Celui-ci est fabriqué à partir de la méthanisation. Il s’agit d’un procédé qui permet non seulement de réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais aussi de valoriser les déchets agricoles et ménagers. En 2023, 1 046 installations servaient à la production d’électricité, tandis que 591 installations alimentaient le réseau de gaz naturel.

Les applications du biogaz sont multiples : chauffage, production d’électricité, carburant pour les transports. Une polyvalence qui fait du biogaz une énergie particulièrement intéressante pour le mix énergétique de la France. Le gouvernement vise à intégrer 10 % de gaz renouvelable dans le réseau de gaz d’ici à 2030, un objectif qui ne semble pas hors de portée avec cette nouvelle extension de l’autoconsommation collective.

 

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Chèque énergie 2024 : un million de bénéficiaires oubliés par erreur !

5 avril 2024 à 09:30
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Le chèque énergie 2024 n’a pas été reçu par un million de bénéficiaires. La cause ? Un incident administratif qui transforme tout cela en casse-tête.

Chèque énergie : un oubli de mise à jour et tout s’annule

Le lancement du chèque énergie 2024, attendu comme chaque année par 5,6 millions de foyers français au mois d’avril, a connu un faux départ. Une erreur administrative a empêché la mise à jour de la liste des bénéficiaires, laissant environ un million de foyers dans l’embarras. Habituellement, cette aide, qui soutient les ménages modestes dans le paiement de leurs factures d’énergie, était attribuée automatiquement. Une simplicité vantée par le gouvernement. Or, cette année, la suppression de la taxe d’habitation et l’oubli de la mise à jour des dossiers a rompu cela, entraînant un besoin urgent de réclamation pour les oubliés.

L’absence de mise à jour a suscité l’inquiétude des associations de consommateurs dès début février 2024. Elles ont tiré la sonnette d’alarme sur ce qu’elles ont qualifié de « carence de l’administration », craignant que près d’un million de nouveaux éligibles ne soient pas identifiés. Le gouvernement, sous la pression, a dû admettre l’existence du problème. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, a promis un dispositif de réclamation pour s’assurer que « personne ne soit perdant ».

Un guichet de réclamation pas avant l’été 2024 ?

Pour corriger le tir, un nouveau projet de décret a été élaboré, introduisant un guichet de réclamation en ligne. Cependant, celui-ci ne sera pas disponible avant la fin de la période d’envoi automatique des chèques, soit pas avant mai 2024.  Les associations et les élus locaux seront, une fois de plus, en première ligne pour accompagner tous les ménages dans ces démarches.

L’annonce de cette aide a été brouillée par une communication gouvernementale jugée insuffisante, notamment sur l’identification des nouveaux bénéficiaires. Les critiques se sont multipliées quant à la clarté des informations fournies et à la mise en place effective du dispositif de réclamation.

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Chèque énergie 2024 : top départ pour la seconde vague d’envois

8 avril 2024 à 16:30
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Le chèque énergie, cette aide financière gouvernementale, continue de soutenir les foyers français dans la gestion de leurs dépenses énergétiques. Après une première vague de versements au début de la première semaine du mois d’avril 2024, c’est au tour des bénéficiaires de 43 départements de recevoir leur versement entre ce lundi 8 et vendredi 12 avril 2024.

 

Les départements concernés par la seconde vague d’envois du chèque énergie pour 2024

Le chèque énergie continue de soutenir de nombreux foyers français dans la gestion de leurs dépenses énergétiques. 5,8 millions de personnes y sont éligibles pour cette année 2024. Ces derniers ont jusqu’au 31 mars 2025 pour l’utiliser pour leur facture d’énergie ou pour des travaux de rénovation énergétique dans leur logement.

Une fois reçu, l’utilisation du chèque énergie est souple. Les bénéficiaires peuvent soit le présenter directement à leur fournisseur d’énergie (électricité, bois, gaz naturel, fioul domestique) sous format papier, soit l’utiliser en ligne via le portail dédié. Le montant varie entre 48 et 277 euros et est alors déduit des factures à venir.

 

Voici la liste des 43 départements concernés par la seconde vague d’envois : 

 

Auvergne-Rhône-Alpes
  • 03 – Allier
  • 15 – Cantal
  • 26 – Drôme
  • 42 – Loire
  • 07 – Ardèche
  • 43 – Haute-Loire
Bourgogne-Franche-Comté 
  • 58 – Nièvre
  • 70 – Haute-Saône
  • 89 – Yonne
  • 71 – Saône-et-Loire
  • 90 – Territoire de Belfort
Bretagne 
  • 22 – Côtes-d’Armor
Centre-Val de Loire
  • 41 – Loir-et-Cher
  • 18 – Cher
Corse
  • 20 – Corse
Grand Est
  • 88 – Vosges
  • 10 – Aube
  • 51 – Marne
  • 55 – Meuse
Hauts de France
  • 80 – Somme
Nouvelle-Aquitaine
  • 86 – Vienne
  • 19 – Corrèze
  • 79 – Deux-Sèvres (partagé entre les semaines du 8 au 12 et du 22 au 26 avril 2024)
  • 87 – Haute-Vienne
  • 17 – Charente-Maritime
  • 40 – Landes
  • 16 – Charente
Normandie
  • 76 – Seine-Maritime
  • 14 – Calvados
  • 50 – Manche
Occitanie
  • 48 – Lozère
  • 65 – Hautes-Pyrénées
  • 81 – Tarn
  • 34 – Hérault
  • 12 – Aveyron
  • 46 – Lot
  • 32 – Gers
Provence-Alpes-Côte d’Azur
  • 04 – Alpes de Haute Provence
  • 05 – Hautes-Alpes
Pays de la Loire 
  • 53 – Mayenne
  • 72 – Sarthe
  • 85 – Vendée
  • 49 – Maine-et-Loire

 

Qui est éligible au chèque énergie ?

L’éligibilité au chèque énergie repose sur des critères bien définis, essentiellement centrés autour du revenu fiscal de référence par unité de consommation (RFR/UC) du foyer. Le système d’unités de consommation ajuste le revenu fiscal en fonction de la taille et de la composition du ménage, le but étant d’assurer une distribution équitable de cette aide financière.

Pour être éligible, les plafonds de revenus varient ainsi :

  • Une personne seule (1 UC) ne doit généralement pas dépasser un RFR d’environ 11 000 euros.
  • Un couple sans enfant (1,5 UC) voit ce seuil ajusté aux alentours de 16 500 euros.
  • Le plafond de revenus s’élève ensuite suivant le nombre d’enfants ou de personne à charge supplémentaire.

Quand auront lieu les prochaines vagues d’envois ?

Vague du 16-19 avril 2024 :

  • Oise, Val-d’Oise, Eure, Eure-et-Loir, Loiret, Ille-et-Vilaine, Finistère, Morbihan, Loire-Atlantique, Indre-et-Loire, Puy-de-Dôme, Savoie, Jura, Doubs, Côte-d’Or, Bas-Rhin, Moselle, Meurthe-et-Moselle, Alpes-Maritimes, Var, Bouches-du-Rhône, Pyrénées-Atlantiques, Gironde.

Vague du 22- 25 avril 2024 :

  • Paris, Hauts-de-Seine, Val-de-Marne, Yvelines, Seine-et-Marne, Essonne, Deux-Sèvres, Haut-Rhin, Ain, Rhône, Haute-Savoie, Isère, Haute-Garonne.

Aucune démarche n’est à effectuer pour recevoir le chèque énergie, celui-ci est envoyé par voie postale ou de manière dématérialisée sur le site officiel. Néanmoins, les ménages éligibles sont encouragés à vérifier leur situation via le simulateur en ligne en cas de non-réception de leur versement, et à faire une réclamation si besoin via le numéro dédié : 0.805.204.805 (appel et service gratuits)

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